Duché de Salerne
1072 - 1074
Duc (duchesse) actuel Amadeo Tellhart (19 ans)
Population 126 800
Armée professionnelle 780
Religion Catholique romain
Soulèvements menés par Goffredo Tellhart
''On raconte parmi les nobles et parmi les rustauds depuis quelques mois déjà que le frère du Duc, Goffredo, est de plus en plus agacer par la politique de son grand frère. Il adopta d'ailleurs un nouveau blason en 1056. Rapidement remarqué, il fut hâtivement interdit. Cependant Goffredo continuerait, selon les dires de certains, de l’utiliser, et même de monter d’affreuses machinations contre le Duc. Louis IV déclare officiellement que se ne seraient que des faussetés de bas niveau.
Le blason interdit est d'ailleurs devenu le symbole de l'opposition.''
Il y a 14 ans déjà on racontait l'oncle de l'actuel Duc, Goffredo Tellhart (40 ans), complotait contre son frère aîné (alors Duc) Louis IV. La vision de la situation était certes un peux simpliste mais exact. Goffredo est le deuxième et dernier fils de Giulo II Tellhart (998-1050) et de Sara Corciua (1002-1048). Il est connu pour son agressivité et sa ruse, il étonna d'ailleurs son propre père, le Duc de l'époque, et son frère aîné, le Duc subséquent. Cependant il n'est pas totalement cruel, et il sait se montrer plaisant parfois. Louis IV prit son rôle de Duc en 1050, dès lors on raconte que Goffredo éprouva une profonde de haine envers sa politique, surtout envers sa façon de gérer les affaires internes, le cas des bandits par exemple. Il complota dans l'ombre, non pas pour renverser son frère, mais pour se créer un cercle de partisans anti-Louis IV. En 1052 on condamna à mort cinq de ses prétendus partisans à Salerne. Il se fit discret jusqu'à l'hiver 1054 où on l'accusa d'avoir, avec ses partisans, tenté de prendre certains bâtiments stratégique au Sud-Est du Duché. En 1055 Goffredo accusa son frère le Duc d'avoir tenté de l’assassiner quand il se rendait à Salerne, selon lui une vingtaine de soldats attaquèrent son convoi et s'en suivit un terrible affrontement opposant les assassins au gardes de Goffredo. En 1056 il adopta son propre blason, devenu le symbole de l'amer opposition au Duc¹. Il monta en secret une révolte sanglante visant à détruire le pouvoir en place et prendre la place de Louis IV. La mort du Duc en 1070 perturba les plans de l'agitateur. Après un Duché rapidement géré par la sœur de l'héritier, Bibiana Tellhart (1048-auj) c'est son frère, Amadeo, qui devint le Duc de Salerne. Ce sont ces événements qui précipitèrent les actions violentes de Goffredo.
Et c'est ainsi que débuta en avril 1072 d'abord deux, puis six soulèvements armés contre l'autorité. Les partisans de Goffredo espérèrent une solution à leurs problèmes (agricoles, sanitaires et aussi sécuritaires), et c'est pour ça que l’essentiel de son armée est composé de paysans, mais aussi de quelques dizaines de soldats professionnels ayant tournés le dos à Amadeo. Goffredo participé à tous les combats sur son cheval² épaulé par ses trois généraux, Anastasio Guglielmani (1028-auj), Desiderio Lupi (1029-auj) et Giraldo Pireda (1022-auj). Son armée de rebelles était au départ composé de 2800 hommes, mais le moi suivant on comptait malgré deux affrontements fortement violent 3200 hommes. Goffredo en recrutait continuellement. Le premier affrontement opposa les 2800 hommes de Goffredo aux 120 hommes de Marino Pasi, prit par surprise ils se firent battre malgré un combat bien géré par les soldats de Marino. Goffredo perdit 560 hommes, tandis que Marino en perdit entre 50 et 60 hommes, Marino avait réussi à s'enfuir et à traverser une rivière fortement agité, bloquant l'importante armée rebelle. Huit jours plus tard Amadeo leva une force de 4000 hommes, dont 280 soldats professionnels et rencontra son oncle Goffredo sur le champs de bataille. La bataille³ se solda par une défaite des troupes de Goffredo. Cependant les forces rebelles s’emparèrent d'un morceau de terre conséquent, et, simultanément des soulèvements armés orchestrés par Goffredo embrasèrent le Sud et le Sud-Est du Duché.
Actuellement à l'aube de l'année 1074, après deux années de conflits interne Amadeo met en place une strategie d'ampleur afin de reprendre les terres perdus et de capturer Goffredo et ses plus grands partisans.
Situation :
¹
²
³
Ça bide grave ici
ça va reprendre tqt mais tu peux poster
Al-Murabitun - les Almoravides
~ Réponse au sublime Califat :
Salam 'aleikum wa rahmatullahi wa barakatouh,
Cher Calife, nous vous souhaitons le plus agréable règne possible et que vous rencontriez le même succès que vos prédécesseurs aussi bien sur le plan militaire que sur le plan intellectuel. Nous ne désespérons pas que votre frère 'issa soit un excellent grand vizir pour vous assister dans toutes vos tâches. Nous profitons d'ailleurs de votre accession au trône pour affirmer l'allégeance du Sultanat Almoravide ainsi que celle de ses quatre gouvernorats à la dynastie régnante du sublime Califat légitime successeur du Califat bien guidé. Nous espérons vous rencontrer au plus tôt insha allah.
~ LE PAIN :
Dans certaines régions, la nourriture venait de plus en plus à manquer. Ainsi , dans les gouvernorats du Sahara et du Maroc en particulier, les habitants des classes inférieures se retrouvaient souvent à faire des métiers pénibles et à manquer de nourriture en fin de journée. Même si aucune famine ne sévissait, il était clair qu'une plus juste redistribution de la nourriture et une meilleure production alimentaire allait être de mise dans ces régions en particulier. Concernant le Maroc, le gouvernorat Algérien se situant juste à côté et étant un véritable grenier à nourriture pour tout le Sultanat devait déjà fournir une quantité importante de nourriture grâce à la collectivisation agricole en vigueur dans tout l'Empire. De plus, les régions fertiles du Maroc ont été investies par d'importants colons Cordouans souhaitant apporter leur savoir faire historique des grands ouvrages dans ces régions qui manquent souvent d'installations modernes ou même tout simplement d’exploitations. Autrement, l'élevage traditionnel régional de la chèvre est encouragé en plus de l'import de vaches Asturiana de los Valles qui sont une race très utile pour la production de lait. Des fabriques de yahourt seront ensuite construites dans les régions de l'Atlas ainsi que quelques ateliers fromagers avec le chèvre. La production des éleveurs de chèvres, de vaches et des agriculteurs sera prélevée à 20% et à 70% pour les gros propriétaires pouvant largement s'auto-suffir. Ces denrées seront ensuite redistribuées équitablement à ceux qui en ont le plus besoin à raison d'une sacoche remplie d'un petit fromage, d'une gamelle de yahourt et de différents produits (olives, raisins, farine ou pain complet) par jour afin de pouvoir nourrir le peuple dans cette région.
Concernant le gouvernorat du Sahara : la faible population justifie le peu de moyens de production mais néanmoins : les côtes de cette région comptent parmi les plus poissonneuses du monde et ainsi des bateaux de pêches plus modernes, des quais avec de petites grues et des stocks salins seront construits en plus d'entrepôts pour le stockage et l'exportation de la pêche. Des ateliers de fumage seront également bâtis pour pouvoir fumer le poisson et ainsi lui donner un meilleur goût. Mais ce n'est pas la seule denrée produite par cette région : les bananes et les dattes ainsi que quelques céréales sont produites autour des quelques oasis de la région de Idjil et ils seront également monopolisés pour la production de nourriture et modernisés par d'anciens Lions de Cordoue devenus de bons ingénieurs agricoles durant les grands ouvrages. Ainsi dans une démarche similaire à celle au Maroc : une sacoche sera distribuée dans des dispensaires présents dans la plupart des soupes populaires déjà existantes avec en sa contenance quelques dattes, une banane, du poisson fumé et quelques biscuits d'orge ou un autre produit céréalier. Autrement : les hommes noirs du Sud du gouvernorat sont mobilisés pour l'exploitation des mines de cuivre et de fer situées plus au Nord. Ils ont été choisis en raison de leur robustesse et de leur force à toute épreuve pour travailler dans ces mines. Ils seront bien rémunérés (de quoi vivre décemment dans les villages de mineurs qu'ils devront construire sur la base de plans donnés par le gouvernement incluant un campement, une auberge, un dispensaire de nourriture, une mosquée et une petite chapelle éventuellement).
