Blabla 15-18 ans

[Rp, Johnny]

Johnny, toujours à la recherche d’informations sur le lieu ( et aussi de nourritures ) continua de s'engouffrer dans le couloir en prenant soin de regarder attentivement dans chaque chambre.

Johnny : J'ai vraiment faim, j'ai besoin de manger...

Il marchait à vive allure d'un grand pas ( comme à son habitude ) et passa devant une chambre qui contrairement aux autres était allumée.

Il rentra sans gêne comme si la chambre était à lui, et examina ce nouvel environnement avec la plus grande attention.

Johnny : Hm, cette chambre ressemble beaucoup à la mienne.. Oh c'est quoi ça ?

Il vit posé par terre une bague plutôt usée( elle devait être portée depuis longtemps )
Il la ramassa sans grand soin, la cognant violemment contre le coin de la commode en levant sa main trop vite.
Il l'examina sa trouvaille sans grande attention et vit une inscription en lettre d'or dessus : "Ayato et Emily"
Johnny prit un air de compassion et de tristesse...

Avant de comprendre que l'inscription était en japonais et d'hurler :

Johnny : JE COMPREND RIEN A SE QUI EST DESSUS !!!!

Avant de frapper à nouveau cette pauvre commode du poing.
Après avoir essayé de mettre la bague à son pouce qui bien sûr ne passait même pas l'ongle, il la mis dans sa poche.

Johnny sorti de la chambre et vit au même moment une silhouette au fond du couloir qui le fixait avec insistance. ( Spero )
Son cerveau ne fit qu'un tour et il réalisa avec fureur qui c'était.
C'était bien évidemment un de ces médecin qui l'avait emmené dans cette endroit glauque tout seul sans alcool, ni nourriture.
Johnny dans un accès de rage et d’incompréhension, détacha la ceinture en cuir dans son dos et pris ça fidèle masse à la main.

D'en un dernier cri venue tout droit du fin fond de son estomac, il courra vers la silhouette avec une certaine lenteur due à sa forte masse musculaire et à sa corpulence.

Johnny : AAAAAAAAAAAAAARG !!!!!!

[Rp Ayato]

Ayato marchait déjà dans les couloirs blancs et sobre de l'hôpital depuis 5 min, les néons s'allumant et s'éteignant toute les 1-2 secondes produisait une ambiance assez glauque, comme si un putin d'hôsto dans une invasion zombie ne l'était pas déjà assez. Il examinait les affiches de prévention et les photos mis sur les murs tout en continuant de marcher.

Ayato: Je crève la dalle, Y faut que je trouve absolument la réserve de nourriture mentionné dans la lettre, y doit y avoir un réfectoire, c'est la que j'ai le plus de chance de trouver ce qu'il me f...

Soudain Ayato par un très rapide mouvement de bras toucha sa main droite avant de se rendre compte qu'il avait oublier sa bague dans sa chambre

Ayato: J'ai la tête ailleurs c'est pas bon, va falloir que je me ressaisise la, bon je fonce à ma chambre la récupérer, la bouffe passe après

Ayato fit sens inverse en direction de sa chambre à une allure très rapide, il était à la limite de courir, il arriva au derniers couloir avant sa chambre quand soudain un bruit de rage bestiale le stoppa net "AAAAARRRRRRRRRGGGGGHHHHHH"

Ayato (en chuchotant très bas à lui même) : C'est quoi ça encore? Des zombies? Non le cri paraissait humain, mais qui pourrait être assez con pour crier comme ça alors que dehors ça grouille sans doute de ces saloperies?

Ayato s'approcha sur la pointe des pieds et jeta un oeil à l'angle de son couloir pour voir ce qui se passait, il y vit un grand homme très imposant se diriger d'un pas rapide et déterminer, masse à la main vers un autre type, avec une carrure moyenne.

Ayato(toujours en chuchotant très bas à lui même) : Oh merde c'est sans doute les autres mecs dont parlait la lettre, mais qu'est ce qui foute?

