Le 14 novembre 2024 à 08:25:30 :
Le 14 novembre 2024 à 08:19:20 :
Le 14 novembre 2024 à 08:15:45 :
Le 14 novembre 2024 à 08:14:51 :
Le 14 novembre 2024 à 08:12:48 :
>[08:11:38] <TouaregDu97>
>> Le 14 novembre 2024 à 07:59:33 :
>>> Le 14 novembre 2024 à 07:58:06 :
>> >Merci pour l'info l'op
>>
>> Tout est faux dans son pavé de merde. Lorsque les français arrivent en Algérie ils sont surpris par le fait que ça ne soit pas des barbares comme on le prétendait. D'ailleurs l'algérie avait d'immenses champs avant la colonisation. Tout ça ce sont les colons qui le racontent.
>
>Recit d'un soldat français de la conquête d'Alger (les touts premiers contacts) sur les "non-barbares" en question
Ça rejoint ce que Manu a posté
C'est donc de la barbarie de pazifier totalement les colons ? C'était mérité, chiale maintenant.
Oui mutiler quelqu'un par plaisir c'est de la barbarie
Chiale. Tes colons étaient plus des singes et des ragondins que des hommes.
culotté quand on voit ce qui s'est passé jusque durant la décennie noire.
Mais t'es au courant que les algériens ont lutté contre les terroristes pendant la décennie noire ?
[08:29:10] <ObjectifPazz>
Le 14 novembre 2024 à 08:25:30 :
Le 14 novembre 2024 à 08:19:20 :
Le 14 novembre 2024 à 08:15:45 :
Le 14 novembre 2024 à 08:14:51 :
> Le 14 novembre 2024 à 08:12:48 :
>>[08:11:38] <TouaregDu97>
> >> Le 14 novembre 2024 à 07:59:33 :
> >>> Le 14 novembre 2024 à 07:58:06 :
> >> >Merci pour l'info l'op
> >>
> >> Tout est faux dans son pavé de merde. Lorsque les français arrivent en Algérie ils sont surpris par le fait que ça ne soit pas des barbares comme on le prétendait. D'ailleurs l'algérie avait d'immenses champs avant la colonisation. Tout ça ce sont les colons qui le racontent.
> >
> >Recit d'un soldat français de la conquête d'Alger (les touts premiers contacts) sur les "non-barbares" en question
>
> Ça rejoint ce que Manu a posté
C'est donc de la barbarie de pazifier totalement les colons ? C'était mérité, chiale maintenant.
Oui mutiler quelqu'un par plaisir c'est de la barbarie
Chiale. Tes colons étaient plus des singes et des ragondins que des hommes.
culotté quand on voit ce qui s'est passé jusque durant la décennie noire.
Mais t'es au courant que les algériens ont lutté contre les terroristes pendant la décennie noire ?
Et les terroristes venaient d'où ?
L'Arabie Saoudite qui impose une attestation de bonne santé mentale aux pèlerins algériens se rendant aux lieux saints, on en talk ou c'est tabou ?
Une décision ressentie comme une humiliation par les Algériens, qui se voient mondialement indexés comme des «fous»
Sources (effacez l'espace après https):
https://fr. le360.ma/monde/les-algeriens-desormais-accules-a-justifier-dune-bonne-sante-mentale-pour-se-rendre-a-la-mecque_6BXS5E3QSRFB3PWAVFEQVZSTHE/
https://www. lepetitjournalmarocain.com/2023/03/06/pour-aller-a-la-mecque-les-algeriens-doivent-justifier-dune-bonne-sante-mentale/
Autre description de Alger en 1830
le couscous qu'on a tous en tete avec les legumes et la viande voit le jour au 11e siecle vers Marrakech
avant ça en afrique du nord, ils mangeaient de la semoule à blanc sans rien dessus, cette recette est restée presente en algérie avec des couscous blancs accompagnés d'oeufs durs ce qui donne un plat comme ça
Le 14 novembre 2024 à 08:44:40 :
le couscous qu'on a tous en tete avec les legumes et la viande voit le jour au 11e siecle vers Marrakechavant ça en afrique du nord, ils mangeaient de la semoule à blanc sans rien dessus, cette recette est restée presente en algérie avec des couscous blancs accompagnés d'oeufs durs ce qui donne un plat comme ça
on dirait un plat cursed du forum avec un effort de présentation autistique genre la pizza cordon bleu surimi
L'op ce chofa qui rage que le couscous soit pas de Strasbourg
[08:39:51] <TouaregDu97>
Autre description de Alger en 1830
Le lait de chèvre c'était le caprisun de l'époque
Le 14 novembre 2024 à 07:15:02 :
En vrai, le couscous c'est français.Les QLF se gardent bien de rappeler qu'à leur arrivée, les français ont mis sur pied un modèle de culture des sols, couplé à une irrigation développée, qui permit un temps à l'Algérie comme au Maroc d'être autonomes et d'exporter des centaines de tonnes de fruits et légumes dans toute l'Europe, au travers de magnifiques ports méditerranéens financés par la France, alors qu'aujourd'hui ces pays dépendent intégralement des importations. Jusqu'à même parfois l'huile d'olive.
