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Halo Infinite

Sujet : Le Zanzi Bar
JuanGGZ
Niveau 32
20 août 2024 à 12:44:27

Le 20 août 2024 à 11:48:41 :
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Tu as l'accès à ces articles ? Vu qu'ils sont tous 2 derrières l'abonnement au Figaro.

LittleBoots
Niveau 81
20 août 2024 à 16:17:46

[11:48:41] <Maff_31>
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Connerie sur connerie. Je comprends pas pourquoi ils tentent de parler JV ?

Bifteck66
Niveau 46
20 août 2024 à 17:02:37

Le 20 août 2024 à 16:17:46 :

[11:48:41] <Maff_31>
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Connerie sur connerie. Je comprends pas pourquoi ils tentent de parler JV ?

On appelle ça un csc dans le milieu

JuanGGZ
Niveau 32
20 août 2024 à 18:27:03

Sachant que la personne derrière ces articles c'est Chloé Woitier, spécialisée dans l'économie et qui tient le podcast "Quête Latérale" qui se construit via des chroniques plutôt pointues niveau JV, je rigole doucement quand quelqu'un qui défend Halo Infinite à tord et à travers appelle ces articles des "conneries". :rire:

J'imagine sans avoir pu les lire d'ailleurs, car rien que l'introduction de l'article, c'est:

« Si d’ici à octobre nous ne trouvons pas 2 millions d’euros pour financer la fin de la production de notre jeu, cela pourra être la fin de notre entreprise après dix années d’existence », confie au Figaro le cofondateur d’un studio français de jeu vidéo, qui préfère rester anonyme. En deux ans, il aura accumulé les déconvenues : un prestigieux investisseur international qui refuse de remettre au pot, deux éditeurs qui se rétractent juste avant la signature des contrats… « Depuis ce printemps, nous avons engagé des discussions avec une vingtaine d’éditeurs, sans succès », déplore-t-il. Ce jeu, en développement depuis plusieurs années, nécessite encore un an de travail avant de pouvoir être mis en vente.

Qui reflète justement la situation d'un studio indépendant à Montpellier dont le trailer a fait grand bruit lors de la dernière conférence Xbox.

Donc clairement, les personnes du Figaro sont allés discuter avec des personnes concernées, dans le milieu, et donc sont plus à même de pondre un article intéressant et avec un fond.

machoc57
Niveau 54
20 août 2024 à 19:32:01

Lb, la meilleure boussole au monde, Elle pointera toujours dans la direction opposée de ce dont tu as besoin :coeur:

Ego_Sum_Qui_Sum
Niveau 7
20 août 2024 à 20:02:05

Le 20 août 2024 à 16:17:46 :

[11:48:41] <Maff_31>
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Connerie sur connerie. Je comprends pas pourquoi ils tentent de parler JV ?

C'est le titre de ton autobiographie non ?

Inikaa
Niveau 40
20 août 2024 à 20:12:20

Le 20 août 2024 à 20:02:05 :

Le 20 août 2024 à 16:17:46 :

[11:48:41] <Maff_31>
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Connerie sur connerie. Je comprends pas pourquoi ils tentent de parler JV ?

C'est le titre de ton autobiographie non ?

bahahahaha j'ai explosé de rire, désolé je t'aime LB mais là c'était si bien placé :rire:

Maff_31
Niveau 32
20 août 2024 à 21:57:05

Défaillances d'entreprises, licenciements, coupes dans les budgets... Le jeu vidéo paie les excès des années Covid

