sweet again, again , again
Ok je la poste deux secondes
sa fait beaucoup de secondes là, non ?
J’émergeais petit à petit. La vue me revenait lentement, mais je ne discernais pas encore les formes autour de moi. La douleur au crâne qui venait de ressurgir d’un seul coup me ramena à la réalité. Je sentais sous moi quelque chose de douillet. Au fur et à mesure, la mémoire et la vision me revenaient, mais j’étais encore sonné. On m’avait ficelé solidement avec de la corde, de manière à ce que je ne puisse plus bouger du tout. Mes bras étaient liés dans mon dos et mes jambes jointes et attachées au niveau des cuisses et des mollets. J’étais de nouveau dans le salon, assis sur le canapé.
Nina. Elle m’avait découvert et n’avais pas hésité à frapper. J’essayai de me détacher. Impossible. Cette fois-ci, c’en était fini de moi. Cette folle allait enfin pouvoir terminer ses étranges expériences. Allait-elle m’éventrer avec un vrai couteau ? Après quoi, je finirais sûrement en morceaux sur son étagère, complétant ainsi sa macabre collection. Néanmoins, je n’entendais pas un bruit. Nina n’était pas dans la pièce.
En jetant un coup d’œil sur le côté, je vis que la petite bougie qui brûlait tout à l’heure sur le meuble était éteinte. Les rayons lumineux qui passaient au travers des rideaux éclairaient maintenant une zone située beaucoup plus loin que la première fois. Tout ceci m’indiquait clairement que beaucoup de temps s’était écoulé depuis mon arrivée. Une heure ? Deux heures ? Peut-être plus… Je n’avais aucun moyen de déterminer clairement le temps que j’avais passé inconscient.
Mon regard se posa ensuite sur la table basse au centre du salon. Le pentagramme avait pris une teinte rougeâtre si vive que le moindre de ses traits se remarquait clairement sur le bois. Sur un coin de la table se trouvait la petite boîte que Nina avait sortie dans son sac. Renversée, de la poudre bleue en sortait. La poudre avait même été déposée en petit tas à certains endroits, sûrement en fonction des dessins.
Si c’est une blague, elle est vraiment poussée à l’extrême… Mais non… Non. C’est sûr. Elle délire vraiment. Jamais quelqu’un n’aurait fait durer une plaisanterie de si mauvais goût aussi longtemps... Je vais essayer de la raisonner. Peut-être que si je rentre dans son délire, elle me détachera et me fera de nouveau confiance…
Des bruits de pas en provenance du couloir résonnèrent dans l’appartement.
(Aïe… c’est… c’est elle !)
- Alors, ça te plait ?
Ce n’était pas la voix de Nina, mais une voix d’homme. Il y avait donc quelqu’un d’autre caché depuis le début ? Etrangement, cette voix m’était familière.
Ce mystérieux inconnu sorti enfin de derrière le mur.
Là, j’avoue que j’ai eu du mal à comprendre. Ça m’a tout d’abord foutu un choc. Ensuite je me suis demandé si mes nerfs optiques ne s’étaient pas emmêlés à cause du coup sur la tête.
La personne qui se tenait en face de moi… c’était moi.
- Je comprends ton étonnement mon chou, mais tu ne m’as pas laissé le choix. Tu allais tout faire capoter en appelant la police, j’ai dû employer les grands moyens ! Je suis désolée que tu découvres ça brutalement mais c’est uniquement de ta faute ! Je ne pouvais pas attendre que tu te réveilles…
J’étais tellement sur le cul que les mots que mon double prononçait rentrèrent par une oreille et sortirent par une autre.
Ma copie parfaite ! Seuls les vêtements permettaient de nous distinguer, mais à part ça c’était juste mon f*cking sosie qui était en train de me parler !
Quelque chose changea dans l’expression de son… de MON visage quand il… quand MON double compris que j’étais toujours à l’ouest. Il… enfin JE… enfin… non… IL se mit à rire aux éclats.