Ce n'est que dans ce contexte faste, et avec la supervision des français qui avaient un goût culinaire développé, que les couscous et tajines ont pu voir le jour dans leur forme actuelle, avec de la bonne semoule de blé fraîchement moulue dans des moulins modernes, de la viande fraîche, des légumes variés, et des épices telles que du safran d'Orient, du paprika de Hongrie, du gingembre de Chine, de la coriandre de France... Auparavant, c'était un vulgaire ragoût de viande de dromadaire avec du blé concassé grossièrement à la main, importé d'Europe au terme de plusieurs mois de transit, quelques légumes feuillus, le tout largement dénué d'épices hormis des piments secs et de la badiane pour dissimuler la pestilence de la viande avariée.
Comme le phô vietnamien qui est un pot au "feu" français adapté, ou les tempura japonais qui sont inspirées de la gastronomie portugaise, bon nombre d'apports prétendument culturels viennent en réalité des Blancs. C'est paradoxal, mais l'amour des beubeux pour le couscous français est finalement une preuve d'intégration.
Et je dirais même plus. La merguez est Alsacienne. Pendant la colonisation des Alsaciens habitant à Constantine (Algérie) ont remplacé le porc de la saucisse par du boeuf.
CQFDhttps://www.madeinalsace.com/la-merguez-est-elle-alsacienne/
J'ai DDB
Le 14 novembre 2024 à 08:06:40 ManuLeNarbo a écrit :
L'impulsivité criminelle chez les maghrébins est étudiée depuis au moins les années 30:
24 pages de cette étude sont disponibles ici en pdf:
https://www.docdroid.net/oz44Mm7/l-impulsivite-criminelle-chez-l-indigene-algerien-annas-archive-pdf"gneugneugneu c d conneries racistes des méchants français colonialistes envers les pauvres indigènes opprimés dépeints en affreux sauvages à civiliser
En parcourant ce site répertoriant les condamnés à mort en France ( https://laveuveguillotine.pagesperso-orange.fr/Palmares1871_1977.html ), j'ai été choqué de la surreprésentation des condamnés maghrébins déjà à cette époque . C’était en plus avec les mêmes objectifs et méthodes qu’actuellement.
Petit florilège:
1) 16 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Ahmed ben el Kefi.
« Marocain, assassine de trois coups de couteau à Versailles dans la nuit du 15 au 16 septembre 1918 François Ollier, 45 ans, pour lui voler son portefeuille et sa montre. »
2) 2 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Allah.
« Marocain, travailleur colonial aux chantiers de Saint-Cyr. Tue à coups de revolver à Versailles le 17 mai 1919 son ami Somanet pour lui voler 237 francs 50.
3) 1er mai 1920, Pamiers.
Bezouani Bouzid ben Younes.
« 21 ans, Kabyle, manœuvre aux Usines de Pamiers. Assassine à Pamiers sa propriétaire, Madeleine Danis, 72 ans, tenancière du café de l'Union, qu'il assomme à coups de barre de fer avant de la décapiter avec un couteau, pour la voler ».
4) 30 avril 1921, Bordeaux.
Ahmed ben Mohamed "Kouri" et Ali ben Mohamed.
« Algériens. Assassinent à coups de couteau les époux Grenier pour cambrioler leur propriété, le château de Bellevue, à Cussac (commune dont M.Grenier avait été maire) dans la nuit du 24 au 25 mars 1920. »
5) 11 juin 1921, Bordeaux.
5) Boularik Amokrane ben Saïd.
« 34 ans, Algérien, ouvrier charpentier. Assassine Marie Poirier, veuve Mathieu, 65 ans, tenancière du bar du 5, place de la Bourse à Bordeaux, en l'égorgeant avec un couteau à cran d'arrêt le 10 février 1921. Butin : 340 francs. »
6) 13 juin 1921, Épinal.
6) Mohamed ben Ali ben Salah.
« 21 ans. Ouvrier marocain dans une usine de blanchisserie de Thaon, fractura avec une lourde pierre le crâne de son compagnon de baraquement, Joseph Lamaze, 56 ans, le 21 janvier 1921 pour lui voler son porte-monnaie, et jeta le corps dans un fossé qu'il recouvre de feuilles. »
7) 19 janvier 1923, Saint Milhiel.
Belkacem Mohamed ben Amour.
« Algérien. Cafetier à Clermont-Ferrand. Etrangla à mains nues le 20 mars 1922 à Verdun, Mme Bertrand, 70 ans, propriétaire du café "A la Fraternité", rue Chaussée, pour voler le contenu de sa caisse et de son coffre-fort. »
8) 27 février 1923, Metz.