Si d'ici à octobre nous ne trouvons pas 2 millions d'euros pour financer la
fin de la production de notre jeu, cela pourra être la fin de notre
entreprise après dix années d'existence », confie au Figaro le
cofondateur d'un studio français de jeu vidéo, qui préfère rester
anonyme. En deux ans, il aura accumulé les déconvenues: un
prestigieux investisseur international qui refuse de remettre au pot,
deux éditeurs qui se rétractent juste avant la signature des contrats...
<< Depuis ce printemps, nous avons engagé des discussions avec une
vingtaine d'éditeurs, sans succès », déplore-t-il. Ce jeu, en développement
depuis plusieurs années, nécessite encore un an de travail avant de
pouvoir être mis en vente. Mais les joueurs pourraient ne jamais l'avoir
entre les mains. Une trentaine d'emplois sont en jeu.
Cette histoire devient malheureusement commune dans l'industrie du
jeu vidéo, qui se rassemble cette semaine en Allemagne, au salon
Gamescom. Si les visiteurs du parc des expositions de Cologne pourront
essayer en avant-première les plus grosses productions du secteur, en
coulisses << beaucoup d'acteurs en manque de financements vont jouer
leur va-tout » dans le hall réservé aux professionnels, note Francis
Ingrand, directeur de l'éditeur et distributeur Plug In Digital.
Cette lame de fond, qui a débuté l'été dernier, touche toutes les strates de
cette industrie créative. En un an, près de 22 000 emplois ont été
supprimés, principalement en Amérique du Nord. On ne compte plus le
nombre de productions annulées ou de studios brutalement fermés par
leurs prestigieux propriétaires, Sony, Microsoft, EA... « La crise est
violente aux États-Unis, où les salaires sont très hauts et les filets de
sécurité sociaux inexistants. Mon mur LinkedIn est rempli de
professionnels qui craignent de devoir hypothéquer leur logement. Cette
précarité nourrit les mouvements appelant à la syndicalisation », note
Alex Delamaire, directeur du développement commercial du studio
canadien Blackbird Interactive. Cette entreprise a dû se séparer d'une
centaine de salariés, soit la moitié de ses effectifs, après des annulations
de contrats de codéveloppement.
L'Europe n'est pas épargnée. « La déferlante arrive en France, et elle va
faire des dégâts », prévient Julien Villedieu, président de la société de
conseils Level Link Partners et ancien délégué général du Syndicat
national du jeu vidéo (SNJV). « On voit déjà de gros studios français
réduire la voilure parce que leurs relations se compliquent avec leurs
éditeurs ou investisseurs », poursuit-il. « Il va y avoir beaucoup de
fermetures d'entreprise d'ici à la fin de l'année », prédit aussi Francis
Ingrand. Mais, pour Bertrand Vernizeau, directeur du fonds Game Seer
Venture Partners, «< tout ce qui est en train de se passer n'est pas justifié.
On parle quand même d'une industrie qui pèse 200 milliards de dollars,
soit bien plus que la musique ou le cinéma, et qui continue de faire
beaucoup d'argent. »>
Le jeu vidéo paie de plein fouet les excès des années Covid, qui s'étaient
traduites par un boom des dépenses dans le gaming chez des
consommateurs confinés en manque de divertissement. Cette période
dorée s'est traduite par deux erreurs d'appréciation. Tout d'abord, le
monde du capital-risque, incité par des taux d'intérêt alors très bas,
déverse des milliards de dollars sur ce qu'il considère comme des
futures pépites du secteur (7,5 milliards rien que pour 2021 en Europe et
en Amérique du Nord), parfois sur la foi d'une simple présentation
Power Point et d'un CV a priori flatteur. « Le problème est que de
mauvaises personnes vont investir dans de mauvais projets », poursuit
Bertrand Vernizeau.
Les financeurs traditionnels du jeu vidéo emboîtent le pas. De grands
groupes chinois, comme Tencent, accélèrent leur politique de prises de
participation au capital de centaines d'entreprises. Les éditeurs, comme
Microsoft, Sony ou le français Nacon, sortent leurs chéquiers pour
