Le 03 octobre 2024 à 13:43:39 :
Le 03 octobre 2024 à 10:52:56 :
Les ouvriers font intégralement partie du prolétariat, ils ne peuvent s'en exclure. Si le prolétariat se définissait comme la part de la population qui adhère aux idées marxistes, il finirait par en devenir la bourgeoisie.Ca n'existe pas le prolétariat. C'est un concept marxiste sans queue ni tête. Mon père est né ouvrier, il a 4 restaurants, tu vas dire qu'il est prolétaire ?
Né ouvrier ? Qu'est-ce que tu racontes pélo personne naît ouvrier, et je te garantis que ton père est pas ouvrier avec 4 restaurants.
Le 03 octobre 2024 à 13:55:48 :
Le 03 octobre 2024 à 10:52:56 :
Les ouvriers font intégralement partie du prolétariat, ils ne peuvent s'en exclure. Si le prolétariat se définissait comme la part de la population qui adhère aux idées marxistes, il finirait par en devenir la bourgeoisie.Les prolétaires n'ont jamais attendu marx pour se révolter contre leurs conditions d'exploitation
Oui merci c'est ce que je t'explique, le prolétariat n'a jamais eu de réel rapport avec Marx.
Marx n'a fait que décrire et analyser la réalité factuelle de son époque
Et distingue le prolétariat de la masse ouvrière
C'est pas le cas du terme "prolétaire". Il n'est différent du terme "classe ouvrière" qu'en ce qu'il désigne une couche plus large que celle des ouvriers, mais "prolétaire" ne renvoie aucunement dans sa définition à l'obéissance à l'idéologie marxiste.
justement parce qu'elle prend conscience de sa condition et s'organise pour la changer
Non. Il faudrait revoir et tes définitions, et ton étymologie.
Voilà pourquoi c'est le prolétariat la classe révolutionnaire
Le prolétariat n'est rien du tout de ce genre en soi, c'est Marx le bourgeois qui tweak en racontant de la merde comme à son habitude
Le 03 octobre 2024 à 14:08:37 :
Le 03 octobre 2024 à 13:43:39 :
Le 03 octobre 2024 à 10:52:56 :
Les ouvriers font intégralement partie du prolétariat, ils ne peuvent s'en exclure. Si le prolétariat se définissait comme la part de la population qui adhère aux idées marxistes, il finirait par en devenir la bourgeoisie.Ca n'existe pas le prolétariat. C'est un concept marxiste sans queue ni tête. Mon père est né ouvrier, il a 4 restaurants, tu vas dire qu'il est prolétaire ?
Né ouvrier ? Qu'est-ce que tu racontes pélo personne naît ouvrier, et je te garantis que ton père est pas ouvrier avec 4 restaurants.
C'est justement la preuve que le prolétariat n'existe pas. On peut passer d'ouvrier à chef d'entreprise. C'est une question d'intelligence et d'entreprenariat
Oui merci c'est ce que je t'explique, le prolétariat n'a jamais eu de réel rapport avec Marx.
Marx a été au contact du prolétariat pendant toute son existence contrairement à toi
C'est pas le cas du terme "prolétaire". Il n'est différent du terme "classe ouvrière" qu'en ce qu'il désigne une couche plus large que celle des ouvriers, mais "prolétaire" ne renvoie aucunement dans sa définition à l'obéissance à l'idéologie marxiste.
Il est différent du terme "classe ouvrière"
Sans quoi il aurait juste parlé des ouvriers sans rajouter le terme "prolétaire"
Non. Il faudrait revoir et tes définitions, et ton étymologie.