Mohamed "Lebekacha Badri" ben Abdelkader ben M'Barek.
« 23 ans, tirailleur Algérien, caserné à Morhange.
Commit un double crime à Pevange. Assassine à coups de fusil Albert Pouillon, domestique, 24 ans et sa fiancée Jeanne Souchon, 20 ans, et les achève à coups de couteau. Dérobe 600 francs, la montre du garçon et le sac de la demoiselle. »
« Prétendit que, quelques jours plus tôt, Souchon l'avait insulté et traité de "sale bic*t". »
9) 21 mai 1924, Paris.
Mohamed Ousliman Khémilé.
« 36 ans, Algérien. Amoureux d'une femme mariée, Mme Billard, épicière rue Fondary, ne supporte pas ses incessants refus. Il l'attrape dans son magasin, la traîne dans la rue et la tue de quatre coups de couteau de cuisine.
Pris d'une fureur homicide, frappe les passants au hasard dans la rue : tue Mme Fougère, 60 ans, qui ramenait son petit-fils de l'école, blesse au ventre Mme Raymonde Brunet et Mme Gisèle Hescu à l'aine, avant d'être mis hors d'état de nuire par des policiers. »
10) 10 janvier 1925, Paris.
Loucief Lakdar.
« 33 ans, Algérien, ouvrier. »
« Hébergé le 28 février 1924 dans une cabane proche de la gare de St-Denis par trois ouvriers portugais. A coups de barre de fer, frappa dans leur sommeil Juan Vieira, Antonio Ferreira et Francisco Mendès pour leur voler 5.500 francs. Mendès parvint à s'enfuir pour donner l'alerte. Ferreira eut la mâchoire brisée mais survécut, pas Vieira, qui eut la gorge tranchée à coups de couteau. »
11) 29 mai 1926, Alfortville.
Mohamed Raïb.
« 29 ans, Algérien, manœuvre d'usine, déjà condamné deux fois pour tentative de meurtre. »
« Tombé amoureux de Marie, 15 ans, domestique et fille de ses logeurs, les Lenoir, et n'acceptant pas d'être repoussé, tire 6 balles de pistolet sur elle dans un café d'Alfortville, la tuant net.
12) 26 octobre 1927, Douai.
Ousaïd Kacé Boudjema.
« Algérien. Le 05 mars 1927, tente d'assommer avec une bouteille la veuve Delfosse, 68 ans, cabaretière au faubourg des Battières, à Neuf-Mesnil, pour la voler, avant de la jeter dans sa cave. »
13) 21 janvier 1928, Nancy.
Embareck "Barka" ben Bled.
« 33 ans, Marocain. Tue le 26 juin 1927, au passage à niveau de Gouraincourt, le douanier Claude qui venait l'arrêter suite à toute une série de vols commis dans les environs. »
14) 22 octobre 1930, Hautmont.
Brahim ben Kenfer, dit "Saïd ben Mohamed".
« Algérien, tua à Hautmont le 23 novembre 1927 Ernest Velgracht, un vieil homme, pour lui voler 83 francs. »
15) 21 mai 1931, Paris.
Mohamed Ben Driss.
« 38 ans, Marocain. Le 19 novembre 1930 au 40 rue de Ponthieu, assomme dans sa cuisine à coups de siphon Mme Juliette Delaure, 25 ans, jeune épouse d'un restaurateur, pour lui voler 6.300 francs. Sa victime meurt le lendemain. »
16) 26 août 1931, Lyon.
Ahmed ben Mohamed.
Caporal au 5e régiment de tirailleurs marocains. Abat à coups de revolver, le 7 décembre 1930 au camp de la Valbonne (Ain) l'adjudant Lavague et Mme Cartier, épouse d'un sergent, non sans tenter de la violer. En fuite, essaie de se suicider le lendemain. »
17) 7 juillet 1932, Caen.
Rabah Betra.
« 23 ans, Algérien, manoeuvre. Egorge de trois coups de rasoir Clotilde Grignola, 33 ans, mère de deux enfants, fermière à Breuil-en-Auge, dans l'après-midi du 26 janvier 1932, et lui vole 750 francs. »
18) 11 avril 1935, Paris.
Mohamed Chaker.
« Algérien, colporteur. Assomme d'un coup de barre de fer M.Leminor, veilleur de nuit, lors du cambriolage de la sucrerie Dufour, rue de Tolbiac, dans la nuit du 25 au 26 août 1934, avant de l'égorger à coups de couteau et de lui voler sa paie, soit 200 francs. Avait déjà tenté de cambrioler l'endroit dans la nuit du 13 au 14 août 1934, où il avait travaillé par le passé. »
19) 26 novembre 1935, Lyon.
Brahim Rabah.
