République de Jordanie
Manifestations
Des manifestations pacifiques de soutien au nouvel état Palestinien ont eu lieu dans toute la Jordanie, la plupart des rues sont pleines de gens qui affichent leur soutien à cet état, une grande fête a même été organisée en plein Amman pour fêter l’avènement de ce nouvel état, d'après les renseignements publics Jordaniens : la plupart des gens seraient même pour une unification avec le nouvel État de Palestine pour pouvoir étendre son message de paix jusqu’en Jordanie. Le Président monsieur Moath Ibn Abbas a décidé de se rendre directement à Jérusalem d'ici quelques heures afin de rencontrer madame Shelly Yachimovich et de discuter d'une éventuelle union entre les deux états comme la foule le demandait.
Message à la République de Palestine
-Arrivée à l'aéroport Ben Gourion Tel-Aviv :
Le président Moath Ibn Abbas est bien attéri à l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv, il fut accueilli par les médias et accorda quelques questions aux journalistes avant de leur faire signe qu'il était pressé. Il avança vers la sortie de l'aéroport et s'engouffra dans un taxi avec son premier ministre et son ministre aux affaires étrangères. Le taxi traversa la Palestine jusqu'à arriver à Jérusalem.
-Arrivée à Jérusalem :
Le président Moath Ibn Abbas arriva donc devant l'hôtel où la président Israélienne avait fait réserver une salle de conférence et ils entrèrent avec ses deux ministres et ils furent accueilli par les gardes du corps de la présidente avant de la rencontrer. Ils se serrèrent la main et s'assirent devant une table où trônaient une bouteille de champagne casher, quelques bouteilles d'eau et une bouteille de jus d'abricot. Le ministre aux affaires étrangères qui est chrétien se laissa tenter par un verre ce champagne tandis que le premier ministre et le président se rabattirent sur un jus d'abricot. Ils regardèrent ensuite madame Shelly Yachimovich et attendirent qu'elle introduise la discussion.
Après maintes réfléxions, je change pour les États-Unis. Je ne changerai plus de pays promis juré, t'façon j'ai pas posté avec l'UK.
République de Palestine
Conférence de Jérusalem
Eh bien, je dois avouer notre surprise. A vrai dire, en entendant parler des manifestations nous pensions que c’était en effet simplement par salut du changement. Et nous pensions également que votre visite était simple objet de courtoisie. Cependant, vous nous soumettez là une idée…Originale il faut le dire. Pour l’instant nous imaginions une simple alliance serré entre nos deux pays. Mais une telle union pour tout l’avouer de mon propre ressentis n’est pas totalement rejetable, et je pense que mes collaborateurs partagent cette opinion. Cependant, commandons à manger, je pense que cette conférence durera bien plus que prévu
Afrique du Sud
Afrikaner Weerstandsbeweging
L'Afrikaner Weerstandsbeweging fut sous l'Apartheid la plus puissante force paramilitaire de toute l'Afrique du Sud, jouissant d'une très importante influence aux seins des classes ouvrières et moyennes de la société Afrikaner. Comptant dans ses rangs plusieurs dizaines de milliers de membres, elle était caractérisée par son suprémacisme blanc et son antisémitisme, et sa violente critique du gouvernement pour sa politique « laxiste » vis à vis des populations de couleur. A la chute de l'Apartheid, l'organisation paramilitaire perdit toute son influence suite à sa dissolution par le gouvernement, menant à la création de nombreuses milices locales.
Toutefois, depuis maintenant une dizaine d'années, une nouvelle organisation hérita du nom de l'Afrikaner Weerstandsbeweging et parvint à réunir les différentes milices locales à travers le pays. Celle-ci est toutefois désormais composée de membres de la classe ouvrière, mais également d'anciens soldats ou intellectuels déçu par le régime actuel et sa politique répressive vis à vis des minorités blanches du pays.
Une distinction importante se fait toutefois du point de vue idéologique de l'Afrikaner Weerstandsbeweging. Son but est aujourd'hui non plus la suprématie des blancs vis à vis des noirs, mais la conservation et l'imposition de la culture afrikaner à travers le pays. C'est ainsi que malgré un racisme ambiant à l'encontre des ethnies noires comme les zoulous et xhosas, les métis et malais du cap sont majoritairement favorables à l'organisation, à travers laquelle ils voient un avenir meilleur.
Le Moslem Krag, organisation défendant les droits des musulmans malais du pays et de langue Afrikaans, sont des descendants d'esclaves parlant la même langue que les Afrikaners, mais toutefois de religion musulmane. Le Metis Groep est quant à lui un groupe ultra-violent militant pour les droits des métis du cap, souvent victimes de la politique de « discrimination positive » à laquelle ils ne sont pas sujets malgré leur état d'extrême précarité.
C'est ainsi que malgré ses origines troubles, l'Afrikaner Weerstandsbeweging est aujourd'hui un mouvement défendant son identité et celles des autres minorités qui lui sont proches. C'est d'ailleurs pour cela qu'une alliance fut formé entre les trois entités dans l'objectif de parvenir à leurs fins : la fin de l'oppression dont ils sont les victimes.
Puissance de l'organisation
Défendant les droits fondamentaux de pas moins de 20% de la population sud-africaine et namibienne, l'Afrikaner Weerstandsbeweging bénéficia d'un large soutien populaire bien supérieur à l'engouement dont elle bénéficia sous l'Apartheid. C'est ainsi que près de 110000 membres la composent début 2015, après une dizaine d'années d'existence. Comptant dans ses membres blancs, métis et malais, elle se porte également garante de la protection des différentes minorités asiatiques récemment arrivées dans le pays.
Le but de l'organisation étant la prise de pouvoir par la force pour permettre la défense des identités des minorités de langue afrikaans, une formation paramilitaire est ainsi dispensée à tous les membres de l'organisation, mais également à tous les enfants de ceux-ci. On peut également ajouter près de 3000 membres au total précédemment cité, représentant les adolescents de la tranche d'âge 14-17 participant aux camps d'été formant au maniement des armes et à l'idéologie de l'organisation. Ces formations sont dispensées par d'anciens membres des forces de l'ordre ou bien d'anciens soldats.
La présence d'officiers au sein de l'organisation ainsi que d'anciens membres des forces spéciales permit de mettre sur pied une unité d'élite appelée « Ystergarde », composée d'environ 300 membres, dont la moitié de malais musulmans. Cette unité se caractérise par la férocité de ses hommes et par leur dévouement envers l'idéologie défendue par l'Afrikaner Weerstandsbeweging.
Bénéficiant des différents trafics d'armes africains, l'organisation obtint ainsi plus ou moins facilement fusils d'assauts et autres armes de guerre pour parvenir à leurs fins. Ils obtinrent ainsi également d'importants stocks de munitions, mais également d'explosifs et de pièces d'artilleries, certes usagées, mais totalement fonctionnelles qui furent montée sur des véhicules dédiés à cette tâche. L'Afrikaner Weerstandsbeweging bénéficie donc d'un important réservoir de soldats armés et fervents défenseurs de l'idéologie, mais donc le manque de forces blindés ou aéroportées peut être fatal.
