voila ma fic je vous poste une parti et vous me direz si ses bien
C’est parti :
Fan Fic : Star Wars Le Jedi
1 Chapitre, Rhen Var
Le Chasseur Jedi volait déjà vite. A son bord, le maître Tycoondryus s’énervé de na pas pouvoir accéder à l’hyper espace sans les réacteur amovible circulaires. Voilà, il arrivait enfin prêt de la zone de stationnement de ces derniers.
Ordinateur de bord : Verrouillage…Effectuer, vaisseau prêt pour l’hyper espace direction Coruscant…
Tycoondryus : Il était tant, cette maudite planète m’importunait de plus en plus. Alors, Commandant Red, vos forces ont-elles évacué Meegeto ?
Commandant Red : Exact, général Tycoondryus, nos TABA sont en vol vers les vaisseaux amiraux. Nous disposons de 9 000 hommes car votre ami le général Ki Adi Mundi a voulu gardé la planète avec 1000 hommes.
Tycoondryus : Bien, et ?
Commandant Red : Et il est en train de réparer les quelques bâtiments endommagé pour pouvoir produire des armes. L’industrie de Meegeto pourrait rapporter gros à la Républiques.
Tycoondryus : Bien, allez aux vaisseaux amiraux et suivez moi dans l’hyper espace jusqu’à Coruscant.
Ordinateur de bord : Hyper espace…Trois…Deux…Un…
Les vaisseaux amiraux et le Chasseur Jedi venait d’entrer en hyper espace.
Tycoondryus : Bien… EH, pourquoi somme nous revenu en vite normale ??
Ordinateur de bord : Des tirs perdu ont endommagé le systèmes de propulsion.
Tycoondryus : Ha, super. Décroche les réacteurs auxiliaires circulaire.
Ordinateur de bord : … Voilà. La Flotte vient de nous rejoindre. Liaison avec le Commandant Red
Commandant Red : Un problème monsieur ?
Tycoondryus : Oui, une panne, un tir perdu a percuté mon réacteur.
Commandant Red : J’envoie des éclaireur voir d’où venait le tir et je vous affrète une équipe de mécanicien.
Tycoondryus : J’attends…
Chef mécanicien : Réparation du réacteur principale en cours…Réacteur principale en fonction.
Tycoondryus : Bien, j’ai décroché mes réacteurs auxiliaires, vous pouvez donc les réparer pendant que je fais un tour non ?
Chef mécanicien : Exact général.
Tycoondryus : En avant.
Commandant Red : Ca y est, mes éclaireurs sont de retour. Les tirs proviennent de la flotte du général Jinn, nous sommes prêt de Rhen Var.
Tycoondryus : Qui Gon ? Je suppose qu’il est avec son padawan Obi-Wan Kenobi et son apprenti Anakin Skywalker. C’est effectivement là qu’il devait ce rendre. Les ordres du Conseil des Jedi ont donc bien été respectés. Rhen Var était une planète de classe 3/5 et Meegeto de 4/5 et nous y avons perdu 10 000 hommes avec deux maître Jedi. Comment se débrouille Qui Gon avec ses élèves dans les pattes ? Nous allons l’aider. Contacter le Conseil et avertissez le. Je préviens Qui Gon Jinn que des renforts inopiné arrive. Cap sur la planète !
Ceci dit, la flotte « Red » se mit en marche. Il était vrai que Rhen Var ne devait pas être facile à prendre. Les classes indiquaient les forces ennemis présentent. Evidement, plus ils y en avaient, plus le quotient sur 5 était élevé. Pour Rhen Var, c’était quasiment une planète normale mais son importance géographique, jugée selon la situation stratégique (sur 5 toujours) étant de 4/5, on ne pouvait perdre. En effet, Rhen Var était muni de bonnes défenses naturelles comme artificielle. De plus, étant éloigné de Coruscant, seul planète de situation 5/5 car capitale, on pouvait avoir en Rhen Var un très bon avant poste et capitale secondaire pour asservir cette région éloigné mais très peuplé et fréquenté de la CSI. Bref, Rhen Var étant l’endroit idéal, Tycoondryus y lança donc ses troupes en tant qu’aide à son ami Qui Gon Jinn.