[Rp Hélène]

Hélène suivait la trace du hurlement poussé parce qui semblait être un authentique taré un gentleman des pays de l'est tout en sifflotant l'hymne soviétique (https://www.youtube.com/watch?v=Rm6q_3WGy9M)
Au détour d'un couloir, elle vit alors une montagne de muscles type taureau bodybuilder allaité aux anabolisants courir avec une machette dans la plus pure tradition massacre à la tronçonneuse vers un mec qui avait l'air normal et un peu surpris (ce qui n'était pas étonnant).
De l'autre côté du couloir, il y avait un autre type avec un vague air asiatique qui, pas fou lui non plus, regardait la scène de loin, il semblait ne pas l'avoir remarquée.

Hélène (chuchotant pour elle même): le gros ruskoff doit bouffer au moins son poids par jour, avec lui les réserves ne vont pas faire long feu...

Mais pour une fois depuis des semaines, l'apocalypse lui avait l'air super drôle.

[Rp Spero]

Ce grand homme se dirige soudainement vers Spero d'une rage sans précédent.

-Spero: AArgh il se dirige vers moi ! Je veux pas me faire avoir par ce zombie !

En réalité Spero avait à peine regardé de quoi il s'agissait, de plus son mal de tête ne l'a pas avantagé en cela, du coup il a cru que c'était un zombie troll. Il court donc à vive allure pour échapper à ce colosse, et au virage du couloir il se cogne nez à nez avec un autre gars et tombe sur lui. (Ayato)

-Spero : Ah !! Ouf, tu es un humain ! Attention derrière nous, un zombie troll me poursuit !

[Rp Ayato]

Ayato regarda rapidement Spero avant de se dire "il est aveugle ou quoi c'est un humain n'importe qui l'aurait compris..."

Ayato: Heu bon je sais pas qui t'est mec mais le type de l'autre côté du couloir n'est pas un zombie, par contre c'est sans doute un magnifique attardé vu comment il gueule.

Johny lui se dirigea avec un pas toujours aussi déterminer sur spero et vit Ayato.

Ayato (à lui même): Bon ce type et peut être débile mais le découper serait complètement con, on c'est même pas ce qu'il veut, puis y pourra nous être utile. Trouve un truc allez!

Soudain Ayato vit un extincteur à incendie sur le mur d'à côté, il poussa spero sur le côté et se saisit avec violence de l'objet anti incendie.

Ayato (à lui même): Je vais l'attendre à l'angle du couloir puis l'aveugler, après ça j'aurais le temps de me barrer avec l'autre type pour comprendre ce qui se passe, se tas de muscle n'a pas l'air très malin, y va rien voir venir...

[Rp, Johnny]

Johnny : Arg, ce petit moustique a disparu !

Johnny ralentissa son pas lourd ne voyant plus la cible qu'il poursuivait.
Ne sachant plus vraiment quoi faire et se sentent plutôt idiot au beau milieu d'un couloir avec sa masse.

Maxiskov la remis à sa ceinture derrière son dos et repris sa marche à grand pas, il avait juste envie de manger.

Tout en rêvant à voix haute de se qu'il pourrait se mettre sous la dent, Ayato toujours armée de son fidèle extincteur, entendis Nirov arriver.
Le crane chauve du russe dépassait de quelque centimètres du mur, Maxiskov ne voyant pas Ayoto et Spero de l'autre côté...

[Rp Ayato]

Ayato se prépara à aveugler johny mais il se stoppa et pensa à autre chose, "essayons de lui faire confiance, il faut à tout prix éviter l'affrontement entre nous, les zombies sont déjà suffisant" pensa t'il.

Ayato (s'adressant à Spero en chuchotant très bas): Mec ne fais rien ok?

Spero parut surpris mais il acquiesça. Johny arrivait maintenant à la hauteur de Ayato et Spero, Ayato posa l'extincteur par terre de manière à ce que Johnny entende nos 2 compagnons, il fit un bond en arrière de surprise car il n'avait pas remarqué la présence de Ayato et Spero vu qu'il se tenait dans la pénombre.

Ayato: Mec je sais pas qui t'est mais y faut se calmer, t'est sans doute un des gars qui était mentionné dans la lettre, on a rien contre toi

Johnny fut d'abord envahie d'une forte sensation d'énervement avant de se rendre compte que ni Ayato ni Spero n'était de méchants infirmiers, il remarqua que comme lui ils faisaient partie des patients mentionné dans la lettre qu'il avait lu plus tôt.

