Plutôt négative, il a piqué la meuf de Célestin, et l'a laissé tout seul sur la plage dans ce dernier chap
Même si visiblement il s'en veut et essaye de se rattraper pour Julie
Excellente fic, j'ai passé un super moment à tout lire d'une traite. J'ai vu que tu as un un très bon rythme d'écriture en plus ça ne peut annoncer que du bon. Je trouve l'évolution de Célestin très intéressante, il s'impose de plus en plus sans que l'on oublie qui il était au début.
Concernant Martin, j'ai aussi une opinion négative, on sait qu'on ne pourra pas lui faire totalement confiance.
Par ailleurs je trouve ça bien le fait qu'il n'y ait pas de choix, ça ne viendrait que perturber ton récit qui est d'une grande qualité.
J'aurais dit plutôt positif pour ma part malgré le fait qu'il ai embrassé Julie
Pour l'instant opinion neutre a l'égard de Martin. Il a certes merdé, mais je pense qu'il va se rattraper,il fait partie de la famille des chemises tranchantes après tout.
Positif vis a vis de Martin étant donné que c’est un cle deter depuis longtemps il a bien le droit de pecho de temps en temps…
Positif plutôt mais c'est surtout ambigu pour l'instant, mais plus important c'est la SWEET
Episode 20 : Une surprise surprenante.
(Musique d'ambiance (optionnel) : https://www.youtube.com/watch?v=9eWewdTkghM&t=60s )
Je fis un pas en arrière. Que faisait-elle là ? Je crus rêver pendant une seconde. Je ne dis rien.
- Ecoute Célestin, c'est Martin qui m'a appelé et je sais que tu ne veux pas me revoir. Mais, je veux juste te dire une chose, et si ton choix reste le même après, je m'en irai, et tu ne me verras plus.
Je restai silencieux et me retournai afin de m'assoir sur mon lit. Sacré Martin. Mon cœur commençait à battre de plus en plus fort. Même si je lui en voulais, elle restait magnifique. Elle entra avant de refermer la porte derrière elle. Elle s'assit alors sur une chaise qui était autour de la table. J'étais terrifié. Ce voyage en Corse m'avait plus stresser qu'autre chose. Je ne savais si je préférais la situation d'hier avec un flingue sur la tempe, ou celle-ci. Je ne devais pas montrer ma peur. Alors je la regardai d'un air vide.
- Alors voilà Célestin, j'ai beaucoup réfléchi à quoi te dire. Et je pense que le meilleur pour commencer, c'est simplement de te dire que je t'aime.
Je n'en revins pas. A peine le temps de canaliser mes pensées, qu'elle reprit.
- En réalité, dés que on a déjeuné dans ce restaurant, j'ai senti que tu étais spécial. L'arrestation de mon ex m'a beaucoup chamboulé. Mais je ne pense pas que j'étais beaucoup attaché à lui. En réalité, j'essayai plus de le remettre sur le droit chemin.
Elle attendit quelques secondes pour voir ma réponse, mais je restai silencieux, alors elle continua.
- Et j'ai beaucoup attendu que tu fasses le premier pas. Personnellement je ne l'ai jamais fait dans mon passé, donc j'attendais que tu le fasses. Avec Martin on s'est très bien entendu, c'est vrai, et ce que tu as vu est vraiment la seule chose qui s'est passé. J'étais une conne en manque d'attention, et quand j'ai pensé à toi, j'ai tout arrêté.
Je regardai par la fenêtre, je ne savais pas quoi répondre. Elle attendit quelques secondes avant de reprendre.
- Martin m'a dit que tu n'avais pas vraiment eu de relations amoureuses avant. Ce que je ne comprends pas parce que tu es plus que beau à mes yeux, mais tu es sans doute timide...
Elle se leva avant de s'assoir à coté de moi sur le lit.