- Ha ha ha ! Sérieusement ? Tu ne t’en es toujours pas rendu compte ? Comment ça se fait… j’ai pourtant une bonne vue… enfin je veux dire : TU as une bonne vue. Vraiment trop drôle. Aller vas-y : dit quelque chose pour voir.
J’étais censé comprendre quoi ? Je ne suis pourtant pas fou ? Tout ce qui se passe dans cet appartement est insensé depuis le début, ce n’est tout de même pas moi qui déraille ? Je bouillais intérieurement. J’avais envie de comprendre, de me libérer de mes liens, de tout saccager et de m’enfuir en courant. Je me décidais enfin à parler.
- Qui… qui es-tu ?! Et où est Nina ?! Je…
Ma langue se figea net. J’ai littéralement bloqué quelques secondes avant de comprendre enfin.
Ma voix était celle de Nina.
J’ai alors baissé les yeux vers ma poitrine. Je constatais que de nouvelles formes modelaient mon petit corps. Je pouvais lire la phrase écrite sur mon T-shirt alors que d’habitude ce n’était pas possible ! « La cigarette tue, la pipe détend » (je l’avais acheté en pensant pouvoir pécho mais bizarrement ça n’a jamais fonctionné). C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que j’avais... une paire de seins !!! Je venais de me prendre la plus grosse claque de ma vie. J’en avais même des sueurs froides en pensant que j’avais probablement aussi un...
L’autre était plié de rire et ne s’en cachait même pas.
- BORDEL C'EST QUOI ÇA ???!!!!!
- Ha ha ha ha ! Tu devrais voir ta tête c’est trop drôle ! Tiens, admire-toi ! Ha ha ha !
Mon sosie me tendit un miroir. Je m’y attendais un peu mais de le voir en vrai me fit un plus grand choc encore. J’avais désormais le même visage que Nina… Ses beaux cheveux roux, ses tâches de rousseurs, la forme de son visage, ses yeux… tout ! J’étais… comme… dans son corps !
- P… par quel prodige ? Balbutiais-je.
- J’ai interverti nos corps. J’utilise la tiens et tu utilises le miens, voilà tout. Ne t’avais-je pas dit que je pratiquais la magie ?
- Mais c’est impossible ! Comment as-tu pu…
- Hmm… tu es décidément un incrédule de la pire espèce. De toute manière tu vas bien finir par l’accepter…
- Att… attend ! C’est pas définitif j’espère ?!
Il me regarda en esquissant un sourire :
- Non. Il y a une formule à prononcer pour retrouver ton corps mais… je veux que tu me promettes que tu ne la prononceras pas tout de suite. Et puis d’abord… je vais te détacher, ça va finir par faire des marques sur mon joli corps !
- Merci.
Elle… enfin non il… elle… il… hum. C’est pas simple du tout. Bref, Nina (devenue moi-même) s’assit à côté de moi et me regarda dans les yeux.
- Cette année va être exceptionnelle. Ceci est notre petit secret… d’accord mon chou ? Toi et moi, on va vraiment bien s’amuser… mais surtout en profiter.
- Euh…
- Tut tut tut… A partir de maintenant, TU es Nina et JE suis Matt. D’accord ?
- Ça me parait évident.
- Bien. Dis-moi… ça ne t’excites pas d’être dans un corps de femme ?
Ses paroles résonnèrent dans ma tête. Mais bon sang ! Je ne sais toujours pas si je rêve ou si tout ça est réel mais… je suis en train de vivre l’un des plus grand fantasmes masculins ! C’est alors que… toutes les possibilités qui s’offraient à moi avec ce nouveau corps se bousculèrent dans ma tête. L’excitation me monta au cerveau. Pris de panique par la situation, je me calmais doucement tandis que les milles et unes portes de la perversité s’ouvraient une à une dans mon esprit. Je suis Nina. Nina, probablement la plus belle fille dans tout Paris. Et son corps était miens !
- Aaaaah, on dirait que tu réalises enfin. Racontes-moi… quelles pensées cochonnes te viennent à l’esprit ? Me dit-il.
- Hein quoi ? Euh… mais rien du tout pourquoi ? Lui répondis-je en tentant des dissimuler mon excitation.
