Au minimum de l'ordre de une naissance pour 10 000, peut-être encore plus rare, la question de la prévalence est un enjeu central pour moi, et je sais que la non-golémie est extrêmement rare
Le reste est condamné à rester golémique toute sa vie
Tout ce qu'ils savent faire est jouer, depuis toujours 
Les golems stupides ne s'intéressent à rien, ils n'ont pas de bonne mémoire à long terme, pas d'obsessions, de répétition, de curiosité, de bons raisonnements, et plein d'autres choses : il leur manque tout
Si à 5 - 6 ans un enfant joue à des jeux, si de surcroît il ne fait pas d'expériences en chimie, ou ne fait pas tout un tas d'expériences électrique et électronique... (souvent des choses dangereuses) sur tout son temps libre, ou quelque chose de similaire, alors il est stupide. C'est un diagnostic définitif, car ils le restent toute leur vie, je n'ai jamais vu de cas versatile, ni dans un sens, ni dans l'autre, c'est gravé dans le marbre, la persistance du phénotype à travers le temps est d'ailleurs remarquable, cela se voit en particulier chez les non-golems, où les mêmes types d'intérêt, mode de pensée etc. de l'enfance se retrouvent chez l'adulte, si ce n'est qu'ils ont eu le temps de se sophistiquer avec le temps. En revanche, il existe des cas limite / ambigu, le plus souvent, ce phénotype se présente chez les femmes, sans doute l'effet Carter (Carter effect) en génétique.
Les golems sont condamnés à rester idiots et on ne peut rien y faire, à moins d'envisager une thérapie génique, mais il y a tout un tas de défis à relever avant ça. Le plus sérieux est sans doute qu'il s'agirait d'un processus progressif, s'étalant sur plusieurs années, qui changerait totalement leur cognition, et donc leur personnalité.
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