Arrivé au dessus de la planète quelle ne fût pas la surprise de Tycoondryus quant il vit que seul restait un point de commandement à l’ennemis. En effet, les troupes de la CSI étaient cachées dans une grande forteresse qui tenait plus que bon car il ne restait quand même plus beaucoup de troupe de la République. Une cinquantaine à tout casser.
Tycoondryus : Aller, il est temps. Red, dites à vos troupes de revêtir les combinaisons de types « Neiges », cette planète en est recouverte. Quant à toi, pose toi.
Ordinateur de bord : Bien.
A peine le maître Tycoondryus c’était il posé qu’il sorti d’un saut périlleux de son vaisseau. De son sabre il terrassa quelque droïdes restés là à le regardé virevolté.
Droïde : Attention c’est un Jedi, c’est un…
Le coup de sabre laser qui le découpa en deux avait une lame verte. Si on remontait doucement, on tombait sur la figure joyeuse du maître Jinn.
Tycoondryus : Qui Gon ! Vieux frère
Qui Gon Jinn : Alors, c’est fini Meegeto ? Comment va tu ? Et Ki Adi Mundi ?
Tycoondryus : De cela ne t’inquiète, lui est sur Meegeto avec quelque hommes pour reconstruire deux ou trois ville bombardé. Mais on a évité le pire. La planète aurait pu être complètement ravagé par la guerre. Et ici, ça se présente comment ?
Qui Gon Jinn : Très bien, on à fini la « déCSIsation » depuis un mois et Obi-Wan s’amuse avec Anakin et un simulateur de combat.
Tycoondryus Quoi ?! Mais, du ciel j’ai vu une cinquantaine de droïdes tenir tête à des troupes sur la colline !
Qui Gon Jinn : Oui, c’est le simulateur, ce ne sont pas des vrais droïdes.
Tycoondryus : Ha ?! Ce simulateur aidera bien nos formations de troupes. Mais alors pourquoi m’a-t-on tiré dessus ?
Qui Gon Jinn : Ho, essaie de tire des batteries anti-aériens orbitale.
Tycoondryus : C’est puissant mais dangereux. J’aurais été plus près, en position orbitale par exemple, je n’en réchappais pas.
Qui Gon Jinn : C’est fait pour détruire un vaisseaux amirale de la fédération du commerce.
Tycoondryus : Ha!
Qui Gon Jinn : Bon, je pense pas rester sur Rhen Var, il faut que je me rend sur Tatooine.
Tycoondryus : Moi je vais sur Coruscant. Alors, comme mes troupes son fatigué, je resterais cette nuit. Puis je ?
Qui Gon Jinn : Evidement, je vais faire préparé des chambres.
Ainsi se fini « l’assaut » sur Rhen Var. Mais, durant la nuit, de drôle de bruits agitèrent les sentinelles Troopers.
Trooper 456 : Oh, t’a rien entendu ?
Troopers 654 : Si, allons voir. Toi va prêt de l’alarme au cas où
Troopers 546 : OK
Troopers 654 : Soyons prudents
Alors que les trois Troopers de la République approchaient du bout du couloir et que le quatrième était un doigt sur l’alarme, un droïde bondit tirant en tout sens. L’alarme retenti dans toute la cité. Les trois Troopers descendirent le droïde tandis que le quatrième apercevait une immense foule de droïdes dans les plaines.
L’alarme avait réveillé, entre autre Qui Gon Jinn qui, péniblement c’était levé et habillé. Une fois dans le couloir, il rencontra Tycoondryus qui à l’évidence l’attendait depuis longtemps.
Tycoondryus : Tu es lent ! Allez, viens.
Qui Gon Jinn : Soyons prudent !
Ces mots finis, la lame verte du maître des lieux avait fendu le silence et l’obscurité. Suivant l’exemple, Tycoondryus avait allumé son sabre dont la lame avait une couleur orange. Ses grands cheveux blonds flottant dans son dos, la grande taille du maître au sabre orange le rendait quelque peu impressionnant. Qui Gon Jinn et lui s’avançaient dans les couloirs du temple où ils résidaient. Alors qu’ils s’approchaient de la sortie, ils entendirent des coups de feu : les clones se battaient. Au étrange son, on pouvait deviner la présence de Jedi sur les lieux. Il s’agissait en fait d’Obi-Wan qui combattait avec les clones. A la vue de son maître, il s’approcha.
