Le 29 décembre 2018 à 01:13:50 Footx61 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:13:00 Thefrozenforest a écrit :
Vous pensez qu'il y a un tueur en série qui rode dans le 18 25 ?Des victimes d’un tueur oui
J'ai compris quelque chose mais je fais semblant de ne pas le comprendre
Donc je te pose la question : comment ça ?
Le 29 décembre 2018 à 01:12:48 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:11:04 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:09:59 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:08:14 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:06:14 Panzer_Cat a écrit :
> Le 29 décembre 2018 à 01:00:58 Voyageons a écrit :
>> Le 29 décembre 2018 à 00:54:17 MinotaurGoth a écrit :
> >L'anecdote n'est pas de moi mais je la c/c, une histoire bien glauque en lien avec le topic : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-38830762-1-0-1-0-le-jour-ou-la-drogue-a-sauve-ma-vie.htm
> >
> > Je tiens à vous confier une expérience un peu tabou au sujet de la drogue et comment elle m'a sauvé la vie. L'histoire que je vais vous raconter rapidement est réelle. Je précise néanmoins que mon intention n'est pas ici de faire l'apologie de la drogue.
> >
> > Alors voilà, y a quelques années je prenais des amphétamines tous les jours. J'en étais accroc. J'en prenais pour le travail, pour les cours, pour m'amuser en soirée. Ma vie tournais autour de çà, mais plus le temps passait et plus les effets pervers de la drogue me frappaient. Cette drogue ne m'était plus bénéfique et commençait à ruiner ma vie.J'avais perdu amis et proches à cause de çà.
> >
> > Alors j'ai décidé d'arrêter. J'ai arrêté pendant 4 mois. Sauf qu'un jour , le jour de mon anniversaire, l'envie d'en reprendre s'est manifestée. J'étais seul chez moi à ne rien faire. J'ai décidé d'en prendre un peu et de sortir boire un verre dans un bar histoire de me changer les idées. J'arrive dans le bar, je me pose au bar et commande une bière, puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard une belle et jeune fille s'approche de moi et commence à me taper la discute. C'était une étudiante roumaine. Elle parlait très bien français cela dit. Elle ressemblait à un mélange entre Adriana Karambeu et Jessica Alba. Les cheveux noirs foncés, de longues jambes, une beauté froide avec des traits fins. Un véritable top model si vous voyez ce que je veux dire. En plus elle était pas juste belle, elle était aussi intéressante et cultivée.
> > Bref, on passe une bonne soirée et quand le bar commence à fermer elle m'invite à aller dans un after chez des potes à elles. Je ne pouvais pas refuser.
> > Avant de sortir du bar je vais vite aux toilettes pour me gober ma dernières pullule histoire de tenir toute la nuit.
> >
> > On arrive chez ses potes et c'était dans un vielle immeuble délabré. C'était un squat en fait. Elle me demande si ça me dérange ce genre d'after et je lui dis non. Elle me présente à ses potes, une demie douzaine de personnes entre 20 et 35 ans qui n'avaient pas la gueule à aller à des after dans des squat. C'est la réflexion que je me suis faite à ce moment.
> > On me propose une bière et je me pose sur le canapé. Cette bière avait un gout bizarre. Comme un arrière gout de médicament pour la toux, difficile à dire c'était quoi. Je bois quand même sans rien dire et je continue à faire connaissance avec tout le monde.
> >
> > Au bout de 20 ou 30 minutes je commence à me sentir mal. J'ai mal à la tête et je me sent lent. Vu le nombre de pilules que j'avais pris dans la soirée je me dis que normalement c'est le contraire qui devrait arriver. Je me lève du canapé pour marcher un peu et vais vers la fenêtre prendre un peu d'air. Là, j'ai l'impression que le temps s'arrête et j'entends un gars derrière moi chuchoter " il devrait déjà être couché ". Je me retourne et j'ai comme l'impression que tout le monde me regarde discrétos. J'ai l'impression d'être sur dans une pièce de théâtre et que tout est fake. Les attitudes des gens autour me semblent fake.
> > Je me dirige alors vers les toilettes et sur le chemin la jeune demoiselle qui m'y a emmené me dit " Ca va? Tu peux t'allonger dans la chambre si tu veux.". Je dis que tout va bien et rentre dans les chiotte.
> >
> > Là je fais semblant d'utiliser les chiottes et tire la chasse d'eau. Au même moment je pose mon oreille contre la porte pour entendre ce qui se dit dans la grande salle. J'entends encore une fois " C'est pas possible qu'il soit toujours debout". A ce moment je flippe carrément. Je ne sais même pas de quoi je flippe mais ça sonne trop bizarre. Alors j'ouvre la fenêtre des toilettes et vais sur le balcon pour m'échapper en douce de ce squatte. J'avais comme l'impression que si je sortais des toilettes j'aurai de gros problèmes.
> >
> > C'était au premier étage donc sauter du balcon n'était pas trop dangereux. Le balcon reliait la chambre aux toilettes. En passant devant la fenêtre de la chambre j'aperçois plusieurs sac isothermes et des instruments médicaux à côté du lit. A ce moment mon cerveau était trop fucked up pour comprendre à quoi ça pouvait servir, mais je sentais le danger.