« Ancien spahi, cantonné au 9e régiment algérien de Vienne. Puni de deux jours de consigne par le brigadier Robert Saladin pour une absence à son poste de garde d'écurie, attend qu'il dorme dans la nuit du 04 au 05 septembre 1935 dans l'écurie pour lui broyer la tête avec une masse de 5 kilos, puis le décapite au rasoir. »
20) 27 janvier 1937, Saint Milhiel.
Abdelkader Yahia.
« 30 ans, tirailleur algérien au 122e régiment de Toul. Abat le 02 septembre 1936 à Vignot Marcel Chabourelle, 68 ans, ouvrier aux carrières d'Euville, de trois balles de revolver avant de l'achever d'un coup de poignard dans le coeur, et de lui voler 500 francs et sa musette, contenant du pain, du jambon et une bouteille de vin. »
21) 5 novembre 1938, Lyon.
Abdelkader "Saada" Rakida.
28 ans, Algérien. Interdit de séjour à Paris, auteur d'un meurtre au cours d'une bagarre, le 21 septembre 1937, tenta de forcer le passage dans une maison close de Lyon, à tel point que la tenancière, menacée d'un revolver, appella la police. Dès l'arrivée des forces de l'ordre, Rakida leur tira dessus, blessant gravement les gardiens de la paix Perret et Dusserre.
22) 7 décembre 1939, Metz.
Belaïd Ben Aïssa et Ammar Bouaita.
« 28 et 25 ans, caporal tunisien et soldat algérien au 23e régiment de tirailleurs algériens. En avril 1939, tendent un guet-apens au jeune soldat Louis Weiss, entre Puttelange et Diding. Ben Aïssa le viole, puis l'étrangle pour l'empêcher de parler, puis ils volent son argent. Avant le procès, essayent de s'évader et tentent d'étrangler un gardien. »
23) 16 avril 1942, Paris.
Bachir Aït Cherif.
« 43 ans, journalier, Algérien. Poignarde le 14 juillet 1941 à Pantin Mlle Renault, cafetière, pour voler sa caisse. »
24) 18 mai 1945, Paris.
Akli Soualmi.
« 33 ans, Algérien, manoeuvre. Le 31 mars 1943, durant un cambriolage dans un hôtel de Puteaux, 11, rue Roque-de-Filiol, étrangle la patronne Catherine Oliver, 57 ans, puis dérobe 20.000 francs en numéraire et 60.000 francs de bijoux. »
25) 23 décembre 1945, Gourdon.
Mohamed ben Amar ben Ali, Belkacem ben Amar ben Hacine et Rahar ben Dadjouche.
« Algériens de 31 ans, 30 ans et 27 ans. A Gourdon, dans la nuit du 22 au 23 décembre 1945, attaquent les époux Rhodes, Edouard, 35 ans, cordonnier, avec lequel ils étaient en affaire, et sa femme Danielle, 21 ans. Danielle a la tête fendue à coups de hache, pendant que Rhodes est ligoté et torturé, la plante des pieds brûlée avec une lampe à pétrole, pour révéler où il cache des économies. Les bandits l'achèvent en lui fracassant la tête avec un pied de travail en fer.
Le petit Jean-Michel, quinze mois, qui pleurait dans son berceau, est tué de deux coups de hache et survit une heure à ses blessures. »
Ce post qui est passé inaperçu bordel. Heureusement que la science moderne rejette toute forme de déterminisme biologique basé sur la race. Les notions selon lesquelles certaines populations auraient des structures psychiques ou des tendances comportementales innées en raison de leur origine raciale sont aujourd'hui considérées comme pseudo-scientifiques si vous êtes pas au courant les descos au RSA 0 tout de la "race supérieure".
Les différences culturelles et contextuelles jouent un rôle c'est évident et c'était intéressant de lire les travaux du Dr Porot, mais elles sont aujourd'hui analysé dans une perspective de "compréhension" culturelle, et non comme une hiérarchie de civilisations ou de races. Ca s'appelle la psychiatrie transculturelle si jamais le sujet vous intéresse réellement et n'étant pas juste comme un prétexte pour justifié votre haine purulente.
Malheureusement pour vous le racisme scientifique est mort et enterré parce qu'il n'a absolument aucun fondement scientifique et les analyses psychiatriques du Dr Porot étaient basés sur méthodes biaisées et non empiriques comme on le fait en science. En réalité vous avez littéralement 100 ans de retard sur la science les droitardés, vous souhaitez nous faire retourner dans des temps de terreurs et d'obscurantisme je trouve cela absolument dingue.