Le financement de l'organisation est assuré par plusieurs acteurs de différentes échelles. Ainsi, les membres sont eux-mêmes donateurs, mais également certaines églises ou mosquées favorables à l'organisation. Une très grande partie des dons provient également de la contribution de très nombreux millionnaires et milliardaires sud-africains issus des minorités, voyant à travers à l'Afrikaner Weerstandsbeweging une promesse de gains faramineux, ou bien tout simplement par convictions personnelles.
Le coup d'état
Une fois le plan établit dans une ferme à l'est du Cap, il fut appliqué en vue de prendre le pouvoir. Sachant pertinemment les carences logistiques dont seront victimes les membres de la milice sur le terrain, il fut décidé d'attaquer rapidement dans l'optique d'améliorer les chances de réussite du plan. Ainsi, il fut réparti des tâches très précises à chacune des divisions de l'organisation avec toutefois de fortes ressemblances sur l'exécution des offensives.
Dans le but de clouer l'aviation sud-africaine, certes vieillissante mais toujours efficace, au sol, le bombardement des pistes de décollages à l'aide des mortiers fut l'ordre capital donné à tous les hommes disposant de mortiers sous la main. Ensuite, l'usage de mortier massivement sur les casernes jusqu'à reddition des troupes assiégées. Les cibles prioritaires sont ainsi les bases de l'armée de l'air, mais également les casernes.
Les cibles secondaires sont les points clés de la société actuelle, tels que les hôpitaux, les commissariats ou centres de productions importants. L'usage de la force contre les civils réticents est toléré et même encouragé dans l'optique de semer la terreur. Tout homme armé non membre de l'Afrikaner Weerstandsbeweging (ne portant donc pas l'uniforme) doit être abattu sans sommations.
L'Ystergarde quant à elle est impliquée dans un projet monumental dont la réussite pourrait affirmer la réelle puissance de l'Afrikaner Weerstandsbeweging au monde entier. La capture des membres du gouvernement actuel dans l'optique de les traduire par la suite en justice au sein d'un tribunal préparé à l'occasion.
Bilan
La prise de pouvoir par l'Afrikaner Weerstandsbeweging est effective, et le général des forces paramilitaires Samuel Kruger prend la tête du pays, et déclare s'atteler dès ce moment là à la satisfaction des demandes afrikaners, métisses et malaises. Affirmant une victoire totale, le bilan est en réalité très mitigé sur certains points.
Tout d'abord, un important nombre de morts, approximativement 20000 selon les estimations tend à réduire de manière importante les forces armées de l'organisation, qui nécessite plus que toujours de soldats. La solution invoquée par Samuel Kruger est l'emploi des jeunesses de l'organisation au sein de certains corps combattants, visant à montrer la détermination dont feront preuves les miliciens pour obtenir ce qu'ils souhaitent.
Ensuite, la destruction de la quasi totalité des pistes de décollages militaires, empêchant l'utilisation des avions militaires capturés par les hommes disposant des compétences pour leur utilisation.
Ensuite, le chaos général dont souffre le pays a permis l'émergence de milice noire très violente, tel que l'Ukumelana, milice suprémaciste noire zouloue.
Toutefois, la faillite de l'opération de capture des membres du gouvernement par l'Ystergarde reste le plus gros échec de l'opération. Sur les dizaines de personnalités visées, seul Cyril Ramaphosa, vice-président de l'ANC fut capturé, coûtant par la même occasion la vie de quinze commandos, dont onze afrikaners et quatre malais.
De nombreuses réformes sont à prévoir.
Que vois-je ?
Chacun son Pays
Je prends l'Alaska (pour l'instant dépendant des U.S.A.)
Il y'a quelqu'un ?
Titre III
Organes supérieurs du pouvoir d'État de l'URSS
Article 30.
L'organe supérieur du pouvoir d'État de l'URSS est le Soviet suprême (Verkhovny Soviet) de l'URSS.
Article 31.
Le Soviet suprême de l'URSS exerce tous les droits attribués à l'Union des Républiques socialistes soviétiques, conformément à l'article 14 de la Constitution, et qui, en vertu de la Constitution, ne sont pas de la compétence des organes du pouvoir de l'URSS dépendant du Soviet suprême de l'URSS : du présidium du Soviet suprême de l'URSS, du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS et des commissariats du peuple de l'URSS.
Article 32.
Le pouvoir législatif de l'URSS est exercé exclusivement par le Soviet suprême de l'URSS.
Article 33.
Le Soviet suprême de l'URSS se compose de deux chambres : le Soviet de l'Union (Soviet Soyousa) et le Soviet des nationalités (Soviet Natsionalnostéï).
Article 34.
Le Soviet de l'Union est élu par les citoyens de l'URSS par circonscriptions électorales, à raison d'un député par 300 mille habitants.
Article 35.
Le Soviet des nationalités est élu par les citoyens de l'URSS par Républiques fédérées et autonomes, par régions autonomes et districts nationaux, à raison de 25 députés pour chaque République fédérée, de 11 députés pour chaque République autonome, de cinq députés pour chaque région autonome et d'un député pour chaque district national.
Article 36.
Le Soviet suprême de l'URSS est élu pour une durée de quatre ans.
Article 37.
Les deux chambres du Soviet suprême de l'URSS, le Soviet de l'Union et le Soviet des nationalités, sont égales en droits.
Article 38.
L'initiative législative appartient dans une égale mesure au Soviet de l'Union et au Soviet des nationalités.
Article 39.
Une loi est considérée comme telle si elle est adoptée à la majorité simple par chacune des deux chambres du Soviet suprême de l'URSS.
Article 40.
Les lois adoptées par le Soviet suprême de l'URSS, sont promulguées dans les langues des Républiques fédérées, sous la signature du président et celle du secrétaire du présidium du Soviet suprême de l'URSS.
Article 41.
Les sessions du Soviet de l'Union et du Soviet des nationalités s'ouvrent et prennent fin en même temps.
Article 42.
Le Soviet de l'Union élit le président du Soviet de l'Union et deux vice-présidents.
Article 43.
Le Soviet des nationalités élit le président du Soviet des nationalités et deux vice-présidents.
Article 44.
Les présidents du Soviet de l'Union et du Soviet des nationalités dirigent les séances des chambres respectives et font appliquer leur règlement intérieur.
Article 45.
Les séances communes des deux chambres du Soviet suprême de l'URSS, sont présidées à tour de rôle par le président du Soviet de l'Union et le président du Soviet des nationalités.
Article 46.
Les sessions du Soviet suprême de l'URSS, sont convoquées par le présidium du Soviet suprême de l'URSS deux fois par an. Les sessions extraordinaires sont convoquées par le présidium du Soviet suprême de l'URSS sur sa propre initiative ou sur la demande d'une des Républiques fédérées.
Article 47.
En cas de désaccord entre le Soviet de l'Union et le Soviet des nationalités, la question est renvoyée devant une commission de conciliation formée sur une base paritaire. Si la commission de conciliation n'aboutit pas à une solution commune, ou que sa décision ne satisfasse pas l'une des chambres, la question est examinée une deuxième fois dans les deux chambres. En l'absence d'une décision commune des deux chambres, le présidium du Soviet suprême de l'URSS dissout le Soviet suprême de l'URSS et fixe de nouvelles élections.