> >
> > Bon, je m'en vais de là sans faire de bruit et je prends le taxi pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison je me pose dans mon lit et je m'endors aussitôt. Je me réveille 2 jours plus tard avec un mal de crâne pas possible.
> > Je m'en vais de jour au squatte voir ce qu'il en était et là ... le vide complet. Y avait plus rien. Il restait juste le canapé dans le salon, mais même le lit avait disparu.
> > Ce jour là je réalise que la drogue a probablement sauvé ma vie. Si je n'avais pas pris ces amphétamines je me serais endormi au squatte et à mon avis on m'aurai volé mes organes. Tout ressemblait à un trafique d'organe.
> > Depuis ce jour je n'ai plus jamais touché à la drogue. C'est un comble sachant qu'elle m'a sauvé la vie.
>
> Pourquoi déguiser en squat et pas faire passer ca pour une soirée normale ? ...="
Peut-être pour pas être dérangés, et pour avoir à payer qu'un matos bas de gamme qui peut servir plusieurs fois plutôt qu'un appart ou une chambre d'hôtel
Autant meubler normalement alors... Et faire passer ce ça pour une soirée normale plutôt que faire un squat alors que les mecs étaient classes
Ca a aucun sens
T'es obligé de faire ça dans un lieu abandonné.
Si tu loues une salle on peut facilement remonter à toi, tu passes par des intermédiaires etc
Mais t'as pas compris autant meubler l'appart normalement
Tu vas pas meubler un lieu qui te servira qu'une fois ... Et pareil tu dois passer par des intermédiaires
Quand t'es déchiré tu fais pas trop attention à la cohérence du mobilier
Tu peux meubler toi même ils sont plusieurs... Y'a un lit en plus
Ce point là est pas cohérent surtout que ces gens sont forcément intelligents
Le 29 décembre 2018 à 01:14:42 Sphynx_84 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:01:00 CeIIz a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 00:51:03 RoyalisteDeter1 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 00:49:06 Jack-Ma4 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 00:46:49 RoyalisteDeter1 a écrit :
> Le 29 décembre 2018 à 00:45:51 waterlowJV a écrit :
>>[00:43:07] <OreoNoir>
> >L'histoire du mec qui a décapité une infirmière et une aide soignante, vous connaissez ?
> >
> >"Romain Dupuy, déjà interné à trois reprises pour schizophrénie à l'hôpital psychiatrique de Pau1, quitte son domicile le 17 décembre 2004 après avoir passé des heures à jouer à Predator et fumé une quinzaine de joints2. Agressé selon lui trois jours plus tôt dans un quartier de Pau où il était venu se procurer du cannabis, il a rempli ses poches de vis cruciformes, pensant que des chiens sauvages peuvent l'attaquer en chemin et a pris un couteau de cuisine pour se venger de ses agresseurs. Ne les trouvant pas, il se rend à l'hôpital psychiatrique. Croisant deux infirmières, il poignarde la première et décapite la seconde, déposant sa tête sur un poste de télévision3. Le 29 janvier 2005, Romain Dupuy est arrêté pour tentative de meurtre sur des policiers de la Brigade anti-criminalité de Pau lors d'un contrôle de routine. Il est confondu par son ADN prélevé par la police sur son sang laissé lorsqu'il a brisé un vasistas de l'hôpital4."
>
> Je m'en souviens la tête sur la TV je l'avais vu aux infos a l'époque
Cest dans ma ville.. Pau ville magnifique, mais ville de détraqué. L'histoire que j'ai raconté avec le mec qui se faisait tué à à-coup de marteau c'est la bas aussi..
On attend toujours le sois disant nom du réseau cannibal
Mais tu es stupide ou quoi ? J'en ai parlé juste au dessus
Et qui dit deep web dit lien onion je l'ai plus tu crois que je garde ça sur mon telephpne
Putain t'as juste que tape femcan sur internet ou longpig même sur le clearweb tu trouves des PUTAINS d'humains rôtis à la broche tu veux que je te dise quoi l'ignorantça me fait penser à cette lettre d'Albert Fish adressé aux parents d'une fillette qu'il a dévoré.
https://youtu.be/q7IyM0vcwZY?t=1181
Attends, plus loin dans la vidéo, ils racontent qu'en prison, il s'enfonçait des aiguilles dans le périnée ; la radio a mis en évidence 27 aiguilles qu'il s'était enfoncé dans l'entrejambe.
Albert Fish c'était le ténor du crime hein, même Jeffrey Dahmer tremblerait devant lui
Les trafics d'hommes ou d'organes sont vraiment ce qu'il y a de pire.
Autant de cruauté. Et je me demande comment on en arrive à tomber là-dedans.
Le 29 décembre 2018 à 01:17:02 SayHO a écrit :
Les filles aiment les badboy c'est ça que vous comprenez pasLa meuf préfere être en couple avec ce type que toi Celestin, sans charisme, pas beau, pas intelligent, pas riche
Ted Bundy 540000 demandes en mariage par jour et toi ?
