Super Smash Bros. Ultimate

Beh elle a pas étè genre recusité , réparer ou je ne sais quoi là?

Si si, elle a bien été ressuscitay, mais c'est pas un cyborg. Elle est en chair et en os. SpoilAfficherMasquerOu ... presque? En tout cas, c'est pas un cyborg du tout

Mewtwo c'est ... compliqué Il était prévu dans la saison 3 et aurait du apparaître là, maintenant, mais j'ai préféré ne pas l'inclure pour plusieurs raisons que je peux vous dévoiler sans spoil ou presque.

Déjà parce que je ne trouvais pas ça utile de l'inclure à 10 chapitres de la fin alors qu'il aurait du être un "mini-boss" (contrairement à Terry qui est bien plus anecdotique). Ensuite, Mewtwo n'aurait eu d'importance que pour Lucario et ça l'aurait séparé du reste du groupe sans aucun but ( SpoilAfficherMasquerVous inquiétez pas, Mac, Daisy et Tara auront bien une importance presque capitale . Donc plutôt que de l'inclure, j'ai préféré me focus sur Lucario comme le sous-entend la fin du dernier chapitre :

- Le combat que nous redoutions tous est enfin là. Nous ne reculerons pas. Protéger Lucario est notre priorité. Il ne doit pas tomber entre les mains de l’ennemi. Allons-y !

C'est dommage pour Mewtwo parce qu'il y aurait eu des choses intéressantes à faire, mais le personnage en lui-même est bcp trop charismatique pour être relégué au second plan

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"Peach cyborg" ... Alors non Peach n'est pas devenue une cyborg mais elle a bel et bien ressuscité, sauf qu'elle a révélé à Samus que la résurrection n'est que temporaire (et que par conséquent, Lucina est condamnée à mourir elle aussi). Même si son corps se dégrade de plus en plus, Peach a acquis des capacités de combat qu'elle n'avait jamais eues avant et a même tenu tête à Samus, Lissa et les Sublimées. Il reste 2 chapitres pour l'arc Sarasaland

Professeur Saule C'est/C'était le "gros méchant" de la fic. A la première saison, c'est lui qui a déclenché tous les malheurs d'Utopia mais Siderella l'a piégé dans une prison quasi éternelle dans son laboratoire. Sauf qu'à la troisième saison, on apprend SpoilAfficherMasquerqu'en fait c'est Sephiroth de l'Arche, l'île céleste voisine, qui avait tout prévu pour arriver jusqu'à ce moment précis

Le chapitre 88 sort demain soir

Bordel je crois que c'est genre la première fois en 10 ans de Forum que Kura rit à mes connerie je suis choquer

Chapitre 88 :

L’atmosphère dans la citadelle Hyrule devenait de plus en plus lourde chaque jour. Mais alors que le crépuscule débuta tout juste, offrant au ciel sans nuages une teinte orangée, cette sensation s’était décuplée, comme si le destin d’Hyrule se jouerait dans les prochaines heures ; et c’était bel et bien le cas.

Des centaines de Veilleurs patientaient calmement aux abords de la citadelle ce depuis plus de vingt-quatre heures. Dans le camp adverse, les Anarchistes avaient placé nombre des leurs en tant que médiateurs à chaque point d’accès afin d’ouvrir le dialogue mais les conversations avaient vite tourné en rond et ni les Veilleurs ni les Anarchistes ne faisaient quoique ce soit depuis.

Pour les soldats Ylissiens, c’était une perte de temps, tous n’attendaient qu’une chose : reprendre le contrôle sur Hyrule. Seul Frederick, rappelé au nom de la reine Lucina, mesurait la nécessité de cette bataille de patience, tout comme Cloud, derrière cette initiative, qui était assis à côté de lui sur une chaise. Tous deux se trouvaient à l’entrée principale de la citadelle, là où étaient positionnés le plus de Veilleurs mais aussi le plus d’Anarchistes.

Cloud avait rejoint Frederick un peu plus tôt dans la journée, lui faisant part des récents événements. La veille au soir, ni Joker, ni Philadelphia n'étaient revenus de leur mission. Cela avait bien évidemment inquiété Lucina et les membres de la Résistance mais elle était convaincue que nul mal ne leur serait fait. Elle avait juste eu la triste certitude que leurs plans avaient donc échoué. Sans nouvelle de leur part, Azura avait comme convenu de libérer Terry ce matin même. L’Anarchiste piégé avait donc rejoint son groupe sans accroc. En bref, la situation était préoccupante.

Assis sur cette chaise d’appoint, Cloud s’adonnait à un duel de regards avec quelques Anarchistes sous leurs masques, plantés comme des piques non loin de lui. A le voir ainsi, Cloud semblait avoir une certaine prestance.