acquérir des studios à des prix jugés aujourd'hui excessifs. Plus
largement, << la certitude que le jeu vidéo va continuer à gagner des
milliards de dollars de revenus supplémentaires chaque année va mener
à plusieurs décisions, comme donner le feu vert au développement de
nombreux jeux, accroître leurs budgets, acheter des studios,
embaucher, etc. », note sur X l'investisseur américain Matthew Ball.
<< Cela conduira à des objectifs de ventes qui s'avéreront irréalistes et à
une surproduction que le marché ne pourra pas absorber. >>
La gueule de bois est aggravée par la flambée des taux d'intérêt. Le
capital-risque s'évapore (80 % de financements en moins entre 2021 et
2023), «< ce qui rend aujourd'hui les levées de fonds extrêmement
difficiles », souligne Aurélien Merville, consultant indépendant. Les
éditeurs, eux, redoublent de prudence, «< d'autant que leurs liquidités
leur rapporteront plus si elles restent en banque », poursuit-il. << La vraie
question, c'est : quand les taux baisseront-ils ? C'est cela qui aura le plus
d'impact sur le redémarrage de l'industrie. » Mais il s'agit d'un levier sur
lequel le secteur n'a aucune prise.
Ce nouveau paradigme a des conséquences concrètes pour les acteurs
du jeu vidéo, qu'ils soient créatifs ou éditeurs. «< Notre priorité est de ne
pas annuler des productions en cours, même si cela signifie réduire leurs
budgets ou rogner sur les dépenses marketing, explique Francis Ingrand,
de Plug In Digital. Cela fait donc un an que nous n'avons pas signé de
nouveaux jeux en édition et que nous ne remplaçons plus certains
départs dans l'entreprise afin de préserver notre trésorerie. >>
Pour Stéphane Rappeneau, cofondateur de WeirdLoop (sous-traitance
artistique) et ancien de la Société générale Corporate and Investment
Banking, << cette industrie va devoir apprendre la discipline financière, et
cela risque de se faire dans la douleur », estime celui qui parie sur une
disparition de 20 % des emplois. Les acteurs interrogés par Le Figaro qui
traversent sereinement cette période de turbulences ont un point
commun: une importante trésorerie. « Nos jeux de stratégie se vendent
sur le long terme. Cela fait sept ans que nous mettons à jour notre titre
Northgard, dont les revenus réguliers nous permettent de financer de
nouveaux projets », explique Nicolas Cannasse, directeur de Shiro
Games. Le studio de jeux mobile Madbox, un secteur aussi en difficulté,
a, lui, « levé 15 millions d'euros en 2019 pour avoir de la liquidité en cas
de crise, et nous n'y avons jamais touché depuis », explique son
fondateur Maxime Demeure.
Certains acteurs de la sous-traitance tirent aussi leur épingle du jeu. Le
groupe Virtuos, l'un des champions mondiaux du codéveloppement, voit
<< arriver des opportunités que l'on ne voyait pas avant >> : << Nous
apportons une solution et de la flexibilité aux éditeurs et studios qui ne
veulent pas prendre le risque de recruter », indique Clément Galiay,
directeur de Virtuos Paris. Mais tous ne profitent pas de cette flexibilité.
<< Nous avons parié en début d'année que les groupes qui ont licencié
allaient devoir sous-traiter. Mais nous voyons surtout des projets annulés
ou bien qui restent internalisés, quitte à surcharger de travail leurs
équipes en place », note une entreprise française.
Le secteur s'interroge plus largement sur sa surproduction. « La vérité
de cette industrie, c'est que tu peux travailler deux ans sur un jeu qui te
rapportera au final 500 euros », soupire le développeur Yannick Elahee,
qui a dû fermer son studio Blanket Games. D'autres s'inquiètent de voir
des productions à gros budget avoir essuyé ces derniers mois de lourds
échecs commerciaux alors que le marché ne semble plus graviter
qu'autour d'une poignée de licences ultrapuissantes. << Il va falloir
produire moins et faire plus petit pour moins cher », résume un créatif.
Une chose est sûre: pour le jeu vidéo, une nouvelle ère a commencé.
C.W.