- Je me suis attachée à toi très vite, mais j'ai l'impression de ne pas vraiment te connaitre sur certains points notamment sur ce que tu fais dans la vie.
Je restai passif.
- Tu peux dire quelque chose, s'il te plait ?
Le regard en avant, je pris un ton sombre et poignant.
- Ce que je fais ne va pas te plaire.
Je lui racontai alors tout sur ce que je faisais. Mon coup d'état au Decathlon, le Hangar, nos affaires avec Martin, et l'histoire en Corse. Je ne lui dis rien, cependant, sur Momo.
- Et tu n'as aucun regret ? Vis à vis de ton ancien patron et de sa famille ?
Je repris l'une des premières citations du grand Shelby.
- J'ai appris il y a longtemps à haïr mes ennemis.
Je lui racontai alors mon harcèlement au collège après le décès de mon père.
- La vie ne m'a pas fait de cadeau. Je ne vais pas lui en faire.
Elle prit ma main.
- Tu as raison, ça me déplait. Mais je m'en fous, car je suis amoureuse de toi.
Je voulais répondre que c'était réciproque. Elle m'avait complètement fait changer d'avis sur sa personne. C'était dur de lutter contre mon Célestin d'avant, lâche, et sans rêves. Je devais lui dire..
- Moi...
Je repris une inspiration avant de la regarder droit dans les yeux.
- Moi aussi.
Elle rapprocha son visage du mien. Nos lèvres se frôlaient. Et on s'embrassait. J'étais au paradis. Plus rien de me venait dans la tête, que profiter de l'instant présent. La fin de la soirée se passa à la merveille, si vous voyez ce que je veux dire. Et oui, fini le Célestin pucix. Bon je n'avais pas été fameux, mais il faut bien une première fois à tout. Puis elle s'est endormi dans mes bras. Pour la première fois depuis des semaines, je n'avais pas penser une fois aux affaires pendant plusieurs heures consécutives. J'étais tout simplement dans un rêve.
(Fin musique d'ambiance)
10h43
La porte claquait. Quelqu'un se mit à parler fort alors que je venais juste d'ouvrir les yeux.
- Alors les tourtereaux, bien dormi ?
Nous nous réveillâmes avant de prendre notre petit déjeuner avec Martin. J'étais encore sur un nuage. Le reste de la matinée se passait avec joie et bonne humeur. Julie rentrait avec nous. Nous avons pris l'avion de 15H. Dans l'avion, je me mis à penser aux affaires. J'allai maintenant devoir organiser toute la logistique, et peut être même recruter des personnes pour remplacer le rôle de Martin et moi même. Avec l'argent accumulée, nous allions acheter des commerces afin d'acquérir le quartier petit à petit et générer encore plus de revenus. La machine était lancée.
Quelques jours plus tard.
J'avais, la veille et le matin même, fait quelques entretiens afin de trouver des gens de confiance pouvant remplacer Martin et ma personne dans nos tâches. Pour éviter la trahison, c'était simple. J'étais menaçant, je m'imposais, et je payais bien.
Je rentrai alors dans un bar afin de rencontrer Clément, le collègue dont Martin m'a parler et qui pourrait potentiellement s'occuper de nos affaires avec les corses.
Je m'assis en face de lui avant d'allumer une cigarette. C'était le même bar ou j'avais retrouver Martin il a quelques semaines.
- Salut. Célestin c'est ça ?
Je pris deux secondes à répondre.
- Exact. Bon parle moi de toi.
Nous parlâmes pendant près d'une heure. Ce gars m'inspirait clairement confiance et n'avait pas froid aux yeux.
- Bien. Tu m'as l'air correct. En revanche, pour accéder aux "Chemises tranchantes", tu devras porter une chemise blanche systématiquement. C'est comme ça que on se fait reconnaitre.
- Ca me va. Tu me montres le hangar ducoup ?
Comme Thomas Shelby, je fis régner le silence afin d'imposer encore plus de charisme. Je me levai, mis ma clope dans le cendrier. Et je lui fis signe de venir.
