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Sujet : [Ecrits & Critiques] "Un trajet qui me hante" et critiques littéraires
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Steve-Chuck88
Niveau 4
30 novembre 2021 à 09:51:09

Bonjour,

J'ai pour ambition de travailler sur des domaines où l'écriture est primordiale, et qui englobe plusieurs champs.. (Vidéo, Littéraire, Critique..) J'y songe depuis tout petit, notamment la publication de mes histoires, sans jamais trop oser m'y mettre franchement.. La peur de perdre mon temps, le fait que j'ai un travail peu rémunéré et un foyer à maintenir.. ​

Mais maintenant, à 26 ans, j'ai vraiment envie de changer tout ça, c'est pourquoi j'aimerais vous soumettre quelques-unes de mes productions.. Soyez franc, n'hésiter pas à me dire ce qui cloche, ce qui pourrait être amélioré, je prends tout :-) . Notamment sur les fautes de grammaire ou d'orthographe.. dont j'ai grand honte :honte:

Mes critiques littéraires :

Je les postes ici : https://www.babelio.com/monprofil.php
Puis en partie ici (avec mes avis série télévisée bien moins travaillée.. ) : https://www.instagram.com/josephalexianheartfire/

Un extrait de l'une d'entres-elles :

• « The Remnant Chronicles, tome 1 : The Kiss of Deception » de Mary E. Pearson, publié aux La Martinière Jeunesse .

• Ce roman m'a été offert à l'occasion d'un programme Masse Critique 2021 privilégié. Je profite donc de l'occasion pour remercier encore une fois Babelio pour ce programme, mais également les éditions La Martinière Jeunesse pour le don, en échange d'une critique, de ce roman.

• C'est le plus long des romans que j'ai pu recevoir par le biais des opérations en partenariats avec Babelio, ce qui m'a au
départ fait longuement hésiter sur le fait d'accepter ou non cette proposition livresque. Aussi, j'avais peur de me retrouver
avec un roman trop rose bonbon, qui avait le potentiel de m'ennuyer.
Et bien finalement, ces plus de quatre-cent pages, presque cinq-cent, sont passer rapidement, et je ne regrette vraiment pas
d'avoir pu le lire !

• Heureusement pour moi, ce roman était très intéressant dans son récit, et bien que romantique, il offrait également bien d'autres
aspects. L'histoire d'une jeune princesse voulant être, à l'image de la femme d'aujourd'hui, forte et indépendante, refusant les conventions et traditions d'un monde vieillissant dans ses moeurs, n'est clairement pas ce qui va faire l'originalité du roman. Ce n'est pas non plus la romance étrangement facile entre la jeune femme et les deux garçons la traquant qui va nous étonner.

• Non, ce qui va faire toute la singularité de ce titre, c'est surtout sa narration particulière, un chapitre équivalent à la vision de l'un des trois personnages principaux, et l'ingéniosité de l'autrice à nous dissimuler plusieurs indices qui pourrait nous amener à deviner des éléments de l'intrigue à venir. Cette narration est l'occasion pour l'autrice de jouer avec notre réflexion et notre logique, il faut rester attentifs aux indices ! Aussi, le fait que le roman ai une vraie mythologie, une véritable Histoire laissant le champ libre à l'aventure, avec une thématique mettant en scène le célèbre et classique triangle amoureux que l'on retrouve depuis tant de décennies, le place dans une catégorie différente de ce que l'on aurait pu en attendre.

• Le mystère entourant notre courageuse aventurière est prenant, d'autant que les éclaircissements succincts sur le sujet laisse de plus en plus de place au questionnement.. On se surprend également à avoir de l'empathie pour un personnage qu'on ne devrait pas moralement plaindre étant donner son rôle, mais personnellement j'aime ce que j'appelle en général cette "main tendue de la seconde-chance", qui offre une véritable complexité à un personnage, lorsque celle-ci est bien faîtes.

• J'ai été véritablement scotcher de me voir tant accrocher et apprécier ma lecture. Je ne m'y attendais vraiment pas et c'est ce qui fait que j'ai mis autant de temps à rédiger cet avis. le personnage principale, Lia, bien que par moments m'exaspérait je dois l'avouer, à su me faire petit à petit changer d'avis et m'a convaincu de la suivre dans son voyage. J'ai également énormément apprécier les autres personnages, pour certains intrigants, pour d'autres attendrissants, parfois même les deux !