Le rêve du Netflix du gaming peine à se réaliser pour Microsoft

Une cinquantaine de jeux vidéo présentés, dont une dizaine exclusifs à sa
console, des sessions de démonstrations inédites auxquelles les
spectateurs pourront jouer... Microsoft consacre d'importants moyens pour son
stand au salon Gamescom, qui ouvre ses portes au grand public ce mercredi à
Cologne (Allemagne). Il est d'ailleurs le seul fabricant de consoles à faire le
déplacement à ce grand rendez-vous mondial de l'industrie, Sony PlayStation et
Nintendo ayant passé leur tour. L'américain n'est toutefois pas en position de
force. L'heure est même des plus délicates pour le numéro trois du marché : sa
stratégie peine à porter ses fruits et plusieurs décisions récentes ont
déboussolé sa clientèle. << Tout le travail de communication entrepris depuis
cinq ans pour redorer le blason de Microsoft dans les jeux vidéo et le faire
paraître comme le "good guy" de l'industrie a été mis à bas en quelques mois »>,
note un bon connaisseur du secteur.
L'année 2023 s'était pourtant achevée, après de longues et âpres
enquêtes des autorités de la concurrence à Washington, Londres et
Bruxelles, par l'acquisition pour 75 milliards de dollars du poids lourd
Activision-Blizzard-King, détenteur des puissantes licences Call of Duty,
Warcraft, Diablo et Candy Crush. De quoi faire entrer dans une nouvelle
dimension Xbox, la division jeux vidéo de Microsoft, présidée par Phil
Spencer. Mais l'intégration de ce mastodonte entraîne début 2024 une
inévitable restructuration (1 900 postes supprimés) qui écorne l'image
du groupe, car les coupes s'étendent hors du périmètre attendu. Les
bureaux français de l'éditeur américain Bethesda (acquis en 2021 pour
7,5 milliards de dollars), qui géraient le marketing et les relations avec
les créateurs de contenus hexagonaux, ferment ainsi brutalement fin
mars.
Un avant-goût de l'annonce, en mai, de la fermeture de quatre studios de
production acquis par Microsoft au cours des dernières années. << Cela a
mis un énorme coup au moral de l'industrie qu'une telle décision
provienne d'une des plus grandes valorisations boursière au monde »<,
note Alex Delamaire, directeur du développement du studio canadien
Blackbird Interactive. Le studio Arkane Austin, créé en 2006, est rayé de
la carte après le lourd échec critique et commercial de son jeu en ligne
Redfall. La même sanction s'abat à la surprise générale sur le studio
japonais Tango Gameworks, pourtant auteur du jeu Hi-Fi Rush, qui, lui,
avait obtenu bonne presse. L'entreprise vient d'être sauvée in extremis
par le groupe coréen Krafton

Développement plus lent que prévu
« Je l'ai dit et répété : je dois gérer une activité économiquement viable
au sein du groupe. Et cela signifie que je dois parfois prendre des
décisions difficiles qui, sincèrement, ne me plaisent pas, mais que
quelqu'un doit prendre », a expliqué Phil Spencer en juin auprès du
média spécialisé IGN. Arrivé à la tête de Xbox en 2014, ce dernier
déroule depuis une stratégie mûrement réfléchie: s'appuyer sur l'essor
du cloud, où Microsoft règne en maître aux côtés d'Amazon et de Google,
pour élargir fortement le public du jeu vidéo et révolutionner le modèle
économique de l'industrie. Tout comme la musique et le cinéma, le jeu
vidéo pourrait connaître à son tour une révolution streaming menée par
Microsoft, où les consoles rejoindraient les lecteurs CD et BluRay au
rayon des reliques du passé.
Mais le géant américain se heurte à un développement plus lent que
prévu des infrastructures très haut débit. « Le rendu à l'écran en
streaming et l'expérience générale ne valent pas encore ceux des
consoles et PC haut de gamme », note un expert. Le groupe reste donc
encore dépendant des ventes de sa console Xbox Series, qui est à la peine
face à la PlayStation 5 de Sony. «< Microsoft est l'homme malade du
marché des consoles, il suffit d'observer ses maigres rayons en magasin
pour s'en rendre compte », note un acteur de l'industrie.
Autre déconvenue: le Game Pass, un abonnement permettant de
télécharger en illimité une centaine de jeux dont tous ceux produits par
les studios de Microsoft, peine à décoller. Il atteignait, en février,
34 millions de clients, sur un objectif de 100 millions en 2030. L'ajout du
catalogue d'Activision-Blizzard, avec en point d'orgue la disponibilité
pour tous les abonnés du prochain Call of Duty dès le jour de sa sortie,
pourrait lui donner un coup de fouet.
Mais cette stratégie est à double tranchant : le Game Pass tend en effet à
cannibaliser les ventes au plein tarif des nouveautés, qui ont nécessité
pour certaines des dizaines de millions de dollars de budget. C'est
pourquoi Microsoft vient de fortement rehausser le prix de son
abonnement (18 euros par mois, contre 9,99 euros en 2022) et a décidé
de proposer certaines de ses productions sur les consoles concurrentes.
Des décisions rationnelles, mais perçue comme un renoncement par les
fans de la marque Xbox. C. W