Le 14 novembre 2024 à 08:57:22 AurelEuro a écrit :
Le 14 novembre 2024 à 07:15:02 :
En vrai, le couscous c'est français.Les QLF se gardent bien de rappeler qu'à leur arrivée, les français ont mis sur pied un modèle de culture des sols, couplé à une irrigation développée, qui permit un temps à l'Algérie comme au Maroc d'être autonomes et d'exporter des centaines de tonnes de fruits et légumes dans toute l'Europe, au travers de magnifiques ports méditerranéens financés par la France, alors qu'aujourd'hui ces pays dépendent intégralement des importations. Jusqu'à même parfois l'huile d'olive.
Ce n'est que dans ce contexte faste, et avec la supervision des français qui avaient un goût culinaire développé, que les couscous et tajines ont pu voir le jour dans leur forme actuelle, avec de la bonne semoule de blé fraîchement moulue dans des moulins modernes, de la viande fraîche, des légumes variés, et des épices telles que du safran d'Orient, du paprika de Hongrie, du gingembre de Chine, de la coriandre de France... Auparavant, c'était un vulgaire ragoût de viande de dromadaire avec du blé concassé grossièrement à la main, importé d'Europe au terme de plusieurs mois de transit, quelques légumes feuillus, le tout largement dénué d'épices hormis des piments secs et de la badiane pour dissimuler la pestilence de la viande avariée.
Comme le phô vietnamien qui est un pot au "feu" français adapté, ou les tempura japonais qui sont inspirées de la gastronomie portugaise, bon nombre d'apports prétendument culturels viennent en réalité des Blancs. C'est paradoxal, mais l'amour des beubeux pour le couscous français est finalement une preuve d'intégration.
Et je dirais même plus. La merguez est Alsacienne. Pendant la colonisation des Alsaciens habitant à Constantine (Algérie) ont remplacé le porc de la saucisse par du boeuf.
CQFDhttps://www.madeinalsace.com/la-merguez-est-elle-alsacienne/
Contenu typique des recettes de couscous maghrébin berbère selon Ibn Razin (XIIIe siècle)
Semoule : La base du couscous est la semoule de blé, qui est cuite à la vapeur. Cette méthode de cuisson à la vapeur permet de conserver la texture légère et granuleuse des grains de semoule.
Viande et légumes : Les mentions de viande (souvent de l'agneau ou du poulet) sont courantes, souvent accompagnées de légumes tels que des navets, des pois chiches, ou d'autres légumes disponibles localement.
Assaisonnements : Les épices utilisées incluaient souvent du safran, du poivre, du cumin, de la cannelle, et d'autres herbes et épices typiques de la cuisine andalouse et maghrébine médiévale.
Bouillon : Les recettes incluaient souvent un bouillon riche pour humidifier le couscous et apporter du goût, parfois avec l'ajout de beurre ou d'huile d'olive.
Source :
"Fadalat al-Khiwan: On Right Pleasure and Good Health" par Ambrosio Huici Miranda. C'est une édition et une traduction annotée en espagnol du texte d'Ibn Razin al-Tujibi publiée au XXe siècle. Cette version est souvent utilisée par les historiens pour étudier les recettes médiévales andalouses, y compris les mentions du couscous. Vous pouvez trouver des informations spécifiques sur le couscous dans cet ouvrage.
"Medieval Arab Cookery" par Charles Perry et d'autres spécialistes de la cuisine arabe médiévale, qui inclut des traductions et des analyses de textes culinaires andalous et maghrébins, y compris des extraits de "Fadalat al-Khiwan". Ce livre est une compilation de sources médiévales sur la cuisine arabe, avec des notes explicatives sur des plats comme le couscous.
L'ouvrage "La Cocina Andalusí" publié par l'Editorial Trea, basé sur des travaux de traduction du texte d'Ibn Razin. Il est souvent cité comme une source de référence pour les recettes et les pratiques culinaires andalouses, notamment pour le couscous.
Vous pouvez retourner vous branlez sur du shemale ou le topic "Je fantasme sur ma sœur" les racialistes de mes couilles.
Le 14 novembre 2024 à 08:58:05 :
Le 14 novembre 2024 à 08:06:40 ManuLeNarbo a écrit :
L'impulsivité criminelle chez les maghrébins est étudiée depuis au moins les années 30:
24 pages de cette étude sont disponibles ici en pdf:
https://www.docdroid.net/oz44Mm7/l-impulsivite-criminelle-chez-l-indigene-algerien-annas-archive-pdf"gneugneugneu c d conneries racistes des méchants français colonialistes envers les pauvres indigènes opprimés dépeints en affreux sauvages à civiliser
En parcourant ce site répertoriant les condamnés à mort en France ( https://laveuveguillotine.pagesperso-orange.fr/Palmares1871_1977.html ), j'ai été choqué de la surreprésentation des condamnés maghrébins déjà à cette époque . C’était en plus avec les mêmes objectifs et méthodes qu’actuellement.
Petit florilège:
1) 16 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Ahmed ben el Kefi.