Fallait pas rajouter la bache
ca fait trop fake dmg
7/10 quand même
Le 29 décembre 2018 à 01:16:27 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:12:48 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:11:04 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:09:59 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:08:14 Voyageons a écrit :
> Le 29 décembre 2018 à 01:06:14 Panzer_Cat a écrit :
>> Le 29 décembre 2018 à 01:00:58 Voyageons a écrit :
> >> Le 29 décembre 2018 à 00:54:17 MinotaurGoth a écrit :
> > >L'anecdote n'est pas de moi mais je la c/c, une histoire bien glauque en lien avec le topic : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-38830762-1-0-1-0-le-jour-ou-la-drogue-a-sauve-ma-vie.htm
> > >
> > > Je tiens à vous confier une expérience un peu tabou au sujet de la drogue et comment elle m'a sauvé la vie. L'histoire que je vais vous raconter rapidement est réelle. Je précise néanmoins que mon intention n'est pas ici de faire l'apologie de la drogue.
> > >
> > > Alors voilà, y a quelques années je prenais des amphétamines tous les jours. J'en étais accroc. J'en prenais pour le travail, pour les cours, pour m'amuser en soirée. Ma vie tournais autour de çà, mais plus le temps passait et plus les effets pervers de la drogue me frappaient. Cette drogue ne m'était plus bénéfique et commençait à ruiner ma vie.J'avais perdu amis et proches à cause de çà.
> > >
> > > Alors j'ai décidé d'arrêter. J'ai arrêté pendant 4 mois. Sauf qu'un jour , le jour de mon anniversaire, l'envie d'en reprendre s'est manifestée. J'étais seul chez moi à ne rien faire. J'ai décidé d'en prendre un peu et de sortir boire un verre dans un bar histoire de me changer les idées. J'arrive dans le bar, je me pose au bar et commande une bière, puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard une belle et jeune fille s'approche de moi et commence à me taper la discute. C'était une étudiante roumaine. Elle parlait très bien français cela dit. Elle ressemblait à un mélange entre Adriana Karambeu et Jessica Alba. Les cheveux noirs foncés, de longues jambes, une beauté froide avec des traits fins. Un véritable top model si vous voyez ce que je veux dire. En plus elle était pas juste belle, elle était aussi intéressante et cultivée.
> > > Bref, on passe une bonne soirée et quand le bar commence à fermer elle m'invite à aller dans un after chez des potes à elles. Je ne pouvais pas refuser.
> > > Avant de sortir du bar je vais vite aux toilettes pour me gober ma dernières pullule histoire de tenir toute la nuit.
> > >
> > > On arrive chez ses potes et c'était dans un vielle immeuble délabré. C'était un squat en fait. Elle me demande si ça me dérange ce genre d'after et je lui dis non. Elle me présente à ses potes, une demie douzaine de personnes entre 20 et 35 ans qui n'avaient pas la gueule à aller à des after dans des squat. C'est la réflexion que je me suis faite à ce moment.
> > > On me propose une bière et je me pose sur le canapé. Cette bière avait un gout bizarre. Comme un arrière gout de médicament pour la toux, difficile à dire c'était quoi. Je bois quand même sans rien dire et je continue à faire connaissance avec tout le monde.
> > >
> > > Au bout de 20 ou 30 minutes je commence à me sentir mal. J'ai mal à la tête et je me sent lent. Vu le nombre de pilules que j'avais pris dans la soirée je me dis que normalement c'est le contraire qui devrait arriver. Je me lève du canapé pour marcher un peu et vais vers la fenêtre prendre un peu d'air. Là, j'ai l'impression que le temps s'arrête et j'entends un gars derrière moi chuchoter " il devrait déjà être couché ". Je me retourne et j'ai comme l'impression que tout le monde me regarde discrétos. J'ai l'impression d'être sur dans une pièce de théâtre et que tout est fake. Les attitudes des gens autour me semblent fake.
> > > Je me dirige alors vers les toilettes et sur le chemin la jeune demoiselle qui m'y a emmené me dit " Ca va? Tu peux t'allonger dans la chambre si tu veux.". Je dis que tout va bien et rentre dans les chiotte.
> > >
> > > Là je fais semblant d'utiliser les chiottes et tire la chasse d'eau. Au même moment je pose mon oreille contre la porte pour entendre ce qui se dit dans la grande salle. J'entends encore une fois " C'est pas possible qu'il soit toujours debout". A ce moment je flippe carrément. Je ne sais même pas de quoi je flippe mais ça sonne trop bizarre. Alors j'ouvre la fenêtre des toilettes et vais sur le balcon pour m'échapper en douce de ce squatte. J'avais comme l'impression que si je sortais des toilettes j'aurai de gros problèmes.
> > >
> > > C'était au premier étage donc sauter du balcon n'était pas trop dangereux. Le balcon reliait la chambre aux toilettes. En passant devant la fenêtre de la chambre j'aperçois plusieurs sac isothermes et des instruments médicaux à côté du lit. A ce moment mon cerveau était trop fucked up pour comprendre à quoi ça pouvait servir, mais je sentais le danger.
