Le 07 janvier 2015 à 09:59:28 Coa a écrit :
C'est de sa faute
bon je rebalance ma question vu que tout le monde essaye de l'eviter
dites moi si un raclo baise avec une gonzesse avec capote et que elle a le vih, elle monte sur lui font leur affaire etc...
ma question c'est si la meuf mouille sur lui et que le type a un bouton ou iriitation, que se passe-il ?
je me suis toujours poser la question si le vih pouvais se transmettre comme sa ou uniquement contact muqueuse
Le 07 janvier 2015 à 11:07:46 Civette a écrit :
Ca ne peut pas etre un accident de capote pauvre cloche.Tu as 5 chances sur 1000 environ de chopper le VIH en couchant avec un/une seropo. Alors soit tu as la poisse (accident de capote on va dire 1 chance sur 100 × 5/1000 = 0,00005%) soit faut vraiment avoir couché de nombreuse fois avec sans capote
J'ai couché avec capote - de 5x dans ma vie elle à déjà péter une fois et les autres fois c'était pas loin.
En 2009, on a publié les résultats d'une méta-analyse examinant 10 études sur les risques de transmission du VIH lors des relations sexuelles vaginales.4 L'analyse a permis d'estimer à 0,08 % le risque de transmission lors des relations vaginales passives (on se laisse pénétrer le vagin par le pénis de son partenaire), ce qui équivaut à une transmission sur 1 250 expositions.
( http://www.catie.ca/fr/pdm/ete-2012/chiffrer-les-risques-lors-dune-exposition-vih )
Chaud la poisse quand même.
Le 07 janvier 2015 à 11:13:48 Coa a écrit :
Le pire des cas c'est d'être en couple sérieusement ( test et donc plus de capotes ) et que l'un des deux trompe l'autre et choppe le VIH (peu de risque mais non négligeable). Putain là c'est tendu
"NE LUI AVOUEZ JAMAIS QUE VOUS L'AVEZ TROMPÉ
Vous avez des relents de culpabilité et de honte qui vous remontent à la gorge et la seule chose à laquelle vous pouvez penser afin de ressembler de nouveau à un humain normal est de dire la vérité, de baisser la tête et d'attendre votre sentence (qui, vous l'espérez intimement, se résumera à la fin de la relation – si vous l'aviez assez aimé dès le départ, vous ne l'auriez pas trompé). Ainsi vous pourrez enfin reprendre votre vie, et avancer avec la conviction rassurante que vous êtes un être humain décent et responsable qui a certes fauté une fois, mais qui a au moins eu le cran de faire amende honorable.
En vérité, vous n'êtes qu'un sale arrogant. La seule personne qui puisse bénéficier du fait de dire la vérité, c'est vous. Parce que c'est comme ça que vous réussirez à effacer toute trace de culpabilité en vous convainquant que le meilleur moyen pour l'autre de tourner la page est de vous haïr. Seulement, les choses ne marchent pas comme ça. L'autre ne vous haïra jamais, il continuera de vous aimer profondément pendant encore des années et il se détestera à cause de ça. Félicitations, petite merde : vous avez foutu une vie en l'air."
https://www.vice.com/fr/article/ce-que-jai-appris-en-trompant-tous-mes-copains-218
Le 07 janvier 2015 à 11:35:09 Mercedes a écrit :
c'est de sa faute, j'ai jamais fait l'amour sans préservatif ca change rien, comment tu peux faire ca sans connaitre le partenaire?
"Qu'en est-il de ceux qui sortent et couchent avec cinq personnes différentes en une semaine ? S'ils ne font de mal à personne, est-ce vraiment un comportement problématique qui nécessite une thérapie ?
Pas nécessairement. Mais qu'en est-il si cette personne se dit : « J'ai bu et je n'ai pas utilisé de préservatif. Hors de question que ça se reproduise ». Puis sort de nouveau, prends quelques verres, n'a pas de préservatif et se dit : « OK, rien à foutre », avant de choper une MST. Ensuite bien évidemment vient la honte, conséquence émotionnelle de ce qu'il vient de se produire. Le cas de figure inverse existe aussi, avec la personne qui enchaîne, qui couche à répétition et qui n'a aucun problème avec ça.
Donc tout va bien jusqu'à ce que l'on attrape une MST ?
Ou jusqu'à ce que l'on se dise « Putain, je me veux me poser. Et je n'y arriverai pas si je continue à agir de la sorte ». Il y a toujours quelqu'un qui rencontre une personne géniale, mais qui souhaite ensuite rencontrer une autre personne géniale. C'est un piège classique. La conséquence, c'est qu'ils ne construiront jamais de vraies relations et qu'ils n'essaient pas de surmonter leurs problèmes d'anxiété et de gestion de l'intimité. Ils ne veulent pas rester avec une personne car cela soulève trop de peines liées à l'enfance. C'est complexe."
https://www.vice.com/fr/article/ce-que-jai-appris-en-trompant-tous-mes-copains-218
Le 07 janvier 2015 à 09:57:17 AROUNDAZIEF a écrit :
Personne d’autre n’a l’autorisation ni le droit de me juger. Ni comme victime, ni comme responsable. Je suis séropositive. Point.
Elle met pas de capote, c'est de sa faute.
"ouin ouin ils m'ont menti"
de quoi elle se plaint, elle les a eu ses bad-boys
Quand les mecs volent ou mentent aux autres y'a pas de problème mais quand ca sur elle ca chiale
Le 16 décembre 2016 à 01:49:09 In_a_nutshell a écrit :
Le 07 janvier 2015 à 09:57:17 AROUNDAZIEF a écrit :
http://www.konbini.com/frfr/tendances-2/temoignage-vih/J’ai eu des rapports non-protégés avec des garçons qui m’ont dit qu’ils étaient clean et je les ai crus sur parole.