Je connais mes définitions contrairement à toi qui parle de marx sans rien connaitre de lui
Le prolétariat n'est rien du tout de ce genre en soi, c'est Marx le bourgeois qui tweak en racontant de la merde comme à son habitude
Le prolétariat est la classe révolutionnaire
puisqu'il est la partie des ouvriers qui entre en lutte contre son exploitation par les bourgeois
Et marx a été chassé par les gouvernements bourgeois d'allemagne, de france et de belgique
avant de se réfugier en angleterre où il a vécu dans des conditions de misère extrêmes
Tu sais juste pas de quoi tu parles
Le 03 octobre 2024 à 13:41:54 :
Salut Oppenheimer,Le "publique" de "res publica" est un terme qui ne fait aucune distinction entre les plébéiens et les patriciens
D'où la nuance que j'évoque qui, elle, permet de faire la distinction entre les uns et les autres
Mais... publique c'est le peuple... la plèbe c'est le bas peuple... les patriciens c'est la noblesse, le "haut peuple"...
Non Oppeinheimer,
C'est justement toi qui confond tout en parlant de Rome d'un seul bloc sans prendre en compte les différentes phases de son évolution réelle et historique
Et qui surtout semble ignorer l'immense influence qu'ont eu les Grecs sur les Romains
Non seulement, les romains parlent bien de tyrans, mais il y a même carrément toute une période de la tyrannie romaine où ils vont exercer le pouvoir sur la quasi totalité du VIème siècle avant JC, en contrecarrant le pouvoir des patres (les patriarches des grandes familles nobles patriciennes) à Rome
https://books.openedition.org/pur/4674?lang=fr
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trente_Tyrans_(Rome)C'est par exemple le cas de Servius Tullius, qui était en réalité un chef de guerre étrusque, quand il institue le cens, ce qui permet de casser l'organisation clanique des curies sur lesquels les patres asseyaient toute leur domination
https://fr.wikipedia.org/wiki/Servius_Tullius
Tu confonds tout de tout.............. arghhhh !!!!
tyran est un mot grec, pas latin.
Les 30 tyrans dont tu parles sont les 30 usurpateurs... pas tyrans...
et puis lis tes sources eu lieu de les citer... arghhhhh !!!!
et ces 30 là ne sont pas tellement appelés tyrans mais les 30 tout court car en réalité ils n'étaient pas des tyrans, mais des magistrats... et ils ne régnaient pas seuls mais à 30 justement ce qui en faisait un régime oligarchique et non tyrannique.
Servius Tullius était un roi pas un tyran... c'était un bon roi. Le mauvais roi, c'est Tarquin le Superbe, son successeur.
Non Oppenheimer,
La république est justement la phase où la classe des grands propriétaires terriens, les patriciens, réussit à chasser les tyrans pour reprendre les rênes du pouvoir.
Elle renverse la monarchie timocratique des tyrans, qui eux-mêmes avaient renversés la monarchie élective des patriciens
S'ils abandonnent la monarchie pour la république, c'est simplement pour éviter qu'une des grandes familles patriciennes ne prennent le pas sur les autres, et ne reprennent la cause de la plèbe
La république à Rome n'a donc jamais atteint le stade de la démocratie, contrairement à Athènes
Comme on peut le voir avec les tribuns de la plèbe, qui en définitive, ne font que plaider la cause du peuple auprès de ceux qui ont le pouvoir, les patriciens
Mais tu es fatigant à la fin.... République veut dire chose du peuple... c'est tout.
Oui la république romaine n'a pas la même dimension que la démocratie athénienne, mais il n'en demeure pas moins qu'elle se fait au nom du peuple... et c'est bien pour ça que l'empire finit par triompher, parce qu'il prétend satisfaire les désirs du peuple ('du pain et des jeux' etc).
Le 03 octobre 2024 à 14:31:16 :
Oui merci c'est ce que je t'explique, le prolétariat n'a jamais eu de réel rapport avec Marx.
Marx a été au contact du prolétariat pendant toute son existence contrairement à toi
Ouais via ses dividendes
C'est pas le cas du terme "prolétaire". Il n'est différent du terme "classe ouvrière" qu'en ce qu'il désigne une couche plus large que celle des ouvriers, mais "prolétaire" ne renvoie aucunement dans sa définition à l'obéissance à l'idéologie marxiste.