- J’admire votre calme, lui souffla-alors Frederick qui engagea la conversation.
- Les Anarchistes ne sont pas dangereux bien qu’ils représentent une réelle menace pour Hyrule, bien plus grande que Falcon, philosopha-Cloud. Je suis davantage préoccupé par l’avenir de ce royaume que de mes amis que je sais en sécurité.
- Je comprends. Les Anarchistes ne prendront pas les armes, comme nous pouvons le constater depuis notre retour hier. Leur but premier est de rallier le peuple à leur cause. Qu’ils essayent.

Cloud préféra ne pas répondre au Veilleur car il le savait noble ou du moins proche de la couronne de la Sainte-Lignée d’Ylisse. Bien sûr, Frederick ne pouvait pas comprendre la démarche des Anarchistes, Lucina n’y parvenait toujours pas complètement d’ailleurs. Mais Cloud, lui, était le mieux à même de comprendre et respecter leur démarche, même s’il ne la soutenait bien évidemment pas.

- Vos hommes semblent s’impatienter, remarqua-Cloud qui sentit de l’agitation dans son dos.
- Ils finiront pas comprendre, le rassura le Veilleur. Beaucoup avaient hâte de rentrer à Ylisse, devoir faire un demi-tour n’était pas prévu dans leurs plans mais nous protégerons la reine Lucina avec autant de ferveur qu’à notre première venue. Vous avez bien fait de nous envoyer cette lettre.

Cloud hocha simplement la tête. Il lui avait déjà dit toute la vérité que Frederick avait accepté sans rien à redire. Mais les deux hommes ne voyaient pas ce rappel des forces Ylissiennes de la même façon. Pour Frederick, c’était un moyen pour faire pression aux Anarchistes et de leur montrer qu’ils étaient incontestablement plus forts et plus nombreux, même s’il avait parfaitement compris la nécessité de ne pas prendre les armes. Cloud quant à lui, ne pouvait avouer à personne qu’il avait conscience de ce que la présence des forces Ylissiennes signifiait réellement. Cela envoyait un message aux Hyliens, cela leur montrait pour la deuxième fois consécutive qu’Hyrule n’était devenue qu’une annexe d’Ylisse. Certains habitants n’y voyaient aucun mal et se sentaient même protégés, mais une forme de lassitude s’était développée chez la plupart d’entre eux. Les Anarchistes avaient déjà réussi leur objectif.

Cloud s’en voulait parce que son action diminuait davantage la réputation de Lucina auprès de son peuple. On entendait de plus en plus : “Oui notre reine est bonne et dévouée, mais au final elle n’est que la fille du roi Chrom d’Ylisse”. C’était un risque à prendre et il l’avait pris, au détriment de bien-aimée. Mais Cloud se dévoilait de plus en plus stratège, ou du moins conscient des enjeux politiques de chaque côté. Certes l’influence de la couronne baissait, mais celle des Anarchistes également. En stabilisant la situation comme il le faisait actuellement, les Anarchistes n’avaient aucun moyen d’avancer dans leur conquête puisque nombreux d’entre eux étaient mobilisés en tant que médiateurs, du moins c’était ce qu’il pensait.

Un Veilleur arriva au pas de course et se présenta à Frederick et Cloud.

- On nous rapporte que les Anarchistes postés à chaque entrée regagnent la citadelle sans dire un mot.
- Ils repartent tous ? S’inquiéta-Frederick.
- Négatif. Il ne reste qu’un Anarchiste pour chaque point d’accès.

Au même moment, le gros groupe réuni face à eux appliqua les paroles du soldat. Pratiquement tous les Anarchistes firent demi-tour dans le calme et en marchant, ne laissant que l’un des leurs face aux Veilleurs.

- Où partez-vous comme ça ? Les interpella-Frederick en élevant la voix mais sans réponse.
- C’est peine perdue … Lui répondit son subalterne la mine déconfite. Quels sont les ordres ?

Le chef des Veilleurs s’en remit aussitôt à Cloud. Il avait décrété que le compagnon de la reine était celui prenait les décisions sur ce champ de bataille improvisé et qu’il parlait en son nom. Cloud était pensif. Il continua de fixer cet Anarchiste esseulé, si tant est qu’il lui rendit son regard derrière son masque. Il repensa à la disparition soudaine de Joker et Philadelphia, à la capture puis à la libération de Terry. Il essaya de penser comme Claude et Kamui mais ces deux-là étaient si imprévisibles qu’il abandonna vite cette idée.

Pourtant, il était sûr d’une chose : il avait essayé de gagner du temps et les Anarchistes en avaient fait de même. Cloud les savait arrogants, la preuve étant : ils pensaient déjà avoir gagné. Mais il les savait également réfléchis : les Anarchistes ne tarderaient pas à tenter quelque chose, mais quoi ? Dans ce jeu de patience où la Résistance ne pouvait encore rien faire, si ce n’est attendre la première offensive de l’ennemi, Cloud miserait tout sur la défense, jusqu’à entrevoir une faille.