Article 48.
Le Soviet suprême de l'URSS élit en séance commune des deux chambres, le présidium du Soviet suprême de l'URSS composé comme suit : le président du présidium du Soviet suprême de l'URSS, ses onze vice-présidents, le secrétaire du présidium et 24 membres du présidium. Le présidium du Soviet suprême de l'URSS rend compte de toute son activité devant le Soviet suprême de l'URSS.
Article 49.
Le présidium du Soviet suprême de l'URSS :
a) convoque les sessions du Soviet suprême de l'URSS ;
b) donne l'interprétation des lois de l'URSS en vigueur, édicte des ordonnances ;
c) dissout le Soviet suprême de l'URSS en vertu de l'article 47 de la Constitution de l'URSS et fixe de nouvelles élections ;
d) procède aux consultations populaires (référendums) sur sa propre initiative ou sur la demande d'une des Républiques fédérées ;
e) annule les arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS et des Conseils des commissaires du peuple des Républiques fédérées au cas où ils ne seraient pas conformes à la loi ;
f) dans l'intervalle des sessions du Soviet suprême de l'URSS relève de leurs fonctions et nomme les commissaires du peuple de l'URSS sur la proposition du président du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS, sous réserve de l'approbation ultérieure du Soviet suprême de l'URSS ;
g) décerne les décorations et confère les titres honorifiques de l'URSS ;
h) exerce le droit de grâce ;
i) nomme et relève le haut commandement des forces armées de l'URSS ;
j) dans l'intervalle des sessions du Soviet suprême de l'URSS proclame l'état de guerre en cas d'agression militaire contre l'URSS ou en cas de nécessité d'exécuter des engagements découlant des accords internationaux pour la défense mutuelle contre l'agression ;
k) ordonne la mobilisation générale ou partielle ;
l) ratifie les traités internationaux ;
m) nomme et rappelle les représentants plénipotentiaires de l'URSS dans les États étrangers ;
n) reçoit les lettres de créance et de rappel des représentants diplomatiques des États étrangers accrédités auprès de lui.
Article 50.
Le Soviet de l'Union et le Soviet des nationalités élisent des commissions des mandats, qui vérifient les pouvoirs des députés de chaque chambre. Sur proposition de la commission des mandats, les chambres décident soit de reconnaître les pouvoirs des députés, soit de casser leur élection.
Article 51.
Le Soviet suprême de l'URSS nomme, lorsqu'il le juge nécessaire, des commissions d'enquête et de révision pour toute question.
Toutes les institutions et tous les fonctionnaires publics sont tenus de se conformer aux demandes de ces commissions, et de leur présenter les matériaux et documents nécessaires.
Article 52.
Un député du Soviet suprême de l'URSS ne peut être poursuivi devant la justice ni arrêté sans l'assentiment du Soviet suprême de l'URSS et, dans l'intervalle des sessions du Soviet suprême de l'URSS, sans l'assentiment du présidium du Soviet suprême de l'URSS.
Article 53.
A l'expiration des pouvoirs du Soviet suprême de l'URSS, ou en cas de sa dissolution avant le terme de sa législature, le présidium du Soviet suprême de l'URSS conserve ses pouvoirs jusqu'à la formation d'un nouveau présidium du Soviet suprême de l'URSS par le Soviet suprême de l'URSS nouvellement élu.
Article 54.
A l'expiration des pouvoirs du Soviet suprême de l'URSS ou dans le cas de sa dissolution avant le terme de sa législature, le présidium du Soviet suprême de l'URSS fixe de nouvelles élections dans un délai de deux mois au plus, à partir du jour de l'expiration des pouvoirs ou de la dissolution du Soviet suprême de l'URSS.
Article 55.
Le Soviet suprême de l'URSS nouvellement élu est convoqué par le présidium du précédent Soviet suprême de l'URSS un mois au plus tard après les élections.
Article 56.
Le Soviet suprême de l'URSS forme en séance commune des deux chambres le gouvernement de l'URSS : le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS.
Titre IV
Organes supérieurs du pouvoir d'État des républiques fédérées
Article 57.
L'organe supérieur du pouvoir d'État de la République fédérée est le Soviet suprême de la République fédérée.
Article 58.
Le Soviet suprême de la République fédérée est élu par les citoyens de la République pour une durée de quatre ans. Les normes de représentation sont établies par les Constitutions des Républiques fédérées.
Article 59.
Le Soviet suprême de la République fédérée est l'unique organe législatif de la République.
Article 60.
Le Soviet suprême de la République fédérée :
a) adopte la Constitution de la République et y apporte des modifications conformément à l'article 16 de la Constitution de l'URSS ;
b) ratifie les Constitutions des Républiques autonomes qui en font partie et détermine les frontières de leur territoire ;
c) approuve le plan de l'économie nationale et le budget de la République ;
d) exerce le droit d'amnistie et de grâce envers les citoyens condamnés par les organes judiciaires de la République fédérée.
Article 61.
Le Soviet suprême de la République fédérée élit le présidium du Soviet suprême de la République fédérée, composé du président du présidium du Soviet suprême de la République fédérée, de ses vice-présidents, du secrétaire du présidium et des membres du présidium du Soviet suprême de la République fédérée. Les pouvoirs du présidium du Soviet suprême de la République fédérée sont déterminés par la Constitution de la République fédérée.
Article 62.
Pour diriger les séances, le Soviet suprême de la République fédérée élit son président et des vice-présidents.
Article 63.
Le Soviet suprême de la République fédérée forme le gouvernement de la République fédérée : le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée.
Titre V
Organes de l'administration d'État de l'URSS
Article 64.
L'organe exécutif et administratif supérieur du pouvoir d'État de l'Union des Républiques socialistes soviétiques est le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS.
Article 65.
Le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS est responsable devant le Soviet suprême de l'URSS et lui rend compte de son activité, et, dans les intervalles des sessions du Soviet suprême, devant le présidium du Soviet suprême, auquel il rend compte de son activité.
Article 66.
Le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS édicte des arrêtés et des décisions sur la base et en exécution des lois en vigueur, et en contrôle l'exécution.
Article 67.
Les arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS doivent être obligatoirement exécutés sur tout le territoire de l'URSS.
Article 68.
Le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS :
a) assure l'unité et dirige l'activité des commissariats du peuple, fédéraux et fédéraux républicains de l'URSS, et des autres institutions économiques et culturelles relevant du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS ;
b) prend des mesures pour l'exécution du plan de l'économie nationale, du budget de l'État et pour l'affermissement du système monétaire et de crédit ;
c) prend des mesures pour assurer l'ordre public, la défense des intérêts de l'État et la protection des droits des citoyens ;
d) exerce la direction générale dans le domaine des relations avec les États étrangers ;
e) fixe les contingents annuels des citoyens devant être appelés au service militaire actif, dirige l'organisation générale des forces armées du pays ;
f) forme, en cas de nécessité, des comités spéciaux et des directions générales près le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS, pour les questions d'organisation économique, culturelle et de la défense.
Article 69.