Le Sublime Califat
https://youtu.be/36sO84Hq6kw?t=13s
L’Armée De L’Empire Musulman Du Sublime Califat
I – L’Armée Régulière Fonctionnement, administration, gestion ….
« Nous, Fiers musulmans de Tout l’Empire ,prêtons serment Au calife en ce jour et a jamais , nous servons l’émir des croyants , par les armes et le courage nous vainquons l’ennemi , nous sommes les murs de l’empire et son cœur battant , la lumière aveuglante dans les ténèbres sanglants, nous nous relevons toujours et ne cédons jamais jusqu’à ce que l’ennemi soit mort et enterré.
-Takbiiiirr
-Allah Wakbar !!
-LILLAH LILWATAN LILKHALIFAH !!
Le Soldat Du Califat est un citoyen (non esclave ou prisonnier) , né pauvre ou orphelin ou de n’importe quel classe social ethnie ou rang … il entre jeune dans l’armée…
A 15 ans il est formé pour être soldat, l’armée le nourrit le loge et le forme
Jusqu’à 20 ans, il s’entraine dans les portes du désert de Dasht e Kabîr il est donc très aguerri
Mais chaque soldat est unique….
Tout d’abord a leur arrivée ils passent des tests de tir à l’arc, d’adresse, de lutte, d’équitations
On remarque déjà, les futurs Archers, Cavaliers ou Fantassin notons que certaines ethnie sont prédisposé dans un domaine
Les commandants et les généraux sont des nobles ayant suivi une formation de commandement a Chiraz a l’université impérial et la plus réputé au monde
Mais un enfant du peuple peut devenir commandant pour ses faits d’arme ou sa contribution a la gloire de l’Empire
L’entrainement du soldat passe par le physique ils sont entrainé a se surpasser mais on tient compte aussi de leur dévotion, rien n’est acquis et tout est a prouvé
Les soldats sont ensuite acheminé a leurs casernes respectifs
Caserne des fantassins
Caserne des cavaliers
Caserne des tireurs
Caserne du Génie stratégique et Des Armes de sièges
Chaque section contient un corps dit standard et un corps d’Elite
L’effectif total des soldats est de 80000 hommes
Catégorie tir : 17000
Archers lourds transoxian d’Elite : 7000 lourds
Portée 150 m , armure lourde
Archers légers ; portée 120m ; 5000
Archers Lourd ; Lourds ;portée 150m ; 5000
Catapultes : 70
Catégorie Fantassin / mêlée : 42000
Soldats Kashghars Extrêmement lourds , Soldats D’Elite 7000
Soldats Régulier l’Oural armure lourde : 10000
Ordre Bleu Du Khorassan : 5000 Armure intermédiaire , Soldats D’elite
Infanterie Impérial légère : 5000
Infanterie standard impérial : lourde : 6000
Infanterie d’Elite Impérial :tres lourde ; 5000
Lanciers persan du désert : intermédiaire 4000
Catégorie Equestre:
Cavaliers Nobles Du Sindh 7000 Armure legere Soldats Intermédiaire
Cavalerie Dailamate légère ; 7000
Cavalerie lourde Ghulam du khawarezm (tres lourd)(choc) : 8000
Archer-Monte Turkmen : 120m : 8000
Cavalier Lourds Perse Du Golestan 8000
Equipements :
L’équipement Impérial
Est divisé en quatre catégories
Leger
Intermédiaire / lourd
Très lourd
Extrêmement lourd
Tous les Soldats légers ont une Armure en cuir ou en plastron de lin une épée de bonne qualité et un bouclier en cuir
Tous les soldats Intermédiaires ont une armure de cotte de maille + plastron cuir
De très bonnes épées et un bouclier en fer
Tous les Soldats D’Elite ou très lourds ont une armure en cotte de maille + armure d’écailles en acier + épée en acier et bouclier en acier armée des meilleurs forges du pays
Entretiens :
Le Calife peut lever 80000 hommes
Grace a un système original
Apres leur formations les soldats reçoivent un bout de terre octroyé par l’état qu’ils doivent entretenir
La moitié de leur revenus est a eux l’autre est a la caisse de l’état , de cette façon en cas de conflit les ressources ne manqueront pas , aussi ces soldats sont recensés sur les listes et sont « appelables » a n’importe quel moment.
Fermiers en temps de paix bouchers en temps de guerre
Retraite :
Les soldats bouyides sont retirés des listes a 40 ans a partir de ce moment ils peuvent garder la terre qu’ils ont exploité tout ce temps.
Et soit fournir un fils a l’armée soit continuer à verser la moitié des revenus jusqu’à la fin de leur vie
Hiérarchie :
General d’Armée suprême : Calife
Généraux de l’armée : nobles, famille royal
Commandants : noble ou peuple
Soldats : peuple
A noter que les gardes du palais et les gardes personnels du calife ainsi que l’ordre des Soldats d’Allah n’est pas compris ici
Ordres sacrés
Jasus
/!\ tres peu d’information / !\
Equipement : légers et masqué
Formation Au combat : Très Dangereux
Role : Corruption , assassinat , renseignements , espionnage
Les Soldats D’Allah
https://www.youtube.com/watch?v=BKOIb2efaPc ( A écouter pendant la lecture )
Ils s’élèvent des ténèbres a la lumières les voici, les serviteurs du Tout puissant
« Combattez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d'ignominie, vous donnera la victoire sur eux et guérira les poitrines d'un peuple croyant. » V.14 S9
La menace chrétienne de plus en plus proche, les souverains musulmans se sont unis pour créer un contingent de soldats adapté a ce problème : l’ordre des Soldats d’ Allah …
Né pauvre ou riche, beau ou laid, gros ou mince, grand ou petit, cela importe peu
Engagé volontaire A vie ces soldats suivent un entrainement de démons
Ils sont emmenés en pleins désert pendant quelques mois ou ils doivent pour survivre manger ce qu’ils trouvent, scorpions, serpents, et animaux de tout genre, l’eau est néanmoins fourni , puis ils sont enterré jusqu’à la tête et laissé ainsi 1h au soleil les plus faibles vomissent ou s’évanouissent , c’est là que l’on remarque les futurs meneurs et chefs de groupes , puis après ces épreuves « préliminaires » pour tester leur mental
ils sont emmené a Bagdad ou ils apprennent a se battre avec les gardes royaux qui ne leurs font pas de cadeaux la nuit avant de dormir, ils apprennent une sourate ou une partie du coran, si ils ne l’apprennent pas l’instructeur leur arrache la langue
-Si vous ne récitez pas le livre sacré vos langues ne servent a rien …
Ils suivent ainsi ce traitement, leurs épreuves s’enchainent … Topographie, science du terrain …commandement…Sciences des Sièges …
Jusqu’à l’épreuve finale…
-L’épreuve Finale
Chaque Soldat doit pour réussir ce test, tuer son frère d’arme avec lequel il s’est entrainé a souffert et a partagé ces moments… Seuls les meilleurs des meilleurs seront gardés
ainsi de 600 volontaires seuls 300 sortirent
Pour éviter toute liaison ou mariage les visages sont brulés à l’acide
Ainsi vitrioler et privés de leur visage ils n’ont aucune identité ils ne se marient pas, mais bénéficient d’un accès illimités aux maisons de plaisir..
Leur masque d’or est un Symbole de force , Symbole de réussite , il sert a cacher un visage humain , pour en faire voir un autre…
Ces soldats ont été formé pour les chrétiens ils n’ont aucune pitié et servent le calife jusqu’à la mort
Ils sont équipés des armures les plus robustes jamais conçus et des épées aussi tranchantes que des lames
Cette menace est réel et les chrétiens devront y faire face un jour ou l’autre
Les Soldats d’Allah n’attend que les ordres de l'Emir Des Croyants
Pour Tuer ....