- N’entrez pas dans la citadelle où nous perdrons à tout jamais l’opinion publique. Vous agirez quand nous en saurons davantage. En attendant, je vais avoir besoin qu’un de vos Veilleurs m’amène jusqu’à l’auberge. La Résistance doit se réunir.

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L’auberge d’Azura était très animée en ce début de soirée. Depuis l’étage des chambres, on entendait le brouhaha du rez-de-chaussée. Il y avait quelque chose d’étrange dans l’atmosphère que seuls les principaux acteurs de tout cet imbroglio politique pouvaient saisir car à en juger par l’ambiance de l’auberge, tout allait pour le mieux. De nombreux Anarchistes, toujours vêtus comme tels, étaient venus voir les danseuses performer et les autres clients s’en étaient accommodés. Il en était de même pour le reste de la citadelle. Même les fervents défenseurs de la reine et de la couronne finissaient par se complaire dans cette apparente tranquillité, prétextant que depuis l’arrivée des Anarchistes au pouvoir, Hyrule n’avait jamais été aussi paisible.

En ce tout début de soirée, Lucina, seule dans sa chambre et toujours allongée dans son lit, devenait de plus en plus anxieuse. Elle ne pouvait s’empêcher de se demander qu’est-ce que Claude et Kamui avaient bien pu faire à Joker et Philadelphia, persuadée qu’ils avaient été capturés. Si, étrangement, elle ne se faisait aucun souci quant à leur bon traitement, Lucina était davantage déstabilisée par l’impact que cela allait avoir dans sa quête pour récupérer le trône. Peut-être était-ce dû à cette montée d’hormones constante mais Lucina bouillonnait en s’imaginant le plaisir que devait ressentir les époux à chaque fois qu’ils parvenaient à déjouer les plans de la Résistance. Même le plan d’Azura, pourtant réalisé à la perfection, s’était avéré être un échec car elle avait dû relâcher Terry ce matin-même. Justement, un coup à l’intérieur de son ventre poussa Lucina à aller voir la jeune mère.

En se levant du lit, Lucina eut un vertige. Immédiatement un flot de pensées lui traversa l’esprit, comme si cette microseconde lui avait fait prendre conscience de tout ce qui se passait dans sa vie depuis plus d’un an. Sa venue à Hyrule, son périple et les morts qui l’ont jonché, son statut d’Oracle, son amour, dans la joie comme dans la douleur, son accès au trône d’Hyrule, l’asssasinat de Zelcher, sa grossesse, ses disputes avec Cloud, le coup d’Etat, la perte tragique de Dame Yña, la fuite, la victoire sur Falcon puis la trahison de ses alliés et enfin l’annonce de sa mort future. Ça, Lucina n’avait pas pris le temps de pleinement l’assimiler. Peut-être l’omettait-elle sans le vouloir ? Certes, elle savait que sa vie serait déjà écourtée suite à sa résurrection miraculeuse, mais elle l’était davantage selon les prédictions de Phila. La vie qui sommeillait en elle aspirait lentement la sienne et elle avait délibérément choisi de ne pas boire cette infusion ce qui, d’une certaine façon, l’avait condamnée. En fait, ces ennuis à répétition à Hyrule lui permettaient de ne pas penser à sa vie personnelle.

“Azura. Je vais parler à Azura.” se dit-elle à elle-même en secouant sa tête comme pour reprendre ses esprits. Une main soutenant son ventre arrondi, Lucina sortit de sa chambre et traversa le couloir pour aller toquer à celle du fond.

- C’est Lucina, se présenta-t-elle à travers la porte.
- Entrez je vous prie.

Lucina entra et referma derrière elle. Près de la fenêtre, Azura, vêtue d’un très long châle qu’elle n’avait jamais vu avant et qui lui conférait une aura plus charismatique qu’elle ne l’était déjà, tenait doucement Shigure contre elle. Éclairés aussi bien par les ultimes rayons du soleil que par les bougies chancelantes de la pièce, la mère et son fils semblaient sortir tout droit d’un tableau.

- Je vous dérange, s’avança-Lucina d’un pas hésitant, complètement subjuguée par la danseuse.
- Du tout. Je m’apprêtais à mettre Shigure au lit en lui chantant une berceuse, avant que cela ne devienne trop bruyant en bas, bien qu’il n’ait jamais été perturbé par toute cette cacophonie.
- C’est toujours très perturbant de savoir qu’il y a des Anarchistes là, juste en bas … J’imagine qu’ils doivent ressentir la même chose pour cette reine qu’ils haïssent et qui se trouve à l’étage.
- Je pense qu’ils n’en ont rien à faire, répliqua-Azura avec franchise. Au point où nous en sommes, à leurs yeux vous n’êtes plus qu’une étrangère.