"Quand Ruby, Jenny et leurs potes parlent et fument entre elles, il y a beaucoup de pose. Ce sont des filles encore jeunes et naïves, et pourtant elles prétendent en savoir un paquet sur la différence entre « faire l'amour » et « baiser », sur ce qu'est le « sexe ». Quel genre de conversations avais-tu avec tes potes filles, à l'époque ?
J'ai perdu ma virginité à 20 ans, du coup le film était très éloigné de ma vraie vie. J'ai grandi avec une bande de filles qui, à 13 ou 14 ans, couchaient toutes avec leurs petits copains dealers, sans jamais utiliser de préservatif parce qu'ils préféraient la sensation naturelle. Je leur disais : « Vous êtes en train de reproduire le même schéma de violence et de pauvreté dans lequel vous avez grandi et que vous prétendez vouloir quitter ». La réalité était intéressante, parce que quand ces filles ont eu 14 ans, en un été, elles se sont mises à parler exclusivement de cul. Je ne pense pas qu'elles avaient toujours voulu perdre leur virginité, mais tout est arrivé très tôt pour elles. Elles ont eu un corps de femme très vite, contrairement à moi. Quand on marchait dans la rue, même si on était une bande d'adolescentes, tout le monde les traitait comme des femmes, et elles essayaient de s'y habituer. Elles normalisaient ce qui leur arrivait et le fait que des adultes s'intéressent à elles."
https://www.vice.com/fr/article/interview-rosario-dawson-kids-192
Le 16 décembre 2016 à 11:35:12 RSAiste a écrit :
Le 16 décembre 2016 à 11:27:19 kingloi_1 a écrit :
En plus elle risque une grossesse non désirée.Merci l'avortement de confort
"Une variété de causes a contribué à ce taux d'avortements astronomique en URSS ; selon le professeur Temkina, ce n'était pas seulement dû au fait que le sexe et la sexualité n'étaient pas abordés en public – il y avait également un manque flagrant de discussions ouvertes en privé. « Il n'y avait aucune communication entre maris et femmes. Si les partenaires parvenaient à une sorte d'accord, il devait être non-dit. Si vous n'aviez pas de partenaire régulier, même un accord non-dit était hors de question. Donc bien sûr, il y avait des conséquences. »
Ma grand-mère était d'accord. « Tout dépendait du partenaire, a-t-elle déclaré. Certains hommes n'aimaient pas utiliser de préservatifs, d'autres se fichaient que le préservatif se déchire. »
Je n'ai vu mes grands-parents s'embrasser qu'une seule fois au cours de ma vie. Leur mariage m'a toujours renvoyé l'image d'une camaraderie fatiguée, donc il n'est pas difficile de croire que leur relation était le parfait exemple de la dynamique des sexes décrite par le professeur Temkina.
« Ton grand-père savait tout de mes grossesses, mais il ne m'a pas vraiment aidée, m'a dit ma grand-mère. Il m'a emmenée à l'hôpital une ou deux fois, mais il n'est jamais resté avec moi. Culturellement, ce n'était pas la responsabilité de l'homme. Si vous vouliez garder l'enfant, ce n'était pas pareil : là, il s'impliquait. »
Alors que ma grand-mère et moi approchions de la fin de notre discussion, je me sentais de plus en plus énervée et triste pour elle. Le pays où elle avait vécu avait choisi de fermer les yeux sur ces nombreuses femmes qui se faisaient avorter – c'était un endroit qui refusait d'admettre que ses croyances traditionnelles au sujet de la sexualité et de la maternité nuisaient considérablement aux femmes.
« Tout le monde avait un regard purement rationnel sur les avortements, m'a expliqué ma grand-mère. Personne ne cherchait à savoir si ça affectait les femmes. » L'Union soviétique a mis toute la responsabilité sexuelle sur les épaules des femmes, qui n'ont pas vu ou pas compris qu'elles avaient une échappatoire. À mes yeux, cette expérience l'a définitivement changée en tant que personne – mais à ce jour, ma grand-mère et les autres femmes de sa génération n'ont pas l'air de le comprendre."
https://www.vice.com/fr/article/une-conversation-avec-ma-grand-mere-au-sujet-de-ses-douze-avortements
C'est oú que c'est poignant ?
Personne d’autre n’a l’autorisation ni le droit de me juger. Ni comme victime, ni comme responsable. Je suis séropositive. Point.
Bah crève http://image.noelshack.com/fichiers/2016/46/1479341130-risitasfroid6.png
C'est triste
Bien content et bien fais pour sa gueule
Julie, j'en ai rencontré une dernièrement
“Je ne suis pas à plaindre”
“J’ai pris le risque de m’exposer au VIH et à d’autres IST”
Elle a tout dit
Fallait pas être décadente
C'est bientôt fini le sida de toute manière. On va bientôt pouvoir baiser comme des chiens comme dans les 70's
Le 07 janvier 2015 à 10:08:12 Coa a écrit :
Le risque dans la fellation c'est surtout pour la gonzesse
D'ailleurs, y'a t-il des risques pour le mec ?
Elle s'est fait tourner en boite, et la c'est le dur retour à la réalité
Bien fait
C'est dommage pour elle, on est tous d'accord que personne voudrais être à sa place, c.a.d que nous comprenons la difficulté de sa situation.
Mais quand on garde à l'esprit que la situation difficile dans laquelle elle se trouve est le résultat de plusieurs de ses mauvais choix qu'elle a fait sciemment, difficile de la plaindre.
Donc poignant n'est pas le mot, et en ce sens Konbini nous prouvent encore qu'ils sont de mauvais journaliste.