Royaume du Pays de Galles
Andrew venait seulement de sortir du château de Degawny par une porte dérobée qu’il se mit à pleuvoir abondamment. Il faisait nuit noir même s’il n’était pas encore très tard. Il sortit du quartier lisse de la forteresse avant d’entrer dans celui plus rugueux du marché malfamé.
Il avait seulement fait quelques pas quand il entendit une voix rauque et graille criez un lancinent
« DEGAGEZ, DEGAGEEEEEEEEZ ! »
Il tourna la tête pour voir un vieil homme, édenté, une lanterne à la main la secouant comme un balançoire d’avant en arrière.
« Dégagez, dégageeeeez, faites place ! Faites place au grand-duc ! »
Il le regarda sachant qu’il n’y avait plus de grand-duc depuis longtemps mais quelque chose le faisait rester là. Il vit passer l’homme devant lui car étrangement les gens faisaient ce qu’il voulait et s’écartaient de son chemin tout en ne jetant pas un seul regard comme par lassitude. Il le vit passer répétant son infatigable et sempiternelle rengaine.
Il resta plusieurs minutes ainsi à laisser son imagination divaguer avant de reprendre ses esprits et de se rediriger vers le marché. Là il passa devant plusieurs étales malfamées pour la plupart avant de s’arrêter devant un marchand de viande. Il regarda la marchandise avant de se faire interrompre par le marchand ;
« Mais c’est notre roi ! » avait-t-il crié à haute voix, de façon à ce que tout le monde l’entende.
Andrew se dirigea vers le marchand à la fois énervé et lassé avant de lui dire tout bas
« Je ne suis pas votre roi et cessez de m’importuner ! »
Et il partit sous le regard de tout le monde en remettant son capuchon qu’il avait retiré, la pluie étant couverte par l’auvent des étals. Il avait décidé de partir de Degawny là où on ne le connaissait que trop. Et une nouvelle fois, en passant par la porte, les gardes en le voyant se mirent au garde à vous. Il tenta de les ignorer mais une fois à quelques mètres des soldats qu’il venait de passer il les entendit se questionner
« C’était le roi ? »
Il se retourna et se mit à crier « Je ne suis PAS votre roi ! » avant de repartir d’un pas pressé.
Il allait là où bon lui semblait et au bout de quelques semaines, il lui sembla avoir trouvé le lieu idéal pour se reposer quelques jours car il ne faisait que dormir chez les gens qui voulaient bien l’accueillir soit il dormait dehors généralement bien loin des routes.
Cet endroit était une cabane en plein milieu d’une clairière qui ne se trouvait pas loin elle-même de la mer. Il s’approcha, fit le tour de la bâtisse avant de s’arrêter à quelques mètres de la porte, juste en face. Il se mit à la regarder le regard biaisé par le soleil couchant se trouvant juste en face de lui.
« Elle est petite n’est-ce pas ? »
C’était un vieux monsieur, cheveux blanc, barbe mal rasée, le haut de son corps voûté et couvert par un vêtement qui devait être blanc d’origine mais qui là se trouvait gris et avec un pantalon marron quoique noir aux genoux. Il poursuivit en marchant aidé par son bâton de marche presque aussi grand que lui.
« En fait au départ je ne la prenais que parce que c’est notre lieu de rendez-vous à moi et à mon fils mais à force j’ai finis par l’aimer.
- Elle est petite mais plaisante et surtout reposante. Vivre ici doit être bien, loin des ennuis.
- Mais ne vous inquiétez pas, les ennuis je les ais. »
Il venait d’ouvrir sa porte mais n’y entrait pas continuant de parler avec Andrew.
« Mais dites-moi, vous faites quoi ici ?
- Je suis perdu et je cherche un lieu où dormir.
- Y’a beaucoup de perdu par ici. Pourtant y’a pas de raisons de se perdre, regardez autour de vous ; des plaines. A part la forêt derrière mais tous ceux qui se perdent viennent des pleines. Mais bon l’important c’est de se perdre comme disait le sage alors monsieur le perdu cherchant un toit, vous êtes le bienvenu ! »
Et il fit entre Andrew à l’intérieur en lui montrant l’endroit exigu où il devrait dormir et après quelques minutes, ils se mirent à parler.
« Vous savez c’est quoi la chose la plus intrigante que j’ai vue ?
- Non pas vraiment » répondit Andrew
- « J’étais occupé à faire ce que je devais faire quand pour une raison quelconque, je fini sur la plage. Et là je vis des cavaliers arriver avec des chevaux d’une grande classe, ils appartenaient surement à une seigneurie. Ils arrivèrent près de plusieurs types qui venaient de débarquer d’une barque. Ils arrivèrent, leur parlèrent pendant 2-3 minutes puis d’un coup se mirent à les tuer. J’ai jamais compris pourquoi ça mais je me suis caché le plus vite possible et les cavaliers sont partis aussi vite qu’ils étaient revenus. Je savais pas quoi faire des corps qui étaient là alors je les ai pris un par un et je les ai enterrés. »
Andrew comprit que c’était le fameux complot qui lui avait permis de rejoindre, sous chantage, les proches du grand-duc. Il se sentait mal à l’aise alors il voulait détourner la conversation.
- « C’est vrai qu’on voit pas ça souvent. Vous dites que vous faisiez ce que vous aviez à faire… Vous devez faire quoi exactement ?
- Je suis chasseur, je fais ça pour vivre je ne vends même pas je garde pour moi, les impôts m’oublient un peu je crois hahaha… Et je fais tout dans ce cabanon qui est le point de chute pour mon fils et moi.
- Lui aussi est chasseur ?
- Oui, tout comme moi.
- Et on l’attend là
- Exactement.
- Et sans indiscrétions, il est partit chasser y’a longtemps ?
- Une vingtaine d’années environ.
- Ha ouais !
- Comme vous dites, il était partit chasser Dheurbarth m’avait-t-il dit. Une des rares fois où il était passé à la ville, il s’était laissé embobiner par un beau discours pour aller secourir notre bon grand-duc du danger de Poweys. Et je l’attends toujours.
- Mh…
- Je fais souvent le même rêve à cause de ça je crois. Je suis à l’intérieur d’une ville. Et elle est assiégée, des projectiles pleuvent de partout y’a des trous dans la muraille… Et d’un coup, tout s’arrête. Les assiégeants s’en vont en laissant tous leurs biens précieux et leurs armes sur place. Alors moi je me réjouis, je cours vers la porte, elle s’ouvre et commence à tout ramasser. Puis je regarde autour de moi et là je vois tous les autres en train de colmater les brèches, de mettre de nouveaux pièges de réparer les murs, les enceintes. Je comprends pas moi, je leur gueule « Hé bande de con, vous foutez quoi là, y’a de l’or et des armes partout ?! Prenez les bordel ! » et là ils me répondent « On fait ça au cas où ils reviennent. »
- …
- Enfin vous devez bien rentrer chez vous non ? Si vous voulez je vais vous chercher un guide pour rentrer chez vous demain.
- Bonne idée mais à faire demain.
- Haha… Bon je vais vous laisser dormir, on n’a fait que parler de la même chose…
- Ben non on a abordé pleins de sujets différents !
- Ha non, on n’a parlé que d’une seule chose, réfléchissez.
- …
- En fait je vais chercher votre guide maintenant, il sera surement là demain à l’aube.
- D’accord. » Et quelques instants après que son hôte ait quitté le cabanon, Andrew s’assoupit.
L’homme vint le réveiller après un certain temps qu’Andrew ne savait pas quantifier.
« - Il viendra vous chercher demain, c’est pas le type de d’habitude mais il a l’air de bien connaitre le pays.
- Très bien merci.
- Dormez bien.
- Vous aussi.
- Si seulement je le pouvais. »
Et Andrew s’endormit de nouveau.
Il se réveilla de nouveau en plein milieu de la nuit. Il ne savait pas pourquoi, il se dirigea vers la porte, sortit et se mit à courir tout droit. Il se voyait de l’extérieur et s’entendais crier
« Ho ! Vous êtes là ? HOOOOOOOOOOO ! Vous êtes où ? »
Il se vit regarder devant lui l’air circonspect avant de retourner vers le cabanon en tournant parfois la tête pour toujours regarder ce qui était maintenant derrière lui.