Nous visitâmes le hangar, le coffre fort était d'ailleurs en construction. Il me présenta ensuite partiellement son équipe de 3 hommes. Ils n'allaient pas faire partit des "Chemises tranchantes", tout comme les deux personnes que j'avais précédemment recruté pour succéder à Martin et moi même. En effet, ces personnes allaient être des hommes de main. Les piliers centraux, comme Martin, Clément et moi même étaient les chemises tranchantes. J'avais en effet recopié la structure des Peaky Blinders et de la famille Shelby. En tout cas une chose était sure. Les chemises tranchantes étaient inarrêtables.
Episode 1 :
Episode 2 :
Episode 3 :
Episode 4 :
Episode 5 :
Episode 6 :
Episode 7 :
Episode 8 :
Episode 9 :
Episode 10 :
Episode 11 :
Episode 12 :
Episode 13 :
Episode 14 :
Episode 15 :
Episode 16 :
Episode 17 :
Episode 18 :
Episode 19 :
Episode 20 :
Merci à tous les kheys fidèles, et à vos retours.
Voilà la fin de la 1e partie / 1e saison de la fic qui mettaient en lumière l'ascension du Célestin national.
Rendez vous ce soir pour la sweet.
Le 18 juillet 2023 à 16:01:39 :
Episode 1 : Un nouveau jour9:00 :
Je m'empressai d'aller remplir mon bol de céréales, tout en guettant du coin de l'oeil ce poster de la série qui a changé ma vie : Peaky Blinders. Je suis un autre homme maintenant, du moins, j'essaye.
Célestin que je suis, j'ai décidé de changer de mode de vie, de devenir plus viril, plus responsable, plus ambitieux, recopiant les habitudes, faits et gestes de mon grand sauveur : Tommy Shelby
Un entretien m'attend aujourd'hui pour devenir caissier à l'enseigne Tommy Hilfiger. Premier pas avant de devenir le gérant de cette satané bourgade nommé Birmingham, que dis-je Bordeaux.
Vêtu de mon long manteau noir, de ma veste en coton gris, ainsi que de ma chemise blanche recouverte par ma cravate sombre, je fut pris d'hésitation quand il s'agissait du béret, finalement je le reposai, il faisait trop chaud dehors. Une clope entre mes dents et me voilà dehors.
Je passai devant le restaurant "O'piment" situé en bas de chez moi. L'odeur de leur nourriture agresse mes narines, quand celle-ci pénètre à travers les fenêtres de mon appartement miteux. Une fois le contrôle de cette ville, ils seront les premiers à tomber. Je ris délicatement.
Les gens me guettaient, les français sont comme ça, envieux, jaloux, sans doute admirent-ils la personne que je suis devenu, la personne que je deviens. Je tourne alors à un coin de rue passant devant un collège. Cela me ravive mes douloureux traumatismes de ma vie passée.
-Eh célestin tu t'es pissé dessus, regardez le !
Ou encore...
- Marie, tu veux sortir avec moi ?
- T'es qui?
- On est dans la même classe
- C'est ton haleine qui sent comme ça ?
Enfin, bref, oublions, cela est passé, et le Passé ne me concerne pas.
Je n'ai jamais eu la cote avec les filles, à vrai dire toujours pucix à 19 ans, mais je compte bien me rattraper sans trop d'embarras.
Me voilà devant la redoutable boutique, il fallait que j'en impose, que je montre qui est le patron dés le début de l'entretien.
...
- Installez vous, monsieur ?
J'appliquai la fameuse règle, j'attendis alors deux simples secondes avant de répondre tout en pinçant une cigarette du fond de mon manteau pour l'apporter à mes lèvres
- Célestin, je suis Céles....
- On ne fume pas dans l'établissement, Célestin, vous devriez le savoir...
