Où le héros prend une posture de victime et qu'il en ressent même un plaisir coupable, sappitoie sur son sort constamment mais ne va jamais chercher à s'en sortir
ou une position de looser confortable ?
Toutes les recommandations sont les bienvenues
[Je me décris pas moi hein]
la conscience de Zeno.
ça arrive régulièrement chez beckett aussi
A peu près tout Houellebecq.
L’assassin Royal, c’est tout de même une belle victime le héros et il ne cesse de se plaindre, bien que ce n’est pas exactement ce que tu recherches.
Les carnets du sous sol de Dostoïevski ?