Et d’un coup, le sol se mit à bouger. Un énorme coup comme une vibration. Un second et un dernier avant son réveil, il rêvait.
Il rêvait et s’était fait réveiller par quelqu’un tambourinant à la porte. Il avait l’impression que si cette personne continuait, il allait défoncer la porte. Il pouvait maintenant entendre que la personne disait aussi quelque chose enfin criait quelque chose.
« Y’a quelqu’un ? »
Il frappa encore à la porte.
« Hoooooo ! C’est le guide ! Debout ! »
Et il frappa, frappa, frappa la porte. Andrew qui venait tout juste de se réveiller avait encore la tête dans les vapes mais lui répondit quand même « Oui ! Oui ! J’arrive ! »
« Hooo ! Vous êtes là ? On m’a dit de venir vous chercher ! »
- Oui ! OUI ! Je suis là ! » Il voulut aller dire au revoir au chasseur mais il ne le trouva pas et sortit.
Quand il ferma la porte, il vit que son guide, un homme de grande taille habillé d’un capuchon et d’un long manteau brun qui semblait érodé par le temps, marchait déjà d’un pas bien pressé et avait une dizaine de mètres d’avance sur lui.
- « C’est vous le guide ?
- Oui c’est moi, vous voulez bien vous rendre à Degawny c’est ça ?
- Exactement.
- Alors pressons. »
Un au lait
Grand-duché de Gwynedd
https://www.youtube.com/watch?v=3FIv2Kzsy5U
Cela faisait un long moment qu’ils marchaient en longeant la côte et Andrew était 10 mètres derrière son guide car ce dernier marchait d’une marche si rapide qu’Andrew avait de la peine à le suivre. Il lança alors en criant presque
« Dites, vous croyez pas que vous marchez un peu vite ?
- C’est à vous de marcher moins lentement alors. Mais vous voulez pas rentrer à Degawny au plus vite ?
- Si, si… »
Son guide avait dit ça sans se retourner comme depuis le début. Andrew était exaspéré de marcher autant et surtout aussi vite, il n’en avait pas l’habitude même quand il marchait c’était toujours à un rythme moins élevé. Son « guide » ne décrochait toujours pas un seul à part pour répondre aux questions d’Andrew ce qui n’était pas toujours le cas.
Il se décida quand même à se lancer.
« - Vous n’êtes pas très causant tout de même.
- Vous avez demandé un guide non ?
- Ben oui.
- Alors je vous guide, si vous vouliez un homme à qui parler fallait demander autre chose.
- D’habitude les guides ils parlent.
- Je suis pas n’importe quel guide »
Pour dire cela, le guide c’était arrêté un instant, retourné, avait tourné la tête et avait regardé son interlocuteur de biais. C’était la première fois qu’Andrew l’avait vu faire ça. Lui aussi c’était arrêté un moment pour admirer ça mais aussi par étonnement.
Quelques heures après, le guide les faisait passer par un endroit à escalader. Rien de bien dangereux mais le faire allait prendre quelques minutes. Le guide était déjà en haut quand Andrew commençait seulement à franchir. Il s’osa encore à parler.
« Dans mes souvenirs c’était pas comme ça le chemin.
- Dans vos souvenirs… Vous voulez dire à l’aller ?
- Oui.
- Alors c’est bien pour ça que vous avez pris un guide non ? Pour rentrer plus vite en prenant des raccourcis. »
Et la marche continua.
Quand le soleil commença à décliner, le régent commença à se demander où ils allaient dormir quand il entendit
« Pour répondre à votre future question, nous allons dormir chez des connaissances. Vous verrez ils sont… Surprenants. »
Andrew s’en contentait et environ un kilomètre plus loin il vit une roulotte devant les bois. Ils se dirigèrent tous les deux vers sa porte quand le guide une fois devant frappa cette dernière avec son bâton de marche. Un homme aux rides creusées et aux cheveux blanc ouvrit la porte.
« Oui ?!
- On peut entrer ?
- Ha oui, installez-vous…
- Merci.
- Je vais nourrir mes poules et mon chien, faites comme chez vous. »
Et le guide en entrant retira enfin son capuchon. Andrew se rendit compte que ce fut la première fois qu’il vit sa tête en entière. Le guide aussi était vieux, cheveux blanc mais avec le haut du crane qui était vide de cheveux. Il avait les yeux bleus mais d’un bleu étrange qui ne donne pas envie d’y plonger mais de se tenir loin à l’écart. Il avait aussi le sourire un peu édenté.
C’était aussi la première fois qu’il entendait clairement sa voix. Une voix rauque et grailleuse qui semblait donner un air grave à tout ce que cette voix énonçait comme si elle était venue, surgie des profondeurs.
L’habitant de la roulotte revint.
« C’est sympa de recevoir des gens… Avant je faisais que ça ou presque. Vous restez manger ?
- Oui.
- Et dormir ?
- Aussi.
C’est magnifique tout ça ! »
Andrew qui n’avait pas encore eu son mot à dire demanda
« Vous dites avant mais vous faisiez quoi avant ? »
L’homme ria un peu, baissa les yeux comme pour se rappeler un souvenir et se mit à sourire.
« Vous savez, j’ai l’impression que les hommes s’attachent à tout. Même à la souffrance. Il y a toujours cet élan qui nous pousse à trouver du bon dans le plus immonde.
Faut que je vous plante le décor ? Faut que je vous dise les morceaux de caravane ? La forêt à côté, les bouts de bois près des arbres, loin des autres. Après la forêt c’est un univers tordu… »
Andrew ne savait pas s’il entendait sa voix répétée au loin ou s’il avait dit deux fois la fin de sa phrase.
« Avant. Avant j’étais un seigneur. Le seigneur qui régissait ces terres, celui que l’on a tôt fait de surnommer le muet. Je ne parlais pas beaucoup c’est vrai, je ne communiquais pas beaucoup mais cela m’allait, j’étais heureux, juste et aimé. Je croyais du moins. Un jour mon frère cadet arriva et au cours d’une discussion où il me domina comme d’habitude et où il me fit comprendre que je n’étais plus l’homme de la situation, que je devais lui laisser le pouvoir et partir.
Ainsi j’ai tout laissé, le pouvoir, le château, mon aimée pour cette roulotte.
La roulotte c’est chez moi maintenant il fait froid mais au moins ils ne sont plus là eux. Ceux qui jugent. Ceux qui donnent une ligne à suivre. Ceux qui m’ont enfermé pour mon intimité trop odieuse.
Ils oublient que chacun a sa vie souterraine, intestine, une vie que l’on ne se réserve qu’à soi faite de grimaces dans la glace, de pratiques clandestines.
Avant c’était un quotidien de jeux sur sa peau… Vous êtes humains vous aussi et votre peau comme la mienne a du manquer d’une autre peau. Vous êtes humains vous aussi et votre peau comme la mienne a du manquer d’une autre peau… »
Cette phrase semblait être un écho qui passait dans la tête d’Andrew.
« Sans elle la nuit est trop seule et la sueur malsaine. Etrangement les jours passent et la veille n’a rien apporté et le lendemain de servira pas, j’aurais toujours besoin qu’elle promène ses mains dans mes cheveux et qu’elle me prenne la nuque.
Mais je n’ai plus que moi et personne ne discute mes gouts, personne me dit habille toi comme ci ou comme sa fait ci ou fait ça.
J’aimerais encore subir sa parole, l’écouter bêtement, être son pantin, son jouet et ne plus avoir à réfléchir. J’aimerais me coucher à ses côtés et dormir ! Sereinement… Tranquillement…
Je m’invente mille espoirs, mille histoires croisant des femmes du genre de celle du château qui en sorte heureuses de leurs actions. Les inviter chez moi à boire un verre, leur offrir et qu’elles y posent leur lèvres, leur mentir ma vie et qu’elles quittent leur mari pour moi…
Mais elle est partout et je n’ose plus rien, elle est partout et je n’ai que les mots de la politesse pour moi ! Les bonjours, les merci, les au revoir ! Je ne sais plus ce qu’il faut dire, comment se tenir, j’ai oublié les codes.
La solitude a tout vidé.