J'appliquai alors une seconde règle, je le fixe d'homme à homme sans cligner une fois des yeux.
- Vous allez bien, célestin ? Vous pleurez... Et retirez moi cette cigarette.
J'exécutai alors ce qu'il me demande, après tout je suis à son bercail
- Dites moi, Célestin, quel âge avez vous ?
Une réponse me vint à l'esprit en un claquement de doigts, Saison 3.
- Un homme doit prouver qu'il est meilleur que moi, plutôt que de me montrer son acte de naissance.
-Bon, j'en ai assez vu, Célestin, sortez, bonne journée.
Je ne répondis pas, après tout, ce magasin était trop.... prussien pour moi.
Je me retrouvai alors dehors et je décidai d'aller passer un second entretien, à Décathlon cette fois.Quelques pas je fut quand alors... Oh non.
- Eh zinc, tu fé koi habillé kom un papy, vasy vien voir ma gueule
Le 25 juillet 2023 à 01:27:32 :
Excellente fic, j'ai passé un super moment à tout lire d'une traite. J'ai vu que tu as un un très bon rythme d'écriture en plus ça ne peut annoncer que du bon. Je trouve l'évolution de Célestin très intéressante, il s'impose de plus en plus sans que l'on oublie qui il était au début.Concernant Martin, j'ai aussi une opinion négative, on sait qu'on ne pourra pas lui faire totalement confiance.
Par ailleurs je trouve ça bien le fait qu'il n'y ait pas de choix, ça ne viendrait que perturber ton récit qui est d'une grande qualité.
Merci clé
Sweet la suite, elle me convient comme un sweat
très belle fin de première partie
Sweet
Episode 21 : De l'eau a coulé sous les ponts
2 ans plus tard.
Quelqu'un toqua à la porte du bureau. Je dégageai doucement la clope qui se situait entre mes lèvres afin de répondre d'un ton ferme.
- Entrez !
Ma secrétaire rentra dans mon bureau.
- Monsieur Célestin, Jacques est là.
Une visite surprise ? Il n'avait pas l'habitude de se déplacer. J'attendis une seconde avant de répondre d'un ton ferme.
- Faites le entrer !
Elle hocha la tête avant de repartir.
Je me levai de ma chaise afin de me diriger vers l'entrée de mon bureau. Un homme s'approcha avec de lourds pas. Celui ci rentre alors dans le bureau.
- Célestin !
Je fermai la porte avant de lui serrer la main.
- Jacques, comment allez vous ?
Je me dirigeai alors vers mon siège de bureau. Jacques se mit à me suivre pour s'assoir sur l'une des chaises en face de moi. Il se mit à guetter autour de lui.
- Bien, bien. Je vois que les affaires marchent bien. Beau bureau.
Le bureau était spacieux, un rectangle de 35 mètres carrés. Mon bureau même était en bois sombre. Je m'étais inspiré de celui de Thomas Shelby. Une petite marche mettait ma table en hauteur par rapport au reste de la pièce. J'attendis deux secondes avant de répondre. Je regardai Jacques droit dans les yeux.
- En effet. Que me vaut votre venue ? Vous n'avez pas l'habitude de vous déplacer.
Il attendit une seconde avant de rétorquer.
- Bah écoute, cela fait plus de deux ans que l'on fait affaire. Je me suis dis que on pouvait passer à des choses plus intéressantes.
- Je vois, mais...
- Nan tu fermes ta g* quand je parle.
Il sourit.
Le flingue sur la tempe d'il y a 2 ans restait gravé en moi. Je n'osai pas m'imposer face à lui.
- Pardon.
Il attendit quelques secondes avant de reprendre de vive voix.
- Si je ne dis pas de conneries, tu nous stockes de l'acier, du polymère, du plomb ainsi que du cuivre en échange de 1,2M € par mois.
Je restai silencieux.
