Je commence seulement la lecture mais ça me plaît bien cette petite fic.
"Zero Tout Detective"
Le nouveau lieutenant me fait déjà regretter Barthod. C'était un con mais on apprenait vite grâce à lui. En plus j'aime déjà pas trop Pattinson de base
Le choix est difficile mais je vote 3 pour l'instant. C'est une manière d'avoir la version des parents avant d'aller interroger l'amie avec qui elle est censée avoir passé la soirée. On la coincera si elle nous ment
Je vote 2
La scientifiques donnera une estimation sur l'heure de la mort ce qui permettra de déduire si elle a bien passé la nuit chez ça pote.
Vote 1
Il faut rapidement fouiller la chambre. Des preuves pourraient disparaître si on attend trop pour y aller
Je vote 2
Le 02 novembre 2024 à 13:52:25 :
Entre nous, la capitaine...
Et puis les voisines aussi
Sans parler de la charmante visiteuse
Vote 3 nonobstant
Décompte :
1 vote pour la 1
3 votes pour la 2
2 votes pour la 3
Clôture des votes demain à 15h
Je vote 2
- Il a dit que tu étais le plus mauvais policier qu’il avait jamais vu...
En même temps, Célestin n'a pas suivi de formation
Le 02 novembre 2024 à 16:16:39 :
Le 02 novembre 2024 à 13:52:25 :
Entre nous, la capitaine...Et puis les voisines aussi
Sans parler de la charmante visiteuse
Vote 3 nonobstant
On s'est compris
Décompte :
1 vote pour la 1
4 votes pour la 2
2 votes pour la 3
Victoire de la 2
Sweet du coup
Ou mensuration des voisines
Le 04 novembre 2024 à 18:17:40 :
Sweet du coupOu mensuration des voisines
Je suis en train de mesurer d'écrire
La fic est prenante dès le début
Mais j'arrive un peu en retard pour les votes
Le 04 novembre 2024 à 19:39:45 :
La fic est prenante dès le débutMais j'arrive un peu en retard pour les votes
Merci et tu devrais bientôt le pouvoir
Encore une dernière relecture et la stickerisation et c'est bon
- Euh... Interroger ses amis et ses professeurs me semblerait être une bonne idée, surtout qu’elle est censée avoir passé la nuit de sa disparition chez une camarade.
- Très bien. Je vais te donner quelques conseils pour interroger avec efficacité. Tu t’occuperas des professeurs tandis que j’irai voir cette Émilie ainsi que les camarades proches de la victime. Les interroger sera plus délicat, je me les garde... Ah, et tu peux me tutoyer, tant que tu continues de respecter mon grade.
CHAPITRE 7 : EN RANGS SERRÉS
- Bonjour monsieur Rahim. J’aurai, comme à vos collègues, quelques questions à vous poser.
- Oui, bien sûr. C’est très triste ce qui lui est arrivé… Je suis le dernier à passer ?
- Tout à fait.
- Je crains de ne faire que répéter ce que vous ont déjà dit mes collègues.
- J’aimerais quand même que vous me parliez de Léa Vacquerie.
- Eh bien… C’était une élève agréable et studieuse, même si elle avait quelques difficultés dans ma matière… Pour tout vous dire, nous sommes dans une fac de médecine réputée, je pourrais dire ça de tous mes élèves. Il y a toujours quelques jeunes plus dissipés, mais jamais vraiment de brebis galeuses.
- Vous êtes prof de français, c'est ça ?
- C'est exact.
- Semblait-elle changée ou différente dernièrement ?
- Hum... Je n’ai rien remarqué de particulier. J’avais cru comprendre qu’elle avait rompu il y a quelques semaines avec son copain, un autre élève, mais cela ne s’était pas ressenti sur son travail.
- Vous connaissez le nom de son ex-petit ami ?
- Il s’agit d’Arthur Marchand. Ils sont dans la même promotion.
- Vous avez une idée de la raison de leur séparation ?
- Parce que vous pensez que je me tiens au courant de ces choses ?
- Non, pardon. Ce n’était pas une bonne question.
- Il faudra demander à monsieur Marchand ou à leurs amis, même si je doute qu’ils vous le disent.
- Pourquoi ?