Je n’ai plus que des souvenirs au mur, des moments avec elle, quand je lui jouais du piano, quand nous étions avec des amis, nous tenions même des conversations et tout allait très vite. Parfois on pouvait rester au lit longtemps ! De ce temps-là je voudrais juste un instant.
Pour le chérir, l’entretenir à mes yeux, le faire durer le plus longtemps possible, juste un instant, pour peser moins lourd. J’en suis là, à viser le minuscule, à caresser sans cesse son absence, avoir cette femme pour un jour ! Cette petite joie me suffirait et comme un enfant je croirais qu’on vient de m’offrir du bonheur. Cette petite joie me suffirait. Je m’en contenterais.
Je m’en contenterais !
Mais je ne peux pas, alors je m’abaisse à ce que je peux. Ce que préfère c’est le soir aller devant ma roulotte et m’asseoir avec mon chien le silence et mes poules. Tous les trois on regarde les lumières scintiller au loin. Un carnaval beau et muet, tout pour plaire au silence de mon amour mort.
On imagine ces pieds là-bas qui vont vite avec leurs possesseurs tous dans la course. On les sent qui bavardent sans cesse, qu’ils s’évertuent à rendre le monde plus cru, dur. Ca piaille au lieu de laisser parler leur silence, ça se donne de la forme.
Ces gens, ils sont comme mes poules, ils gloussent, n’ont rien au fond des yeux, ils sont dans les choses jusqu’au cou, on jette du grain ils accourent et pourtant ce sont eux qui me traitent de sauvage.
Ils n’ont pas compris que ça ne sert à rien d’être une vague qui avance qui avale mais qu’il faut écouter ces silences, rester en suspens au-dessus, regarder le monde s’engloutir, ne pas le couler mais trouver le contretemps, être le sillage seulement.
Ces gens qui s’éreintent tentent de fuir leur malheur, ils se donnent du mal au lieu d’écouter leur silence.
Laissons le parler… »
Et la lumière dans ses yeux s’éteignit peu à peu qu’il les baissait.
« Vous devez être fatigués, allez dormir il vaut mieux pour la route. »
Et c’est ainsi que Andrew et le guide qui avait un sourire aux lèvres s’en allèrent dormir et le lendemain s’en allèrent en disant au revoir.
Le Sublime Califat
Ahmed Le Sage
Durant ces Années de règne Ahmed se montra digne de la tâche qui lui était incombé il Avait continué sur la voie du savoir de la puissance et de la prospérité mais Ambitieux il créa bon nombre de lois qui Allait satisfaire un tout un chacun tout en donnant satisfaction a la caisse d’etat d’abord pour éclaircir ses plans il réunit ses vizirs Et demanda
-Que chacun ecrive sur un papier la taxe qu’il deteste le plus
Chaque vizir écrivit a la fin toutes les taxes etaient sorti c’est alors que le Calife s’esclaffa
- Voyez comme vous détestez tous les taxes des Autres
Il ordonna Alors la Création de 2 caisses d’état une religieuse et une royal
Expliqua a son conseil Son plan
et le mit a exécution il rajouta toutefois qu’en cas de guerre les deux caisses seraient alors réuni pour le bien de la nation
après des semaines de travails le Calife sorti un décret que les Crieurs publique chantaient tant ils contentait le peuple par sa grace
بسم الله الرحمان الرحيم
Min Amir Al mo minin
Del’Emir Des croyants A son peuple
O peuple j’ai Entendu tes souffrances et tes inquietudes quand les soirs d’hiver ton ventre criait famine dans le Royaume des justes saches que tes vœux sont exaucé Aujourd’hui chaque citoyen paye une taxe qui lui est propre les non musulmans payent la jizya , les musulmans donnent leur Sadaqa et Zakats afin qu’ils soient redistribué plus equitablement dans tout le Royaume , les Soldats donnent un fils ou la moitié de leur récoltes et enfin les marchands payent une taxe de passage quant a votre famille sauf les Soldats elle octroie la moitié de ses revenus a l’etat Ainsi cher peuple vous Avez la moitié et l’etat a la moitié il veille par la grace d’Allah a la prospérité du Royaume sachez que tout ce que vous donnerez il vous le seras rendu dans maintes edifices religieux et ou infrastructures
Qu’Allah vous garde
Royaume du Pays de Galles
https://www.youtube.com/watch?v=TqlntkL9zDY
Cela faisait un bout de temps que les deux marchaient et la situation de départ s’était inversée, Andrew marchait avec plusieurs mètres sur celui qui lui servait de guide. Celui-ci semblait subir la marche d’Andrew. Il se mit à parler ou plutôt à crier au vu de la distance et du fait qu’Andrew était perdu dans ses pensées.
« Vous marchez drôlement vite non ? »
Andrew s’arrêta net et regarda son interlocuteur avec dédain puis recommença au même rythme.
« - C’est vous qui dites ça ?
- Et puis attendez-moi ! Attendez-moooooooooi, soyez pas ridicule !
- Vous vous foutez de moi là ?
- Comment ça ?
- A propose de vos « connaissances »
- C’est de ma faute si vous causez le malheur dans tout le pays ? »
Et Andrew repartit de nouveau d’un pas plus ferme plus décidé que jamais.
Quelques heures plus tard à l’approche d’une colline, le guide se mit à marcher plus vite mais avec une aisance bien moindre que celle avec laquelle il marchait normalement. Il avait rattrapé Andrew.
« - Estimez-vous heureux, c’est la dernière de mes fameuses connaissances là-bas.
- On ferait mieux de continuer.
- On a pas mal marché aujourd’hui et je trimbale pas un malade.
- Mais je suis pas malade.
- Allez venez »
Il avait dit ces mots en avançant déjà ne laissant que peu de choix à Andrew. Au sommet de la colline, il s’arrêta pour attendre Andrew et une fois que ce dernier fut arrivé il attendit sa réaction.
Andrew arriva, regarda et poussa un soupir.
« C’est quoi ça ?
- Quoi ça ?
- Le machin en contrebas
- Des amis.
- Des amis de qui ?
- On va s’arrêter là pour la nuit
- Et c’est quand qu’on rentre à Degawny ?
- Degawny. Degawny c’est loin vous savez.
- C’est quoi vos amis ? Des comédiens ?
- Y’en a
- Je vous préviens j’ai pas du tout envie de voir des comédiens
- Ho vous savez eux… Eux, le royaume d’Angleterre, le partage du pouvoir, le Pays de Galles indépendant ils sont au-dessus de tout ça. Tout comme moi d’ailleurs. »
Et Andrew baissant la tête avança.
Au soir alors qu’Andrew s’était isolé non loin du campement, le guide s’approcha de lui.
« Vous n’êtes pas bien caustique. Vous savez que vous effrayez un peu les enfants haha ?
- On va rester combien de temps ici ?
- Vous savez que y’a un spectacle aujourd’hui, ils l’organisent.
- J’ai pas vraiment envie je dois bien vous l’avouer. Je serais plus tenté par partir.
- J’ai promis que je resterais pour le voir. »
Et le soir, le pupitre était monté, les narrateurs aussi. On éclairait le tout, car il faisiat nuit, avec des lampions. Le guide était au premier rang, Andrew au 3ème. Le narrateur commença.
« Je vais vous raconter une histoire, il y a de cela quelques temps il y avait un jeune berger qui gardait les moutons de son village. »
La narratrice reprit « Alors il nous faut un berger dans l’assistance ! » Plusieurs personnes levèrent la main « Non pas vous, j’aime pas votre tête. Ni vous j’ai dit un JEUNE berger ! Ha tiens-vous » Et un jeune garçon monta sur la scène et on l’habilla d’une peau de mouton comme accessoire.
« Voilà mettez-vous là ! Maintenant il nous faut des moutons ! »
Et plusieurs personnes ainsi que le guide montèrent sur l’estrade. Le narrateur reprit.
« Et un jour où le berger trouvait le temps long, il voulut se distraire. Alors il monta sur la colline et commença à crier AU LOUP AU LOUP ! UN LOUP DEVORE LES MOUTONS ! »
La narratrice dit à la personne censée jouer jeune berger « Mais allez-y hurler ! Hurlez au loup ! » Et le jeune s’exécuta. Elle continua, « maintenant il nous faut des villageois ! » et beaucoup levèrent la main « Ha non ça suffit, y’aura plus de public après ! Il nous en faut un pour les représenter tous. Un gros ! Vous là venez ! » Un homme monta sur l’estrade.