- Faire affaire avec toi m'apporte beaucoup d'avantages et j'économise beaucoup. Mais vois tu, récemment, mes hommes ont ouvert une mine. Et pas une mine de n'importe quel matériau. Une mine d'or.
J'hochai la tête.
- Seulement, le problème c'est que ça s'est très vite su en Corse, et mes rivaux vont essayer de me piller continuellement, le temps que j'exporte cet or en Europe. Alors je pensais que tu ferais un bon intermédiaire.
Je repris d'un ton monotone. Je regardai Jacques dans les yeux tout en veillant à cligner le moins de fois possible pour montrer ma confiance.
- L'or ce n'est pas de l'acier. On va aussi essayer de me le piller. Ca engendre des frais supplémentaires de sécurité. J'espère que le prix est à la hauteur.
Il sourit.
- On verra les revenus de la mine, mais tu peux compter au minimum 14M € par mois au début, selon mes estimations...
Je réfléchis après avoir tirer sur ma cigarette.
- Bien. Mais il faut que vous me laissiez 2 semaines pour me permettre de construire l'endroit de stockage, et recruter une équipe.
Jacques se leva et se retourna.
- Bien Célestin. On en reparlera au téléphone. Bonne journée à toi.
Je me levai de ma chaise.
- A vous aussi.
Cette affaire pouvait rapporter gros. Je devais aller au port. Je pris mon béret noir, et mon long manteau neuf que j'avais acheté il y a quelques mois pour quelques milliers d'euros. Mon béret était toujours le même. Celui de mon père. Je comptais bien le garder à vie. Une fois en dehors du bâtiment de mon entreprise : L.C.T Compagnie ( Les Chemises Tranchantes Compagnie) , je m'élançai dans les rues de mon quartier, Bordeaux Centre, afin de trouver ma Mercedes.
- Bonjour monsieur Célestin !
J'avais une certaine réputation dans le quartier. En effet, je détenais 60% des petits commerces et près de 30% des loyers que je faisais louer. Les revenus nets revenaient à plusieurs millions par mois, ce qui me permettait d'acquérir encore plus le quartier. Je me suis lié d'amitié avec le commissaire Richard, qui dirigeait le commissariat du quartier. Il m'a sorti de pas mal de galères. Mais j'étais bien loin d'être immunisé à la Justice, alors je tachais de garder une entreprise un minimum propre.
J'entrai dans ma Mercedes noir avant de prendre la route vers le port de Bordeaux. Cette Mercedes faisait partit des quelques plaisirs que je me suis fais. Le plus gros étant une villa à trois kilomètres de mon bureau ou j'habitais maintenant. Le soleil tapait sur Bordeaux. C'était un bon jour de Juillet. J'avais d'ailleurs continuer le Judo et la musculation, si bien que j'ai pratiquement pris 16kg en 2 ans, et je m'en sortais plutôt bien au Judo.
Quelques dizaines de minutes plus tard
- Salut Clément quoi de neuf ?
Toujours en chemise blanche, Clément répondit.
- Bah tout va super et toi ?
Clément faisait toujours partie intégrante du groupe des "Chemises tranchantes". Nous étions 5 :
-> Martin qui gérait les grosses affaires quand je ne pouvais être là, il m'accompagnait aussi lors de rencontre importante, et son rôle majeur était de recruter du nouveau personnel à tous les niveaux.
-> Clément, il gérait toute la partie sécurité et stockage de nos 2 hangars. Il s'occupait de tout ce qu'il se passait au port de Bordeaux.
-> Clara, elle gérait les propriétés (commerces + loyers) que l'on achetait dans le quartier Bordeaux Centre, et s'occupait d'en acheter des nouvelles quand on disposait des fonds nécessaires
-> Cédric, il s'occupait de la trahison interne et externe de la société en réglant le compte des personnes qui nous défiait. Un vrai gaillard.
-> Et puis moi. J'étais un peu la racine de tout l'arbre qui découlait. J'étais le "patron" et je m'occupai des affaires les plus importantes.