Le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS a le droit, pour les branches d'administration et d'économie qui sont de la compétence de l'URSS, de suspendre les arrêtés et décisions des Conseils des commissaires du peuple des Républiques fédérées et d'annuler les ordres et instructions des commissaires du peuple de l'URSS.
Article 70.
Le Conseil des commissaires du peuple de l'URSS est formé par le Soviet suprême de l'URSS, comme suit :
Le président du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS ;
les vice-présidents du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS ;
le président de la Commission du plan d'État de l'URSS ;
le président de la Commission de contrôle soviétique ;
les commissaires du peuple de l'URSS ;
le président du comité des stockages ;
le président du comité des arts ;
le président du comité pour les écoles supérieures.
Article 71.
Le gouvernement de l'URSS ou le commissaire du peuple de l'URSS saisis d'une interpellation émanant d'un député du Soviet suprême de l'URSS, sont tenus, dans un délai de trois jours au plus, de répondre verbalement ou par écrit devant la chambre correspondante.
Article 72.
Les commissaires du peuple de l'URSS dirigent les branches de l'administration d'État qui sont de la compétence de l'URSS.
Article 73.
Les commissaires du peuple de l'URSS édictent, dans les limites de la compétence des commissariats du peuple respectifs, des ordres et instructions sur la base et en exécution des lois en vigueur, ainsi que des arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS et contrôlent leur exécution.
Article 74.
Les commissariats du peuple de l'URSS, sont ou bien fédéraux ou bien fédéraux républicains.
Article 75.
Les commissariats du peuple fédéraux dirigent sur tout le territoire de l'URSS, soit directement, soit par des organes nommés par eux, la branche de l'administration d'État qui leur est confiée.
Article 76.
Les commissariats du peuple fédéraux républicains en règle générale dirigent la branche de l'administration d'État qui leur est confiée, par l'intermédiaire des commissariats du peuple de même nom dans les Républiques fédérées et n'administrent directement qu'un nombre déterminé et limité d'entreprises, conformément à une liste sanctionnée par le présidium du Soviet suprême de l'URSS.
Article 77.
Les commissariats du peuple fédéraux sont ceux :
de la Défense ;
des Affaires étrangères ;
du Commerce extérieur ;
des Voies de communication ;
des PTT ;
des Transports par eau ;
de l'Industrie lourde ;
de l'Industrie de la défense.
Article 78.
Les commissariats du peuple fédéraux républicains sont ceux :
de l'Industrie alimentaire ;
de l'Industrie légère ;
de l'Industrie forestière ;
de l'Agriculture ;
des Sovkhozes de céréales et d'élevage ;
des Finances ;
du Commerce intérieur ;
des Affaires intérieures ;
de la Justice ;
de la Santé publique.
Titre VI
Organes de l'administration d'État des républiques fédérées
Article 79.
L'organe exécutif et administratif supérieur du pouvoir d'État de la République fédérée est le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée.
Article 80.
Le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée est responsable devant le Soviet suprême de la République fédérée et lui rend compte de son activité, et, dans les intervalles des sessions du Soviet suprême de la République fédérée, devant le présidium du Soviet suprême de la République fédérée, auquel il rend compte de son activité.
Article 81.
Le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée édicte des arrêtés et décisions sur la base et en exécution des lois en vigueur dans l'URSS et dans la République fédérée, des arrêtés et décisions du Conseil des commissaires du peuple de l'URSS et contrôle leur exécution.
Article 82.
Le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée a le droit de suspendre les arrêtés et décisions des Conseils des commissaires du peuple des Républiques autonomes et d'annuler les décisions et arrêtés des comités exécutifs des soviets de députés des travailleurs des territoires, régions et régions autonomes.
Article 83.
Le Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée est formé par le Soviet suprême de la République fédérée, comme suit :
Le président du Conseil des commissaires du peuple de la République fédérée ;
les vice-présidents ;
le président de la Commission du plan d'État ;
les commissaires du peuple :
- de l'Industrie alimentaire ;
- de l'Industrie légère ;
- de l'Industrie forestière ;
- de l'Agriculture ;
- des Sovkhozes de céréales et d'élevage ;
- des Finances ;
- du Commerce intérieur ;
- des Affaires intérieures ;
- de la Justice ;
- de la Santé publique ;
- de l'Instruction publique ;
- de l'Industrie locale ;
- de l'Economie municipale ;
- de la Prévoyance sociale ;
le délégué du comité des stockages ;
le chef de l'administration des arts ;
les délégués des commissariats du peuple fédéraux.
Article 84.
Les commissaires du peuple de la République fédérée dirigent les branches de l'administration d'État qui sont de la compétence de la République fédérée.
Article 85.
Les commissaires du peuple de la République fédérée édictent, dans les limites de la compétence des commissariats du peuple respectifs, des ordres et instructions sur la base et en exécution des lois de l'URSS et de la République fédérée, des ordres et instructions des commissariats du peuple fédéraux républicains de l'URSS.
Article 86.
Les commissariats du peuple de la République fédérée sont fédéraux républicains et républicains.
Article 87.
Les commissariats du peuple fédéraux républicains dirigent la branche de l'administration d'État qui leur est confiée, relevant aussi bien du conseil des Commissaires du peuple de la République fédérée, que du commissariat du peuple fédéral républicain correspondant de l'URSS.
Article 88.
Les commissariats du peuple républicains dirigent la branche de l'administration d'État qui leur est confiée, relevant directement du conseil des commissaires du peuple de la République fédérée.
Titre VII
Organes supérieurs du pouvoir d'État des Républiques socialistes soviétiques autonomes
Article 89.
L'organe supérieur du pouvoir d'État de la République autonome est le Soviet suprême de la RSSA.
Article 90.
Le Soviet suprême de la République autonome est élu pour une durée de quatre ans par les citoyens de la République d'après les normes de représentation établies par la Constitution de la République autonome.
Article 91.
Le Soviet suprême de la République autonome est l'unique organe législatif de la RSSA.
Article 92.
Chaque République autonome a sa Constitution qui tient compte des particularités de la République autonome, et est établie en pleine conformité avec la Constitution de la République fédérée.
Article 93.
Le Soviet suprême de la République autonome élit le présidium du Soviet suprême de la République autonome et forme le Conseil des commissaires du peuple de la République autonome, conformément à sa Constitution.
Titre VIII
Organes locaux du pouvoir d'État.
Article 94.
Les organes du pouvoir d'État dans les territoires, régions, régions autonomes, arrondissements, districts, villes, localités rurales (stanitsas, villages, hameaux, kichlaks, aouls) sont les soviets de députés des travailleurs.
Article 95.
Les soviets de députés des travailleurs des territoires, régions, régions autonomes, arrondissements, districts, villes, localités rurales (stanitsas, villages, hameaux, kichlaks, aouls), sont élus pour une durée de deux ans respectivement par les travailleurs du territoire, de la région, de la région autonome, de l'arrondissement, du district, de la ville, de la localité rurale.
Article 96.
Les normes de représentation pour les soviets de députés des travailleurs sont fixées par les Constitutions des Républiques fédérées.
Article 97.
Les soviets de députés des travailleurs dirigent l'activité des organes de l'administration qui leur sont subordonnés, assurent le maintien de l'ordre public, l'observation des lois et la protection des droits des citoyens, dirigent l'édification économique et culturelle locale, établissent le budget local.