Il est différent du terme "classe ouvrière"
Sans quoi il aurait juste parlé des ouvriers sans rajouter le terme "prolétaire"
Non sequitur.
Non. Il faudrait revoir et tes définitions, et ton étymologie.
Je connais mes définitions contrairement à toi qui parle de marx sans rien connaitre de lui
Tu ne formules pas d'argument ici
Le prolétariat n'est rien du tout de ce genre en soi, c'est Marx le bourgeois qui tweak en racontant de la merde comme à son habitude
Le prolétariat est la classe révolutionnaire
puisqu'il est la partie des ouvriers qui entre en lutte contre son exploitation par les bourgeois
Pétition de principe. "X parce que X". Réveille-toi même pour un troll c'est faible.
Et marx a été chassé par les gouvernements bourgeois d'allemagne, de france et de belgique
avant de se réfugier en angleterre où il a vécu dans des conditions de misère extrêmes
ça devait être une sacrée misère pour qu'il ait jamais eu à mettre les pieds dans un taff manuel. Un misérable de fauteuil en velours
Le 03 octobre 2024 à 15:02:34 :
Le 03 octobre 2024 à 14:31:16 :
Oui merci c'est ce que je t'explique, le prolétariat n'a jamais eu de réel rapport avec Marx.
Marx a été au contact du prolétariat pendant toute son existence contrairement à toi
Ouais via ses dividendes
C'est pas le cas du terme "prolétaire". Il n'est différent du terme "classe ouvrière" qu'en ce qu'il désigne une couche plus large que celle des ouvriers, mais "prolétaire" ne renvoie aucunement dans sa définition à l'obéissance à l'idéologie marxiste.
Il est différent du terme "classe ouvrière"
Sans quoi il aurait juste parlé des ouvriers sans rajouter le terme "prolétaire"Non sequitur.
Non. Il faudrait revoir et tes définitions, et ton étymologie.
Je connais mes définitions contrairement à toi qui parle de marx sans rien connaitre de lui
Tu ne formules pas d'argument ici
Le prolétariat n'est rien du tout de ce genre en soi, c'est Marx le bourgeois qui tweak en racontant de la merde comme à son habitude
Le prolétariat est la classe révolutionnaire
puisqu'il est la partie des ouvriers qui entre en lutte contre son exploitation par les bourgeoisPétition de principe. "X parce que X". Réveille-toi même pour un troll c'est faible.
Et marx a été chassé par les gouvernements bourgeois d'allemagne, de france et de belgique
avant de se réfugier en angleterre où il a vécu dans des conditions de misère extrêmesça devait être une sacrée misère pour qu'il ait jamais eu à mettre les pieds dans un taff manuel. Un misérable de fauteuil en velours
il est evident que Marx ne se trouve ni dans la catégorie des bourgeois, ni des prolétaire. Il s'agit d'une chimère immonde qui se trouve a cheval entre les deux. Si l'on devait le categoriser, il ferait parti de la petite-bourgeoisie. Une proto-classe qui partage quelques caractéristiques de l'un et de l'autre. Il ne travaillait pas dans des conditions d'exploitation ni ne vendait sa force de travail pour un salaire. Il était un intellectuel, un penseur, et il a passé la majeure partie de sa vie à écrire et à théoriser, plutôt qu'à exercer un travail salarial
Ensuite sombre desco, la lutte des classes ne renvoie pas à l'idée d'une opposition directe, frontale, sous forme de confrontation, mais une simple assymetrie d'intérêts de classe dans la répartition du pouvoir politique et économique. où les uns vivraient par le travail des autres dans des relations conflictuelles liés à une société de concurrence intense, entre les parasites, et les travailleurs entre eux, dans des rapports sociaux specifiques au Capitalisme.
Mais... publique c'est le peuple... la plèbe c'est le bas peuple... les patriciens c'est la noblesse, le "haut peuple"...
