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Savoir & Culture

Politique

Sujet : L'orgueil des "non-genrés" qui veulent se faire appeler "iel"
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shayde09
Niveau 12
18 novembre 2021 à 14:03:29

"Appelez-moi iel. J'ai transcendé les frontières de la réalité biologique et connu l'épiphanie du divin en moi : ni mâle ni femelle, je suis un être exceptionnel, agenré et auto-déterminé : vous m'insultez en faisant référence à moi par vos vulgaires pronoms sexués. Nous ne vivons pas sur le même plan d'existence."

Non mais franchement. Pourquoi flatter l'illusion de ces gens ? On peut très bien rejeter les stéréotypes de genre, partir du principe qu'il n'y a pas tant de différences que ça entre hommes et femmes ou bien repérer chez soi certaines caractéristiques de l'autre sexe, sans pour autant s'imaginer libre de toute détermination biologique et réclamer que les gens vous réservent un traitement spécial... C'est de l'orgueil, ni plus ni moins.

[Macrolatre]
Niveau 10
18 novembre 2021 à 20:19:30

le sexe c'est ce que l'on est au départ, le genre c'est le devenir, c'est-à-dire le genre c'est ce que l'on devient après le départ.

[Macrolatre]
Niveau 10
18 novembre 2021 à 20:23:50

Moi personnellement je suis un homme blanc français hétérosexuel cisgenre petit-bourgeois, j'ai une certaine fierté de mes privilèges que j'essaie de mettre au service pour rendre la société meilleure et plus équitable

turlu-lulu
Niveau 9
18 novembre 2021 à 20:57:11

Sexe = genre.

Point.

Le reste c'est de la bêtise idéologique

lys1
Niveau 1
18 novembre 2021 à 20:59:11

Le 18 novembre 2021 à 20:23:50 :
Moi personnellement je suis un homme blanc français hétérosexuel cisgenre petit-bourgeois, j'ai une certaine fierté de mes privilèges que j'essaie de mettre au service pour rendre la société meilleure et plus équitable

Salut :bravo: He bien commence stp par condamner toute censure ce sera déjà un bon début. :oui:

Je vous invite à méditer la dessus les amis, surtout les sacro saint mods, désolé c'est en english :rire2: =
"I do not agree with everything you say, but I will defend to the death your right to say it" - Brian Rose.

[Macrolatre]
Niveau 10
18 novembre 2021 à 21:14:25

Le 18 novembre 2021 à 20:59:11 :

Le 18 novembre 2021 à 20:23:50 :
Moi personnellement je suis un homme blanc français hétérosexuel cisgenre petit-bourgeois, j'ai une certaine fierté de mes privilèges que j'essaie de mettre au service pour rendre la société meilleure et plus équitable

Salut :bravo: He bien commence stp par condamner toute censure ce sera déjà un bon début. :oui:

Je vous invite à méditer la dessus les amis, surtout les sacro saint mods, désolé c'est en english :rire2: =
"I do not agree with everything you say, but I will defend to the death your right to say it" - Brian Rose.

Salut !

Ma fierté d'être un blanc privilégié m'a toujours poussé à condamner toute censure parce que je veux exercer librement mon λόγος de blanc pour dominer les minorités

ririm2
Niveau 10
19 novembre 2021 à 02:36:48

Joli résumé de la situation l'op

le_litchi01
Niveau 47
19 novembre 2021 à 08:56:31

J'avoue pour ma part ma totale impuissance à séparer ce qui relève de la dysphorie (dont l'existence est avérée) et ce qui relève des catégories idéologiques et du projet politique.

On est dans un moment de bouillonnement de ces questions, le temps fera le tri pour nous.

shayde09
Niveau 12
19 novembre 2021 à 14:22:32

Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

IronMatou
Niveau 10
19 novembre 2021 à 14:32:22

Ma théorie est qu'ils sont beaucoup moins nombreux que les militants du iel :ange:

Logical
Niveau 10
19 novembre 2021 à 16:26:32

La non-binarité est une identité de genre, et son existence (qui est d'ordre psychologique) ne stipule en rien l'existence de nouvelles catégories sexuelles biologiques. La volonté de normaliser de nouveaux pronoms comme "iel" s'inscrit bien évidemment dans un projet politique qui est la reconnaissance -> sociale <- des identités de genre non-binaires, pas en tant que nouvelle catégorie sexuelle biologique. D'ailleurs, la biologie, ainsi que l'environnement social, participent à la construction d'une identité de genre (et ça reste encore un sujet de recherche d'actualité, avec différents modèles qui tentent de décrire tout ça).
A la limite, c'est plutôt les constructivistes qui te posent un problème au sujet du sexe, en stipulant que les catégories dites biologiques et définies par les sciences en général, sont arbitraires et n'existent pas par essence. Ou bien l'intersexuation qui est une notion scientifique et biologique, permettant de représenter la caractérisation sexuelle avec une plus grande complexité (sans pour autant remettre en question la catégorisation sexuelle mâle/femelle).