Article 98.
Les soviets de députés des travailleurs prennent des décisions et donnent des ordres dans les limites des droits que leur confèrent les lois de l'URSS et de la République fédérée.
Article 99.
Les organes exécutifs et administratifs des soviets de députés des travailleurs des territoires, régions, régions autonomes, arrondissements, districts, villes et villages, sont les comités exécutifs élus par les soviets, et composés d'un président, de vice-présidents, d'un secrétaire et de membres.
Article 100.
Dans les petites agglomérations, l'organe exécutif et administratif des soviets ruraux de députés des travailleurs, conformément aux Constitutions des Républiques fédérées, est représenté par le président, le vice-président et le secrétaire, élus par le soviet.
Article 101.
Les organes exécutifs des soviets de députés des travailleurs rendent directement compte de leur activité aussi bien au soviet de députés des travailleurs qui les a élus, qu'à l'organe exécutif du soviet de député des travailleurs, qui lui est supérieur.
Titre IX
Tribunaux et parquet
Article 102.
La justice en URSS est rendue par la Cour suprême de l'URSS par les cours suprêmes des Républiques fédérées, par les tribunaux des territoires et des régions, par les tribunaux des Républiques autonomes, des régions autonomes et des districts, par les tribunaux spéciaux de l'URSS institués sur décisions du Soviet suprême de l'URSS, par les tribunaux populaires.
Article 103.
L'audition des affaires dans tous les tribunaux a lieu avec la participation des assesseurs populaires, sauf les cas spécialement prévus par la loi.
Article 104.
La Cour suprême de l'URSS est l'organe judiciaire supérieur. La Cour suprême de l'URSS est chargée du contrôle de l'activité judiciaire de tous les organes judiciaires de l'URSS et des Républiques fédérées.
Article 105.
La Cour suprême de l'URSS et les tribunaux spéciaux de l'URSS sont élus par le Soviet suprême de l'URSS pour une durée de cinq ans.
Article 106.
Les cours suprêmes des Républiques fédérées sont élues par les Soviets suprêmes des Républiques fédérées pour une durée de cinq ans.
Article 107.
Les cours suprêmes des Républiques autonomes sont élues par les Soviets suprêmes des Républiques autonomes pour une durée de cinq ans.
Article 108.
Les tribunaux des territoires et des régions, les tribunaux des régions autonomes, les tribunaux des districts, sont élus par les soviets de députés des travailleurs des territoires, régions ou districts, ou bien par les soviets de députés des travailleurs des régions autonomes, pour une durée de cinq ans.
Article 109.
Les tribunaux populaires sont élus par les citoyens du rayon au suffrage universel, direct et égal, au scrutin secret, pour une durée de trois ans.
Article 110.
La procédure judiciaire se fait dans la langue de la République fédérée ou autonome ou de la région autonome, toute possibilité étant assurée aux personnes ne possédant pas cette langue, de prendre entièrement connaissance du dossier par un interprète et d'user du droit de s'exprimer à l'audience du tribunal dans leur langue maternelle.
Article 111.
Les débats dans tous les tribunaux de l'URSS sont publics, sauf les exceptions prévues par la loi, et le droit de défense est assuré à l'accusé.
Article 112.
Les juges sont indépendants et ne relèvent que de la loi.
Article 113.
La surveillance suprême quant à la stricte exécution des lois par tous les commissariats du peuple et les institutions qui leur sont subordonnées, ainsi que par les fonctionnaires publics et les citoyens de l'URSS incombe au procureur de l'URSS.
Article 114.
Le procureur de l'URSS est nommé par le Soviet suprême de l'URSS pour une durée de sept ans.
Article 115.
Les procureurs des Républiques, territoires, régions, ainsi que les procureurs des Républiques autonomes et régions autonomes sont nommés par le procureur de l'URSS pour une durée de cinq ans.
Article 116.
Les procureurs de district, de rayon et de ville sont nommés par les procureurs des Républiques fédérées pour une durée de cinq ans avec l'approbation du procureur de l'URSS.
Article 117.
Les organes du parquet exercent leurs fonctions indépendamment des organes locaux du pouvoir quels qu'ils soient et ne relèvent que du procureur de l'URSS.
Titre X
Droits et devoirs fondamentaux des citoyens.
Article 118.
Les citoyens de l'URSS ont droit au travail, c'est-à-dire le droit de recevoir un emploi garanti, avec rémunération de leur travail, selon sa quantité et sa qualité. Le droit au travail est assuré par l'organisation socialiste de l'économie nationale, par la croissance continue des forces productives de la société soviétique, par l'élimination de la possibilité des crises économiques et par la liquidation du chômage.
Article 119.
Les citoyens de l'URSS ont droit au repos. Le droit au repos est assuré par la réduction de la journée de travail à sept heures pour l'immense majorité des ouvriers, par l'établissement de congés annuels pour les ouvriers et les employés avec maintien du salaire, par l'affectation aux besoins des travailleurs d'un vaste réseau de sanatoria, de maisons de repos, de clubs.
Article 120.
Les citoyens de l'URSS ont le droit d'être assurés matériellement dans leur vieillesse, ainsi qu'en cas de maladie et de perte de la capacité de travail. Ce droit est garanti par un vaste développement de l'assurance sociale des ouvriers et des employés aux frais de l'État, par le secours médical gratuit pour les travailleurs, par la mise à la disposition des travailleurs d'un réseau de stations de cure.
Article 121.
Les citoyens de l'URSS ont droit à l'instruction. Ce droit est assuré par l'instruction primaire générale et obligatoire, par la gratuité de l'enseignement, y compris l'enseignement supérieur, par un système de bourses d'État dont bénéficie l'immense majorité des élèves des écoles supérieures, par l'enseignement à l'école donné dans la langue maternelle, par l'organisation de l'enseignement gratuit, professionnel, technique et agronomique pour les travailleurs dans les usines, les sovkhozes, les stations de machines et de tracteurs et les kolkhozes.
Article 122.
Des droits égaux à ceux de l'homme sont donnés à la femme, en URSS dans tous les domaines de la vie économique, publique, culturelle, sociale et politique. La possibilité de réaliser tous ces droits des femmes est assurée par l'octroi à la femme de droits égaux à ceux de l'homme quant au travail, au salaire, au repos, aux assurances sociales et à l'instruction, par la protection par l'État des intérêts de la mère et de l'enfant, par l'octroi à la femme de congés de grossesse, avec maintien du salaire, par un vaste réseau de maternités, de crèches et de jardins d'enfants.
Article 123.
L'égalité en droits des citoyens de l'URSS sans distinction de nationalité et de race, dans tous les domaines de la vie économique, publique, culturelle, sociale et politique est une loi immuable. Toute restriction directe ou indirecte aux droits, ou inversement, l'établissement de privilèges directs ou indirects pour les citoyens selon la race et la nationalité à laquelle ils appartiennent, de même que toute propagande d'exclusivisme ou de haine et de dédain racial ou national, sont punis par la loi.
Article 124.