- Je ne suis là que depuis cette année, mais j’ai bien remarqué que dans cette fac existait un cercle clos, incluant certains professeurs, mais aussi des élèves. Une question d’origine sociale et peut-être plus. Il est difficile de l’extérieur de savoir ce qu’il s’y passe, et la police fait partie de cet extérieur.
- Qu’appelez-vous un “cercle clos”?
- L’image est assez parlante, qu’y a-t-il à expliquer ?
- Et... mademoiselle Vacquerie faisait-elle partie de ce cercle ?
- Oui, ainsi que tous ses amis. Le principe d’un cercle social.
- Je vois. Et aucun problème ou tension récente dans son groupe d’amis ? Avait-elle des ennemis ?
- Non et non. Léa était appréciée.
- Je vous remercie pour vos réponses.
- Puis-je vous poser une question à mon tour : cela fait longtemps que vous êtes dans la police ?
- Non... pas vraiment. Pourquoi ?
- Là où j’ai grandi, la police faisait partie du paysage. Vous, vous n’êtes pas policier.
- ... Merci d’avoir répondu à mes questions.
Vous refermez votre grand cahier et quittez le professeur pour retrouver le capitaine Barrios. Elle vous attendait, pensive, assise sur un banc dans le couloir vide, les yeux perdus dans des affiches.
- J’ai fini avec les professeurs. Qu’est-ce que ç’a donné de ton côté ?
- Émilie m’a confirmé que Léa devait bien dormir chez elle, mais m’a assuré qu’elle ne l’a pas fait. Avec quelques amis, ils ont fait un petit truc en début de soirée chez les parents d’un de leurs camarades, mais au moment de partir, Léa a voulu rester un peu plus. Émilie est donc rentrée, pensant que Léa la rejoindrait plus tard, ce qui n’est jamais arrivé...
- On sait qui était à la soirée ?
- Que des amis de la fac que je viens tous d’interroger. Tout le monde l’a bien vu à la soirée, mais personne n’était vraiment avec et tous disent avoir seulement remarqué à un moment qu’elle n’était plus là.
- Et toi, t’en penses quoi ?
- J’en pense que tout le monde cache quelque chose.
- Le nouveau prof de français m’a prévenu que cela se passerait comme ça. Il a parlé d’un cercle social d’élèves dont rien ne sortait. Léa en faisait partie.
- Il y a toujours des groupes d’élèves dans les écoles, des groupes d’amis, tout le monde en fait partie d’un.
- ...
- Je ne crois pas que cela nous aide.
- Comme il me l’a dit, il insinuait que c’était différent, très hermétique, et que cela concernait des élèves, mais aussi des professeurs.
- Hum... et des autres professeurs, qu’est-ce que tu as tiré ?
- Pas grand-chose, que c’était une bonne élève que tous appréciaient. Seulement qu’elle venait de rompre avec son copain.
- Oui, j’ai su. Arthur Marchand. Je l’ai interrogé, mais rien de concluant. Il a dit ne plus avoir beaucoup de contact avec la victime depuis. Un garçon avec une haute estime de lui-même, qui croit que la réussite de son père lui permet de fouler un peu plus fermement la terre que les autres.
- C’est une bonne image.
- Attends de voir sa manière de marcher : ce n’était pas une image.
- Et qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
- Je viens de recevoir le message que le légiste est prêt à nous faire son rapport, alors on rentre. Seulement, il y a une question qui me taraude depuis ce matin. Pourquoi tu te balades avec ton grand carnet en cuir ? On dirait un inspecteur des impôts.
- C’est le lieutenant Barthod qui me l’a donné. Il notait absolument tout dans un carnet semblable dès qu’il était sur le terrain. Ce n’est pas ce qu’il faut faire ?
- Pas forcément de cette manière. Tu peux simplement relever seulement ce qui est important et le garder en mémoire... mais si c’est ainsi que tu te sens le plus à l’aise, garde le cahier. Bon, partons. Le légiste nous attend.
Le capitaine se lève et prend la direction du parking. Vous lui emboitez le pas.
- Tu penses que l’on doit continuer de creuser du côté de ses camarades ?
- Célestin, la victime a eu les mains amputées par une découpe particulièrement nette. Rappelle-moi, où sommes-nous ?
- ... dans une fac de médecine.
