Être un barbu deter, baïonnette au canon, vivre la camaraderie dans les tranchées malgré les conditions extrêmes. Cela doit forger un caractère de fer, développer une résilience de surhomme.
J'imagine les longues veillées, partageant des histoires sous un ciel étoilé percé par les explosions lointaines, le sentiment poignant d'appartenir à quelque chose de plus grand que soi. Bien sûr, la réalité était aussi brutale et terrifiante, avec des pertes déchirantes et des souffrances indicibles.
Mais je ne peux m'empêcher de penser à ce que cela aurait été de défendre avec honneur et courage les valeurs de notre nation sur la colline du Mort-Homme
Je pense que n'importe quel mec de 2024 ne tient pas 3 jours à Verdun
T'es juste un ahuri
Ne pas pouvoir dormir plus de 3h par nuit pendant 6 mois parce que la hiérarchie te donne des tâches logistiques pendant la nuit, être un zombie, te dire que tes potes qui se sont fait buter on la chance de pouvoir enfin se reposer
Non t'aurais fait prout au bout de 2sec
Les derniers hommes sont mort cette période
Le 28 avril 2024 à 10:01:37 Gibbon_au_RSA a écrit :
Je pense que n'importe quel mec de 2024 ne tient pas 3 jours à Verdun
tu crois que les MECS de 1896 étaient différents de ceux d'aujourd'hui ?
ILS ONT TENU, L'ENNEMI N'EST PAS PASSÉ
Aère ta chambre.
on va vivre la ww3
L'odeur de merde, de chair bruler et de cheval creuver.
Putain lecher les feer te ton poilu de poche apres 1 semaine de tranché
Le 28 avril 2024 à 10:02:14 AdminSansNuance a écrit :
Ne pas pouvoir dormir plus de 3h par nuit pendant 6 mois parce que la hiérarchie te donne des tâches logistiques pendant la nuit, être un zombie, te dire que tes potes qui se sont fait buter on la chance de pouvoir enfin se reposer
croire qu'il n'y avait aucune rotation sur le front, cette méconnaissance IGNOBLE de l'histoire
Le 28 avril 2024 à 10:03:00 Gundilleen a écrit :
Aère ta chambre.
je vis pas dans ma chambre on est pas tous comme toi
Le 28 avril 2024 à 10:03:01 :
on va vivre la ww3
dans 40 minutes d'après les experts
Le 28 avril 2024 à 10:04:01 :
Le 28 avril 2024 à 10:03:00 Gundilleen a écrit :
Aère ta chambre.je vis pas dans ma chambre on est pas tous comme toi
Oui ba ta cave n'importe
Le 28 avril 2024 à 10:02:14 :
Ne pas pouvoir dormir plus de 3h par nuit pendant 6 mois parce que la hiérarchie te donne des tâches logistiques pendant la nuit, être un zombie, te dire que tes potes qui se sont fait buter on la chance de pouvoir enfin se reposer
Vivre dans le froid, dans la saleté ! L'op a 12 ans ! Faut le savoir
Le 28 avril 2024 à 10:01:37 :
Je pense que n'importe quel mec de 2024 ne tient pas3 jours1 jour à Verdun
Le 28 avril 2024 à 10:03:00 :
Aère ta chambre.
Le 28 avril 2024 à 10:04:35 :
« Le grand moment était venu. Le barrage roulant s'approchait des premières tranchées. Nous nous mîmes en marche... Ma main droite étreignait la crosse de mon pistolet et la main gauche une badine de bambou. Je portais encore, bien que j'eusse très chaud, ma longue capote et, comme le prescrivait le règlement, des gants. Quand nous avançâmes, une fureur guerrière s'empara de nous, comme si, de très loin, se déversait en nous la force de l'assaut. Elle arrivait avec tant de vigueur qu'un sentiment de bonheur, de sérénité me saisit.L'immense volonté de destruction qui pesait sur ce champ de mort se concentrait dans les cerveaux, les plongeant dans une brume rouge. Sanglotant, balbutiant, nous nous lancions des phrases sans suite, et un spectateur non prévenu aurait peut-être imaginé que nous succombions sous l'excès de bonheur. »
Le 28 avril 2024 à 10:06:00 OpEgalTarax7 a écrit :
« Le grand moment était venu. Le barrage roulant s'approchait des premières tranchées. Nous nous mîmes en marche... Ma main droite étreignait la crosse de mon pistolet et la main gauche une badine de bambou. Je portais encore, bien que j'eusse très chaud, ma longue capote et, comme le prescrivait le règlement, des gants. Quand nous avançâmes, une fureur guerrière s'empara de nous, comme si, de très loin, se déversait en nous la force de l'assaut. Elle arrivait avec tant de vigueur qu'un sentiment de bonheur, de sérénité me saisit.L'immense volonté de destruction qui pesait sur ce champ de mort se concentrait dans les cerveaux, les plongeant dans une brume rouge. Sanglotant, balbutiant, nous nous lancions des phrases sans suite, et un spectateur non prévenu aurait peut-être imaginé que nous succombions sous l'excès de bonheur. »