Afin d'assurer aux citoyens la liberté de conscience, l'Église en URSS est séparée de l'État, et l'école de l'Église. La liberté de pratiquer les cultes religieux et la liberté de propagande antireligieuse sont reconnues à tous les citoyens.
Article 125.
Conformément aux intérêts des travailleurs et afin d'affermir le régime socialiste, sont garanties par la loi aux citoyens de l'URSS :
a) la liberté de parole,
b) la liberté de la presse,
c) la liberté des réunions et des meetings,
d) la liberté de cortèges et démonstrations de rue.
Ces droits des citoyens sont assurés par la mise à la disposition des travailleurs et de leurs organisations, des imprimeries, de stocks de papier, des édifices publics, des rues, des services des PTT, et autres conditions matérielles nécessaires à la réalisation de ces droits.
Article 126.
Conformément aux intérêts des travailleurs et afin de développer l'initiative des masses populaires en matière d'organisation, ainsi que leur activité politique, le droit est assuré aux citoyens de l'URSS de s'associer en organisations sociales : syndicats professionnels, unions coopératives, organisations de la jeunesse, organisations sportives et de défense, sociétés culturelles, techniques et scientifiques, alors que les citoyens les plus actifs et les plus conscients de la classe ouvrière et des autres couches de travailleurs s'unissent dans le Parti communiste de l'URSS, qui est l'avant-garde des travailleurs dans leur lutte pour l'affermissement et le développement du régime socialiste et qui représente le noyau dirigeant de toutes les organisations de travailleurs, tant sociales que d'État.
Article 127.
L'inviolabilité de la personne est garantie aux citoyens de l'URSS. Nul ne peut être mis en état d'arrestation, autrement que par décision du tribunal ou sur sanction du procureur.
Article 128.
L'inviolabilité du domicile des citoyens et le secret de la correspondance sont protégés par la loi.
Article 129.
L'URSS accorde le droit d'asile aux citoyens étrangers persécutés pour la défense des intérêts des travailleurs ou pour leur activité scientifique, ou bien pour la lutte en faveur de la libération nationale.
Article 130.
Chaque citoyen de l'URSS est tenu d'observer la Constitution de l'Union des Républiques socialistes soviétiques, d'exécuter les lois, d'observer la discipline du travail, de remplir honnêtement son devoir social, de respecter les règles de la vie en société socialiste.
Article 131.
Tout citoyen de l'URSS est tenu de sauvegarder et d'affermir la propriété commune, socialiste, qui est la base sacrée et inviolable du régime soviétique, la source de la richesse et de la puissance de la patrie, la source d'une vie aisée et cultivée pour tous les travailleurs. Les personnes qui attentent à la propriété sociale, socialiste, sont les ennemis du peuple.
Article 132.
Le service militaire général est une obligation. Le service militaire dans l'armée rouge ouvrière et paysanne est un devoir d'honneur pour les citoyens de l'URSS.
Article 133.
La défense de la patrie est le devoir sacré de tout citoyen de l'URSS. La trahison de la patrie : la violation du serment, le passage à l'ennemi, le préjudice porté à la puissance militaire de l'État, l'espionnage sont punis selon toute la rigueur de la loi comme le pire forfait.
Titre XI
Système électoral
Article 134.
Les élections des députés à tous les soviets de députés des travailleurs : Soviet suprême de l'URSS, soviets suprêmes des Républiques fédérées, soviets de députés des travailleurs des territoires et régions, soviets suprêmes des Républiques autonomes, soviets de députés des travailleurs des régions autonomes, soviets de députés des travailleurs des districts, rayons, villes et localités rurales (stanitsas, villages, hameaux, kichlaks, aouls), se font par les électeurs au suffrage universel, égal et direct, au scrutin secret.
Article 135.
Les élections des députés se font au suffrage universel : tous les citoyens de l'URSS ayant atteint l'âge de 18 ans, indépendamment de la race ou de la nationalité à laquelle ils appartiennent, de leur religion, du degré de leur instruction, de leur résidence, de leur origine sociale, de leur situation matérielle et de leur activité passée, ont le droit de prendre part aux élections des députés et d'être élus, à l'exception des aliénés et des personnes condamnées par le tribunal à une peine portant privation des droits électoraux.
Article 136.
Les élections des députés se font au suffrage égal : chaque citoyen a une voix ; tous les citoyens prennent part aux élections sur la base de l'égalité.
Article 137.
Les femmes jouissent du droit d'élire et d'être élues à l'égal des hommes.
Article 138.
Les citoyens servant dans l'Armée rouge jouissent du droit d'élire et d'être élus à l'égal de tous les citoyens.
Article 139.
Les élections des députés se font au suffrage direct : les élections à tous les soviets de députés des travailleurs, depuis les soviets de députés des travailleurs des localités rurales et de villes jusqu'au Soviet suprême de l'URSS, se font par les citoyens directement, au suffrage direct.
Article 140.
Aux élections des députés le scrutin est secret.
Article 141.
Aux élections les candidatures sont présentées par circonscriptions électorales. Le droit de présenter des candidats est garanti aux organisations sociales et aux associations de travailleurs : aux organisations du parti communiste, aux syndicats, aux sociétés coopératives, aux organisations de la jeunesse, aux sociétés culturelles.
Article 142.
Chaque député est tenu de rendre compte aux électeurs de son travail et du travail du soviet de députés des travailleurs et peut être rappelé à tout moment sur décision de la majorité des électeurs selon la procédure établie par la loi.
Titre XII
Armes, drapeau, capitale
Article 143.
Les armes d'État de l'Union des Républiques socialistes soviétiques se composent d'une faucille et d'un marteau sur le globe terrestre, baignés des rayons du soleil et encadrés d'épis, avec inscription dans les langues des Républiques fédérées : « Prolétaires de tous les pays, unissez-vous ! » Au haut des armes se trouve une étoile à cinq branches. Le rapport de la largeur à la longueur est de 1:2.
Article 144.
Le drapeau d'État de l'Union des Républiques socialistes soviétiques est une laize d'étoffe rouge, dans
l'angle supérieur de laquelle, près de la hampe, sont présentés une faucille et un marteau dorés, surmontés d'une étoile rouge à cinq branches bordée d'or.
Article 145.
La capitale de l'Union des Républiques socialistes soviétiques est la ville de Moscou.
Titre XIII
Révision de la Constitution
Article 146.
La Constitution de l'URSS ne peut être modifiée que par décision du Soviet suprême de l'URSS, adoptée à une majorité d'au moins les 2/3 des voix dans chacune de ses chambres.
Mangez la la constitution Soviétique
Je prend l'Autriche
Autriche
Aujourd'hui est un grand jour pour la République d'Autriche, le Président Ernest von Höwer vient d'être élu Président. L'hymne nationale "Land der Berge, Land am Strome" a retenti sur toutes les télévisions autrichiennes.
L'Österreich (Autriche en allemand) possède 8,5 millions d'habitants. Sa capitale est Vienne.
