Je remarque que la licence aime, par moment, briser le 4e mur.
Si vous ne connaissez pas ce concept cinématographique (principalement), il consiste à faire en sorte que le personnage parle à son public, comme s'il était pleinement conscient de sa condition de simple personnage (exemple le plus récent : Deadpool).
Si on regarde alors les 2 jeux :
- bravely default : Introduction où Agnès vous demande de l'aide
- bravely second 1 : Lors de la première fin où Yew nous demande de les aider à changer les choses.
- bravely second 2 : Film RA où Agnès vous demande de l'aide alors qu'elle fuit le Kaiser.
D'ailleurs, j'ai souvent eu l'impression que le personnage nous parle comme s'il s'adressait à une divinité, ce qui est un peu vrai et pas mal (en tout cas pour l'égo).
Avec ça, il y a aussi les jeux de mots (ou de lettre) du sous-titre :
- Where the fairy flies devient Airy Lies (ou Flying Fairy devient Lying Airy)
- End Layer devient Send Player.
Outre le système du brave et du default, ces éléments servent également à l'identité de la série, et le fait de les utilisé avec parcimonie ne les rend que plus appréciable.
J'attends de finir le jeu voir s'il y en a d'autres, mais c'est vraiment génial d'utiliser ce genre de concept pour donner une identité en plus.
Oui c'est intéressant mais peut soulever de l'illogisme et du paradoxe.
Ce que j'ai vraiment apprécié, c'est le boss de fin qui casse le 4ème mur et contrôle la console lors du combat final. Ça rappel de bons souvenirs comme à l'époque avec Psycho Mantis dans MGS1
Un bon p'tit jeu ce Bravely Second
C 'est trop bien de se faire delete une sauvegarde à +100h de jeu ,je comprend ton bonheur
Le 09 octobre 2016 à 21:43:41 Tito-Ortiz a écrit :
C 'est trop bien de se faire delete une sauvegarde à +100h de jeu ,je comprend ton bonheur
Le gars qui aime pas les blagues apparemment .
Mon Coeur s'est arrêté quand j'ai vu ça.
C'était franchement flippant de se dire : "Si je perds, je devrais tout recommencer !".
D'ailleurs, moment où l'écran titre prend de l'importance dans le scénario.
C'est sur, on est carrément des dieux pour le jeu, pas juste de simple joueurs.
J'avoue que l'aspect, être une divinité aux yeux des héros du jeu se ressent bien et c'est vraiment sympathique.