C’était difficile à entendre mais Lucina s’était maintenant habituée à la spontanéité de la danseuse. Elle reconnut également avoir encore du mal à bien cerner les intentions de Claude et Kamui et à travers eux, les Anarchistes. Même si elle s’était toujours montrée juste et bienveillante avec son peuple, le sang bleu coulant dans ses veines était une marque de distance et d’élévation sociale dont elle ne parvenait pas à se défaire.

- Vous ne devriez pas vous lever, pas dans votre état, lui rappela-Azura un peu sèchement.
- Je vous assure que je me sens un peu mieux ces derniers temps. Et … J’en ai besoin, juste un peu, se défendit-Lucina toujours la main sur son ventre.
- Dans ce cas, prenez tout de même le soin de vous asseoir.

Cette fois, Lucina l’écouta et prit un fauteuil plutôt confortable pour s’y installer. Les deux femmes s’observèrent un petit moment en silence, trop long peut-être. Elles avaient déjà discuté toute la journée avec Cloud de l’absence de leurs deux alliés de la Résistance, du tracas que cela leur causait et de l’énigme qu’étaient Claude et Kamui. Des pistes de solutions avaient déjà été évoquées, d’ailleurs Cloud était actuellement aux abords de la citadelle avec Frederick pour faire un point sur la situation.

Mais à cet instant précis, l’une comme l’autre réalisa tout le chemin parcouru pour arriver jusqu’ici.

- Souhaitez-vous le prendre un peu avant qu’il n’aille dormir ? Lui proposa-Azura en lui tendant son bébé.

Confuse, Lucina bredouilla un “oui" en hochant la tête d’un sourire gêné. La simple existence de Shigure, ce tout petit être d’à peine quelques mois, lui rappelait sans cesse qu’elle s’apprêtait à connaître bientôt ça. Mais elle accepta quand même et essaya de prendre autant de précaution et de douceur en le portant que ne le faisait Azura. Le calme de Shigure l’avait toujours interloquée ; il était le portrait craché de sa mère, ses yeux verts, presque jaunes en étaient la preuve. Pour autant et en dépit de son apparente tranquillité, Lucina décela une très légère espièglerie dans ce regard. “Peut-être tient-il ça de son père ?” Pensa-t-elle avec gaieté.

En réalisant ce qu’elle venait de penser, Lucina se figea un instant et tendit calmement le bébé à Azura, lui indiquant qu’elle pouvait le reprendre. La danseuse prit Shigure avec elle et le déposa dans son berceau. Elle avait remarqué avec facilité sa crispation.

- Que se passe-t-il ?
- Je … Je ne peux pas … Je ne peux pas vous le dire, marmonna-Lucina vraisemblablement très troublée.

Alors, Azura, perspicace, sût immédiatement de quoi il s’agissait. Son expression se durcit davantage mais comme Lucina la fuyait du regard, elle ne pouvait pas le constater. Alors Azura s’avança, prit le deuxième fauteuil de sa chambre et se positionna devant elle.

- Il lui ressemble un peu oui, pas physiquement, mais il lui ressemble. Tous les jours, c’est comme si je voyais Silas, déclara-t-elle sans une once d’amertume dans la voix.

D’abord déstabilisée, Lucina n’eut d’autre choix que d’exprimer le fond de sa pensée car elle savait que c’était là le coeur même de son lien avec Azura. Les deux femmes avaient des choses à se dire. Il était temps.

- Lorsqu’il apprendra la vérité, ou s’il apprend la vérité un jour, alors à ses yeux je serai toujours celle qui a tué son père …
- Et pour moi, vous serez toujours celle qui a ôté la vie de mon fiancé, lui rappela-Azura sans détour. Pourtant, nous sommes là aujourd’hui, vous et moi.
- Comment faîtes-vous pour ne pas me haïr ? Votre abnégation me perturbe … Elle me perturbe énormément … J’ai tué un innocent, un homme bon … Si seulement les choses avaient été différentes …
- Si c’était le cas, s’il vous avait parlé ou si vous aviez eu un moment d’hésitation, vous seriez morte à l’heure qu’il est. Vous avez affronté un régiment à vous seule. Vous devriez vous estimer chanceuse d’en être ressortie vivante. Lucina, pour mon bien, je ne peux pas vous haïr. En revanche, je ne pourrai jamais vous pardonner d’avoir tué l’homme que j’aimais, le père de Shigure. Mais j’essaie, un peu chaque jour. Sinon, au-delà du combat que nous menons, comment, moi, pourrais-je guérir ?

La fatigue et l’émotion liée à ce moment arrachèrent une larme à Lucina qui coula lentement le long de sa joue et il lui avait semblé qu’il en était de même pour la danseuse. Les deux femmes laissèrent ce silence de fin de discussion flotter encore quelques instants, comme pour saisir le profond respect qu’elles éprouvaient l’une pour l’autre.

Par sa faute, Lucina avait brisé une famille et privé un enfant de son père mais étrangement, la dureté des propos d’Azura permit à Lucina d’apaiser un peu ses tourments ; savoir qu’elle n’obtiendrait jamais son pardon provoqua en elle une blessure, mais aussi un sentiment de soulagement.

