Empire Tang
La Secte des Lames
Fondé par un sage taoïste quelques décennies plus tôt, celle-ci prit une grande importance lorsque ses membres ouvrirent les yeux sur la nature divine de la famille impériale. Dès lors, ses membres passèrent du rang de paria à celui de garde attitré des institutions impériales. Leur devise, connue à travers tout le pays, « On œuvre dans l'ombre, ayant conscience de notre force, la force du nombre », révèle la manière dont agit les membres. Une partie d'entre eux sont dans l'armée servant dans les troupes d'élites, tandis que la majorité est civile et travaille dans l'administration aux quatre coins du pays ou bien entretient des commerces. La majorité des membres jouissent d'une discrétion relative grâce à la nature ésotérique et secrète de leurs enseignements, mais l'appartenance à la secte est de certains membres sont connus de tous, comme celle du général Chao ou du grand intendant Ling.
Les religions au sein de l'empire
Les religions traditionnelles que sont le taoïsme, le confucianisme et certains chamanismes touchent quotidiennement toute la population, aussi bien les paysans que les grands dirigeants. Ces religions se distinguent fortement des religions du grand ouest comme l'Islam ou le Nestorianisme par l'abondance d'écrits mystiques et la grande quantité de rituels, favorisés aux prières, principalement faites par des moines ou pour des occasions très particulières.
Le bouddhisme jouit d'un rôle majeur auprès de la noblesse et de la population des villes. Son intégration dans le paysage culturel et religieux chinois s'est effectuée grâce à sa souplesse et aux concessions faites aux religions déjà en place.
Le Nestorianisme et l'Islam quant à eux ne sont que très faiblement présents au sein de l'Empire, et sont souvent peu adoptés par le peuple, qui risque des pénalités administratives, et encore moins par la noblesse qui risque de perdre ses terres ou ses avantages. Ces religions restent toutefois présentes dans les grandes villes, à travers les caravanes étrangères, les ambassadeurs mais également à travers de petites communautés d'autochtones ayant adopté les préceptes de ces religions lointaines.
Le Palais
Le Palais Weiyang, récemment rénové avec les taxes récoltées au cours de ces derniers années, rouvre ses portes à la famille impériale. D'une superficie d'une longueur de 2150 mètres d'est en ouest et de 2250 mètres du nord au sud, une véritable ville s'est installé dans l'enceinte de ces murs. Divisé en de nombreuses parties dans les accès sont gardés par des eunuques, une partie est accessible aux visiteurs, tandis que la majorité n'est accessible que sous l'autorisation orale d'un membre de la famille impériale. Les lieux les plus gardés d'accès sont les appartements impériaux, les jardins de Qing et le harem.
Le harem constitue une partie à part du palais, véritable ville enclavée dans le palais, possédant une hiérarchie très particulière où des dizaines de gardes eunuques sont chargés de protégés les centaines de femmes y vivant quotidiennement. La hiérarchie au sein du harem dépend de nombreux facteurs : l'origine sociale ou familiale, les qualités artistiques, la beauté …
Les femmes y vivant proviennent des quatre coins du monde, des confins de l'Empire, des steppes, de la péninsule arabique, d'Europe et de Somalie. Les femmes étrangères, de part leur rareté, souvent associée à une beauté époustouflante sont très prisées. Ainsi, les femmes tokhariennes, exotiques avec leurs yeux verts et leurs cheveux blonds, servent du vin dans des verres en agate et en ambre, lorsque que des iraniennes chantent un air lointain pour distraire l'Empereur qui s'occupe avec une grecque.
Message à Destination de Silla
Cher voisin,
Nous vous offrons l'incroyable opportunité de marier votre fille de plus haut rang avec l'actuel héritier du trône impérial.
Cordialement,
L'Empereur
Royaume de Mercie via Royaume du Wessex:mac:
Incidents diplomatiques 