Le narrateur reprit.
« En entendant cela, les villageois accoururent pour tuer l’agresseur mais une fois arrivés il ne trouvèrent que le berger hilare. Quelques semaines après, il s’ennuyait toujours aussi ferme alors il se souvint du coup qu’il leur avait joué et recommença. «AU LOOOOOOOOOOOOOUP ! AU LOUP ! UN LOUP DEVORE LE TROUPEAU ! » Et les villageois une fois arrivés ne trouvèrent toujours pas de loup et encore une fois que le garçon qui riait de bon cœur…
Mais un soir d’hiver, un loup terrifiant sorti du bois ! »
« Là il nous faut un loup ! Un type qui fait peur ! » Dit la narratrice.
« Pourquoi pas vous ? Monsieur qui reste dans son coin avec son air sombre et grave ! » Elle venait de dire ça à Andrew. Il aurait bien refusé mais la foule applaudissait pour qu’il monte alors il le fit. Une fois arrivé on lui mit une coiffe de loup. Le conteur continua.
« Alors le gamin était terrorisé ! »
« Il a pas l’air terrorisé là le gamin
- Alors il faut que le loup fasse peur !
- Ha ben oui ! »
On se tourna vers Andrew qui émit un faible grognement tout en agitant piètrement sa main
« Ha non ça fait peur à personne là »
Il recommença « Grrrrr… »
« Ha non toujours pas ! Allez-y franchement ! »
Au moment où Andrew allait grogner, le guide se mit à sortir un grognement que l’on aurait dit digne d’un loup lui-même tout le monde se retourna, à l’exception du gamin qui effrayé tomba à la renverse.
Le lendemain matin, Andrew alla voir le guide qui était assis dans l’herbe. Il demanda d’une voix ferme et rancunière.
« Mais vous êtes qui ?
- Pardon ?
- Vous êtes qui bordel ? Depuis le début je vous suis, suis vos conseils, fais ce que vous dites ! Je sais pas je pourrais au moins savoir qui vous êtes, ce que vous faites ou pourquoi vous me suivez !
- …
- Un nom au moins !
- Méléagan.
- Pardon ?
- Méléagan, c’est ainsi que je m’appelle. Quant à qui je suis, je suis un voleur de cendre, je suis l’homme d’après et d’ensuite, celui qui jamais ne donne la vie mais qui la redonne seulement. J’attends que le monde digère et recrache, je n’agis pas avant. Je déniche, une vie hors du monde. Quant à vous j’aurais beau vous la redonner, vous n’en voudriez pas. Quand vous rentrerez à Degawny, vous ne trouverez rien ni personne de plus triste que vous.
Et lorsqu’il rentra enfin à Degawny, il convoqua son fils et Hervé de Rinel.
Je prends la France
Vas-y
Désolé j'ai pas commencé à RP, mais vu l'activité fulgurante du topic, je ne crois pas que ce soit très problématique
J'y vais de ce pas
Royaume de Francie
Le Royaume de Francie. Cette terre riche et fertile, pilier de l'Europe, habitée par les hommes les plus chrétiens qu'il existe, deviendra un jour le Royaume le plus écouté et le plus craint d'entre tous.
Anno Domini 1072
En l'an du Seigneur 1072, le vendredi après la Saint-Ambroise, le Rex Francorum regardait, blotti près de sa cheminée, la neige fondue tomber mollement dans la cour du palais de la Cité, prémice de l'hiver naissant. La fatigue du jeûne de l'Avent l'empêcher de se pencher sur le sujet pour lequel il s'isolait, réfléchir à la reine qui permettrait de lui fournir moults héritiers, ainsi que la tendresse qui sied pour réconforter un homme éprouvé par la gouvernance du royaume le plus extraordinaire du monde. En fait, notre Philippe Ier n'était guère préoccupé par l'amour que par son royaume, même si l'idée d'une nuit de plaisir après chaque dure journée de labeur ne lui déplaisait pas. Il songeait à ses prédécesseurs, héritiers d'un empire en décomposition, qui ont réussi un créé un Royaume à partir de seigneurs désunis. Petit à petit, le Royaume de plus en plus centralisée autour de la personne royale : désormais, son pouvoir est légitimé par messire Dieu en personne. Néanmoins, malgré le devoir de vassal qui unit chaque personne du Royaume à Philippe, ce dernier n'est pas aussi puissant que certains de ses vassaux, et son autorité peine à être écoutée de tous dans ce royaume en formation. Il est âgé de vingt ans, il se libère peu à peu de l'influence de la cour, qui gouvernait tout lorsqu'il a pris les rênes du Royaume, à douze ans seulement.
Politiquement, notre Roy cherchait à raffermir et unir son Royaume sous sa bannière, imposer son autorité aux féodaux, même si cela nécessitait des échauffourées avec des seigneurs, et dans ces cas, il n'hésiterait pas à confisquer, voire à rentrer en guerre ouverte avec ces derniers. Il souhaitait également se faire connaître de ses sujets, qui, paysans ou artisans, se souciaient peu de leur gouvernants tant que la moisson demeurait abondante et les impôts supportables. Il lui arrivait de se déambuler dans les ruelles de Paris accompagner de deux ou trois gardes sous les yeux ébahis des marchands et des habitants, voire d'y faire son marché !
Mais malgré tout, notre sire n'a pas la tête dans les nuages. Il est parfaitement conscient de la potentielle menace que peut représenter les Almoravides dans la péninsule Ibérique et ne veut en aucun cas risquer une guere ouverte avec lui. Il aurait déjà perdu une bonne partie du Royaume avant même de lever l'ost... Il souhaite donc rester neutre et cordial avec le Califat, tant qu'il ne s'est pas assurer le soutien de tout la chrétienté pour reconquérir les terres infidèles.
Pour ce faire, il doit avant tout entretenir d'excellentes relations avec les puissances voisines, les différents duchés, voire les rassembler autour de sa personne, mais également avec le Souverain Pontife, l'homme qui d'une parole peut rassembler l'armée la plus puissante du monde. C'est pourquoi il dépense tant dans la construction de monastères et de chapelles dans son domaine royal, qu'il offre tant de dons à l'Eglise.
Royaume du Pays de Galles
https://www.youtube.com/watch?v=vmiYbSM_KFQ
Andrew qui avait convoqué son fils et Hervé de Rinnel, l’homme qui le remplaçait en tant que régent, devait encore attendre avant leur arrivée mais cette attente il comptait dessus pour écrire aux diverses nations environnantes afin de les appeler à lever des armées concernant la croisade.
Le fils d’Andrew arriva le premier et c’était ce qu’Andrew avait prévu. Il devait leur parler personnellement et séparément pour avoir plus de chances de les convaincre. Son fils, Collin, était pressé de voir son père qu’il n’avait pas vu depuis fort longtemps. Quand il vit son père, il courut presque pour le rejoindre.
« - Père ! Quelle joie de te revoir !
- Joie partagée mon fils.
- Certaines personnes te croyaient mort. Quelle bande de fous !
- Ils n’ont pas tort d’un côté… Mais assez parlé de ça, si je t’ai demandé ce n’est pas pour des raisons futiles tu le sais bien.
- Oui, de quoi voulez-vous m’entretenir ?
- Hé bien cela ne va pas être facile à dire mais je compte refuser de devenir roi d’Angleterre.
- Hé bien… C’est dommage, un poste aussi prestigieux nous est pourtant offert sur un plateau ! Feu votre père et mon grand-père aurait été enchanté de pouvoir prendre ces fonctions au vu de l’énergie, de la rage et de l’intelligence dont il a fait preuve pour défendre la capitale de ce même royaume.
- Oui mais je crois qu’un tel devoir ne serait que trop grand.
- Si tel est votre choix, je me vois obligé de m’y plier haha…
- Merci de la compassion dont tu fais preuve.
- Mais nous pouvons quand même nous rabattre sur le tout nouveau Royaume du Pays de Galles, il sera une grande puissance je le sens.