Le nouveau Président fédéral se veut conservateur et surtout anti-fédéraliste. Il veut recentraliser les pouvoirs et abandonner l'état fédéral avec ses régions autonomes qui défavorisent une Autriche uni. C'est pourquoi Von Höwer va promulguer des lois pour recentraliser le pouvoir. En abandonnant la fédéralisation du pays. Cela ne plaira pas à l'UE qui se veut pro-fédérale. La lois de recentralisation a été acceptée par le conseil national autrichien (composé de 183 siège). Cette lois dissout les 9 états fédérals qui composaient l'Autriche. Ses régions resteront en place mais seulement au niveau administrative et touristique. Ainsi les gouverneur des états se verront accorder une place de conseiller régional à Vienne auprès du gouvernement.
La croissance autrichienne se porte bien et la crise ne l'affecte que peu. L'ancien ministère avec décidé de licensier de nombreux militaires à cause de la neutralité autrichienne reconnut en 1955 par des lois. Cette lois va tomber en désuète a annoncer le Président, le monde a besoin d'être protégé et l'Autriche se porte volontaire pour aider les autres pays du monde.
La lois du ministère de la Défense adoptée en 2014 sera annulée (le "Strukturpaket 2018″, un nouveau plan de restructuration des armées) qui devait licensier les militaires et vendre de nombreux équipements. Il a été décidé de ne pas en tenir rigueur et de l'annuler. Pour cela la société Steyr reprendra ses activités de fabrication militaire. La branche Puch cédée aux italiens ne sera pas rachetée, seul branche qui ne reviendra pas à Steyr, c'est la branche moto de Steyr. La branche des productions d'armes Mannlicher est resté à Steyr et ne sera pas vendu comme le prévoyait la lois. La division moteurs de Steyr est devenu indépendante et une fusion avec la réunification de Steyr sera mise en place, nous rassurons les russes avec qui Steyr a beaucoup d'accords, les accords seront renouvelés et resteront suite à la fusion.
La branche automobile est aux mains des américains, pour cela nous allons racheter la société pour la faire fusionner. A la fin nous nationnaliserons la société Steyr qui emploiera beaucouo et vendra sa production à l'étranger.
Ensuite la dernière mesure du gouvernement ce mois-ci sera de nationnaliser les société d'autoroutes et routières. Le projet sera rentable au bout de 2 ans vu l'intense trafic en Autriche, porte de l'Allemagne et de l'Italie, marche de l'Europe de l'Ouest.
Les projets de nationnalisation coûteront 800 000 millions d'euros mais le gouvernement rassure, la lois (annulée) sur la démilitarisation avait fait économiser 200 000 millions, qui serviront dans ces projets.
Je prend l'Algerie
L'Algérie (prononcé [al.ge.ʁi ] Prononciation du titre dans sa version originale Écouter), en arabe : الجزائر (al-Jazā'ir)Note 3,Note 4 ; en tamazight et arabe algérien : الدزاير (Dzayer), الجازاير (Djazaïr) ou لدزاير (Ldzayer) ; en tifinagh ⵍⵣⵣⴰⵢⴻⵔ (Lezzayer), est un pays d’Afrique du Nord qui fait partie du Maghreb ; et, depuis 1962, un État nommé en forme longue la République algérienne démocratique et populaire, abrégée en RADP, en arabe الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية, en tamazight ⵟⴰⴳⴷⵓⴷⴰ ⵜⴰⵎⴻⴳⴷⴰⵢⵜ ⵜⴰⵖⴻⵔⴼⴰⵏⵜ ⵜⴰⵣⵣⴰⵢⵔⵉⵜ (Tagduda tamegdayt taɣerfant tazzayrit). Sa capitale, Alger, est située dans le nord du pays, sur la côte méditerranéenne. Avec une superficie de 2 381 741 km2, c'est à la fois le plus vaste pays d'AfriqueNote 5,8, du monde arabe et du bassin méditerranéen Il partage au total plus de 6 385 km de frontières terrestresNote 7, avec la Tunisie au nord-est, la Libye à l'est, le Niger et le Mali au sud, la Mauritanie et le Sahara occidental au sud-ouest, et enfin le Maroc à l’ouest. Après cent trente-deux ans de colonisation française, à l'issue d'une guerre d'indépendance longue et meurtrière et à la suite du référendum d'autodétermination du 1er juillet 1962, l'Algérie proclame son indépendance le 5 juillet 1962.
L’Algérie est membre de l'Organisation des Nations unies (ONU), de l’Union africaine (UA), du Mouvement des non-alignés et de la Ligue arabe pratiquement depuis son indépendance, en 1962. Elle a en outre intégré l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) en 1969. En février 1989, l'Algérie a pris part, avec les autres États maghrébins, à la création de l'organisation de l’Union du Maghreb arabe (UMA). Le pays a également rejoint l'Union pour la Méditerranée en 2008.
La Constitution algérienne définit « l'islam, l’arabité et l’amazighité » comme « composantes fondamentales » de l'identité du peuple algérien et le pays comme « terre d’Islam, partie intégrante du Grand Maghreb, pays arabe, méditerranéen et africain
Nouvelle Nation Unie d'Abraham
Énergie
-Pétrole de synthèse :
[1] http://www.slate.fr/lien/63555/petrole-air
Les ministres de l'industrie et du développement durable ont notifié un projet provenant de l'Université Hébraïque de Jérusalem renommée Université Abrahaméenne de Jérusalem provenant d'une équipe d'ingénieurs de très haut niveau composée de vingt-huit personnes ayant repris directement le projet d'une autre équipe d'ingénieurs britanniques qui avaient déjà réussi un exploit et une grande avancée dans le domaine des sciences et des hydrocarbures. En effet [1], cette équipe avait déjà réussi à développer une méthode n'utilisant que de l'air et de l’électricité, pour le rappel : c'est en 2012 qu'ils avaient réussi à créer un filtre capable d’extraire le carbone naturellement présent dans l'air pour le mêler à de l'hydroxyde de sodium ou soude caustique (qui se produit la fin du XIXe siècle avec l'avènement de l'électricité qui permet la production directe de soude par électrolyse d'une solution aqueuse de chlorure de sodium, dont les deux compartiments d'électrode sont séparés par une membrane évitant la migration des gaz dissous..) la formule se présente comme ceci :
2 NaCl aqueux + 2H2O → 2 NaOH aqueux/sub>+ Cl2 gaz + H2 gaz
Le mélange de ce carbone avec la soude caustique ainsi produite par électrolyse produit du dioxyde de carbone pur. De l’hydrogène est ensuite produit grâce au même procédé d’électrolyse appliqué à de l’eau captée grâce à un déshumidificateur. Puis l'hydrogène et le dioxyde de carbone pur sont mêlés pour produire de l'alcool méthylique qui est ensuite catalysé et transformé en une essence qui est compatible avec tous les types de voiture sans transformation aucune du moteur de cette dernière. Ce carburant est produit sans la moindre émission de carbone directe et pourrait même l'être totalement si l'électricité nécessaire était produite par des centrales solaires ou éoliennes par exemple (ce qui va prochainement être largement développé en Nouvelle Nation Unie d'Abraham. Selon Peter Harisson, le directeur de l'entreprise britannique responsable de la production de ce pétrole de synthèse, les bénéfices pour l'économie britannique auraient été énormes si ils avaient adopté son nouveau carburant bien qu'il soit pour l'instant plus cher à produire que le pétrole fossile, le baril de pétrole fossile coûterait en moyenne 52.67 $ à l'heure actuelle et le baril d'alcool méthylique issu de ce procédé coûterait lui 60.92 $. L'équipe de l'UAJ aurait réussi à optimiser les plans d'une raffinerie de ce pétrole de synthèse pour qu'il produise des barils avec le même procédé pour un prix de vente de départ de 59.52 $ le baril, soit toujours 6,87$ de plus que le baril de pétrole fossile mais à terme que ce pétrole aura fait ses preuves les économistes ont évalué que son prix de production serait en dessous du prix du baril fossile... C'est une incroyable révolution dans le domaine des hydrocarbures.