Re-salut Oppenheimer,
C'est bien pour ça qu'il faut distinguer les deux
Les nobles patriciens, grands propriétaires terriens, s'opposent politiquement aux plébéiens qui sont constitués de l'ensemble des paysans, artisans et ouvriers qui sont privés de droits politiques par ceux là.
La première phase de la monarchie, jusqu'à l'arrivée de la tyrannie romaine, élective et aristocratique, tenait à l'écart les plébéiens qui apparaissent progressivement avec le développement de Rome
Tu confonds tout de tout.............. arghhhh !!!!
tyran est un mot grec, pas latin.
Les 30 tyrans dont tu parles sont les 30 usurpateurs... pas tyrans...
Non, je t'assure que c'est bien toi qui confond tout
Comme on le voit quand tu t'amuses à essayer de faire comme si les romains n'avaient pas calqué énormément de choses sur les grecs, comme leurs dieux ou leurs mythes
et puis lis tes sources eu lieu de les citer... arghhhhh !!!!
et ces 30 là ne sont pas tellement appelés tyrans mais les 30 tout court car en réalité ils n'étaient pas des tyrans, mais des magistrats... et ils ne régnaient pas seuls mais à 30 justement ce qui en faisait un régime oligarchique et non tyrannique.
Si je te les ai donné, c'est pour que toi tu les lises
Mes sources invoquent bien l'existence de tyrans à Rome, mais aussi l'emploi courant de ce terme par les romains, comme en témoigne le livre de Trébellius Pollion qu'il intitule les Trente Tyrans
" C’est à la faveur des tragédies grecques jouées ou lues à Rome que la figure du tyran devint populaire et s’introduisit à la fois dans les récits historiques et dans le langage politique : l’intrusion de l’invective de tyrannus dans le vocabulaire polémique du temps ; la disqualification des ennemis que l’on présente soumis à l’animalité et au furor ; la place décisive attribuée au corps dans la métaphore politique. Autant de thèmes qui, tout en s’enracinant dans la pensée grecque, subirent des déplacements, des transferts, des glissements liés aux nécessités de la société romaine : le discours sur l’impie fut, en effet, détaché du contexte de la royauté et de la tyrannie grecques et appliqué aux données objectives de l’histoire romaine.
A la lecture de celles ci, on voit parfaitement que la connotation négative accolée au terme de "tyran" émane bien de la classe patricienne, et non pas de la classe plébéienne
Le sens du mot a donc bien été vidé de sa substance par le régime
Mais tu es fatigant à la fin.... République veut dire chose du peuple... c'est tout.
Non, c'est juste toi qui cherche à t'accrocher à de vieilles croyances issues de la propagande patricienne, alors que moi je te parle de ce que l'on sait désormais grâce au travaux archéologiques et universitaires
L’avènement de la république marque en réalité une véritable régression sociale pour les classes plébéiennes
Oui la république romaine n'a pas la même dimension que la démocratie athénienne, mais il n'en demeure pas moins qu'elle se fait au nom du peuple... et c'est bien pour ça que l'empire finit par triompher, parce qu'il prétend satisfaire les désirs du peuple ('du pain et des jeux' etc).
Elle n'a jamais été une démocratie
Les deux ont été assimilés, à tort, et par pure démagogie, uniquement à partir du XIXème siècle, comme l'explique remarquablement bien par exemple, le chercheur universitaire franco-canadien Francis Dupuis-Déri
https://youtu.be/KVW5ogGDlts?si=YTIeIHMf5N1AMHGi
Le 03 octobre 2024 à 16:09:39 :
Mais... publique c'est le peuple... la plèbe c'est le bas peuple... les patriciens c'est la noblesse, le "haut peuple"...
Re-salut Oppenheimer,
C'est bien pour ça qu'il faut distinguer les deux
Les nobles patriciens, grands propriétaires terriens, s'opposent politiquement aux plébéiens qui sont constitués de l'ensemble des paysans, artisans et ouvriers qui sont privés de droits politiques par ceux là.