Assise en face de la reine, Azura se pencha en avant dans un mouvement un peu brusque qui était contraire à la grâce qu’elle démontrait habituellement. En fait, dans un élan de bienveillance, la danseuse vint déposer sa main sur la jambe de Lucina, pour lui exprimer et lui confirmer qu’elle ne ressentait absolument pas de haine à son égard.

Après quoi, elle trouva en elle le courage de se confier.

- Je vous l’ai déjà dit, mais j’ai appris le décès de Silas le jour de mon accouchement, lorsqu’Ike est revenu de la Montagne. J’aurais pu m’effondrer et ne plus jamais me relever. Mais pour Shigure, pour mon fils, je me suis fait la promesse de rester forte et de me battre pour mes convictions, pour lui offrir un monde meilleur.
- J’aspire à devenir la mère que vous êtes, sincèrement, répondit-Lucina, touchée par cette force de caractère.
- Je vous remercie. Sans mon accouchement, peut-être aurais-je nourri envers vous cette haine que nous mentionnions.
- Peut-être … Peut-être aussi que c’était également le but d’Ike, de provoquer en vous une rancœur à mon égard.
- Non, je ne pense pas. Ike m’a annoncé la mort de Silas, mais ce n’est pas lui qui m’a révélé que vous étiez à l’origine de son trépas.

Soudain, en prononçant ces mots, Azura se crispa et ses yeux s’écarquillèrent comme jamais auparavant. Elle s’éloigna rapidement. Cela ne dura qu’un instant, de quoi faire bondir le coeur dans sa poitrine, mais c’était suffisant pour rassembler les dernières pièces du puzzle. Alors que Lucina, interloquée, s’apprêta à lui demander ce qui se passait, quelqu’un frappa à la porte et Azura, exprimant encore une forte inquiétude sur son visage pourtant souvent inexpressif, invita la personne à entrer. Une danseuse, l’air grave, se présenta sur le seuil de la chambre.

- Azura, peux-tu descendre s’il te plaît ?
- Est-ce que ça peut attendre ?
- Non … C’est urgent … Tu es demandée.
- Et qui me demande ?

Cela ne pouvait pas tomber au pire moment. Azura se leva et d’un simple regard, fit comprendre à Lucina qu’elle lui confiait Shigure. En cet instant qu’elle savait déjà critique, Azura avait désormais une totale confiance en cette reine qu’elle avait pourtant parfois méprisé pour son rang. Elle referma donc derrière elle et suivit son employée.

Dans l’auberge, ni la musique ni le brouhaha ne s’étaient arrêtés. Pourtant, tous les Anarchistes présents dans la salle s’étaient regroupés à l’entrée du bâtiment, attendant Azura de pied ferme. Ils étaient au moins une quinzaine et attendaient de quitter les lieux ; si possible dans le calme.

Arrivée face à ce troupeau d’hommes et de femmes masqués, Azura comprit aussitôt qu’ils étaient là pour l’escorter jusqu’au château et qu’il était inutile de se débattre. Elle les observa longuement, un à un, déçue d’être devenue leur cible et d’avoir perdu. D’un hochement de tête, elle congédia sa danseuse et fit signe aux soldats de la garde royale présents au loin de ne pas intervenir.

- Vous n’attaquerez ni l’auberge et ses danseuses, ni la reine et ses hommes.
- Vous avez notre parole, lui répondit une Anarchiste.
- Ce n’était pas une question mais une condition, répliqua-sèchement Azura, imperturbable.

L’Anarchiste, un peu déstabilisée sur le coup, la rassura. Ils n’étaient là que pour elle et ils avaient pour ordre de l’emmener au château. Azura les crut car ils n’avaient pas pour habitude de mentir. En revanche, elle ignorait toujours le rôle qu’elle allait devoir jouer dans cette histoire mais elle ne put que constater la cuisante défaite de la Rébellion. Joker et Philadelphia étaient introuvables, Cloud était aux portes de la citadelle et voilà qu’elle allait devoir laisser Lucina toute seule. Mais même séparée de son groupe, Azura ne baissa pas les bras pour autant. Elle continuerait de se battre, encore et toujours.

- Je vous suis.

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Une vingtaine de minutes s’était écoulée depuis le départ d’Azura mais l’ambiance dans l’auberge avait repris de plus belle, faisant fi de la soudaine absence de l’ensemble des Anarchistes. Lucina s’était enfermée dans la chambre de son alliée, sur les conseils des danseuses qui l’avaient prévenue de ce retournement de situation et lui promettant de surveiller les allées et venues à l’étage avec les soldats de la garde royale.