Maff_31
Niveau 32
20 août 2024 à 21:58:11

Désolé pour les pavés je suis sur mobile mais voici les 2 articles du Figaro économies.

JuanGGZ
Niveau 32
20 août 2024 à 22:22:45

Le 20 août 2024 à 21:58:11 :
Désolé pour les pavés je suis sur mobile mais voici les 2 articles du Figaro économies.

Merci du partage 🙏

machoc57
Niveau 54
20 août 2024 à 22:50:39

Maintenant je te signale pour piratage :hap:

Maff_31
Niveau 32
20 août 2024 à 23:08:34

Le 20 août 2024 à 22:50:39 :
Maintenant je te signale pour piratage :hap:

Je suis même pas sur que ce soit du piratage étant donné que je l'ai obtenu légalement :hap: c'est du partage d'informations :coeur:

machoc57
Niveau 54
20 août 2024 à 23:43:37

Piratage, droit d'auteur. :ok: :o))

LittleBoots
Niveau 81
21 août 2024 à 02:16:49

Chloé Woitier son podcast c'est de la merde oui.
Ça ne m'étonne même pas que ce genre de nom vous pensez que c'est du sérieux.
C'est une journaliste Tech pas JV sans parler de la presse JV.

LittleBoots
Niveau 81
21 août 2024 à 02:24:09

Après je parlais de l'état de Xbox pas de l'état du JV qui est en effet en crise.

Bifteck66
Niveau 46
21 août 2024 à 08:42:30

Tu l'as pas écouté son podcast, et tu diras que c'est de la merde quoi qu'il arrive parce que ça ne te plaît pas.

On te connaît à la fin loulou.

Maff_31
Niveau 32
21 août 2024 à 11:08:15

Le 21 août 2024 à 02:16:49 :
Chloé Woitier son podcast c'est de la merde oui.
Ça ne m'étonne même pas que ce genre de nom vous pensez que c'est du sérieux.
C'est une journaliste Tech pas JV sans parler de la presse JV.

Je ne comprends pas pourquoi tu es si agressif...

machoc57
Niveau 54
21 août 2024 à 11:10:37

Tu connais la pub pour l'orangina ?
https://youtu.be/npxBeqLNCjg?si=wot-YuzkQCHrjPmB

Voilà pourquoi :hap:

Pseudo supprimé
Niveau 6
21 août 2024 à 11:17:09

Le 20 août 2024 à 20:02:05 :

Le 20 août 2024 à 16:17:46 :

[11:48:41] <Maff_31>
Pour ceux qui ont envie il y a 2 articles dans le figaro sur la crise que traverse le jeu vidéo + l'échec commercial du gamepass de Microsoft.
C'est intéressant.

Connerie sur connerie. Je comprends pas pourquoi ils tentent de parler JV ?

C'est le titre de ton autobiographie non ?

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png

Pseudo supprimé
Niveau 6
21 août 2024 à 11:19:28

Le 21 août 2024 à 02:16:49 :
Chloé Woitier son podcast c'est de la merde oui.
Ça ne m'étonne même pas que ce genre de nom vous pensez que c'est du sérieux.
C'est une journaliste Tech pas JV sans parler de la presse JV.

et sans la defendre car je connais pas, toi t'es personne a part un simp de 343 sans gout qui dit de la merde depuis 4 ans mini sur halo infinite donc bon, niveau connerie tu te pose la quoi

Sujet : Le Zanzi Bar
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