Obi-Wan : Ha ! Maître, que je suis content de vous voir. Les droïdes sont extrêmement nombreux, deux maître Jedi ne seront pas de trop.
Qui Gon Jinn : Combien sont ils ? Et nous ?
Obi-Wan : Ils sont au moins 50 000 et nous ne disposons que de 30 000 hommes en comptant les renforts de maître Tycoondryus. Anakin dirige un assaut par les airs sur les croiseurs adverse. Ils ont déjà coulé un vaisseau amiral et un autre c’est fait descendre par notre Super Canon.
Qui Gon Jinn : Eh bien, allons combattre.
Les coups de sabre laser pleuvaient en tout sens depuis déjà un bon moment. Les clones eux aussi aidaient bien : leurs fusils blasters trouaient les lignes ennemis de façon ravageuse. Au bout de quelques heures, Tycoondryus qui ne cessait de fendre des droïdes, commençait à douter de la victoire possible. Se frayant en chemins vers Qui Gon Jinn, il lui glissa quelques mots à l’oreille.
Tycoondryus : Qui est le commandant de ton armée ?
Qui Gon Jinn : C’est lui, là bas, le Troopers. Son nom est Gris.
Tycoondryus avait alors mis le cap vers le commandant Gris. En quelques coups de sabre, il parvint à sa hauteur.
Tycoondryus : Gris ?
Commandant Gris : Oui ? C’est moi général Tycoondryus.
Tycoondryus : Bien vous voilà, ha, et aussi vous, Commandant Red. A combien de droïdes évaluons nous les forces ennemis ?
Commandant Gris : Hélas, bien que vous ayez tuer une bonne centaine de droïdes à vous seul et le même nombre pour Obi-Wan Kenobi et le général Jinn, il semble que les ennemis reçoivent de nombreux renforts car leurs nombre à eu plutôt tendance à augmenter plus qu’à descendre.
Tycoondryus : QUOI !? Mais alors, nous ne pourrons les vaincre !
Commandant Red : Aussi faut-il savoir qu’il ne nous reste 20 000 hommes…
Tycoondryus : Alors, nous devons abandonner cette planète.
Qui gon Jinn : Jamais !! Clones, pour la république, suivez moi !! En avant !!
Qui Gon Jinn c’était lancé dans l’attaque avec une telle force que les droïdes devaient bien avoir diminué de 50 en ces 5 seconde. A la suite du maître, Obi-Wan, âgé alors de 18 ans et Anakin qui n’en possédait que 14, chargèrent, sabres allumés tout deux d’un bleu éclatant parmi la grise couleur des armures des droïdes. A leur suite, les 20 000 clones s’engouffraient dans les lignes ennemies. Tycoondryus et les quelques clones restant se lancèrent donc à leur poursuite. Cette charge fût d’abord bien vue mais bientôt, l’armé de la République se trouva coincé au milieu des droïdes qui se faisait de plus en plus nombreux.
Qui Gon Jinn : Allez, les clones en retraient derrière moi, Obi-Wan, Anakin et Tycoondryus qui seront placé chacun à un point pour former un carré autour des clones.
Anakin : Ils sont partout, mais ne perdons pas espoir.
Tycoondryus : Facile mais… Allez, tenait bon !
?? : Je crois qu’ils ont problèmes. Les troupes sont elles prêtent ?
Soldat : Oui général. Notre flotte pourra écraser tout ce petit monde en quelque heures : nous disposons de cent milles hommes qui attendent l’attaque.
?? : Alors, je passe en premier.
Obi-Wan : Maître, nous avons un problème. Regarder, des vaisseaux de débarquement. Ils doit y en avoir près de 6200, soit une armée proche de 100 000 hommes !!
Tycoondryus : Alors, attention, redoublons d’effort !!