Alors que vous rejoignez votre voiture, un homme en costume gris est adossé à celle-ci. Le regard de Barrios en le voyant se fait sombre.
- J’espère que je ne vous dérange pas ?
- Je ne le sais pas encore, permettez-moi de répondre à cette question plus tard.
- Qui êtes-vous ?
- La personne que j’ai besoin d’être en cet instant, mais je ne l’ai pas encore décidé car cela importe peu. Ce qui importe, c'est vous, capitaine Alice Barrios. Auriez-vous des informations qui pourraient intéresser la population sur le meurtre de Léa Vacquerie ?
- Un journaliste, j’aurais dû m’en douter. Dégagez de ma voiture.
L’homme lève subitement les bras au ciel.
- JOURNALISTE ! Quel mot affreux. Je préfère informateur, j’informe les gens sur ce qu’il arrive près de chez eux.
- Je vous ai dit de dégager de ma voiture, ou bien je vous arrête.
- Vous ne l’aviez pas formulé comme ça la première fois.
Le capitaine porte la main à son arme.
- Ok Ok Ok ! Je m’écarte. Mais n’oubliez pas que je ne suis pas journaliste, mais informateur. J’informe celui qui est prêt à m'écouter, et cela vaut pour vous. Je suis assez raisonnable dans mes prix, surtout avec mes amis de la police. C’est toujours un plaisir de travailler avec vous.
- C’est ça, je vous promets de ne pas y repenser à l’occasion.
Elle ouvre sa portière et se glisse sur son siège. Le journaliste profite de cette opportunité pour lancer trois cartes de visite dans l’habitacle. Barrios le fusille du regard.
- Oh si, vous repenserez à moi. Il viendra ce moment où vous aurez besoin de quelqu’un qui n’est pas à leurs bottes.
Le moteur vrombit tandis que vous attachez votre ceinture. Le capitaine fait un premier à coup pour forcer le journaliste à se reculer avant de partir pour de bon.
- Ils sont toujours comme ça ?
- Plus ou moins. Ne leur parle jamais, tu m’entends. Ce sont des vampires qui n’hésitent pas à compromettre des enquêtes si cela leur permet de gratter un bon article. Ils n’ont de respect pour rien, même pas pour les familles endeuillées. À cette heure-ci, ils doivent être une cinquantaine à harceler les Vacquerie devant leur porte.
- C’est horrible...
Après quelques minutes, Barrios tourne brusquement le volant pour se garer.
- Lucien nous rejoint au bureau, je vais nous prendre à manger. Il est déjà bientôt 13 h, je meurs de faim, et il vaut toujours mieux déjeuner avant le légiste plutôt qu’après, sinon tu ne manges rien. Attends-moi là, je reviens.
Le capitaine vous laisse seul avant de s’enfoncer dans le kebab devant lequel vous venez de vous garer.
S’ils nous filent déjà des appartements de fonction, les repas doivent certainement passer en note de frais. Ça ne va pas arranger mes débuts de bourrelet cette histoire.
Tout en étant dans vos pensées, vous remarquez une carte de visite du journaliste à vos pieds. Vous la prenez et l’inspectez.
Albert Mortin, journaliste indépendant. Je vais la garder, on ne sait jamais.
Tandis que vous surveillez la porte du restaurant, vous réfléchissez aux recommandations de Barrios en début de matinée.
Qu’essayerez-vous de faire en priorité ce soir ?
1) Vous pencher sur l’amélioration de votre physique. Mike doit bien connaître une salle de sport à proximité avec un tel physique.
2) Vous irez faire un tour au stand de tir pour vous renseigner.
3) Pour ce soir, vous privilégierez de vite rentrer chez vous et de relire tranquillement les notes prises dans votre cahier depuis vendredi.
SOMMAIRE DE LA FIC
Chapitre 1 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000585
Chapitre 2 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000681
Chapitre 3 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000785
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272000809
Chapitre 4 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064289
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064417
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272064505
Chapitre 5 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129577
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272129625
Chapitre 6 : https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272198881
Chapitre 7 :
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442065
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1272442161
Vote 3
Ce n'est pas la première fois qu'on nous propose de relire le cahier et nous aurons d'autres occasions pour go-muscu et s'entraîner au tir
Vote 2 il le semble qu'un des persos nous avait dit d'y aller dès qu'on le pouvait donc autant le faire