• Toutefois, ce premier tome des aventures d'une ex-princesse en quête d'indépendance n'est pas parfais en tout point. On pourra reprocher au roman des facilités scénaristiques flagrantes, bien trop présentes, et qui ternisse malheureusement l'immersion. Comme par hasard, un certain personnage tombe amoureux au premier regard.. mais l'autre personnage important de l'intrigue également ! D'autres problèmes se retrouvent également dans les pages du livre, comme le fait que nos fugitives puisses s'acheter des vêtements plutôt onéreux par rapport à la profession qu'elles exercent, et qui devrait logiquement interpeller. C'est dans beaucoup de ces détails que le récit perd en réalité et en profondeur, c'est vraiment dommage car le reste est véritablement enivrant..

• L'Histoire de ce monde imaginaire, ses traditions et ses croyances m'ont elles aussi captivées, et j'aurais apprécier en connaître encore davantage sur ces sujets. J'ai beaucoup souri à l'appellation de "Dieu du grain", faisant bien évidemment référence à l'acte de beuverie, et à l'innocence de notre jeune ex-princesse n'ayant pas compris l'allusion des autres femmes. Un humour léger et frais se dissimule également parfois dans ses pages.

• La couverture est très bien arrangée. Les couleurs, le lettrage ainsi que les éléments d'illustrations forme une harmonie chatoyante, lui offrant un aspect précieux, sophistiqué, royale.. La symbolique derrière chaque éléments se comprend au cours de la lecture du livre. C'est l'un des élément qui m'a pousser à accepter de recevoir ce livre.. comme quoi, une bonne couverture peut-être bon signe !

• Séduisant et intriguant, ce premier roman faisant suite à une autre série de l'autrice, nous donne envie de découvrir son oeuvre précédente pour en retrouver une qualité équivalente. Cette nouvelle histoire peut totalement se suivre sans en avoir lu la précédente, j'en suis la preuve vivante ! Ne vous laisser pas prendre par son aspect trop tendre, car ce roman vaut la peine d'être lu ! J'ai pu ressentir, tout au long de ses pages, le Don. ~

Steve-Chuck88
Niveau 4
30 novembre 2021 à 09:57:49

Et ici le premier chapitre d'une de mes histoires :

Un Trajet Qui Me Hante

-33 Ans-

Jeudi 25 Octobre - 23h15.

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Johanne soufflait enfin.
Ce travail va me tuée..
Elle se mit de tout son long sur sa chaise de bureau, faisant pivoter le siège sur le dos, tout en étirant ses jambes. Rentrer enfin à la maison pour se reposer allait lui faire le plus grand bien. Les réunions du comité administratif n’avaient cessé de se chevaucher depuis des semaines, la forçant à séjourner au Terrier du Lapin Blanc, un petit hôtel de Paris.. à plus de 127 kilomètres de son foyer !
Elle tria rapidement ses dossiers posés sur le bureau, les glissant dans des classeurs méthodiquement répertoriés qu’elle plaça dans le casier à sa droite. Peu importe qu’elle rentre tard, malgré sa fatigue, elle restait toujours très rigoureuse dans son travail et était très à cheval sur le rangement de son bureau. Jamais elle n’avait laissé son travail en plan ou n’avait rendu un dossier en retard, et ceux, peu importe les heures supplémentaires qu’elle devait ajoutée à son labeur. La plupart des gens lui reprochait régulièrement son attachement trop important à son travail, les membres de sa famille surtout. Elle savait qu’elle ratait de nombreux évènements de leurs vies, les tournois de ping-pong de son fils, les premiers pas de sa petite fille et elle ne saurait dire combien d’autre chose. Mais ce soir, elle tiendrait parole, Jacques et les enfants avaient beaucoup insistés, quoi qu’il arrive elle devait être présente pour fêter son anniversaire à la maison, avec sa famille.
Elle se mit malgré elle à sourire tristement.
Le seul évènement de l’année que je ne raterais pas et c’est celui qui me concerne moi..
Elle plaça le dernier dossier dans son emplacement libre, et verrouilla son bureau à clé. Elle remarqua un post-it vert collé à la porte.
« Joyeux Anniversaire Madame Bossebossebosse ! 
MK.»
Elle sourit et mit le papier dans sa poche.
Aaah ce vieux Max..
Elle se dirigea vers l’escalier donnant accès au parking.