> > >
> > > Bon, je m'en vais de là sans faire de bruit et je prends le taxi pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison je me pose dans mon lit et je m'endors aussitôt. Je me réveille 2 jours plus tard avec un mal de crâne pas possible.
> > > Je m'en vais de jour au squatte voir ce qu'il en était et là ... le vide complet. Y avait plus rien. Il restait juste le canapé dans le salon, mais même le lit avait disparu.
> > > Ce jour là je réalise que la drogue a probablement sauvé ma vie. Si je n'avais pas pris ces amphétamines je me serais endormi au squatte et à mon avis on m'aurai volé mes organes. Tout ressemblait à un trafique d'organe.
> > > Depuis ce jour je n'ai plus jamais touché à la drogue. C'est un comble sachant qu'elle m'a sauvé la vie.
> >
> > Pourquoi déguiser en squat et pas faire passer ca pour une soirée normale ? ...="
>
> Peut-être pour pas être dérangés, et pour avoir à payer qu'un matos bas de gamme qui peut servir plusieurs fois plutôt qu'un appart ou une chambre d'hôtel
Autant meubler normalement alors... Et faire passer ce ça pour une soirée normale plutôt que faire un squat alors que les mecs étaient classes
Ca a aucun sens
T'es obligé de faire ça dans un lieu abandonné.
Si tu loues une salle on peut facilement remonter à toi, tu passes par des intermédiaires etc
Mais t'as pas compris autant meubler l'appart normalement
Tu vas pas meubler un lieu qui te servira qu'une fois ... Et pareil tu dois passer par des intermédiaires
Quand t'es déchiré tu fais pas trop attention à la cohérence du mobilier
Tu peux meubler toi même ils sont plusieurs... Y'a un lit en plus
Ce point là est pas cohérent surtout que ces gens sont forcément intelligents
C'est pas très discret d'aménager un squat ...
La première histoire et le truc du drogué avec les organes m'ont retourné l'estomac
Le 29 décembre 2018 à 01:19:17 Yoshimitsu94 a écrit :
La première histoire et le truc du drogué avec les organes m'ont retourné l'estomac
Repense un peu à l'affaire Maelys ...
24 pages.
J'en déduis que les attardés du forum sont encore tombé dans le panneau
Retourne toi y'a quelqu'un derrière toi
Le 29 décembre 2018 à 01:19:17 Yoshimitsu94 a écrit :
La première histoire et le truc du drogué avec les organes m'ont retourné l'estomac
Les deux sont probablement fake. Les voles d'organes en France sont très peu répandu, prendre le temps de voler 1 rein en France tu pourrais en voler 8 en Inde encore plus facilement.
Le 29 décembre 2018 à 01:03:40 Jack-Ma4 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:01:03 AlexKain86A a écrit :
Le 28 décembre 2018 à 23:36:23 Clum a écrit :
ça m'a donné des frissons mais c'est fakeSi le mec l'a baisé, il a son ADN PARTOUT dans l'appart donc si il est assez réfléchi pour utiliser des bâches il le saurait
Moi je vois ça comme une parfaite excuse.
"oui, je la connaissais, on s'est rencontré via Tinder, on a eu une relation dans la soirée mais ensuite je suis rentré chez moi pour dormir car je travaillais le lendemain !"
Et voilà. Aucune autre preuve, y a ptet des échantillons ADN du mec chez elle, mais ce serait donc "normal".EZ PZ.
Faut vraiment être un cassos pour penser que ça c'est l'alibi parfait
Toi tu connais pas le système judiciaire français.
Le 29 décembre 2018 à 00:54:17 MinotaurGoth a écrit :
L'anecdote n'est pas de moi mais je la c/c, une histoire bien glauque en lien avec le topic : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-38830762-1-0-1-0-le-jour-ou-la-drogue-a-sauve-ma-vie.htmJe tiens à vous confier une expérience un peu tabou au sujet de la drogue et comment elle m'a sauvé la vie. L'histoire que je vais vous raconter rapidement est réelle. Je précise néanmoins que mon intention n'est pas ici de faire l'apologie de la drogue.
Alors voilà, y a quelques années je prenais des amphétamines tous les jours. J'en étais accroc. J'en prenais pour le travail, pour les cours, pour m'amuser en soirée. Ma vie tournais autour de çà, mais plus le temps passait et plus les effets pervers de la drogue me frappaient. Cette drogue ne m'était plus bénéfique et commençait à ruiner ma vie.J'avais perdu amis et proches à cause de çà.
Alors j'ai décidé d'arrêter. J'ai arrêté pendant 4 mois. Sauf qu'un jour , le jour de mon anniversaire, l'envie d'en reprendre s'est manifestée. J'étais seul chez moi à ne rien faire. J'ai décidé d'en prendre un peu et de sortir boire un verre dans un bar histoire de me changer les idées. J'arrive dans le bar, je me pose au bar et commande une bière, puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard une belle et jeune fille s'approche de moi et commence à me taper la discute. C'était une étudiante roumaine. Elle parlait très bien français cela dit. Elle ressemblait à un mélange entre Adriana Karambeu et Jessica Alba. Les cheveux noirs foncés, de longues jambes, une beauté froide avec des traits fins. Un véritable top model si vous voyez ce que je veux dire. En plus elle était pas juste belle, elle était aussi intéressante et cultivée.