- Oh ça va… pas la peine de me la faire. Je sais à quoi tu penses et je peux t’assurer que moi aussi je vais bien m’amuser maintenant que je suis un mec.
- …
- Ben quoi ?
- Maintenant que j’y pense je crois que ça me gênerait un peu si tu regardes… euh… les parties intimes de mon anatomie. Dis-je.
- Ha ha. Tu te doutes bien que je n’ai pas échangé nos corps juste pour faire joli non ? D’ailleurs j’ai essayé de me masturber pendant que tu étais dans les vapes.... J’ai failli avoir une tendinite au bras droit ! C’est vraiment pas pratique d’être un gars…
- QUOI ?! Mais faut pas te gêner surtout ! Enfin… t’aurais pu me deman… oh et puis zut. Au point où j’en suis-je crois que je pourrais encaisser n’importe quelle nouvelle.
- J’ai appelé tes parents et je leur ai dit "Papa, maman, je suis gay"
- BORDEL DE %D£#@ T’AS PAS FAIT ÇA ?! T’AS PAS FAIT ÇA ???!!!!
- Non je déconne calme-toi
Cette... personne... était définitivement folle à lier. Et moi, sans avoir rien demandé, je me retrouvais désormais... dans un corps de fille !
Je sais, je suis un peu dingue dans ma tête, ne m'incendiez pas pour ce chapitre
Sweet ?
J'adore, topic en fav + sweet
J'adore je me suis trop marré, finalement cette sorcellerie promet.
VIVA LA SWEET !!!
Merci les mecs, vos coms m'encouragent à continuer
Sweet exceptionnellement ce soir (si j'ai le temps) vu que vous aimez bien
Mais là je dois aller manger, à plus tard
Bonne app'
Bon app si tu manges toujours
Et on l'a tiujours pas envoyé le lien
Alonson je t'ai envoyé un lien y'a longtemps pourtant
une ptite sweet pour s'endormir ou pas alors ?
Oui
Attendez quelques instants.
La sweet !
Voilà j'ai juste à la mettre en forme pour les forums
On attend impatiemment
Je n’arrive toujours pas à y croire. C’est tout simplement fabuleux. Tel Armstrong en cette année du doux nombre 69, je m’aventurais là où aucun autre homme n’avait pu aller jusqu’à présent. J’arpentais des jardins secrets et fertiles où poussent des fruits défendus que je comptais bien croquer à pleine dents. Je m’imaginais en pionnier de l’impensable, et toutes sortes de pensées me traversèrent l’esprit. J’étais tantôt Indiana Jones explorant les forêts vierges et humides de l’Amazonie, tantôt le commandant Némo s’avançant toujours plus loin dans les abysses. Perdu dans mes pensées, ma main glissa lentement vers ma braguette, puis sous mon caleçon. « Hmmm… c’est un petit doigt pour l’homme, mais un… »
*PAF*
Un gifle me permis de retrouver la raison.
- Reprend-toi, imbécile ! Ne fais pas ça devant moi… tu auras tout le temps qu’il te faudra pour découvrir ton nouveau corps.
- Pardon je… je ne sais pas ce qu’il m’a pris… je… c’était sous le coup de l’émotion.
- Ecoute-moi bien. Je vais t’apprendre la formule qui te permettra de regagner ton corps. Cependant, il faut qu’on se promette une chose. Ne JAMAIS, ô combien jamais la prononcer en pleine journée. En effet si l’un de nous deux la prononce, les corps sont échangés instantanément. Toi et moi on ne va pas rester enfermé toute la journée ici n’est-ce pas ? Tu dois aller à l’université d’ailleurs non ? Donc il ne faut surtout pas prononcer la formule dehors. Lorsque tu voudras retrouver ton corps ou moi le miens, c’est ici qu’il faudra le faire. C’est clair ?
- Ouais, ça me parait logique jusque-là…
- Bien, ensuite il…
- Merde ! Criais-je.
- Que se passe-t-il ?