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Jeudi 25 Octobre – 23h43

Satané ville, toujours pleine de bouchons et zéro circulation. Tout ces contrôles d’identités à chaque entrée et sortie sont une perte de temps..
Elle savait en réalité que l’attente dans cette ville, et dans presque toutes les autres du monde, n’était plus aussi longue qu’autrefois. Depuis quelques années, les progrès dans la technologie ont extraordinairement changé la vie de chaque homme et femme, apportant un confort et une praticité nouvelle au quotidien de tous. Certes, les intelligences artificielles n’étaient pas encore tout à fait parfaite, de nombreuses mises au point était encore à apporter, que ce soit au niveau de leurs capacités ou de leurs esthétiques. Souvent les machines ne pouvaient remplir qu’un nombre limités de tâches, de façon très correcte, voir même parfaitement exécutées pour une bonne partie, mais toujours limités à une intelligence mécanique qui ne remplacera sans doute jamais l’intelligence humaine, la conscience. Pour ce qui est de l’esthétique.. Les écrivains de science-fiction qui avaient de cela quelques années pensé à un futur remplie de robots ressemblant trait pour trait à des êtres humains.. seraient fortement déçus. Au départ, lorsque avait commencé l’effervescence de machines très performantes et largement en capacité de marche en société, deux camps s’opposèrent. D’un côté, les gens qui voulaient des IA avec de profonds attraits physique de l’homme pour faciliter rapidement son intégration dans notre monde, de l’autre, ceux à qui cette idée faisait peur, peur de briser la limite qui sépare l’homme de la machine. Après de nombreux débats, avec elle le reconnait, beaucoup de bons arguments des deux groupes, l’Union Européenne et les autres Etats décidèrent de mettre en place un vote. Jamais dans l’Histoire, une loi n’avait autant marquée les esprits. Après plusieurs années de débats incessants, les citoyens avaient enfin pu voter. L’Union Européenne avait voté la « Loi Jokra », du nom de l’inventeur du programme instauré dans chaque IA, Daniel Jokra, loi interdisant le rapprochement morphologique humain parfait aux machines, aussi appelé robot humanoïde parfait. D’autres Etats avaient choisi l’autre camp, provoquant un certain chamboulement dans le monde. L’utilisation et l’envoie de robots non conforme à la loi d’un Etat à un autre ayant été interdit et fortement puni.
Quand elle y pensait aujourd’hui, tout ces androïdes qu’elle croisait tout les jours dans son travail, dans les rues lui semblait tantôt normal, tantôt irréel. Cela était surement dû au fait que lorsque le premier robot à IA performante fût officialisé, elle avait déjà 20 ans. Elle n’était pas née avec cette technologie et avait dû s’y adapter, tout comme l’avait sans doute fait ses parents à l’époque où les premiers portables connectés étaient arrivés sur le marché..
Moi qui me moquait constamment d’eux.. qu’elle ironie, hein ?
Elle remarqua la voiture devant elle qui avançait enfin, sous le signe approbateur de l’androïde de signalement à rayure fluorescente sans visage, seul des substituts de yeux violet brillant désignait que sa face était tournée dans sa direction.
Elle avança sa voiture jusque la machine et ouvrit la vitre du côté conducteur de l’automobile pour présenter ses papiers. Celle-ci s’avança légèrement, baissant docilement sa face sur la carte d’authentification, révélant sous son œil gauche un petit écran verticale blanc où apparaissaient maintenant des lettres vertes formant le mot :

« A.N.A.L.Y.S.E_E.N_C.O.U.R.S. »

Après quelques secondes, le robot releva la tête et recula de quelques pas. Il la salua de façon mécanique.
Merci. Passez. Une. Bonne. Soirée. Madame. (avec plus de saccade) CAROLLE.
Johanne le remercia, referma sa vitre et roula vers la sortie. Au moment de passer celle-ci, elle se rendit compte de son étourderie.
Mais pourquoi est-ce que j’ai remercié cette chose moi ?
Elle se senti idiote, elle l’avait fait machinalement, sans réfléchir. Elle regarda l’heure et eu un sursaut. Elle se concentra sur son objectif et prit route.

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Vendredi 26 Octobre - 00h32.

Merde, merde, merde !!
Elle était presque sûre d’arriver en retard. Jacques avait bien spécifié qu’il ne faudrait pas traîner, il avait réservé un grand chalet entièrement équipée pour deux jours, samedi et dimanche, et ils devaient partir ce vendredi à quatre heures du matin pour pouvoir confirmer la réservation sur place. Le moindre retard et le propriétaire louerait à un autre client en attente, et sans remboursement.
Sans problème de circulation, il lui fallait environ trois heures et quart de route..sans bouchons, ni arrêts. Johanne essaya de reprendre son calme, respira longuement. Il fallait qu’elle trouve le meilleur itinéraire pour gagner du temps. L’autoroute semblait la solution rêvée mais elle avait le désavantage d’avoir démarré des travaux il y a quelques jours et elle ne savait pas si ceux-ci étaient terminés. Bien que rapide en général, ce chemin était le plus à risque d’arrêt impromptues.
Elle se décida à prendre les petites routes de campagnes.
J’espère vraiment que ce chemin ne me fera pas perdre trop de temps..
Elle traversa une route cahoteuse qui débouchait sur un lieu-dit, débouchant sur un autre, puis sur un village, puis sur une petite route dégagée. Elle eu un instant de rêverie, regardant par la vitre les clairières sombres où l’ont devinait la présence de petits êtres rapides et agiles, se cachant des regards indiscrets. Elle se senti nostalgique de ces vieilles années où elle pouvait encore se permettre de gambader en forêt avec Jacques et le petit Steve, qui s’émerveillait à chaque cadeau qu’offrait la nature à ses yeux. Tout sa, ce n’était plus possible aujourd’hui. Le Travail avant tout.
Elle reprit ses esprits et profita de l’occasion pour accélérer grandement sa vitesse, dépassant rapidement les quatre-vingt dix kilomètres heures. Le paysage environnant commençait à devenir moins clair, plus difforme dans la sombre campagne. Les arbres et les petits animaux disparaissaient sous les coups d’accélérateurs. Les souvenirs s’estompaient.