- Le voilà le problème, je tiens aussi à ne pas me rendre maitre du Pays de Galles.
- PARDON ?!
- J’aimerais donner le titre du roi du Pays de Galles à celui qui le mérite. Je pense fortement au jeune ex-grand-duc de Gwynedd. Il me parait un excellent candidat.
- Mais pourquoi donc ? Nous sommes aimés de tous ici, du peuple, des seigneurs, des soldats ! Nous n’avons qu’à tendre la main et prendre notre dû !
- Ce n’est pas ce que je désire.
- Mais es-tu devenu égoïste durant ton voyage Andrew ? A tu seulement pensé à ta descendance ? Qu’allons-nous faire nous ? Rester dans l’ombre et y mourir comme le reste de la dynastie avec ce que tu prévois de faire.
- IL SUFFIT ! Ne me parle pas sur ce ton ! Et oui, oui nous allons rester dans l’ombre, nous allons rester dans l’ombre car c’est que nous sommes, nous ne sommes pas les protégés mais les protégeant, les sentinelles, ceux qui sont les oreilles et les yeux omniprésents de ceux sur qui nous veillons. Les Blacks doivent rester dans l’ombre tel est leur destin que tu le veuilles ou non !
- Ils le doivent selon vous et votre jugement ! C’est une nouvelle ère qui commence, nous devons y prendre part et montrer tout le talent dont nous pouvons faire preuve car tôt ou tard ceux que nous protégeons mourront ou nous oublierons et nous finiront mort ou croupissant dans des geôles voire même dans une rue…
- ASSEZ ! Vous osez me donner l’adjectif d’égoïste alors que seule la volonté de pouvoir luit dans vos yeux. Vous parlez de trahisons, de mort et de torture mais ce n’est pas un effet de manque de pouvoir. C’est l’effet du pouvoir. Et si je vous dis ceci ce n’est que pour vous prévenir. Ma décision est prise, communiquée déjà et vous n’y changerez rien. Le nouveau roi du Pays de Galles vous nommera surement premier duc et maire de Degawny au passage..."
Et la discussion se termina ainsi.
Andrew savait que cette discussion allait être houleuse mais pas autant que ce qu’il avait pu voir, il en était sorti exténuer. C’est pourquoi quand Hervé de Rinnel arriva il voulut cette discussion bien plus expéditive.
« - Cher Hervé quel plaisir de vous revoir !
- Andrew, ce plaisir est partagé !
- Trêves de mondanités, vous devez savoir pourquoi je vous ai convoqué.
- Je crois, oui.
- Je voudrais vous nommer roi d’Angleterre.
- Quelle surprise.
- Vous le savez, vous êtes intelligents et avez déjà du œuvrer en ce sens.
- Je ne ferais pas de commentaires.
- Vous n’avez pas à en faire. J’ai seulement quelques exigences. Je veux que le duché de Cornouailles ait à sa tête Karadoc d’Armorique, c’est un homme avisé mais surtout qui sera nous écouter nous et encore plus la Bretagne.
- Ce sera tout ?
- Non j’en ai encore d’autres que je vous ferais parvenir en temps voulu.
Et c’est ainsi que plusieurs destins furent scellés et que les plusieurs nations retrouvèrent leur dirigeants
Royaume du Pays de Galles via Royaume d’Ecosse
Cher roi, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les votres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Royaume de Stathclyde
Cher roi, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Duché de Cornouailles
Cher roi, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Grand-duché de Bretagne
Cher grand-duc, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Duché de Leinster
Cher duc, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Duché d’Ulster
Cher duc, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Duché de Connacht
Cher duc, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Pays de Galles via Duché de Munster
Cher duc, vous avez sans doute reçu cette lettre du saint père. Vous devez alors connaitre la situation de cette Espagne occupée par ces infidèles qui martyrisent nos frères chrétiens. La France tente bien de venir en aide à ces pauvres hère mais seule face à une telle puissance elle ne peut rien.
C’est pourquoi je vous écris cette lettre car il est venu le temps pour nous d’agir. Je sais ô combien vos hommes sont occupés mais si nous ne bougeons pas, rien ne pourra plus empêcher les musulmans de pénétrer en France qui se retrouvera démunie. Et si encore une fois nous ne bougeons pas, ils prendront la Bourgogne et s’attaqueront au reste de l’Europe qui se retrouvera fort mal pourvu et désarmé face à un tel ennemi et les nations tomberons unes à unes et viendra le jour où ces chiens apprendront à nager et où il en sera fini de nous.
Je me joins donc tout naturellement au pape en demandant une intervention immédiate avec le plus d’hommes pour écraser ces chiens. J’ai déjà lancé les miens en attendant les vôtres.
Il est donc venu le temps d’exhorter les braves mais pas seulement, tout homme possédant ne serait-ce qu’un peu de foi et de bon sens.
Cordialement, Andrew Black. Régent du Pays de Galles.
Al-Murabitun - Les Almoravides
Diplomatie :
~ Message au Royaume de France :
As salamu 'aleikum wa rahmatullahi wa barakatouhou,
Messire, nous savons comme au delà des Pyrénées les mahométans sont craints comme la peste mais nous souhaitons vous offrir une chance : nous sommes prêts à oublier votre récente invasion gratuite de Barcelone et à vous offrir un pacte de non-agression de trente ans en échange de la restitution de la province de Barcelone et de la Septimanie : possessions légitimes du Sublime Khilafah. Si vous acceptez, nous serons pour vous, au lieu d'ennemis, de fidèles alliés commerciaux et nous serons d'autant plus tolérants envers les chrétiens qui peuplent la frontière. Si vous refusez ou tentez de renégocier cette proposition : il est fort probable que nous ne devions régler ce différent par la force du fer. Que le seigneur aie pitié de vous car si vous refusez je n'en aurais aucune pour mes ennemis.
Abu Bakr Ibn 'Umar, Sultan des Almoravides du Couchant, d'Andalousie, d'Algérie et du Sahara.
Le Sublime Califat
Ahmed Le Sage
Diplomatie et Projets
Ahmed etait inquiet la nouvelle de la prise de barcelone l'avait subjugé l’ennemi avait reussi un tour de passe passe mais il etait aussi heureux que l'armée musulmane passe les frontières et le pape qui avait declaré la croisade ne pouvait n'etre qu’inquiet il esperait que les musulmans avaient repondu a l'appel
Ainsi dans le Jardin de la Sagesse nom qu'il avait donné a son jardin ou il emmenait tout le monde pourparler a chaque fois et ou ses Aïeux faisait de même depuis le premier
Sublime Califat via Sultan Almoravides
بسم الله الرحمان الرحيم
Del’Emir Des croyants
As Salamou Aleyka Sultan j'ai entendu dire que une possesion musulmane avait etait perdue et une possesion chretienne avait été gagné mon humeur est mitigé devrais je etre joyeux ou triste n'oubliez pas que vous etes le pilier de l'islam a l'ouest et la main Armée du Sublime Califat je suis Calife de l’ouest au couchant jusqu’à l'est au levant dans le Penjab et que toutes les terres sont importantes ne serait ce qu'un grain de sable je place ma plus grande confiance en vous et espere que grace au jihad lancé vous avez beaucoup de nos fréres qui se précipitent chaque jour nous ne craignons pas les infidéles
mu'tah yarmouk tabrouk nous etions peu et nous les avons décimé en 732 ce vieux Abd Al rahman nous vait fait perdre par sa stupidité le Roi des Francs a Alors fait ce que moi meme j'aurais fait attaquer , Alors ne sois pas comme Abdel Rahman Sultan sois comme Khalid et ses guerriers legendaire et informe moi si le temps t-en est donné je prie chaque jour pour que la victoire nous appartient
As Salam WarahmatulllAh
ceci de fait Ahmed regarda l'horizon et Bagdad les yeux pleins d'Ambition
- Je multiplierais ta Gloire d'Antan jusqu'a ce que chaque etre dise Aux prochains califes puisse tu etre comme Ahmed le Magnifique
les Jours passerent et le Calife demandea Aux vizirs Aux Architectes et Aux trésoriers de tout mettre en oeuvre et de s'accorder pour la construction de la plus grande et plus belle mosquée du monde entier
BAYT AL RAHMAN
tout d'Abord il Fallait choisir un Emplacement on Amena Au Calife la Carte
on choisit finalement de la construire a Iphahan une ville qui Avait Ete delaissé au fil du regne bouyides mais Qui sous le Sublime califat Allait connaitre une renaissance fulgurante
la mosquée sera une Association de culture et d'architecture pour montrer que l’islam est une religion destinée a l"humanité et non a certaines ethnie
le verre sera Ainsi travaillé En mosaïque a la manière des Eglises Romanes avec l'aide d'artisants byzantins
la Salle de priere sera un classique de l'architecture Arabo musulmane et les tapis de priere purement perse
la mosquée sera immense et comptera une grande salle d'un demi lieu carré
la mosquée sera construite par le trésor musulman et l'Emir Des croyants s'engage a verser un petit fond du trésor D'etat les materiaux seront la pierre et le marbre
les traveaux sont prevu pour durer 10 ans avec 5000 esclaves et tout le trésor religieux et les donations des musulmans
la mosquée sera tellement grande qu'elle aceuillera plusieurs ailes dans les etages de savants de sheikh et logera tout les musulmans pauvres de la region
début des travaux
Royaume de Grande Arménie
Missive aux Souverains Byzantin, Russin et Khazard
Mes amis, maintenant que nous sommes tous alliés, nous devons absolument améliorer notre coopération économique. C'est pourquoi je vous propose d'héberger un comptoir de vos marchands, en échange de quoi, nous aurions aussi un comptoir sur votre territoire.