La première phase de la monarchie, jusqu'à l'arrivée de la tyrannie romaine, élective et aristocratique, tenait à l'écart les plébéiens qui apparaissent progressivement avec le développement de RomeTu confonds tout de tout.............. arghhhh !!!!
tyran est un mot grec, pas latin.
Les 30 tyrans dont tu parles sont les 30 usurpateurs... pas tyrans...Non, je t'assure que c'est bien toi qui confond tout
Comme on le voit quand tu t'amuses à essayer de faire comme si les romains n'avaient pas calqué énormément de choses sur les grecs, comme leurs dieux ou leurs mythes
et puis lis tes sources eu lieu de les citer... arghhhhh !!!!
et ces 30 là ne sont pas tellement appelés tyrans mais les 30 tout court car en réalité ils n'étaient pas des tyrans, mais des magistrats... et ils ne régnaient pas seuls mais à 30 justement ce qui en faisait un régime oligarchique et non tyrannique.Si je te les ai donné, c'est pour que toi tu les lises
Mes sources invoquent bien l'existence de tyrans à Rome, mais aussi l'emploi courant de ce terme par les romains, comme en témoigne le livre de Trébellius Pollion qu'il intitule les Trente Tyrans
" C’est à la faveur des tragédies grecques jouées ou lues à Rome que la figure du tyran devint populaire et s’introduisit à la fois dans les récits historiques et dans le langage politique : l’intrusion de l’invective de tyrannus dans le vocabulaire polémique du temps ; la disqualification des ennemis que l’on présente soumis à l’animalité et au furor ; la place décisive attribuée au corps dans la métaphore politique. Autant de thèmes qui, tout en s’enracinant dans la pensée grecque, subirent des déplacements, des transferts, des glissements liés aux nécessités de la société romaine : le discours sur l’impie fut, en effet, détaché du contexte de la royauté et de la tyrannie grecques et appliqué aux données objectives de l’histoire romaine.
A la lecture de celles ci, on voit parfaitement que la connotation négative accolée au terme de "tyran" émane bien de la classe patricienne, et non pas de la classe plébéienne
Le sens du mot a donc bien été vidé de sa substance par le régime
Mais tu es fatigant à la fin.... République veut dire chose du peuple... c'est tout.
Non, c'est juste toi qui cherche à t'accrocher à de vieilles croyances issues de la propagande patricienne, alors que moi je te parle de ce que l'on sait désormais grâce au travaux archéologiques et universitaires
L’avènement de la république marque en réalité une véritable régression sociale pour les classes plébéiennes
Oui la république romaine n'a pas la même dimension que la démocratie athénienne, mais il n'en demeure pas moins qu'elle se fait au nom du peuple... et c'est bien pour ça que l'empire finit par triompher, parce qu'il prétend satisfaire les désirs du peuple ('du pain et des jeux' etc).
Elle n'a jamais été une démocratie
Les deux ont été assimilés, à tort, et par pure démagogie, uniquement à partir du XIXème siècle, comme l'explique remarquablement bien par exemple, le chercheur universitaire franco-canadien Francis Dupuis-Déri
https://youtu.be/KVW5ogGDlts?si=YTIeIHMf5N1AMHGi
les "tyrans" dont tu parles sont en réalité des "usurpateurs".
arrête de te fatiguer pour rien...
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.
Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
Avec la mondialisation, l'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/lesclavage-touche-encore-50-millions-de-personnes-dans-le-monde-1787298
Force est de constater que l'immense majorité des prolétaires ne vivent pas dans des pays occidentaux. Si vous voulez lutter pour le droit du travail, et contre l'exploitation et l'esclavage, il faut stopper les flux, arrêter la mondialisation, et relocaliser nos industries en France.
Force est de constater que l'ouvrier vivant en Asie est plus attractif pour les multinationales que l'ouvrier français. Résultat, on se retrouve avec du chômage et de la précarité, alors que le niveau de vie de nos classes moyennes stagne.