Bref, on passe une bonne soirée et quand le bar commence à fermer elle m'invite à aller dans un after chez des potes à elles. Je ne pouvais pas refuser.
Avant de sortir du bar je vais vite aux toilettes pour me gober ma dernières pullule histoire de tenir toute la nuit.On arrive chez ses potes et c'était dans un vielle immeuble délabré. C'était un squat en fait. Elle me demande si ça me dérange ce genre d'after et je lui dis non. Elle me présente à ses potes, une demie douzaine de personnes entre 20 et 35 ans qui n'avaient pas la gueule à aller à des after dans des squat. C'est la réflexion que je me suis faite à ce moment.
On me propose une bière et je me pose sur le canapé. Cette bière avait un gout bizarre. Comme un arrière gout de médicament pour la toux, difficile à dire c'était quoi. Je bois quand même sans rien dire et je continue à faire connaissance avec tout le monde.Au bout de 20 ou 30 minutes je commence à me sentir mal. J'ai mal à la tête et je me sent lent. Vu le nombre de pilules que j'avais pris dans la soirée je me dis que normalement c'est le contraire qui devrait arriver. Je me lève du canapé pour marcher un peu et vais vers la fenêtre prendre un peu d'air. Là, j'ai l'impression que le temps s'arrête et j'entends un gars derrière moi chuchoter " il devrait déjà être couché ". Je me retourne et j'ai comme l'impression que tout le monde me regarde discrétos. J'ai l'impression d'être sur dans une pièce de théâtre et que tout est fake. Les attitudes des gens autour me semblent fake.
Je me dirige alors vers les toilettes et sur le chemin la jeune demoiselle qui m'y a emmené me dit " Ca va? Tu peux t'allonger dans la chambre si tu veux.". Je dis que tout va bien et rentre dans les chiotte.Là je fais semblant d'utiliser les chiottes et tire la chasse d'eau. Au même moment je pose mon oreille contre la porte pour entendre ce qui se dit dans la grande salle. J'entends encore une fois " C'est pas possible qu'il soit toujours debout". A ce moment je flippe carrément. Je ne sais même pas de quoi je flippe mais ça sonne trop bizarre. Alors j'ouvre la fenêtre des toilettes et vais sur le balcon pour m'échapper en douce de ce squatte. J'avais comme l'impression que si je sortais des toilettes j'aurai de gros problèmes.
C'était au premier étage donc sauter du balcon n'était pas trop dangereux. Le balcon reliait la chambre aux toilettes. En passant devant la fenêtre de la chambre j'aperçois plusieurs sac isothermes et des instruments médicaux à côté du lit. A ce moment mon cerveau était trop fucked up pour comprendre à quoi ça pouvait servir, mais je sentais le danger.
Bon, je m'en vais de là sans faire de bruit et je prends le taxi pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison je me pose dans mon lit et je m'endors aussitôt. Je me réveille 2 jours plus tard avec un mal de crâne pas possible.
Je m'en vais de jour au squatte voir ce qu'il en était et là ... le vide complet. Y avait plus rien. Il restait juste le canapé dans le salon, mais même le lit avait disparu.
Ce jour là je réalise que la drogue a probablement sauvé ma vie. Si je n'avais pas pris ces amphétamines je me serais endormi au squatte et à mon avis on m'aurai volé mes organes. Tout ressemblait à un trafique d'organe.
Depuis ce jour je n'ai plus jamais touché à la drogue. C'est un comble sachant qu'elle m'a sauvé la vie.
Cette histoire bordel... Ce genre de truc qui doit être bien plus courant qu'on le pense...
Ça glace le sang quand meme
Le 29 décembre 2018 à 01:15:13 Andalousent a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:14:56 PorcZillaHaram a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:13:50 Footx61 a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:13:00 Thefrozenforest a écrit :
Vous pensez qu'il y a un tueur en série qui rode dans le 18 25 ?Des victimes d’un tueur oui
comment tu peux être aussi sûr de ça khey
L'affaire Sebi
Oh bordel ça s'est passé pas loin de chez moi en plus
Le 29 décembre 2018 à 01:20:12 Spartiated1 a écrit :
24 pages.J'en déduis que les attardés du forum sont encore tombé dans le panneau
On s'en fou que ce soit fake, ça fait réfléchir putain on va vous le repeter combien de fois
Le 29 décembre 2018 à 01:17:56 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:16:27 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:12:48 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:11:04 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:09:59 OreoNoir a écrit :
> Le 29 décembre 2018 à 01:08:14 Voyageons a écrit :
>> Le 29 décembre 2018 à 01:06:14 Panzer_Cat a écrit :
> >> Le 29 décembre 2018 à 01:00:58 Voyageons a écrit :
> > >> Le 29 décembre 2018 à 00:54:17 MinotaurGoth a écrit :
> > > >L'anecdote n'est pas de moi mais je la c/c, une histoire bien glauque en lien avec le topic : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-38830762-1-0-1-0-le-jour-ou-la-drogue-a-sauve-ma-vie.htm
> > > >
> > > > Je tiens à vous confier une expérience un peu tabou au sujet de la drogue et comment elle m'a sauvé la vie. L'histoire que je vais vous raconter rapidement est réelle. Je précise néanmoins que mon intention n'est pas ici de faire l'apologie de la drogue.