[Rp Hélène]

Se disant peut être avec raison qu'elle était enfermée avec des malades mentaux, Hélène suivit la scène avec curiosité.
Elle avait donc quatre des huits allumés qui étaient enfermés ici.
Elle, l'espèce de tank russe, l'asiat et l'hispano.
Les quatre autres ne devaient pas être loin.
Et alors qu'elle se faisait cette réflexion en passant devant une des innombrables chambres de ce couloir trop propre pour être honnête, elle crut remarquer un mouvement à travers l'une des petites vitres translucides qui donnaient sur les chambres.
Un instant, elle crut à un genre d'hallucination: "débile" se disait elle "le gars ne va pas rester dans son lit à faire la grasse mat' vu comment les draps puent le désinfectant..."
En rejetant un oeil vers les trois tarés, une soudaine illumination lui traversa l'esprit

Hélène (tout bas): ou alors... c'est devenu un zombie !

Le coeur battant soudain très fort dans sa poitrine, elle pris conscience de ce que cela pouvait signifier. ça voulait dire que les zombies étaient dans l'enceinte de l'hôpital !
Il fallait qu'elle le zigouille avant qu'il n'appelle ses potes avec leur espèce de langage.
Repérant un placard proche, elle fouilla dans le fouillis dans l'espoir de trouver un objet qui pourrait servir d'arme.
Malheureusement, la femme de ménage ne semblait pas membre de la NRA, pas de flingue, pas de couteau, même pas un misérable coupe - ongles.
Juste un briquet (une fumeuse ?)
Hum, le feu, c'était cool, avec un peu de chance...
Elle fouilla dans les produits de ménage et failli crier "yes !" en voyant le pictogramme "extrêmement inflammable" sur un flacon avec un pshit - pshit.
de quoi créer un bon vieux lance - flamme à la Mc Gyver.
Et faire un super barbecue de zombie.
Hélène, regaillardie, s'approcha d'un pas décidé de la chambre 1142, son arme à la main.
Fallait il défonçer la porte pour surprendre l'horreur décomposée derrière ou y aller ninja style ?
Considérant son lance flamme, elle se dit que quitte à y aller comme ça, autant y aller à la bourrin jusqu'au bout.
Avec un high kick digne des films de Bruce Lee, elle défonça la porte, lance flamme en position, prête à rôtir le moindre truc qui oserait s'approcher d'elle en faisant "nyyyyrrrarghhhwww".
Elle stoppa net en voyant ce qui était à l'origine du mouvement.
Non pas une horreur digne de Madonna sans maquillage mais un adolescent à l'air parfaitement normal si ce n'était qu'il était attaché.
Réfléchissant pour trouver une punchline qui déchire, elle n'en trouva pas et finit par lâcher

Hélène: Et de cinq...

[Rp Ayato]

Ayato qui avait déjà pris soin d'analyser Johnny pendant qu'il avait chargé sur Spero remarqua à présent une forme qu'il lui était connue dans la poche de Mr.Muscle.

Ayato (à lui même): C'est ma putin de bague et mais...

Il remarqua une silhouette féminine s'introduire dans une des chambres tout au fond du couloir, Johnny n'eut pas le temps d'en placer une que...

Ayato (à lui même): Parfait, il parla soudain à voix haute: Hey regarder derrière, j'ai vu une femme rentrer dans une de ses chambres!

Spero et johnny se retournèrent, curieux de savoir de quoi il s'agissait, Ayato profita des 3 secondes d'inattention de Johnny pour prendre discrètement sa bague dans sa poche et l'enfiler rapidement à l'index de sa main droite, Johnny ne remarqua pas qu'il s'était fait subtiliser la bague, en revanche lui et Spero eurent tout juste le temps de voir la femme rentrer dans la chambre puis ils se retournèrent vers Ayato

Ayato (montrant la bague à son index à johnny complètement stupéfait): Ceci m'appartient, tu a du le trouver dans ma chambre mais merci de l'avoir gardé pour moi

[Rp Didi]

Après s'être rappeler de comment est-ce qu'il avait pu atterir ici, se rendis compte qu'un mal de tête horrible lui avait pris, sans prendre en compte le fait qu'il avait des bandages tout autour des 2 bras / jambes / pied , pourquoi ? Sans doute parcequ'il s'est fait tabasser la gueule version hardcore.