Le 03 octobre 2024 à 16:59:06 :
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Tout à fait. Force est de constater cependant qu'ils sont bien moins nombreux, et ne travaillent pas dans les mêmes conditions que des ouvriers il y'a 100 ans en Europe. L'exploitation s'est délocalisée encore une fois, avec la mondialisation.
Le 03 octobre 2024 à 15:02:34 :
Le 03 octobre 2024 à 14:31:16 :
Oui merci c'est ce que je t'explique, le prolétariat n'a jamais eu de réel rapport avec Marx.
Marx a été au contact du prolétariat pendant toute son existence contrairement à toi
Ouais via ses dividendes
Quels dividendes ?
Ceux du capital ?
Alors qu'il l'a même pas achevé de son vivant ?
C'est pas le cas du terme "prolétaire". Il n'est différent du terme "classe ouvrière" qu'en ce qu'il désigne une couche plus large que celle des ouvriers, mais "prolétaire" ne renvoie aucunement dans sa définition à l'obéissance à l'idéologie marxiste.
Il est différent du terme "classe ouvrière"
Sans quoi il aurait juste parlé des ouvriers sans rajouter le terme "prolétaire"Non sequitur.
Full sequitur
Un ouvrier servile ne mène aucunement la lutte des classes
C'est pour ça qu'il le distingue du prolétaire qui lui entre dans la lutte
Ce ne sont pas des catégories fixes
mais des catégories actives qui s'objectivisent dans la lutte
Non. Il faudrait revoir et tes définitions, et ton étymologie.
Je connais mes définitions contrairement à toi qui parle de marx sans rien connaitre de lui
Tu ne formules pas d'argument ici
Si je donne pour argument que tu comprends pas de quoi tu parles
Le prolétariat n'est rien du tout de ce genre en soi, c'est Marx le bourgeois qui tweak en racontant de la merde comme à son habitude
Le prolétariat est la classe révolutionnaire
puisqu'il est la partie des ouvriers qui entre en lutte contre son exploitation par les bourgeoisPétition de principe. "X parce que X". Réveille-toi même pour un troll c'est faible.
Ce n'est ni un troll ni une pétition de principe
Juste l'explication logique qui montre que ouvrier =/= prolétaire
Il explique dans le manifeste que mm 1 partie de la classe dominante peut être jeté ds le prolétariat
Et marx a été chassé par les gouvernements bourgeois d'allemagne, de france et de belgique
avant de se réfugier en angleterre où il a vécu dans des conditions de misère extrêmesça devait être une sacrée misère pour qu'il ait jamais eu à mettre les pieds dans un taff manuel. Un misérable de fauteuil en velours
Le prolétariat ne se définit pas par le travail manuel
Mais par la nécessité pour vivre de vendre sa force de travail
Il était en parallèle journaliste recevant salaire contre ses articles
Va plutôt le lire que de raconter n'importe quoi
Il etait surtout entretenue par Engels, qui, lui etait bourgeois. En travaillant dans une usine appartenant à sa famille. Et qui, au font, n'etait pas contraint
Marx ne se trouvait par conséquen pas lui-même dans la contrainte de travailler.
Le fait de travailler pour quelqu'un ne constitue pas le seul critère. De même qu'un bourgeois qui tombe volontairement pour x raison dans le salariat, ne tombe pas dans la proletude mais se situe toujours dans sa classe bourgeoise.
Du reste, le metier de Marx etait autonome. Loin du classique journaliste travaillant pour une industrie de l'information
Il vendait ses travaux aux entreprises de presse. C'est assez différent du salarié classique d'une entreprise qui bosse sous des directives strictes de sa hiérarchie.