> > > >
> > > > Alors voilà, y a quelques années je prenais des amphétamines tous les jours. J'en étais accroc. J'en prenais pour le travail, pour les cours, pour m'amuser en soirée. Ma vie tournais autour de çà, mais plus le temps passait et plus les effets pervers de la drogue me frappaient. Cette drogue ne m'était plus bénéfique et commençait à ruiner ma vie.J'avais perdu amis et proches à cause de çà.
> > > >
> > > > Alors j'ai décidé d'arrêter. J'ai arrêté pendant 4 mois. Sauf qu'un jour , le jour de mon anniversaire, l'envie d'en reprendre s'est manifestée. J'étais seul chez moi à ne rien faire. J'ai décidé d'en prendre un peu et de sortir boire un verre dans un bar histoire de me changer les idées. J'arrive dans le bar, je me pose au bar et commande une bière, puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard une belle et jeune fille s'approche de moi et commence à me taper la discute. C'était une étudiante roumaine. Elle parlait très bien français cela dit. Elle ressemblait à un mélange entre Adriana Karambeu et Jessica Alba. Les cheveux noirs foncés, de longues jambes, une beauté froide avec des traits fins. Un véritable top model si vous voyez ce que je veux dire. En plus elle était pas juste belle, elle était aussi intéressante et cultivée.
> > > > Bref, on passe une bonne soirée et quand le bar commence à fermer elle m'invite à aller dans un after chez des potes à elles. Je ne pouvais pas refuser.
> > > > Avant de sortir du bar je vais vite aux toilettes pour me gober ma dernières pullule histoire de tenir toute la nuit.
> > > >
> > > > On arrive chez ses potes et c'était dans un vielle immeuble délabré. C'était un squat en fait. Elle me demande si ça me dérange ce genre d'after et je lui dis non. Elle me présente à ses potes, une demie douzaine de personnes entre 20 et 35 ans qui n'avaient pas la gueule à aller à des after dans des squat. C'est la réflexion que je me suis faite à ce moment.
> > > > On me propose une bière et je me pose sur le canapé. Cette bière avait un gout bizarre. Comme un arrière gout de médicament pour la toux, difficile à dire c'était quoi. Je bois quand même sans rien dire et je continue à faire connaissance avec tout le monde.
> > > >
> > > > Au bout de 20 ou 30 minutes je commence à me sentir mal. J'ai mal à la tête et je me sent lent. Vu le nombre de pilules que j'avais pris dans la soirée je me dis que normalement c'est le contraire qui devrait arriver. Je me lève du canapé pour marcher un peu et vais vers la fenêtre prendre un peu d'air. Là, j'ai l'impression que le temps s'arrête et j'entends un gars derrière moi chuchoter " il devrait déjà être couché ". Je me retourne et j'ai comme l'impression que tout le monde me regarde discrétos. J'ai l'impression d'être sur dans une pièce de théâtre et que tout est fake. Les attitudes des gens autour me semblent fake.
> > > > Je me dirige alors vers les toilettes et sur le chemin la jeune demoiselle qui m'y a emmené me dit " Ca va? Tu peux t'allonger dans la chambre si tu veux.". Je dis que tout va bien et rentre dans les chiotte.
> > > >
> > > > Là je fais semblant d'utiliser les chiottes et tire la chasse d'eau. Au même moment je pose mon oreille contre la porte pour entendre ce qui se dit dans la grande salle. J'entends encore une fois " C'est pas possible qu'il soit toujours debout". A ce moment je flippe carrément. Je ne sais même pas de quoi je flippe mais ça sonne trop bizarre. Alors j'ouvre la fenêtre des toilettes et vais sur le balcon pour m'échapper en douce de ce squatte. J'avais comme l'impression que si je sortais des toilettes j'aurai de gros problèmes.
> > > >
> > > > C'était au premier étage donc sauter du balcon n'était pas trop dangereux. Le balcon reliait la chambre aux toilettes. En passant devant la fenêtre de la chambre j'aperçois plusieurs sac isothermes et des instruments médicaux à côté du lit. A ce moment mon cerveau était trop fucked up pour comprendre à quoi ça pouvait servir, mais je sentais le danger.
> > > >
> > > > Bon, je m'en vais de là sans faire de bruit et je prends le taxi pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison je me pose dans mon lit et je m'endors aussitôt. Je me réveille 2 jours plus tard avec un mal de crâne pas possible.