La future maman, assise sur le rebord du lit, surveilla Shigure déjà endormi d’un air absent. Elle prenait conscience de la complexité de la situation dans laquelle elle se trouvait. La menace était omniprésente, ses amis emprisonnés ou éparpillés aux quatre coins de la citadelle, mais il n’y avait aucun danger de mort pour elle ou pour ses proches. Les Anarchistes savaient qu’elle lutterait coûte que coûte et s’ils s’étaient montrés plutôt passifs face à la Résistance jusqu’alors, ce soir signait leur contre-attaque, quelle qu’elle fût.

Des bruits de pas dans le couloir sortirent Lucina de sa réflexion. Soucieuse, elle se leva en faisant attention à son ventre puis fixa la porte intensément avant que l’on ne toque un peu maladroitement.

- C’est moi, fit-Cloud de l’autre côté.

Lucina se dirigea vers la porte, la déverrouilla et l’ouvrit, les yeux grands écarquillés. Devant le se trouvait Philadelphia, légèrement arcboutée, portant difficilement Cloud sur son dos.

- Bonjour Lucina, la salua-t-elle d’un petit sourire.
- Nous nous sommes croisés à l’entrée de l’auberge et elle a insisté pour me porter jusqu’ici malgré son plâtre et mes contestations. Phila, tu peux me poser, je te remercie.

L’entraîneuse s’avança dans la pièce et déposa Cloud sur le lit, niant la douleur qu’elle ressentait, encore affectée par sa blessure. Lucina paraissait médusée mais elle finit par enlacer son amie dans ses bras. Elle n’avait pas eu peur pour elle, mais la savoir ici, à ses côtés, la rassurait et lui provoqua une vive émotion.

- Que s’est-il passé ?
- Ils t’expliqueront, lui dit-Phila en désignant la fenêtre de la chambre vers laquelle elle se dirigea.

De plus en plus interloquée, la reine observa au dehors et dût contenir sa surprise, si ce n’est sa stupeur, de voir Joker sur le rebord, comme tombé du ciel, toquant le plus discrètement possible au carreau. Phila lui ouvrit mais le détective n’entra pas tout de suite. Il scruta à gauche, à droite, les quelques mètres qui le séparaient du sol, puis tendit sa main vers le toit de l’auberge pour aider deux hommes capuchonnés à entrer dans la chambre. Joker ferma derrière lui et tout ce beau monde était enfin réuni face à une Lucina complètement déboussolée. Son incompréhension se transforma en choc quand Claude et Kamui dévoilèrent leur visage.

- Quelle idée de nous faire passer par les toits ! Ces immondes tenues ne suffisaient-elles donc pas ? Râla-Claude en arrachant son manteau. Je crois bien avoir développé la peur du vide par votre faute.
- Nous ne pouvions pas prendre le risque de nous faire repérer, lui rappela-Kamui en lui touchant doucement le bras comme pour le rassurer. Tu le sais.
- Vous devriez écouter votre époux, lui conseilla-Joker toujours très sérieux.
- Êtes-vous en train de vous liguer contre moi ? S’indigna-Claude sur un ton qui sonnait faux. Je ne savais pas que vous étiez devenus amis. Ou pire !

Tandis que le noble se lança dans un de ses longs monologues dont lui seul avait le secret, les regards se tournèrent progressivement vers Lucina qui, toujours muette, semblait chercher des réponses, ce qui était parfaitement justifié compte tenu de la situation. Enfin, Claude se tut et, apercevant la reine, s’avança vers elle tout sourire, mais par réflexe, elle recula et voulut prendre le pommeau de son épée qu’elle avait malencontreusement laissée dans le fond de la pièce.

- Allons, allons, je ne vous veux aucun mal ! S’arrêta-Claude en levant les mains. Décidément nous avons un petit souci de confiance vous et moi …
- Étonnant, rétorqua-Lucina un brin ironique. Expliquez-moi ce que signifie tout ceci.
- Eh bien par où comm--
- Non, pas vous.

Coupé dans son élan, Claude eut bien du mal à cacher sa déception. Mais Lucina voulait que ce soit à Joker ou Phila de fournir des explications, mais ces deux-là s’échangèrent un regard entendu. Le détective croisa les bras et s’adossa contre un mur.

- Ma reine, il vaudrait mieux que Claude et Kamui prennent la parole.
- Oui, affirma-Phila d’un hochement de tête.
- Sachez que je désapprouve fermement tout ce qu’ils pourront vous dire, ajouta le détective.

Confuse, Lucina fronça les sourcils. Elle aperçut le regard fuyant de Phila et remarqua qu’elle n’avait pas suivi Joker sur ce qu’il venait de dire. Puis elle se retourna vers Cloud, assis sur le lit qui haussa les épaules, l’air de dire qu’il n’en savait pas plus qu’elle, si ce n’est que l’entraîneuse l’avait brièvement averti tout à l’heure. Lucina en revint enfin à Claude qui s’éclaircit la gorge. Il sembla redevenir sérieux.