Cela faisait maintenant une bonne dizaine de minutes qu'il appela l'infiermiere, sans réponse il s'etait mis a penser a son avenir
-P'tin qu'est ce qu'elle etait bonne la Vanessa , dès que je sors me sors de ce merdier je vais la demander au mariage

C'est en finissant de penser a ça qu'il se mit a entendre plusieurs voix , certainnes hurlaient comme des débiles sans oublié qu'on est dans un hopital et qui a surement des personnes agees qui ont besoins de calment etc.

Cet a ce moment là qu'il sentait une presence feminine (oui il est bizarre) derriere la porte quand soudain

BRRRRRRRRHHHAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!

La porte s'est dégager et vague de poussiere s'envola sur son doux visage.
Lorsque il a pu reouvrir ses yeux il aperçoit une bonnasse se tenant devant elle en disant :

-La bonnasse : -Et de cinq...

[Rp, Johnny]

Nirov metta plusieurs secondes avant de réaliser ce qui venait de se passer.

Ayato venait de lui subtiliser la bague qu'il avait trouvée dans la chambre de tout à l'heure, et encore pire, on venait de lui prendre quelque chose dans ces poches ET sans sa permission.

Johnny regarda Ayato de haut en bas avec un air de superiosité et bomba le torse.
Ce qui avait pour effet de le rendre encore plus petit face au colosse, il lui arrivait à peut-pret au nombril.
Johnny dit d'une voix roque :

Johnny : Toi être agile petit, cela est tres impressionnant. (En lui donnant un tape dans le dos qui fit avancer Ayato d'un pas)

Mais d'un coup le regard du russe changea en un regard beaucoup plus sérieux et agressif
Il reprit d'un ton toujours plus autoritaire :

Johnny : Mais la prochaine fois que tu me prendre quelque chose sans me le demander...

Sans prevenir, le géant attrapa violemment Ayato par le cole de sa veste et le souleva de 10 bons centimètres au dessus du sol avant de dire d'une voix glaciale

Johnny : Je effacerais personnellement se sourire de ton petit visage..

Avant de le jetter en arrière contre le mur du couloir.

Johnny : J'espere avoir été claire..

Dit Nirov avant de pousser Ayato pour passer et rejoindre Hélène lui tournant ainsi le dos.

[Rp Spero]

Spero se secoua un peu, enfila un mars qu'il avait prit du distributeur. L'attardé Johnny le remarqua et le regarda en fronçant les sourcils, d'un air "manger à moi aussi grooa"

-Spero : Euh... Gentil, moi pas méchant. Euh, tiens !

Spero laissa aux pieds de Johnny les mars et les snikers qu'il avait prit.

-Spero : Si tu veux, on peut discuter. Moi, c'est Spero, et toi ?

[Rp, Johnny]

Johnny pri la friandise par terre et l'angloutie avec l'emballage sans même le mâcher.

Johnny : *SLURP* Hm, moi c'est Johnny Maxiskov, mais comme tu partage ta nourriture avec moi, toi pouvoir m'appeler Nirov, camarade !

Dit-il avec un grand sourire

Johnny donna un grand coup dans le dos amical de Spero qui le fi avancer de plusieurs pas.

Les Siamois déambulent peinards dans les couloirs de l’hosto à la recherche de denrées:

Le cri entendu auparavant était bien trop lointain pour qu’il les inquiète réellement même si Igar avait supposé qu’il faudrait en chercher la source pour trouver les autres personnes mentionnées dans la lettre.

Grichko s’était alors empressé de répondre: “ Ballekov Igar, tu sais très bien que les gens ne nous aiment pas, tous des fdp… On continue à chercher je vois un ascenseur là bas !”
Igar, qui n’aime pas les conflits avec son frère, n’avait pipé mot.

Ils se dirigeaient donc à présent silencieusement vers l’ascenseur. Arrivés devant, ils l’appellent. Heureusement tout n’est pas (encore) merdique en cette fin du monde, il y a encore de l'électricité et les portes s’ouvrent non sans grincer.