Nous nous habillons toujours en chemise blanche et nous faisions des réunions toutes les deux semaines dans mon bureau afin de voter et de discuter de futurs projets. Un processus provenant de la série Peaky Blinders duquel je me suis clairement inspiré. On devait compter pas loin de 150 hommes et femmes au sein de notre société qui travaillaient pour nous. Et nous avions quelques mercenaires si jamais nous étions en conflit, mais fort heureusement, pour l'instant, nous étions loin de tout ça.
- Bien, parlons affaire, veux tu ?
Je lui racontai l'affaire d'or avec les corses, et lui demandai de me préparer un coffre dans le deuxième hangar afin de stocker l'or ainsi que une équipe de sécurité. En effet les deux coffres de notre premier hangar étaient déjà remplis d'argent liquide.
- Je vais essayer de faire ça en 2 semaines. Il faut que Martin me trouve des hommes pour la sécurité, aussi, et je les formerai. De toute façon, il faut qu'on en parle au conseil.
J'allumai une cigarette avant de lui répondre ténébreusement.
- Bien. Oui la réunion est demain de toute manière.
20h32
Je rangeai ma Mercedes dans mon garage avant de rentrer dans ma maison grandiose. Une fois entré, je fermai la porte derrière moi avant de me diriger dans le salon. Une personne s'approche alors de moi alors que j'étais en train de m'assoir sur mon fauteuil.
- Bonne journée, mon amour ?
Elle était toujours aussi belle que la première fois ou je l'avais rencontré. Elle avait fini ses études de médecine et était infirmière à plein temps. Je me levai pour l'embrasser amoureusement.
- Ouais, Jacques, le patron de la bande corse m'a proposé une affaire intéressante à propos d'or. Et toi ma chérie, la journée était pas trop dure ?
- Ca allait. Je me suis dis, on peut aller au restaurant ce soir ?
J'attendis une seconde avant de répondre.
- Pas de soucis.
De ma vie, je n'avais jamais été aussi heureux, et puissant. Mais bientôt, j'allai rencontrer des difficultés que je n'avais jamais affronté auparavant.
Episode 1 :
Episode 2 :
Episode 3 :
Episode 4 :
Episode 5 :
Episode 6 :
Episode 7 :
Episode 8 :
Episode 9 :
Episode 10 :
Episode 11 :
Episode 12 :
Episode 13 :
Episode 14 :
Episode 15 :
Episode 16 :
Episode 17 :
Episode 18 :
Episode 19 :
Episode 20 :
Episode 21 :
Ca annonce du lourd tout ça, la sweeeeet chef !
aya on est monté de 10 crans d'un coup
Ça fait beaucoup un gap de 2 ans quand-même, bien que ce soit intéressant niveau scénario.
J'aurais aimé voir les conflits avec les bandes du quartier, les contrôles des impôts et de la police, l'évolution de la relation Célestin et des CT en général...
Très bonne sweet comme toujours cependant
Le 25 juillet 2023 à 23:56:12 :
Ça fait beaucoup un gap de 2 ans quand-même, bien que ce soit intéressant niveau scénario.J'aurais aimé voir les conflits avec les bandes du quartier, les contrôles des impôts et de la police, l'évolution de la relation Célestin et des CT en général...
Très bonne sweet comme toujours cependant
Le gap est grand car comme dit dans la fin de la saison 1 le machine est lancée. Si on doit faire plusieurs épisodes pour chaque affaire on ne s'en sortirait pas (je pense). Il n'y a pas de bande dans le quartier et comme Célestin le dit ils n'ont jamais eu de conflits. Et je tiens à rappeler que l'évolution de Célestin a été exponentielle donc cela fait juste quelques mois qu'il commence à être vraiment bien, les relations avec les autres CT sont donc récentes et seront développées par la suite. Mais je comprends ton sentiment. Merci pour le message clé