En ayant bien compris ces concepts, et sans stéréotyper ou faire d'épouvantails, on peut ensuite discuter de l'enjeu politique lui-même: est-ce que ça mérite une reconnaissance sociale, ou que la société change pour s'adapter à ces personnes ? Question à laquelle les réponses différeront comme toujours selon les valeurs, visions et sensibilités politiques.

Pseudo supprimé
Niveau 9
19 novembre 2021 à 16:38:31

Le 18 novembre 2021 à 21:14:25 :

Le 18 novembre 2021 à 20:59:11 :

Le 18 novembre 2021 à 20:23:50 :
Moi personnellement je suis un homme blanc français hétérosexuel cisgenre petit-bourgeois, j'ai une certaine fierté de mes privilèges que j'essaie de mettre au service pour rendre la société meilleure et plus équitable

Salut :bravo: He bien commence stp par condamner toute censure ce sera déjà un bon début. :oui:

Je vous invite à méditer la dessus les amis, surtout les sacro saint mods, désolé c'est en english :rire2: =
"I do not agree with everything you say, but I will defend to the death your right to say it" - Brian Rose.

Salut !

Ma fierté d'être un blanc privilégié m'a toujours poussé à condamner toute censure parce que je veux exercer librement mon λόγος de blanc pour dominer les minorités

Je me demande si un vrai woke prendrait ça au sérieux ou non en lisant ça.

À votre avis :question:
Est-ce qu'il serait capable de distinguer le premier degré du second ?

IronMatou
Niveau 10
19 novembre 2021 à 17:15:26

:objection:
Je suis woke, et la réponse est Non !
Et c'est pas de l'orgueil, c'est de la vanité !

le_litchi01
Niveau 47
19 novembre 2021 à 17:42:39

Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :
Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

turlu-lulu
Niveau 9
19 novembre 2021 à 18:54:37

Le 19 novembre 2021 à 17:42:39 :

Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :
Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

Le sujet scientifique n'est pas complexe, il est inexistant.

La dysphasie de genre est une maladie mentale qui doit être soignée et non encouragée.

Pseudo supprimé
Niveau 9
19 novembre 2021 à 19:01:14

Le 19 novembre 2021 à 18:54:37 :

Le 19 novembre 2021 à 17:42:39 :

Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :
Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

Le sujet scientifique n'est pas complexe, il est inexistant.

La dysphasie de genre est une maladie mentale qui doit être soignée et non encouragée.

Un trouble mental incurable.
Ce n'est pas à coup de psychothérapies que tu vas pouvoir soigner un truc qui prend racines dans des anomalies congénitales.

Mais je partage l'avis de Litchi à ce propos. Tâchons bien de distinguer ce qui relève d'un caprice et ce qui relève d'un vrai trouble mental handicapant.

turlu-lulu
Niveau 9
19 novembre 2021 à 20:43:26

Le 19 novembre 2021 à 19:01:14 :

Le 19 novembre 2021 à 18:54:37 :

Le 19 novembre 2021 à 17:42:39 :

Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :
Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

Le sujet scientifique n'est pas complexe, il est inexistant.

La dysphasie de genre est une maladie mentale qui doit être soignée et non encouragée.

Un trouble mental incurable.
Ce n'est pas à coup de psychothérapies que tu vas pouvoir soigner un truc qui prend racines dans des anomalies congénitales.

Mais je partage l'avis de Litchi à ce propos. Tâchons bien de distinguer ce qui relève d'un caprice et ce qui relève d'un vrai trouble mental handicapant.

Mais, même incurable...

Certains troubles de la personnalité dissociative sont incurables (A LHEURE ACTUELLE, precisons-le) et le sujet voit leurs personnalité apparaître : est-ce à la société de se mettre à les respecter en laissant des chaises vides pour eux et en parlant à leur illusion ? Ou à eux d'être enfermés pour leur bien comme le notre ?

[Macrolatre]
Niveau 10
19 novembre 2021 à 20:56:41

Le 19 novembre 2021 à 20:43:26 :

Le 19 novembre 2021 à 19:01:14 :

Le 19 novembre 2021 à 18:54:37 :

Le 19 novembre 2021 à 17:42:39 :

Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :
Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

Le sujet scientifique n'est pas complexe, il est inexistant.