Qui Gon Jinn : Ca y est, un homme est sur la rampe de descente. Etrange, on dirait qu’il n’a pas d’arme…
Alors que ?? descendait doucement, ses troupes attendaient le signale. Alors qu’il touchait le sol, il alluma son sabre dont la lumière orange redonna un espoir à Tycoondryus.
Tycoondryus : Rajan, c’est Rajan, mon frère jumeau !!
Ce dernier se lança alors vers la bataille, à revers des droïdes, ce qui devait être le signal car aussitôt, les centaines des clones sautèrent des vaisseaux. Parmi l’énorme vague déferlante que fût le débarquement des clones, un autre Jedi ou plutôt un padawan s’élança. Il devait avoir près de 23 ans et se battait remarquablement bien. De leur côté, les droïdes avaient placé la majeure partie de leurs troupes sur les flancs extérieurs de façon à arrêter la course des clones. Pendant, une faible mais résistant cordons de super droïdes bloquaient les quatre Jedi et les troupes des commandant Red et Gris. Au début, l’assaut de la République semblait voué à l’échec : les droïdes abattait les soldats avant que ces dernier aient pu tiré. Mais, Rajan et son padawan, Pawan, foncé, sabre allumé vers l’ennemi. Les deux têtes possédait des cheveux noirs bien que se de Rajan était aussi long que ceux de son frères Tycoondryus. Les deux jumeaux avaient tout en commun : leur peau métissé, leur yeux noir, leur visage. Seul différence, Rajan avait des cheveux aussi noirs que son frère les avait blond. A l’exemple de son maître, Pawan avait lui aussi une peau bronzée et des yeux noirs. Son sabre jaune serait bientôt à porté des droïdes. Bien que la distance entre eux fût grande, la force leurs avait permis de rejoindre très vite les droïdes qui semblaient perdu. Le choc fût terrible, Pawan se contenta de tuer d’un même coup la quinzaine de droïde devant lui mais son maître, Rajan fit volé dans ce même mouvement une trentaine de droïdes. Là, le vrai combat s’engagea : bien que l’exploit de tuer une quinzaine de droïdes d’un coup n’était réalisable que grâce à la vitesse prise avant l’assaut, les droïdes tombaient rapidement sous les coups des deux Jedi. Bientôt, Tycoondryus et Qui Gon Jinn furent à la hauteur de Rajan et Pawan. Enchaînant coup et projection de force, bientôt l’armée de la CSI se résolut à une cinquantaine de droïdes fuyant en tout sens et que les clones prenaient pour cible.
Tycoondryus : En tout cas, frère, on peut dire que tu tombes bien.
Pawan : Mon maître et moi étions de passage.
Qui Gon Jinn : Ton padawan et toi vous battaient encore mieux que ce qu’on m’avait dit. Tycoondryus m’avait souvent vanté, avec Ki Adi Mundi, ta force au combat mais apparemment, tu entraînes rudement bien tes disciples. Merci de votre aide.
Rajan : Merci, je ne compte pas rester, j’ai du travail à accomplir avec Pawan dans la bordure extérieur. Je repars dès que mon commandant, Codi, aura rembarqué tous mes clones. Si vous avez quelque chose à faire sur Tatooine, venez, sinon…
Tycoondryus : Je viens !
Obi-Wan : Je vais rentré sur Coruscant pour informer le sénat de nos problèmes.
Qui Gon Jinn : Je me doit de rester ici pour établir une capitale secondaire et assurer le maintien de la paix. Puis-je garder avec moi tous les clones si vous n’en avez plus besoin.
Tycoondryus : Pour moi OK mais laisse moi Red.
Rajan : je ne vois aucun inconvénient mais là aussi je prends avec moi Codi.
Quelque heure plus tard, Obi-Wan partait pour la capitale à bord d’un chasseur Jedi, tandis que les jumeaux Jedi, Pawan et les deux commandant partaient pour Tatooine dans un vaisseau nommé Redone et qui, de ses deux laser frontaux, ses quatre laser latéraux, ses deux canon ionique et sa forme proche d’un B-Wing, pouvait, atteindre, grâce à ses quatre réacteur, des vitesses impressionnantes.