> > > > Je m'en vais de jour au squatte voir ce qu'il en était et là ... le vide complet. Y avait plus rien. Il restait juste le canapé dans le salon, mais même le lit avait disparu.
> > > > Ce jour là je réalise que la drogue a probablement sauvé ma vie. Si je n'avais pas pris ces amphétamines je me serais endormi au squatte et à mon avis on m'aurai volé mes organes. Tout ressemblait à un trafique d'organe.
> > > > Depuis ce jour je n'ai plus jamais touché à la drogue. C'est un comble sachant qu'elle m'a sauvé la vie.
> > >
> > > Pourquoi déguiser en squat et pas faire passer ca pour une soirée normale ? ...="
> >
> > Peut-être pour pas être dérangés, et pour avoir à payer qu'un matos bas de gamme qui peut servir plusieurs fois plutôt qu'un appart ou une chambre d'hôtel
>
> Autant meubler normalement alors... Et faire passer ce ça pour une soirée normale plutôt que faire un squat alors que les mecs étaient classes
>
> Ca a aucun sens
T'es obligé de faire ça dans un lieu abandonné.
Si tu loues une salle on peut facilement remonter à toi, tu passes par des intermédiaires etc
Mais t'as pas compris autant meubler l'appart normalement
Tu vas pas meubler un lieu qui te servira qu'une fois ... Et pareil tu dois passer par des intermédiaires
Quand t'es déchiré tu fais pas trop attention à la cohérence du mobilier
Tu peux meubler toi même ils sont plusieurs... Y'a un lit en plus
Ce point là est pas cohérent surtout que ces gens sont forcément intelligents
C'est pas très discret d'aménager un squat ...
Y'a déjà un lit et au pire tu rends le truc crédible en te faisant passer par des punks tu restes pas classe
Pourquoi tu defends l'histoire coûte que coûte ?
Le 29 décembre 2018 à 01:20:12 Spartiated1 a écrit :
24 pages.J'en déduis que les attardés du forum sont encore tombé dans le panneau
T'avais qu'à lire avant de poster sans savoir
Attendez, un autre tueur en série dont on avait retrouvé le sperme sur les victimes.
https://fr.wikipedia.org/rg/wiki/Andre%C3%AF_Tchikatilo
Ca a donné lieu à des analyses sanguines mais le tueur est passé entre les mailles du filet car les cellules de son sperme et de son sang présentait une histocompatibilité différente, un cas d'une EXTREME RARETE.
Pas de chance.
(Mais il a été rattrapé plus tard...)
Le 29 décembre 2018 à 01:21:33 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:17:56 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:16:27 Voyageons a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:12:48 OreoNoir a écrit :
Le 29 décembre 2018 à 01:11:04 Voyageons a écrit :
> Le 29 décembre 2018 à 01:09:59 OreoNoir a écrit :
>> Le 29 décembre 2018 à 01:08:14 Voyageons a écrit :
> >> Le 29 décembre 2018 à 01:06:14 Panzer_Cat a écrit :
> > >> Le 29 décembre 2018 à 01:00:58 Voyageons a écrit :
> > > >> Le 29 décembre 2018 à 00:54:17 MinotaurGoth a écrit :
> > > > >L'anecdote n'est pas de moi mais je la c/c, une histoire bien glauque en lien avec le topic : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-38830762-1-0-1-0-le-jour-ou-la-drogue-a-sauve-ma-vie.htm
> > > > >
> > > > > Je tiens à vous confier une expérience un peu tabou au sujet de la drogue et comment elle m'a sauvé la vie. L'histoire que je vais vous raconter rapidement est réelle. Je précise néanmoins que mon intention n'est pas ici de faire l'apologie de la drogue.
> > > > >
> > > > > Alors voilà, y a quelques années je prenais des amphétamines tous les jours. J'en étais accroc. J'en prenais pour le travail, pour les cours, pour m'amuser en soirée. Ma vie tournais autour de çà, mais plus le temps passait et plus les effets pervers de la drogue me frappaient. Cette drogue ne m'était plus bénéfique et commençait à ruiner ma vie.J'avais perdu amis et proches à cause de çà.
> > > > >
> > > > > Alors j'ai décidé d'arrêter. J'ai arrêté pendant 4 mois. Sauf qu'un jour , le jour de mon anniversaire, l'envie d'en reprendre s'est manifestée. J'étais seul chez moi à ne rien faire. J'ai décidé d'en prendre un peu et de sortir boire un verre dans un bar histoire de me changer les idées. J'arrive dans le bar, je me pose au bar et commande une bière, puis une deuxième, une troisième et ainsi de suite. Quelques minutes plus tard une belle et jeune fille s'approche de moi et commence à me taper la discute. C'était une étudiante roumaine. Elle parlait très bien français cela dit. Elle ressemblait à un mélange entre Adriana Karambeu et Jessica Alba. Les cheveux noirs foncés, de longues jambes, une beauté froide avec des traits fins. Un véritable top model si vous voyez ce que je veux dire. En plus elle était pas juste belle, elle était aussi intéressante et cultivée.
