Le 22 mars 2018 à 11:55:22 Wkl a écrit :
Le 22 mars 2018 à 01:21:05 Henry--Mann a écrit :
Le 22 mars 2018 à 00:53:27 Wkl a écrit :
" Clarification sur le QI ... "
--- ) Clarification sur le volume cérébral :Brain Size, Cranial Morphology, Climate, and Time Machines :
https://s3.amazonaws.com/academia.edu.documents/31431783/Beals_84.pdf?AWSAccessKeyId=AKIAIWOWYYGZ2Y53UL3A&Expires=1521678491&Signature=pO8HUdygaIzlnHMshq1%2FnfE7UrM%3D&response-content-disposition=inline%3B%20filename%3DBeals_84_comment.pdf
https://www.journals.uchicago.edu/doi/abs/10.1086/203138" A bioclimatic model is evaluated as an explanation of variation in cranial capacity among 122 ethnic groups. Distribution of absolute and relative endocranial volume is mapped. Significant correlations occur with all nine climatic variables examined. Major foci of adaptation occur with solar radiation, vapor pressure, and winter temperature. Global mean trait increase is 2.5 cm per degree of equatorial distance. The interactive geometry between cranial size and shape is described, with encephalization and brachycephalization considered as functionally connected trends. Breadth is the most important structural component determining capacity. Relations between body size and brain size indicate that human populations under severe cold stress obtain large volumes more from rounder cranial shape than from differentiation by total body size. A computerized mapping program is developed and applied to anthropometric, climatic, and HRAF files. Its potential to produce clinal depictions through the Pleistocene ("time machine project") is discussed. Paleontological data are summarized for 147 hominids. "
Morphological Adaptation to Climate in Modern Homo sapiens Crania: The Importance of Basicranial Breadth
PDF : https://hrcak.srce.hr/file/107420
" The aim of this study is to investigate whether the variation in breadth of the cranial base among modern human populations that inhabit different regions of the world is linked with climatic adaptation. This work provides an examination of two hypotheses. The first hypothesis is that the correlation between basicranial breadth and ambient temperature is stronger than the correlation between temperature and other neurocranial variables, such as maximum cranial breadth, maximum neurocranial length, and the endocranial volume. The second hypothesis is that the correlation between the breadth of the cranial base and the ambient temperature is significant even when other neurocranial features used in this study (including the size of the neurocranium) are constant. For the sake of this research, the necessary neurocranial variables for fourteen human populations living in diverse environments were obtained from Howells’ data (except for endocranial volume which was obtained by means of estimation). The ambient temperature (more precisely, the mean yearly temperature) of the environments inhabited by these populations was used as a major climatic factor. Data were analysed using Pearson correlation coefficients, linear regression and partial correlation analyses. The results supported the two hypotheses, thus suggesting that ambient temperature may contribute to the observed differences in the breadth of the cranial base in the studied modern humans. "
The Guardian : People at darker, higher latitudes evolved bigger eyes and brains
https://www.theguardian.com/science/2011/jul/27/higher-latitudes-bigger-eyes-brains''' "People who live at higher latitudes have larger eyes and more processing power in their brains to deal with visual information compared with those living nearer the equator, a study suggests.
(...)
Brain volume is known to increase with latitude: people living at high latitudes north and south of the equator have bigger brains than people living near the equator and . Dunbar said that scientists have wondered whether these inherited differences in total brain volume were driven by the pressure to adapt to low light levels at high latitudes.
The researchers measured the brain volumes and eye sockets of 55 skulls kept at the Oxford University Museum of Natural History dating from the 19th century. The skulls represented 12 different populations from around the world, including indigenous people from England, Australia, China, Kenya, Micronesia and Scandinavia.
The results, published on Wednesday in the journal Biology Letters, showed that the biggest brains, averaging 1,484 millilitres, were from Scandinavia, while the smallest brains, around 1,200 millilitres, came from Micronesia. Average eye socket size was 27 millilitres in Scandinavia and 22 millilitres in Micronesia."'''Pourquoi tu ne le traduit pas en Français l'ahuri ?
Tu sors des sources sans même les comprendreTu as omis cela
' Ceci suggère que quelqu'un du Groenland et quelqu'un du Kenya auront la même capacité à discerner les détails, mais la personne de la plus haute latitude a besoin de plus de cerveaux et de plus grands yeux pour faire face aux niveaux de lumière inférieurs.'Si son cerveau est plus gros et ses yeux c'est pour faire face aux niveau de lumière inférieur.
Mais comme ton étude le dit le Kenyan de pleine aura la même capacité de dicerner et d'analyse.Elle explique à quoi sert son gros cerveau et pourquoi elle a muté.