Le 03 octobre 2024 à 17:03:18 :
Le 03 octobre 2024 à 16:59:06 :
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Tout à fait. Force est de constater cependant qu'ils sont bien moins nombreux, et ne travaillent pas dans les mêmes conditions que des ouvriers il y'a 100 ans en Europe. L'exploitation s'est délocalisée encore une fois, avec la mondialisation.
parce que les ouvriers en France ne sont pas exploités ?
t'es pas ouvrier toi
Le 03 octobre 2024 à 19:40:49 :
Le 03 octobre 2024 à 17:03:18 :
Le 03 octobre 2024 à 16:59:06 :
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Tout à fait. Force est de constater cependant qu'ils sont bien moins nombreux, et ne travaillent pas dans les mêmes conditions que des ouvriers il y'a 100 ans en Europe. L'exploitation s'est délocalisée encore une fois, avec la mondialisation.
parce que les ouvriers en France ne sont pas exploités ?
t'es pas ouvrier toi
Je dit surtout que l'essentiel de l'exploitation s'est délocalisée dans les pays émergents, où la main d'œuvre coute moins cher, et où les conditions de travail sont indescriptibles. Tu ne peut pas le nier.
Et oui, nous vivons bien mieux en Occident aujourd'hui.
Le 03 octobre 2024 à 19:40:49 :
Le 03 octobre 2024 à 17:03:18 :
Le 03 octobre 2024 à 16:59:06 :
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Tout à fait. Force est de constater cependant qu'ils sont bien moins nombreux, et ne travaillent pas dans les mêmes conditions que des ouvriers il y'a 100 ans en Europe. L'exploitation s'est délocalisée encore une fois, avec la mondialisation.
parce que les ouvriers en France ne sont pas exploités ?
t'es pas ouvrier toi
Il est de gauche. Son arsenal idéologique tout entier consiste à haïr l'occident et ses ressortissants, particulièrement les ouvriers. Il niera toujours leur condition au profit des étrangers
Le 03 octobre 2024 à 19:47:21 :
Le 03 octobre 2024 à 19:40:49 :
Le 03 octobre 2024 à 17:03:18 :
Le 03 octobre 2024 à 16:59:06 :
Le 03 octobre 2024 à 16:55:19 :
Je rajoute un élément de compréhension pour développer. Il ne fait aucun doute, aujourd'hui, à l'heure où nos entreprises vont s'installer aux quatre coins du globe, provoquant chômage et précarité dans nos sociétés, que l'exploitation a changée de forme aujourd'hui.Les prolétaires d'hier étaient les ouvriers européens du XIXe-XXe siècle, les nouveaux prolétaires sont les artisans et travailleurs dans les pays émergents, exploités par des multinationales.
Ainsi, le prolétaire d'aujourd'hui, est le plus souvent un enfant Indonésien travaillant dans des cultures d'huile de palme, un ouvrier Chinois travaillant dans l'immobilier, un immigré Pakistanais où Indien exploité dans des pays du golfe, où encore un travailleur Congolais traité comme un esclave dans des mines de Cobalt, tous travaillant pour des multinationales. Lorsqu'ils se rebellent, les régimes autoritaires en place font généralement le travail, comme les répressions d'émeutes ouvrières dans l'Europe du XIXe siècle.
L'exploitation a changée de forme, de visage, et traverse désormais les frontières :
il ya des ouvriers en france...
Tout à fait. Force est de constater cependant qu'ils sont bien moins nombreux, et ne travaillent pas dans les mêmes conditions que des ouvriers il y'a 100 ans en Europe. L'exploitation s'est délocalisée encore une fois, avec la mondialisation.
parce que les ouvriers en France ne sont pas exploités ?
t'es pas ouvrier toi
Il est de gauche. Son arsenal idéologique tout entier consiste à haïr l'occident et ses ressortissants, particulièrement les ouvriers. Il niera toujours leur condition au profit des étrangers
De quoi tu me parle ? C'est un fait avéré, depuis que la république populaire de Chine a rejoint l'organisation mondiale du commerce, et le début de la mondialisation vers les années 80.
Rien à voir avec tes délires d'extrême droite ethnicistes.