> > > > > Bref, on passe une bonne soirée et quand le bar commence à fermer elle m'invite à aller dans un after chez des potes à elles. Je ne pouvais pas refuser.
> > > > > Avant de sortir du bar je vais vite aux toilettes pour me gober ma dernières pullule histoire de tenir toute la nuit.
> > > > >
> > > > > On arrive chez ses potes et c'était dans un vielle immeuble délabré. C'était un squat en fait. Elle me demande si ça me dérange ce genre d'after et je lui dis non. Elle me présente à ses potes, une demie douzaine de personnes entre 20 et 35 ans qui n'avaient pas la gueule à aller à des after dans des squat. C'est la réflexion que je me suis faite à ce moment.
> > > > > On me propose une bière et je me pose sur le canapé. Cette bière avait un gout bizarre. Comme un arrière gout de médicament pour la toux, difficile à dire c'était quoi. Je bois quand même sans rien dire et je continue à faire connaissance avec tout le monde.
> > > > >
> > > > > Au bout de 20 ou 30 minutes je commence à me sentir mal. J'ai mal à la tête et je me sent lent. Vu le nombre de pilules que j'avais pris dans la soirée je me dis que normalement c'est le contraire qui devrait arriver. Je me lève du canapé pour marcher un peu et vais vers la fenêtre prendre un peu d'air. Là, j'ai l'impression que le temps s'arrête et j'entends un gars derrière moi chuchoter " il devrait déjà être couché ". Je me retourne et j'ai comme l'impression que tout le monde me regarde discrétos. J'ai l'impression d'être sur dans une pièce de théâtre et que tout est fake. Les attitudes des gens autour me semblent fake.
> > > > > Je me dirige alors vers les toilettes et sur le chemin la jeune demoiselle qui m'y a emmené me dit " Ca va? Tu peux t'allonger dans la chambre si tu veux.". Je dis que tout va bien et rentre dans les chiotte.
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> > > > > Là je fais semblant d'utiliser les chiottes et tire la chasse d'eau. Au même moment je pose mon oreille contre la porte pour entendre ce qui se dit dans la grande salle. J'entends encore une fois " C'est pas possible qu'il soit toujours debout". A ce moment je flippe carrément. Je ne sais même pas de quoi je flippe mais ça sonne trop bizarre. Alors j'ouvre la fenêtre des toilettes et vais sur le balcon pour m'échapper en douce de ce squatte. J'avais comme l'impression que si je sortais des toilettes j'aurai de gros problèmes.
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> > > > > C'était au premier étage donc sauter du balcon n'était pas trop dangereux. Le balcon reliait la chambre aux toilettes. En passant devant la fenêtre de la chambre j'aperçois plusieurs sac isothermes et des instruments médicaux à côté du lit. A ce moment mon cerveau était trop fucked up pour comprendre à quoi ça pouvait servir, mais je sentais le danger.
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> > > > > Bon, je m'en vais de là sans faire de bruit et je prends le taxi pour rentrer chez moi. Arrivé à la maison je me pose dans mon lit et je m'endors aussitôt. Je me réveille 2 jours plus tard avec un mal de crâne pas possible.
> > > > > Je m'en vais de jour au squatte voir ce qu'il en était et là ... le vide complet. Y avait plus rien. Il restait juste le canapé dans le salon, mais même le lit avait disparu.
> > > > > Ce jour là je réalise que la drogue a probablement sauvé ma vie. Si je n'avais pas pris ces amphétamines je me serais endormi au squatte et à mon avis on m'aurai volé mes organes. Tout ressemblait à un trafique d'organe.
> > > > > Depuis ce jour je n'ai plus jamais touché à la drogue. C'est un comble sachant qu'elle m'a sauvé la vie.
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> > > > Pourquoi déguiser en squat et pas faire passer ca pour une soirée normale ? ...="
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> > > Peut-être pour pas être dérangés, et pour avoir à payer qu'un matos bas de gamme qui peut servir plusieurs fois plutôt qu'un appart ou une chambre d'hôtel
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> > Autant meubler normalement alors... Et faire passer ce ça pour une soirée normale plutôt que faire un squat alors que les mecs étaient classes
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> > Ca a aucun sens
>
> T'es obligé de faire ça dans un lieu abandonné.
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> Si tu loues une salle on peut facilement remonter à toi, tu passes par des intermédiaires etc
Mais t'as pas compris autant meubler l'appart normalement
Tu vas pas meubler un lieu qui te servira qu'une fois ... Et pareil tu dois passer par des intermédiaires
Quand t'es déchiré tu fais pas trop attention à la cohérence du mobilier
Tu peux meubler toi même ils sont plusieurs... Y'a un lit en plus
Ce point là est pas cohérent surtout que ces gens sont forcément intelligents
C'est pas très discret d'aménager un squat ...
Y'a déjà un lit et au pire tu rends le truc crédible en te faisant passer par des punks tu restes pas classe
Pourquoi tu defends l'histoire coûte que coûte ?
Parfois, les choses ne sont pas rationnelles, c'est tout.
Des choses qui ne nous semblent pas possible le sont pourtant