"En s'éloignant de l'équateur, il y a de moins en moins de lumière disponible, donc les humains ont dû faire de plus en plus gros yeux'''Il y'a moins de soleil dans les zone non équatorial, faut bien que leurs bio s'adapte.
Et les micronesiens sont pas des surdouées
Je ne parle absolument pas de la cause de ces différences de volume cérébral en fonction de la latitude, elles sont effectivement liées selon l'article que tu cite a des différences de luminosité et sont proportionnels a la croissance du volume des yeux, c'est l'hypothèse retenue par l'étude. Dans cette hypothèse, les populations vivant a des latitudes élevées ont des cerveaux plus gros pour des raisons d'adaptation a des climats différents, l'article ne parle absolument pas d’intelligence, selon lui c'est purement et simplement un phénomène de type optique, de type ophtalmologique. Mais cela ne change absolument rien au fait que effectivement il y a des différences de volume cérébral entre population , sans établir de conclusion sur ce fait là, on peut juste constater ce phénomène, les scientifiques, les études que j'ai cité le démontre, je n'en ai pas cité qu'une et elle montre le même résultat.
Aujourd'hui, même les scientifiques qui ne croient pas en l’existence de différence intrinsèque et génétique de QI entre populations humaines reconnaissent parfaitement le fait qu'il existe des différences de volume cérébral entre populations.
Par exemple, quand le professeur Philippe Rushton dans son livre Race, Evolution and Behaviour montrait les données statistiques qui démontraient l’existence de différences de volume cérébral entre noirs blancs et asiatiques, les scientifiques qui ont critiqué sa thèse selon laquelle il existait des différences d’intelligence entre race d'origine génétique n'ont pas remis en cause l’existence des différences de volume cérébral moyen entre groupes ethniques, toutes les études démontrent que ces différences existent, ce qu'ils ont remis en cause, c'est la corrélation entre volume cérébral et quotient intellectuel d'un individu ou d'un groupe d'individu, selon les détracteurs de Philippe Rushton, le fait que les blancs avaient des cerveaux plus gros que les noirs n'impliquait absolument pas que les blancs étaient plus intelligents que les noirs, mais ils ne remettait pas en cause l'observation du fait qu'en moyenne, les blancs avaient des cerveaux plus gros que les noirs.
L'hypothèse selon laquelle ce phénomène serait lié a la luminosité n'est pas l'hypothèse retenue par les autres études que j'ai cité, qui elle aussi ne parle absolument pas d’intelligence et ne développe aucune hypothèse sur le lien hypothétique entre le quotient intellectuel et la race, cette étude constate exactement la même chose a propos de la corrélation entre latitude et volume cérébral, c'est a dire les populations vivant a des latitudes élevé ont des cerveaux plus gros que les populations vivant a des latitude plus équatoriale, elle conclut que ce phénomène s'explique essentiellement par une question de température moyenne, les températures très basses auraient entraîner non seulement la croissance de la taille du cerveau mais également un changement structurel de forme puisque les cerveaux des populations arctiques sont plus sphériques que les cerveaux des populations vivant près de l'équateur. Selon James Mielke, Lyle Konigsberg et John Relethford, ceci serait lié a la règle biologique de Bergmann (https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A8gle_de_Bergmann) selon laquelle il y a une corrélation entre la température de l'environnement avec la masse du corps chez les animaux pour des questions de préservations de la chaleur dans des environnements froids. Les cerveaux plus gros et plus rond des populations arctiques auraient été nécessaires pour des raisons de préservation de la chaleur corporelle.
On est donc dans ce cas sur une hypothèse totalement différente de l'hypothèse que j'ai donner initialement portant sur les différences de luminosité.Quel que soit l'hypothèse que l'on retient pour expliquer ce fait, cela ne change pas le phénomène que l'on observe initialement, il existe des différences de volume cérébral entre populations humaines, et globalement on observe une corrélation entre le quotient intellectuel moyen que l'on mesure dans le monde et le volume cérébral plus élevé chez les populations mongoloïdes arctiques et caucasiennes européennes et moins élevé chez les populations équatoriales, particulièrement africaines et océaniennes. Alors certes corrélation n'est pas causalité, mais de fait actuellement les éléments tendraient plutôt a démontrer une corrélation et une causalité.
On est d'accord sur ce point, si j'ai contre argumenter.
C'est pour faire attention au gens qui n'ont pas ce recule intellectuel de bien chaisir ton étude et de son analyse et de sa conclusion à la différence de nous
D'ou le fait que j'ai bien précisé l'analyse de l'étude.