- Nous avons tant de choses à nous dire et si peu de temps. Si nous nous présentons à vous aujourd’hui, c’est uniquement grâce à l’action des Anarchistes qui se déroule en ce moment même. En rapatriant tous leurs effectifs au château et en y escortant Azura, ils baissent leur garde.
- Que veulent-ils à Azura ? Ou plutôt que lui voulez-vous ?
- Je vous assure que nous ne faisons pas partie des Anarchistes.
- Pardonnez-moi, mais j’ai bien du mal à vous croire. Où étiez-vous après la victoire contre Falcon ?
- Au château … Avec les Anarchistes, avoua-le noble de moins en moins éloquent. D’accord, votre méfiance est justifiée. C’est que … C’est assez compliqué …
- Assez, je prends le relai, intervint-soudainement Kamui, la voix grave.

Sans comprendre pourquoi, Lucina eut le sentiment que l’atmosphère s’était aussitôt alourdie. L’ex-conseiller s’avança vers elle avec une expression sur son visage qu’elle n’avait jamais vue auparavant : une forme de tristesse avec peut-être une certaine culpabilité dans ses yeux écarlates. Kamui prit une légère inspiration mais avait déjà le souffle coupé en s’adressant à la reine.

- Vous semblez avoir compris désormais. Puisque nous ne sommes pas à la tête des Anarchistes, qui reste-t-il selon vous ? Qui tire les ficelles dans l’ombre depuis le tout début, et ce, même avant votre ascension au trône ? Vers qui Azura se dirige-t-elle actuellement ?

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Le long du sentier reliant la citadelle au château, Azura apercevait l’édifice au loin qui peinait à se distinguer dans la pénombre de la fin du crépuscule. Le château n’avait jamais été aussi menaçant. La danseuse était convaincue que la conclusion de cette série de récents événements se déroulerait là-bas.

La quinzaine d’Anarchistes qui l’escortaient étaient bien silencieux et de toute manière, elle les en remerciait : elle n’avait aucunement envie de leur faire la conversation. Elle se doutait bien qu’ils l’emmenaient jusqu’aux décisionnaires, celles et ceux qui allaient lui proposer un marché ou lui poser un ultimatum ; peut-être reverrait-elle Terry ?

Néanmoins, Azura se demandait quel rôle déterminant elle pouvait bien avoir dans cette histoire. Certes, elle avait conscience de son statut, de simple citoyenne à danseuse iconique, elle était à présent à la tête de l’auberge et avait repris la même dynamique que Dame Yña avait initiée, à savoir consolider ce carrefour de rencontres et d’échanges et point social culminant de la citadelle. De toute façon, Terry l’avait déjà avertie : “Vous ne représentez plus une monnaie d’échange à ce stade” même si “votre présence chez les Anarchistes serait la bienvenue”. A réfléchir sur ce qui allait se produire ensuite Azura remarqua tout juste qu’elle venait d’arriver au château ; les Anarchistes continuèrent de l’escorter jusqu’à l’intérieur.

En réalité, Azura savait. Elle savait tout à présent. Elle avait fini par deviner, lorsqu’elle était à l’auberge vingt minutes plus tôt. Elle regretta de ne pas avoir pu en informer Lucina mais elle s’imagina bien qu’elle le saurait tôt ou tard. Alors, lorsque les doubles portes de la salle du trône s’ouvrirent lentement, Azura ne ressentit pas la moindre surprise lorsqu’elle vit cette silhouette familière au loin.

Elle s’approcha lentement tandis que les Anarchistes refermèrent derrière elle ; ils n’entreraient pas. Le trône était vide mais son absence d’occupant avait le même effet que si une personne y siégeait. Non, il y avait plutôt deux chaises en bois parfaitement normales, installées au centre de la pièce. Sur l’une d’entre elles était installée une Anarchiste, revêtant la toge traditionnelle mais sans masque. Sa tête était baissée et ses bras tendus devant elle. L’Anarchiste agrippait fermement le pommeau de son épée dont la lame touchait le sol en pierres. Une posture aussi bien charismatique qu’inquiétante.

Azura s’avança vers elle et fronça légèrement ses sourcils, aussi bien pour dévisager son interlocutrice que pour la forcer à lever la tête. Enfin, l’Anarchiste daigna la regarder de ses yeux écarlats.

- Prends place Azura, l’invita-calmement Corrin.

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Voilà !

Encore désolé pour ce long retard, le chapitre étant (encore) plus long que prévu ! J'espère que vous avez apprécié les différentes scènes et différents dialogues de ce chapitre avec quelques plot twists. La fin se précise et se dessine, on ne revoit pas Hyrule avant le chapitre 91 !

A votre avis, que va-t-il se passer ?

On retourne à Utopia pour le chapitre 89 !

Merci d'avoir lu !

J'ai peur pour Azura ...