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Vendredi 26 Octobre – 03h24

Mais bordel, c’est quoi cette route ??
Elle se sentait fatiguée et commençait à s’énervée contre la nouvelle route qu’elle venait d’emprunter, mais surtout elle s’acharnait envers elle-même.
Mais quelle idée de conne j’ai eu de prendre ce genre de route !
Après un détour ennuyeux dû à une mauvaise signalisation, elle avait perdu déjà douze bonnes minutes, s’ajoutant à cela cette nouvelle et terrible route. Au milieu d’une forêt, séparée par deux rangées d’arbres massifs ne laissant entrevoir aucune lumière. Le ciel étant sombre, seul les phares de la Clio éclairaient la petite route. A cause de tout sa, elle avait dû ralentir alors que le temps qu’il lui restait ne le permettait pas.
Mais quel enfer !!
La route empirait au fil de son avancée, elle partait en forme de zigzags confus, ralentissant encore sa vitesse de quelques kilomètres-heures.
Elle pensa encore une fois à Jacques, les enfants et toute sa famille qui comptait sur elle pour être présente. Elle imagina la tristesse de leurs regards, leur déception en ne l’a voyant pas arrivée..encore..
Et puis merde !
Elle pressa plus fort le pied sur l’accélérateur et passa de vitesse en vitesse. Soixante, soixante-dix, quatre-vingt.. Elle sentait une adrénaline en elle, elle gagnait de plus en plus de kilomètres et de temps.
Quatre-vingt dix, cent, cent-dix.. Elle voyait la distance diminuée à vu d’œil, elle commençait à rattraper son retard. Elle pourrait être à l’heure ! Quel bonheur sa sera lorsqu’ils la verront arrivée ! Elle se voyait déjà arrivée devant la maison, s’arrêter à leur côté avec un grand sourire et un clin d’œil, les enfants lui sauterait au cou et Jacques l’embrasserait amoureusement..
Quand elle vit l’autre voiture sortir du virage elle reprit ses pensées mais compris malheureusement qu’il était trop tard. Le temps ralenti, soudain, il s’était presque arrêter. Elle distingua le visage du conducteur qui lui faisait face, cette apparence luisante et chromée, où deux yeux d’un violet rayonnant fusaient. Sous son œil gauche, l’écran s’alluma et les lettres,-
Miraculeuses lettres vertes !!
se formèrent à une vitesse folle.

« A.N.A.L.Y.S.E_E.N_C.O.U.R.S. »

Oooh Dieu Merci, un androïde !! Il peut nous sauver, oui, un humain avec ses réflexes primitifs ne pourrait rien faire, mais lui, lui il le peut, il va nous sauver, je vais pouvoir rentrer, embrasser mes enfants, mon mari et enfin..
Les yeux du robot s’éteignirent progressivement, sa face s’affaissa comme s’il s’assoupissait et ce qui faisait équivalence de bras se relâchèrent.
Le temps reprit son cours et les deux voitures se percutèrent. Un bruit assourdissant résonna partout dans la forêt, faisant fuir toute vie sauvage. Le choc fut d’une violence inouïe, Johanne Carolle se cogna violemment contre le pare-brise, le fissurant démesurément, ses jambes furent écraser sous le poids de l’autre véhicule. Elle voulu crier mais n’en avait plus le souffle, tout son corps s’était violemment contracté, ne pouvant se relâcher. L’être d’acier traversa son pare-brise et se fracassa contre un arbre, puis un autre. Le regard de Johanne se troubla, sa vision était sanguine, du rouge partout, elle le distinguait à peine dans le sombre décor. Elle divagua quelques temps, prononçant cette phrase qui l’avait tant fait espérer avant l’impact, puis soudain, tout sombra.

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