- L’université ! Je suis inscrit sous le nom de Matt Lavoisier… je ne peux pas me ramener là-bas en disant que je m’appelle Matt ça collera pas ! En plus ils risquent de suspecter une sorte de fraude ou de vol s’ils voient une fille avec les papiers d’identité d’un mec…
- Ne t’inquiète pas. J’ai pensé à tout. Je me suis inscrite également aux Hauts Jardins. Tiens voilà ma carte d’étudiante et mes papiers d’identité. Par contre j’ai dû inventer un nom qui correspond à ce monde.
(Ah oui… elle vient de la septième sphère ou je ne sais plus quoi… )
Elle me tendit la carte qui me sera désormais utile durant l’année.
- « Nina Shakespeare ». Tu te fous de moi ?
- Non qu’est-ce qu’il y a ?
- Il y a que Shakespeare c’est plutôt limite comme nom, t’aurais pu trouver autre chose quand même parce que c’est le nom d’un auteur célèbre.
- Ah la la, que c’est compliqué. J’ai pris un livre au hasard d’une bibliothèque, comment voulais-tu que je sache si ce gars est célèbre !
- …
Je continuais à lire la petite carte. Une photo, un nom, une date de naissance apparaissait puis…
- « Licence de Lettre Moderne » !
- Quoi encore ?
- Je suis nul en écriture et mes connaissances littéraires sont quasi inexistantes. D’ailleurs j’avais pris histoire/géo à la base…
- Désolé, je ne pouvais pas prévoir ça.
- Ça ne fait rien…
- Trêve de bavardages ! Je ne t’ai toujours pas dit la formule d’annulation.
Nina (la vraie, celle qui utilisait mon corps) se pencha à mon oreille et me révéla les mots qu’il fallait prononcer pour retrouver nos corps respectifs. Nos corps se transformèrent immédiatement. C’était vraiment rapide, et j’étais content de constater qu’il était si facile de tout faire rentre dans l’ordre.
- C’est tout ? Pourquoi ces mots-là ? Dis-je étonné.
- Je ne te dirais pas pourquoi. Ce sont ces mots, c’est tout ce qu’il faut savoir.
- D’accord…
- Ah oui, une dernière chose…
- Je t’écoute.
- Ta chambre est celle-ci. J’y ai mis des affaires à moi dans l’armoire.
Du doigt, Nina pointa une porte menant sur une pièce voisine au salon. Elle alla ouvrir la porte et entra. Je la suivis. La chambre était située derrière le mur de face du salon : celui où est adossé le canapé. Elle était toute simple. Un lit, une armoire, un bureau et une table de chevet. Les murs étaient peints en bleu nuit, et du plafond pendant un lustre à ampoules.
- Je rangerais mes affaires plus tard dans l’armoire. Dis-je.
- Tout ça pour te dire que c’est ta chambre. Fais évidemment comme chez toi, il y a ici tout ce dont tu as besoin. Salle de bain, toilettes, cuisine, téléphone et même internet.
- Euh… oui. Où veux-tu en venir ?
Elle me pointa une autre porte du doigt. C’était l’une des deux que j’avais approché tout à l’heure en voulant aller téléphoner à la police. Il s’agissait en fait de celle que je n’avais pas ouverte. Comme toutes les autres portes, elle était blanche. Néanmoins, la poignée paraissait plus ancienne et plus rouillée.
- Tu as tout ce dont tu as besoin ici. Tout. Je ne te demande donc qu’une chose très simple. N’ouvre jamais cette porte et ne cherche pas à savoir ce qu’il y a de l’autre côté. Je ne le répétais pas une seconde fois, donc je préfère que ce soit clair maintenant.
Elle était extrêmement sérieuse, l’air grave le ton sec. Heureusement qu’on venait de retrouver nos corps, car je n’aurais vraiment pas aimé voir mon visage avec un air si terrifiant.
- La porte est de toute manière fermée à clé. Mais il m’arrive parfois d’oublier de faire un double tour voir même de la fermer. Et si tu essayes de la forcer, je le saurais. L’autre pièce est ma chambre, ça ne me gêne pas que tu y entres mais je ne pense pas que ça t’enchante.