Messages aux Vassaux Vaspourakans et Habkazes
Si je vous écris cette lettre mes amis, c'est par ce que nous ne pouvons plus continuer comme ça, une grande puissance n'est pas gouvernée par plusieures personnes en même temps. C'est pourquoi, je vous demande de vous intégrer totalement et sans condition à l'Armenie et à renoncer à votre trône, vous resterez bien sûr parmis l'élite du peuple mais vous ne prétendrez plus diriger mes terres. Sachez toutefois que ceci n'est pas une proposition et que une réponse négative sera prise pour déclaration de guerre.
Need Simu
Al-Murabitun - les Almoravides
~ Réponse au Sublime Califat :
Assalamu 'aleikum wa rahmatullahi wa barakatouhou,
Nous avons conscience pleine que notre rôle est de protéger les intérêts islamique à l'Ouest du Califat. Néanmoins nous pensons qu'une stabilisation des frontières ne serait que bénéfique à tout le continent c'est pourquoi j'ai envoyé une requête au Royaume de France pour lui proposer la restitution de la Septimanie et de Barcelone en échange d'une paix fraternelle et durable. L'heure est à l'union, pas à la guerre sauf si les infidèles la souhaitent.
~ Le plan :
L'ouverture progressive des frontières suite à l'abandon pur et dur de la politique isolationniste mais maintenant une certaine politique anti-usurière qui permettait au Sultanat de se tenir à l'écart de ce danger ambulant qu'était l'intérêt, la rente et l'usure banquière permet au Sultanat Almoravide d'avoir un accès plus large au commerce en cédant un peu sa main mise sur l'économie qui était protégée jusqu'ici par la banque islamique dans son intégralité. C'est sur ce point précis qu'il fallait agir ! En effet, la banque Islamique ne pouvait pas se permettre de se faire envahir par des prêts intéressés et intéressants et de perdre une seule petite part du marché. C'est pourquoi il fallait monopoliser les moyens de production, les fabriques, les commerces et surtout mettre à profusion la collectivité agricole pour créer une économie dirigiste menée par la banque islamique : le système est simple. L'agriculture des "assemblées" déjà initiée par l'Émirat de Cordoue en son temps va être généralisée à l'ensemble de la nation : les champs des bourgades alentours quelque soit leur taille sont réquisitionnés et déclarés propriété du gouvernorat ou de la chatelerie locale en fonction de l'importance de la bourgade et l'intégralité des cheptels et des exploitations vivrières vont être transformées en champs optimisés à la manière de ceux déjà existants en Al-Andalus : la production agricole est entièrement propriété étatique mais contrairement au féodalisme asservissant : la moitié de la production est restituée équitablement entre chaque habitants sous forme de rations journalières gratuites et l'autre moitié est destinée à l'export ou aux réserves (greniers tubulaires, granges et autre). Les moyens de production autre que l'agriculture à savoir les mines, carrières de pierre ou autre et les camps de bûcheron principalement sont regroupés en coopératives régionales à savoir : une coopérative de bûcheron, une de mineurs, une de tailleurs de pierre et une autre d'ouvriers de carrière par châtelerie (sous-gouvernorat, exemple : Balansiya). Ces coopératives dépendent pleinement de la banque islamique et leurs ressources sont propriété intégrante de cette dernière : en échange de leur labeur les ouvriers sont récompensés avec des rations alimentaires et de la monnaie sonnante et trébuchante (salaire et trésorerie à la charge des coopératives elle-même supervisées par le conseil économique de la sharia construit à Alger).
Concernant les fabriques : toutes les manufactures, scieries, forges et autres sont soumises au même système que celui des moyens de production non-agricole mais leur production étant directement utile au Royaume n'est pas imposée et les produits destinés à l'export sont directement vendus par les coopératives qui achètent au producteur à l'état. Le reste étant offert au marché Almoravide. Il en va de même pour les commerces mais les coopératives qui sont à libre-création ne sont pas obligatoires : la concurrence abusive peut être signalée au gouvernorat local et qui peut décider le regroupement forcé sous forme de coopérative étatique au nom du Maslaha. Pour finir : l'état va créer un plan économique minimal de production donnant aux différents exploitants la possibilité de bénéficier de bonus ou de malus si le plan n'est pas respecté : par exemple, un producteur de blé qui représente un certain pourcentage de sa coopérative devra tenir compte d'une quantité qui lui est imposé et son rôle sera soit de dépasser soit d'égaler cette quantité sous-peine - sauf cas exceptionnel - d'une mesure punitive. Le conseil de la sharia économique basé à Alger sera également doté d'une cour de justice ayant des délégués dans chaque chatelerie et visant à créer des mesures punitives sur les producteurs ne respectant pas le plan coopératif ou au contraire à créer des mesures d'aide pour les agricultures dépassant leur plan coopératif : bien entendu en cas de grande sécheresse ou de complication physique des aides seront fournies directement par la trésorerie islamique : sous-passement du plan ou non, ainsi : tous les moyens de production et toutes pratiquement toutes les richesses du Sultanat sont sous le contrôle direct de l'état qui a par conséquent (à la tête d'une future flotte commerciale officielle) la main mise totale sur le marché Almoravide. En outre, un des avantages qui sera offert au producteur sera la possibilité d'élire un comité de défense des droits des travailleurs au sein de leur coopérative pour faire prévaloir leurs droits ou améliorer leurs conditions de travail ou de vie (construction de bâtiments sociaux aux alentours des sites de production).
Royaume de Francie
Lisant la missive, le roi Philippe masqua un léger rictus qui se transforma rapidement en grimace de peur. Le Royaume était peut-être au bord d'une guerre sans précédent pour lui... Le Roi était conscient de la potentielle menace que représentait pour lui ce Califat, mais, même si la transmission de la Vraie Foi était le cadet de ses soucis, il ne pouvait se permettre de détériorer ses relations avec la papauté ni avec ses voisins chrétiens, c'est donc la main tremblante qu'il rédigea cette missive.
DESTINE AU DIRIGEANT DES TERRES INFIDELES DE LA PENINSULE IBERIQUE
Le Très-Chrétien Roy des Francs ne fera pas une seule confession à l'infidèle ni au porteur d'apostasie. Le Royaume aspire également à la paix, qui est souhaitable pour nous tous, mais cette paix ne doit en aucun cas nécessiter de rendre des territoires à un occupant illégitime depuis qu'il s'y est installé, et qui plus est le porteur d'une qui tue les pauvres âmes crédules en les privant du Salut. Si le Royaume subit une attaque de la part de l'infidèle, toute la sainte Eglise et la Chrétienté voleront au secours de la Vraie Foi. Le voleur de terres sera repoussé, et la saine doctrine sera victorieuse.