« Marocain, assassine de trois coups de couteau à Versailles dans la nuit du 15 au 16 septembre 1918 François Ollier, 45 ans, pour lui voler son portefeuille et sa montre. »
2) 2 septembre 1919, Versailles.
Mohamed ben Allah.
« Marocain, travailleur colonial aux chantiers de Saint-Cyr. Tue à coups de revolver à Versailles le 17 mai 1919 son ami Somanet pour lui voler 237 francs 50.
3) 1er mai 1920, Pamiers.
Bezouani Bouzid ben Younes.
« 21 ans, Kabyle, manœuvre aux Usines de Pamiers. Assassine à Pamiers sa propriétaire, Madeleine Danis, 72 ans, tenancière du café de l'Union, qu'il assomme à coups de barre de fer avant de la décapiter avec un couteau, pour la voler ».
4) 30 avril 1921, Bordeaux.
Ahmed ben Mohamed "Kouri" et Ali ben Mohamed.
« Algériens. Assassinent à coups de couteau les époux Grenier pour cambrioler leur propriété, le château de Bellevue, à Cussac (commune dont M.Grenier avait été maire) dans la nuit du 24 au 25 mars 1920. »
5) 11 juin 1921, Bordeaux.
5) Boularik Amokrane ben Saïd.
« 34 ans, Algérien, ouvrier charpentier. Assassine Marie Poirier, veuve Mathieu, 65 ans, tenancière du bar du 5, place de la Bourse à Bordeaux, en l'égorgeant avec un couteau à cran d'arrêt le 10 février 1921. Butin : 340 francs. »
6) 13 juin 1921, Épinal.
6) Mohamed ben Ali ben Salah.
« 21 ans. Ouvrier marocain dans une usine de blanchisserie de Thaon, fractura avec une lourde pierre le crâne de son compagnon de baraquement, Joseph Lamaze, 56 ans, le 21 janvier 1921 pour lui voler son porte-monnaie, et jeta le corps dans un fossé qu'il recouvre de feuilles. »
7) 19 janvier 1923, Saint Milhiel.
Belkacem Mohamed ben Amour.
« Algérien. Cafetier à Clermont-Ferrand. Etrangla à mains nues le 20 mars 1922 à Verdun, Mme Bertrand, 70 ans, propriétaire du café "A la Fraternité", rue Chaussée, pour voler le contenu de sa caisse et de son coffre-fort. »
8) 27 février 1923, Metz.
Mohamed "Lebekacha Badri" ben Abdelkader ben M'Barek.
« 23 ans, tirailleur Algérien, caserné à Morhange.
Commit un double crime à Pevange. Assassine à coups de fusil Albert Pouillon, domestique, 24 ans et sa fiancée Jeanne Souchon, 20 ans, et les achève à coups de couteau. Dérobe 600 francs, la montre du garçon et le sac de la demoiselle. »
« Prétendit que, quelques jours plus tôt, Souchon l'avait insulté et traité de "sale bic*t". »
9) 21 mai 1924, Paris.
Mohamed Ousliman Khémilé.
« 36 ans, Algérien. Amoureux d'une femme mariée, Mme Billard, épicière rue Fondary, ne supporte pas ses incessants refus. Il l'attrape dans son magasin, la traîne dans la rue et la tue de quatre coups de couteau de cuisine.
Pris d'une fureur homicide, frappe les passants au hasard dans la rue : tue Mme Fougère, 60 ans, qui ramenait son petit-fils de l'école, blesse au ventre Mme Raymonde Brunet et Mme Gisèle Hescu à l'aine, avant d'être mis hors d'état de nuire par des policiers. »
10) 10 janvier 1925, Paris.
Loucief Lakdar.
« 33 ans, Algérien, ouvrier. »
« Hébergé le 28 février 1924 dans une cabane proche de la gare de St-Denis par trois ouvriers portugais. A coups de barre de fer, frappa dans leur sommeil Juan Vieira, Antonio Ferreira et Francisco Mendès pour leur voler 5.500 francs. Mendès parvint à s'enfuir pour donner l'alerte. Ferreira eut la mâchoire brisée mais survécut, pas Vieira, qui eut la gorge tranchée à coups de couteau. »
11) 29 mai 1926, Alfortville.
Mohamed Raïb.
« 29 ans, Algérien, manœuvre d'usine, déjà condamné deux fois pour tentative de meurtre. »
« Tombé amoureux de Marie, 15 ans, domestique et fille de ses logeurs, les Lenoir, et n'acceptant pas d'être repoussé, tire 6 balles de pistolet sur elle dans un café d'Alfortville, la tuant net.
12) 26 octobre 1927, Douai.
Ousaïd Kacé Boudjema.
« Algérien. Le 05 mars 1927, tente d'assommer avec une bouteille la veuve Delfosse, 68 ans, cabaretière au faubourg des Battières, à Neuf-Mesnil, pour la voler, avant de la jeter dans sa cave. »
13) 21 janvier 1928, Nancy.