Le gouvernement Abrahaméen totalement conquis par ces chiffres a prévu de construire pour l'instant sept raffineries de ce pétrole de synthèse dans le district du Néguev. Elles produiront chacune 100 000 barils de ce fameux carburant par jour et pourront ainsi fournir du pétrole à tout le pays sans avoir à en importer un seul baril des pays voisins ni de tout autre pays d'ailleurs et même en en produisant un excédent de trois-cent milles barils qui seront ajoutés aux réserves de l'état . Elles seront bien entendu protégées par dôme de fer avec un système de défense radars installés pour éviter tout attentat et protégés par des troupes spéciales et des véhicules qui patrouilleront. Ce projet coûtera à l'état la somme énorme de 12 milliards de dollars, les raffineries coûtant énormément d'argent à construire en raison des très hautes technologies qui y sont présentes et au vu de leur taille imposante. Cela représente plus d'un tiers du budget total de l'industrie dans le pays. Ces raffineries utiliserons chacune deux-cent employés chargés de vérifier et surtout de surveiller les différents secteurs afin d'assurer une qualité du produit final excellent. et immédiatement prêt à l'usage.
État d'Alaska.
« North to the futur »
Alaskan Independence Party
L’Alaskan Independence Party (AIP) est un parti politique de l'État américain d'Alaska. Il fut fondé dans les années 1970 afin « d'obtenir l'indépendance et d'établir un gouvernement responsable devant les citoyens ». Il appelle à un contrôle total de l'Alaska de son propre territoire.
Il est favorable a la possession d'armes, à l'interdiction du mariage homosexuel, et souhaite une diminution de l'intervention du gouvernement dans la vie privée des citoyens, se référant aux textes fondateurs des États-Unis. D'inspiration libertarienne, le parti participe aux élections en Alaska depuis 1970.
Joe Vogler a commencé à contester en 1973 la validité du vote de 1959 ayant permis l'adoption du statut d'État pour l'Alaska. Il commença cette année-là à faire signer une pétition pour soutenir lasécession de l'Alaska des États-Unis. Vogler affirma à l'époque dans Alaska magazine avoir recueilli 25 000 signatures en trois semaines (sur une population de l'Alaska à l'époque de 300 000 habitants).
Au cours des années 1970, Vogler fonda Alaskans for Independence pour poursuivre activement la sécession de l'Alaska. En 1984, il fonda l'AIP pour étudier si le vote de 1958 des habitants de l'Alaska, autorisant la transformation en État américain était légal.
Vogler dit alors « Je suis un Alaskan, pas un Américain, l'Amérique et ses foutues institutions ne me sont d'aucune utilité » (I'm an Alaskan, not an American. I've got no use for America or her damned institutions.)
Vogler sera le porte-drapeau de l'AIP pendant deux décennies. Il se présenta à l'élection pour le poste de gouverneur en 1974 avec Wayne Peppler comme colistier. Jay Hammond fut élu cette année-là contre le gouverneur sortant William Egan, avec Vogler loin derrière.
Baisse du budget militaire et policier alaskain.
Bill Walker, le gouverneur de l'Alaska, a décidé avec ses conseillers, de baisser le budgets des forces Alaskaines. Cette décision ne plaira pas forcément à tout le monde, particulièrement aux militaires et aux policiers. Le gouverneur a déclaré que cette action était nécessaire pour que l'économie de l'Alaska reste stable et prospère.
« Nous ne devons pas rester les bras croisés face à la crise que nous connaissons depuis 2008, nous prendrons le risque d'appliquer des décisions qui ne plaireront pas à la majorité pour le bien de l'Alaska ! »
Nertovolesque02
MP
Citer Blacklister Alerte 01 mars 2015 à 13:52:29
Encore le MNT, super.
Il va pas durer longtemps tkt
État d'Alaska.
« North to the futur »
Réponse pacifique des forces Alaskaines.
Quelques temps après la décision du gouverneur au sujet du budget des défenses Alaskaines (Policier, militaire, pompier etc...), une grande grève policière eut lieue, les policiers refusèrent donc de travailler et manifestèrent en marchand toute la journée dans Juneau.
Malheureusement, qui dit grève policière dit montée de la criminalité. La majorité des policiers étant en train de manifester, ceux qui restèrent travailler furent débordés, plusieurs vols et agressions eurent lieues pendant la journée de grève.
Pendant ce temps, les militaires alaskains créèrent un mouvement pacifique nommé l'Alaskan Patriotic Movement (Le mouvement patriotique alaskain - APM), ce mouvement est censé lutter pour un Alaska indépendant et non soumis à l'impérialisme américain qui depuis trop longtemps profite de l'Alaska pour son pétrole mais ne s'occupe pas de ses citoyens et de ses soldats.
Concernant la décision du gouverneur, les soldats et les policiers lui demandent de revoir le budget de la défense.
Un policier Alaskain.
« Mon salaire était déjà très bas, mais depuis ce changement, je ne pourrais plus subvenir aux besoins de ma famille, je pense que ce sera le cas pour de nombreux autres policiers et soldats Alaskains. »
Après cette journée de manifestation, tout est redevenu normal, bien que les forces de l'ordre ont le moral en baisse.
L'APM s'est allié avec l'Alaskan Independence Party pour former l'Alaskan Independence Party - AIP.
Réponse du gouverneur
Grâce à la manifestation, le gouverneur a accepté de relever un peu le budget de la défense, même si il sera toujours plus bas qu'avant. Certains disent que ce n'est toujours pas assez mais d'autres sont satisfaits, les avis sont très mitigés.
Union des Républiques Socialiste Soviétique
Réaction aux volontés indépendantistes de l'Alaska
Le Soviet Suprême félicite le peuple alaskien pour sa prise de conscience. L'Alaska n'est séparé de l'URSS que de quelques brasses de l'eau du Détroit de Béring et pourtant un gouffre nous sépare. Il est des meilleurs choses qu'il arrive au peuple alaskien de décider d'en finir avec la puissance coloniale américaine qui les méprise et les utilise comme main d'oeuvre pour extraire le pétrole. L'URSS est prête à aider ses frères alaskien contre l'Impérialisme américain.
République Indienne
Suite au retour de l'URSS, et dans la crainte d'une nouvelle guerre froide, L'Inde à décidé de rester neutre.
Notre pays est donc un "non aligné". Nous ne nous soumettrons ni Au Américains , ni aux Soviétiques.
à République Fédérative du Brésil
Notre pays souhaiterais commencer à entretenir des relations diplomatiques avec Le Brésil.
Notre président se rendra si vous l'acceptez à Sao Paulo.