Igar: T’es vraiment sûr que tu veux l’emprunter, il fait des bruits chelous ton engin , ça m’inspire pas confiance.

Grichko: T’inquiète, on va trouver de quoi manger! C’est pas un ascenseur qui va nous en empêcher hein!

Igar: Si tu le dis…

Ils rentrent dans l’ascenseur et décident d’aller aux sous sols. Malheureusement ce qui devait arriver arriva et l’ascenseur se bloqua.

Igar: Miskinov putain !! Je te l’avais dit дебил (imbécile )

Grichko: Tais toi un peu, j’entends des voix derrière la porte. Mazel tov on dirait qu’il y a un russe !
Il faut qu’ils nous remarquent ils pourront nous aider à sortir!

Les deux se mettent alors à tambouriner sur les portes .

[RP Ayato]

Ayato observa Johnny et Spero s'éloigner vers la chambre ou était rentré Hélène pendant qu'il remettait sa veste en place et entendit dans leurs conversation le prénom des 2 personnages. "Ok la montagne de muscle attardé se nomme Johnny et l'aveugle qui confond les zombies et les gens se nomme Spero, bien je sens que je vais m'amuser..." se dit t'il ironiquement

Ayato (à lui même): Bon j'ai éviter le bain de sang et récupérer ma bague, tout s'est bien passer finalement.

Pendant qu'il faisait cette refléxion il dégaina son katana sur son dos et observera la magnifique lame quelques secondes à la lumière des néons, puis il regarda sa bague quelques secondes également, il poussa un long soupir de soulagement, il se sentait à nouveau lui même, puis il rengaina l'arme dans son fourreau se trouvant sur son dos d'un mouvement très rapide.

Ayato (à lui même): Je me demande quand même qui est la fille qui est rentré dans cette chambre, bah on va bien voir

Il s'apprêta à rejoindre Johnny et Spero qui était déjà presque arrivé à la chambre ou était rentré Hélène avant qu'un bruit ne le stoppe net, il venait de l'ascenseur, Ayato se retourna dans la direction du bruit, Johnny et Spero n'avais rien remarqué.

Ayato (à lui même): Bordel c'est quoi ça encore? Bon on va pas aller prévenir les 2 guignols la bas, je peux m'en charger tout seul

Ayato se dirigea vers l'ascenseur et s'arrêta devant, ne sachant pas trop à quoi il avait à faire

Ayato (en parlant légèrement fort): Hey! Vous êtes qui?

[Rp Didi]

"Et de cinq..."
Apres avoir entendu la bonnasse dire ça il vit un lance flamme dans sa main et s'exprimra alors une soudaine peur dans son puis s'exclama

-Didi- :Et...euhh...madame la bonn...madame pourquoi portez vous un lance flammes dans vos mains et qui est ce qui a cassez la porte de ma chambre bordel ! On est dans un hôpital ou un champs de bataille vous avez pensé au nombreux patients ? Et puis c'est quoi tout ce grabuge ? QU'EST CE QU'IL SE PASSE BORDEL !!!

[Hors rp]

L.5 : "dans son visage*" excusez-moi

J aimerais participer ya des places ?

[Hors rp]

Nan je crois qu'on est au complet désolé:noel:mais mp l'auteur y'a p'tetre une chance j'sais pas

[Hors rp]: il y a moyen, il y a deux gens qu'on n'a pas vus depuis le début

[ Rp Hélène ]

Hélène se demanda tout d'abord pourquoi le gamin (elle un peu près dix ans de plus que lui, il en a 16, elle en a 25 ) avait l'air terrifié. Elle se dit tout d'abord qu'elle devait avoir eu l'air super cool avec son entrée à la Chuck Norris.
Et peut être aussi parce qu'elle avait un putain de lance - flamme artisanal et qu'elle avait du passer pour une psychopathe au dernier degré qui allait le tailler en cubes. Hum.
Tant pis.

Hélène: je croyais que t'étais un zombie, et pourquoi t'es attaché d'abord ? Et pourquoi t'a l'air d'avoir été mâché, à moitié digéré puis recraché par un zombie troll ? Et t'es qui ?

Elle s'approcha du lit pour défaire les liens tout en faisant mine de ne pas remarquer la bosse au niveau de l'entrejambe du gars.