Embareck "Barka" ben Bled.
« 33 ans, Marocain. Tue le 26 juin 1927, au passage à niveau de Gouraincourt, le douanier Claude qui venait l'arrêter suite à toute une série de vols commis dans les environs. »
14) 22 octobre 1930, Hautmont.
Brahim ben Kenfer, dit "Saïd ben Mohamed".
« Algérien, tua à Hautmont le 23 novembre 1927 Ernest Velgracht, un vieil homme, pour lui voler 83 francs. »
15) 21 mai 1931, Paris.
Mohamed Ben Driss.
« 38 ans, Marocain. Le 19 novembre 1930 au 40 rue de Ponthieu, assomme dans sa cuisine à coups de siphon Mme Juliette Delaure, 25 ans, jeune épouse d'un restaurateur, pour lui voler 6.300 francs. Sa victime meurt le lendemain. »
16) 26 août 1931, Lyon.
Ahmed ben Mohamed.
Caporal au 5e régiment de tirailleurs marocains. Abat à coups de revolver, le 7 décembre 1930 au camp de la Valbonne (Ain) l'adjudant Lavague et Mme Cartier, épouse d'un sergent, non sans tenter de la violer. En fuite, essaie de se suicider le lendemain. »
17) 7 juillet 1932, Caen.
Rabah Betra.
« 23 ans, Algérien, manoeuvre. Egorge de trois coups de rasoir Clotilde Grignola, 33 ans, mère de deux enfants, fermière à Breuil-en-Auge, dans l'après-midi du 26 janvier 1932, et lui vole 750 francs. »
18) 11 avril 1935, Paris.
Mohamed Chaker.
« Algérien, colporteur. Assomme d'un coup de barre de fer M.Leminor, veilleur de nuit, lors du cambriolage de la sucrerie Dufour, rue de Tolbiac, dans la nuit du 25 au 26 août 1934, avant de l'égorger à coups de couteau et de lui voler sa paie, soit 200 francs. Avait déjà tenté de cambrioler l'endroit dans la nuit du 13 au 14 août 1934, où il avait travaillé par le passé. »
19) 26 novembre 1935, Lyon.
Brahim Rabah.
« Ancien spahi, cantonné au 9e régiment algérien de Vienne. Puni de deux jours de consigne par le brigadier Robert Saladin pour une absence à son poste de garde d'écurie, attend qu'il dorme dans la nuit du 04 au 05 septembre 1935 dans l'écurie pour lui broyer la tête avec une masse de 5 kilos, puis le décapite au rasoir. »
20) 27 janvier 1937, Saint Milhiel.
Abdelkader Yahia.
« 30 ans, tirailleur algérien au 122e régiment de Toul. Abat le 02 septembre 1936 à Vignot Marcel Chabourelle, 68 ans, ouvrier aux carrières d'Euville, de trois balles de revolver avant de l'achever d'un coup de poignard dans le coeur, et de lui voler 500 francs et sa musette, contenant du pain, du jambon et une bouteille de vin. »
21) 5 novembre 1938, Lyon.
Abdelkader "Saada" Rakida.
28 ans, Algérien. Interdit de séjour à Paris, auteur d'un meurtre au cours d'une bagarre, le 21 septembre 1937, tenta de forcer le passage dans une maison close de Lyon, à tel point que la tenancière, menacée d'un revolver, appella la police. Dès l'arrivée des forces de l'ordre, Rakida leur tira dessus, blessant gravement les gardiens de la paix Perret et Dusserre.
22) 7 décembre 1939, Metz.
Belaïd Ben Aïssa et Ammar Bouaita.
« 28 et 25 ans, caporal tunisien et soldat algérien au 23e régiment de tirailleurs algériens. En avril 1939, tendent un guet-apens au jeune soldat Louis Weiss, entre Puttelange et Diding. Ben Aïssa le viole, puis l'étrangle pour l'empêcher de parler, puis ils volent son argent. Avant le procès, essayent de s'évader et tentent d'étrangler un gardien. »
23) 16 avril 1942, Paris.
Bachir Aït Cherif.
« 43 ans, journalier, Algérien. Poignarde le 14 juillet 1941 à Pantin Mlle Renault, cafetière, pour voler sa caisse. »
24) 18 mai 1945, Paris.
Akli Soualmi.
« 33 ans, Algérien, manoeuvre. Le 31 mars 1943, durant un cambriolage dans un hôtel de Puteaux, 11, rue Roque-de-Filiol, étrangle la patronne Catherine Oliver, 57 ans, puis dérobe 20.000 francs en numéraire et 60.000 francs de bijoux. »
25) 23 décembre 1945, Gourdon.
Mohamed ben Amar ben Ali, Belkacem ben Amar ben Hacine et Rahar ben Dadjouche.