La dysphasie de genre est une maladie mentale qui doit être soignée et non encouragée.

Un trouble mental incurable.
Ce n'est pas à coup de psychothérapies que tu vas pouvoir soigner un truc qui prend racines dans des anomalies congénitales.

Mais je partage l'avis de Litchi à ce propos. Tâchons bien de distinguer ce qui relève d'un caprice et ce qui relève d'un vrai trouble mental handicapant.

Mais, même incurable...

Certains troubles de la personnalité dissociative sont incurables (A LHEURE ACTUELLE, precisons-le) et le sujet voit leurs personnalité apparaître : est-ce à la société de se mettre à les respecter en laissant des chaises vides pour eux et en parlant à leur illusion ? Ou à eux d'être enfermés pour leur bien comme le notre ?

Beaucoup de troubles mentaux sont incurables.
Il est de nôtre devoir de maximiser le bonheur social pour tous. C'est le but que s'est assignée idéalement la politique puisque par définition la politique c'est veiller au bien-être de la société, en général.
Les trans ne me gênent pas tant qu'ils sont discrets et ne banalisent le phénomène de changement de sexe

[Macrolatre]
Niveau 10
19 novembre 2021 à 20:59:16

Après si t'es pas content tu peux aller vivre dans un pays appliquant la charia.
Tout dépend de la volonté du peuple français. Si la majorité accepte les trans ou pas.

turlu-lulu
Niveau 9
19 novembre 2021 à 22:02:43

Le 19 novembre 2021 à 20:56:41 :

Le 19 novembre 2021 à 20:43:26 :

Le 19 novembre 2021 à 19:01:14 :

Le 19 novembre 2021 à 18:54:37 :

Le 19 novembre 2021 à 17:42:39 :

> Le 19 novembre 2021 à 14:22:32 :

>Je ne nie pas l'existence de la dysphorie, mais c'est une maladie justement, un trouble mental. Va-t-on, pour soigner quelqu'un qui pense être un éléphant, l'inciter à se faire greffer une trompe ? Non, et d'autant moins si c'est un enfant. Dieu sait à quel point les enfants se construisent par des crises et des névroses, mais ce n'est pas une raison pour y céder ou les encourager, au contraire. Il vaudrait mieux s'attaquer aux causes profondes du désir de changement de sexe : exprime-t-il un besoin de plaire, un besoin d'attention, de reconnaissance, etc. D'ailleurs allons-y mollo sur le diagnostic, c'est pas parce qu'un garçon joue à la dînette (ce qui était mon cas) qu'il est forcément mal dans sa peau et souhaite devenir une fille.

>

> Je tiens à préciser par contre que l'objet de mon petit texte satirique n'est pas le transgenre, mais le non-binaire, celui qui croit être au-dessus de toute détermination biologique.

Je ne pense pas, ton message le montre bien, qu'on puisse élever notre discussion au-delà d'un dialogue de café du commerce où des non-spécialistes parlent d'un sujet scientifique hautement complexe.

Le sujet scientifique n'est pas complexe, il est inexistant.

La dysphasie de genre est une maladie mentale qui doit être soignée et non encouragée.

Un trouble mental incurable.
Ce n'est pas à coup de psychothérapies que tu vas pouvoir soigner un truc qui prend racines dans des anomalies congénitales.

Mais je partage l'avis de Litchi à ce propos. Tâchons bien de distinguer ce qui relève d'un caprice et ce qui relève d'un vrai trouble mental handicapant.

Mais, même incurable...

Certains troubles de la personnalité dissociative sont incurables (A LHEURE ACTUELLE, precisons-le) et le sujet voit leurs personnalité apparaître : est-ce à la société de se mettre à les respecter en laissant des chaises vides pour eux et en parlant à leur illusion ? Ou à eux d'être enfermés pour leur bien comme le notre ?

Beaucoup de troubles mentaux sont incurables.
Il est de nôtre devoir de maximiser le bonheur social pour tous. C'est le but que s'est assignée idéalement la politique puisque par définition la politique c'est veiller au bien-être de la société, en général.
Les trans ne me gênent pas tant qu'ils sont discrets et ne banalisent le phénomène de changement de sexe

Et chercher à autoriser les opérations de changement de sexe sur des mineurs c'est le bonheur pour tous ? Chercher à imposer l'usage de iel au monde entier pour satisfaire 3 déviants c'est ça aussi ?

Le "pour tous" signifie que le plus grand bien prévaut sur la minorité.

En France c'est l'inverse depuis 30-40 ans.

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Sujet : L'orgueil des "non-genrés" qui veulent se faire appeler "iel"
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