- Ha ha, non pas du tout.
Sur ce, la discussion fut close. Nina me souhaita bonne nuit et rentra dans sa chambre. Moi, j’entrepris de défaire ma valise et de ranger mes affaires. J’étais encore secoué par cette journée qui était de loin la plus étrange de ma vie. Je m’attendais à me réveiller d’un instant à l’autre… mais pour l’instant, tout me semblait parfaitement réel. J’allais chercher ma valise qui était restée à l’entrée et je la ramenais dans ma chambre. J’ai ensuite posé mon PC sur le bureau afin d'aller raconter cette histoire sur mon forum préféré.
Je pense que maintenant vous comprenez mieux les premières lignes de ce topic. Je vis un rêve éveillé, une pure idylle. Et pas la peine de me mentir, je sais que tout homme qui se respecte a au moins un jour imaginé être dans le corps d’une fille pour… découvrir tout un tas de choses passionnantes ! C’est à moi que ça arrive, je sais que j’ai de la chance mais que voulez-vous… je ne l’ai pas choisi.
Il est 21h30. Je me faufile sous les couvertures, bien au chaud, prêt à dormir. Je décide de me coucher tôt car demain c’est le grand jour.
Nous sommes le lundi 4 septembre au soir. La rentrée à lieu le lendemain. J’avais encore des tas de questions à poser à Nina. Pourquoi fait-elle ça ? (sûrement parce qu’elle est aussi perverse que moi mais bon) D’où vient-elle ? Que va-t-elle faire sous mon apparence ? (elle a intérêt à pas ne pas faire de conneries d’ailleurs…).
Mais en ce moment je suis trop bouleversé pour penser à autre chose qu’à cette année qui s’annonce magistrale. Je suis en filière littéraire. Et ça, la littéraire, tout bon hunter qui se respecte vous dira que c’est le terrain de chasse par excellence. C’est surtout vrai au lycée, mais je pense que même à la fac les règles du game n’ont pas changé. Demain je serais Nina, la bombe atomique qui va bouleverser l’ordre des choses. Je suis persuadé que mêmes les femelles ne résistent pas au charme d’une si belle rouquine.
Avec un peu de chance et de doigté, je réussirais bien à me taper les filles les plus sexy du campus. Le destin a décidé que je me dépucellerais en tant que lesbienne. Qu’il en soit ainsi. Alea jacta est, comme disait notre bon vieux Jules, et « Toi aussi, mon fils » furent ses dernières paroles.
Oui, oui… Toi aussi, ma bite, je ne t’oublie pas. Pensais-je alors en me tenant fermement le manche durcit par tant de pensées incongrues. Je ne t’oublie pas et je peux même t’assurer qu’après avoir chopé le coup, je ferais de toi le Nautilus qui me conduira dans les abysses inexplorées.
Je finis par m’endormir. De délicieuses images accompagnent mon voyage pour le pays des rêves. Je suis dans un café parisien, des rangées entières de soubrettes en tenues alléchantes me servent des boissons chaudes et des sucreries. Il y a des petites culottes qui volent dans les airs, j’essaye de les attraper en sautant et je plonge dans un hypnotisant décolleté qui passait par-là. Tout est tendre et moelleux, j’entends des voix, le commandant Cousteau qui gueule « A l’abordage ! » puis tout devient de plus en plus flou…
Si j’avais su à ce moment-là ce qui allait m’arriver demain… mes rêves auraient été de toute autre nature, et les draps s’en seraient souvenus pour sûr !
Voilà, sweet demain
C'est vraiment de mieux en mieux, la 1ère chose que je fais demain en rentrant des cours c'est ouvrir ce topic !
Merci mec
Je vous promet que ça va devenir de plus en plus chaud
Choc ! On va le perdre !
Choc ! Dépêchez-vous merde !
Choc ! Il respire... son Z a pompé trop de sang et il est tombé dans les pommes.
Sweet !
Je suis en train d'écrire la sweet et putain...
Bref vous verrez bien demain