« Algériens de 31 ans, 30 ans et 27 ans. A Gourdon, dans la nuit du 22 au 23 décembre 1945, attaquent les époux Rhodes, Edouard, 35 ans, cordonnier, avec lequel ils étaient en affaire, et sa femme Danielle, 21 ans. Danielle a la tête fendue à coups de hache, pendant que Rhodes est ligoté et torturé, la plante des pieds brûlée avec une lampe à pétrole, pour révéler où il cache des économies. Les bandits l'achèvent en lui fracassant la tête avec un pied de travail en fer.
Le petit Jean-Michel, quinze mois, qui pleurait dans son berceau, est tué de deux coups de hache et survit une heure à ses blessures. »
Ce post qui est passé inaperçu bordel. Heureusement que la science moderne rejette toute forme de déterminisme biologique basé sur la race. Les notions selon lesquelles certaines populations auraient des structures psychiques ou des tendances comportementales innées en raison de leur origine raciale sont aujourd'hui considérées comme pseudo-scientifiques si vous êtes pas au courant les descos au RSA 0 tout de la "race supérieure".
Les différences culturelles et contextuelles jouent un rôle c'est évident et c'était intéressant de lire les travaux du Dr Porot, mais elles sont aujourd'hui analysé dans une perspective de "compréhension" culturelle, et non comme une hiérarchie de civilisations ou de races. Ca s'appelle la psychiatrie transculturelle si jamais le sujet vous intéresse réellement et n'étant pas juste comme un prétexte pour justifié votre haine purulente.
Malheureusement pour vous le racisme scientifique est mort et enterré parce qu'il n'a absolument aucun fondement scientifique et les analyses psychiatriques du Dr Porot étaient basés sur méthodes biaisées et non empiriques comme on le fait en science. En réalité vous avez littéralement 100 ans de retard sur la science les droitardés, vous souhaitez nous faire retourner dans des temps de terreurs et d'obscurantisme je trouve cela absolument dingue.
Après, sans pour autant être d'accord avec les délires racialistes, il est indéniable que la culture peut finir par affecter la génétique (qui elle même affecte le comportement).
Notamment au travers de la récurrence des unions consanguines.
Vous pouvez retourner vous branlez sur du shemale ou le topic "Je fantasme sur ma sœur" les racialistes de mes couilles.
Ce sel, il ne vous reste plus qu'une boxeuse à bite comme fierté
Le 14 novembre 2024 à 07:22:30 :
Oui les français ont tout inventé ce sont les maîtres incontestés de notre mondeJe donnerais ma vie pour un français, même triso aveugle et sourd sans bras sans jambes s'il vous plaît je veux vous adorer vous êtes les meilleurs
[09:11:39] <Ghanaryen01>
Vous pouvez retourner vous branlez sur du shemale ou le topic "Je fantasme sur ma sœur" les racialistes de mes couilles.
Ce sel, il ne vous reste plus qu'une boxeuse à bite comme fierté
Description des Algériens et de leur pays en 1830 par un officier de l'armée française, décoré de la légion d'honneur:
@TouaregDu97 Ah mais totalement, si on considère que les expériences traumatiques peuvent s'imprégné dans l'ADN et se transmettre sur des générations futures, et que les populations qui n'ont pas pratiqué l'élevage bovin sont beaucoup plus intolérantes au lactose, je pense qu'il est évident la culture peut affecter la génétique oui. D'ailleurs la drépanocytose est une réponse au paludisme il me semble c'est pour ca qu'elle est présente chez les populations noires africaines c'est donc aussi un conditionnement génétique dû à l'environnement.
La récurrence des unions consanguines je ne sais pas du tout. Mais sachant que ce genre de relations est très délétère d'un point de vue génétique j'imagine que ca peut aussi causer de gros soucis quand c'est généralisé.
Le 14 novembre 2024 à 09:11:39 Ghanaryen01 a écrit :
Vous pouvez retourner vous branlez sur du shemale ou le topic "Je fantasme sur ma sœur" les racialistes de mes couilles.
Ce sel, il ne vous reste plus qu'une boxeuse à bite comme fierté
J'ai vu des noirs tentés de s'approprié la culture maghrébine mais des chauffagistes malaisants ca par contre je m'y attendais pas je t'avoue.
Généralement vous regardez cette culture de haut, vous aimez tellement le couscous que vous voulez le voler ca aussi ? En plus de toutes les objets et biens culturels emportés d'Afrique
"Les plus anciennes traces connues de couscoussiers sont retrouvées dans des sépultures du IIIe siècle av. J.-C., de l'époque du roi berbère Massinissa de Numidie (dans l'actuel nord de l'Algérie)[réf. nécessaire], un des berceaux de la culture du blé."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Couscous
Pourquoi je feed bordel
Le 14 novembre 2024 à 07:19:55 :
T'avais pas à dire ça par contre