En même temps, SpoilAfficherMasquerIl aurait fallu se douter des quelques indices qui incriminaient Corrin depuis le début

Cela dit, c'est inquiétant pour la fin à Hyrule (à moins que d'avoir un méga miracle )

Bon allez les gars, on se débarasse de Xehano- euh, Sephiroth et Jeanne SpoilAfficherMasqueret ce bâtard de Falco et on revient faire le nettoyage à iRoule

Et pareil, on soigne Lissa vite fait et on lâche la Gardienne dans l'arène

Quel plottwist !

Hâte de voir comment ça va se boutiquer

Le 14 décembre 2023 à 18:17:00 :
Quel plottwist !

Hâte de voir comment ça va se boutiquer

Surtout vu que nous étions les deux seuls à faire ce choix

Quel choix ?

Ce choix

- Non, je ne pense pas. Ike m’a annoncé la mort de Silas, mais ce n’est pas lui qui m’a révélé que vous étiez à l’origine de son trépas.

Qui tire les ficelles dans l’ombre depuis le tout début, et ce, même avant votre ascension au trône ?

Je viens de réaliser un truc glauque ... SpoilAfficherMasquerCorrin veut sans doute le trône d'Hyrule, et ce, même avant l'arrivée de Lucina. Mais vu qu'elle a annoncé à Azura que Lucina a tué Silas, ne serait-elle pas alliée à Ike pour avoir cette info? Ne serait-elle donc pas une alliée des Ténèbres (et par extension, De Sephiroth, Falco, Jeanne ...)? Est-ce que son but est d'acquérir la lumière de Lucina?

Le 14 décembre 2023 à 09:04:14 :
J'ai peur pour Azura ...

En même temps, SpoilAfficherMasquerIl aurait fallu se douter des quelques indices qui incriminaient Corrin depuis le début

Eh bien pour certains plot twists, on peut retrouver pas mal d'indices dans les chapitres et même dans les 3 génériques

Le 14 décembre 2023 à 18:17:00 :
Quel plottwist !

Hâte de voir comment ça va se boutiquer

Encore qqs chapitres pour le découvrir !

D'ailleurs, vous n'avez pas fait nécessairement des "mauvais choix". La finalité est sensiblement la même (quoique, mais ça je ne pourrai vous en parler qu'à la fin de la fic), c'est surtout le fond de chaque choix qui change. Par exemple, si Phila et Joker n'avaient pas agi SpoilAfficherMasquerpeut-être qu'ils ne se seraient pas "alliés" avec Claude et Kamui pour les amener jusqu'à l'auberge

Le 18 décembre 2023 à 23:07:54 :

- Non, je ne pense pas. Ike m’a annoncé la mort de Silas, mais ce n’est pas lui qui m’a révélé que vous étiez à l’origine de son trépas.

Qui tire les ficelles dans l’ombre depuis le tout début, et ce, même avant votre ascension au trône ?

Je viens de réaliser un truc glauque ... SpoilAfficherMasquerCorrin veut sans doute le trône d'Hyrule, et ce, même avant l'arrivée de Lucina. Mais vu qu'elle a annoncé à Azura que Lucina a tué Silas, ne serait-elle pas alliée à Ike pour avoir cette info? Ne serait-elle donc pas une alliée des Ténèbres (et par extension, De Sephiroth, Falco, Jeanne ...)? Est-ce que son but est d'acquérir la lumière de Lucina?

Ma foi, c'est une théorie très intéressante et qui tient debout ! A voir si elle se confirmera par la suite !

Petit message pour dire que je mets la fic en "pause" pour la période des fêtes ! Concrètement, il n'y aura peu ou pas de différences avec la parution du chapitre 89, c'est juste que dans mon esprit, je mets la fic de côté pour me reposer et revenir en forme, surtout que le 89 promet d'être long et intense !

Bonnes fêtes de fin d'année à tous !

Bonnes fêtes

Bonnes fêtes à tous, et joyeux Noël

Bonne année !

On commence l'année avec une excellente nouvelle : j'ai laissé mon ordinateur chez ma soeur qui habite loin, donc je ne peux plus écrire pendant 1 mois ......
Et j'avais pas encore commencé le chapitre ..............

Deux solutions : écrire différemment ou qu'elle m'envoie mon ordi par la Poste, l'un ou l'autre la publication du chapitre sera retardée et je m'en excuse

En tout cas, même si c'est mal engagé, j'aimerais bien terminer la fiction en 2024. Je n'y crois pas trop vu les gros gros chapitres qui arrivent (11/12 quand même!) mais je pense qu'arriver vers la fin va me galvaniser et finir Utopia représenterait beaucoup pour moi donc si c'est pas en fin 2024, tant pis ce sera en 2025 !

Update : je récupère mon ordinateur la semaine prochaine mais je n'ai toujours pas commencé à écrire le chapitre aussi bien par souci logistique que de temps ... Donc il mettra longtemps à être publié et je m'en excuse

J'espère une publication pour début mars ? ça paraît loin mais c'est ce qui me semble le + raisonnable !