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Sujet : jeune rappeur aidez moi s'il vous plaît
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Labouloche
Niveau 2
24 février 2024 à 16:20:23

Salut, je suis passionné par le rap. Pourriez vous m'aider à analyser mon texte ?

Yo. Yo.
Han. Han. Han ! Han ! HAN !
Ya, jsuis
un rappeur
toi
t'es
une merde
ya
jsuis
un taré
toi
t'as des tares
un mot de travers
et tu te fais 
tare-té
ya
je te
nique
toi
et ta mère
et ton frère
et ton père
et surtout ta
soeur
le feu
en moins
est trop
difficile
à éteindre
ya.
ya.
ya.
han.
han.
ya.
ya.
pourtant
il est si simple de faire
de l'argent
de taper des gens
de...
de niquer ta mère !
han. han.
jsuis
un rappeur
de
Poitou-Charentes
yaaaa
ok
ok.
han.

merci beaucoup de m'avoir lu ! attention, je n'accepte que
les critiques
constructives
han !

force à vous les frères

Labouloche
Niveau 2
24 février 2024 à 16:35:32

un autre.
j'aime quand ta mère me saute dessus (salope) je te nique, toi et ta famille m'arrivez pas à la bite je suis trop chébran pour cette décennie si le rap avait une chatte à l'heure qu'il est j'aurai des bosses ya. ya. xoxoxo haaaanhan.
encore un, mais j'ai pas trop d'espoir pour cette dernière mais pas grave :
Paroles de la chanson Demain C'est Loin par IAM DEMAIN C'EST LOIN 1. L'en-cre coule le sang se ré-pand La feuille bu-vard a-bsor-be l'é-mo-tion sac d'i-mage dans ma mé-moire Je parle de ce que mes proches vivent De ce que je vois des mecs cou-lés par le dé-ses-poir qui parl' à la dé-rive L'encre coule, le sans se répand, la feuille buvard Absorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoire Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive 2. Des mecs qui pour 20.000 de shit se déchirent Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire Rire, sourire, certains l'ont perdu je pense à Momo Qui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revu Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère Mais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrière Pousse pousser au milieu d'un champs de béton Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack Ouais c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici, ici, ici Ici, le rêve des jeunes, c'est la golf GTI, survet' Tachini Tomber les femmes à l'aise comme many Sur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bien Dieu merci, j'ai grandi, je suis plus malin, lui il crève à la fin la fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsains Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien On marche dans l'ombre du malin du soir au matin Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin Chemin, chemin, y' en a pas deux pour être un dieu Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veut Une route pour y entrer, deux pour s'en sortir, 3/4 cuir Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir Souvenir être si jeune, avoir plein le répertoire Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaoul, c'est le noir Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirs Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirs Tirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enfer Sur terre, on construit son paradis Fiction, désillusion trop forte, sort le chichon La réalité tape trop dure, besoin d'évasion Evasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris Les murs, les esprits, les rats la nuit On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle D'autres se les envoient pour une poigne de biftons, guerre fraternelle Les armes poussent comme la mauvaise herbe L'image du gangster se propage comme la gangraine sème ses graines Graines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous ? Tous jeunes On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs Au franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champs Trop grand, impossible à arrêter Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie On prend trois mois, le bruit court, la réputation grandit Les barreaux font plus peur, c'est la routine vulgaire épine Fine esquise à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime S'anime, animé animé d'une furieuse envie de monnaie Le noir tombé, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamber Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus Ca aidera, personne demandera d'où ils sont tombés Tomber ou pas, pour tout pour rien on prend le risque, pas grave cousin De toute façon, dans les deux cas, on s'en sort bien Vivre comme un chien ou comme un price, y a pas photo On fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyaux Joyaux, un rêve plein les poches mais la cible est trop loin, la flèche Ricoche le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochent Leur propre case décoche pour du cash, j'entends les cloches, les coups de pioche Creuser un trou, c'est trop fastoche Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile des même la hantise Et porcelaine dans le pare-brise Tchad le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins Ca c'est toute la journée, lendemain, après lendemain Lendemain ? C'est pas le problème, on vit au jour le jour On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent Demain c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur Futur, le futur ne changera pas grand chose, les générations prochaines Seront pires que nous, leur vie sera plus morose Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper Prévenir, avant de se faire clouer Clouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bière On siffle les gazières qui n'ont pas de frère Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre Les obstinés refusent le combat suicidaire Cidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se dirige vers le mauvais Côté de l'éternité d'un pas décidé Préfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé La tête sur l'oreiller, la merde un instant estomper Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menottée Menotté, pieds et poings liés par la fatalité Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier Le teurf l'arène, on a grandit avec les jeux Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut Dans les constructions élevées Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés Frictions, excitation, patrouilles de civil Trouille inutile, légendes et mythes débiles Haschich au kilo, poètes armés de stylos Réserves de créativité, hangars, silos Ca file au Bloc 20, pack de Heineken dans les mains Oublier en tirant sur un gros joint Princesse d'Afrique, fille mère, plastique Plein de colle, raclo à la masse lunatique Economie parallèle, équipe dure comme un roc Petits Don qui contrôlent grave leurs spots On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico Horizons cimentés, pickpockets, toxico Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros Politiciens et journalistes en visite au zoo Musulmans respectueux, pères de famille humbles Baffles qui blastent la musique de la jungle Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées Nuée de gosses qui viennent gratter Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument Parties de foot improvisées sur le bitume Golf, VR6, pneus qui crissent Silence brisé par les sirènes de la police Polos Façonnable, survêtements minables Mères aux trait de caractères admirables Chichon bidon, histoires de prison Stupides divisions, amas de tisons Clichés d'Orient, cuisine au piment Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment Désert du midi, soleil écrasant Vie la nuit, pendant le mois de Rhamadhan Pas de distraction, se créer un peu d'action Je de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction Rires interrompus, arrestations impromptues Maires d'arrondissement corrompus Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées Bougre sans retour, psychopathe sans pitié Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues Nouvelles blagues, techniques de drague Individualités qui craquent parce que stressés Personne ne bouge, personne ne sera blessé Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool Fourgon de la Brink's maté comme le pactole C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage Bave de rage, les barreau grimpent au deuxième étage Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme Si tu plonges, la ferme, pas drame Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus Ca commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vue Regarde la rue, ce qui change ? Y'a que les saisons Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton Te bats pour du laiton, est-ce que ça rapporte Regrette pas les biftons quand la bac frappe à la porte Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles C'est pas Manille ok, mais les cigarettes se torpillent Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent ?il pour ?il, bouche pour dent, c'est stressant Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines Les élus ressassent rénovation ça rassure Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto Pas mal d'amis se sont déjà tuer en moto Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto Pour ce, je dédie mes textes en qualités d'ex-voto, mec Ici t'es jugé à la réputation forte Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte C'est le tarif minimum et gaffe Ceux qui pèsent, transforment le secteur en oppidum Gelé, l'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises Béton figé fait office de froide banquise Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues Les artistes demon cul, pompent les subventions dsu Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus Les décideurs financiers plein de merde dans la vue En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent Les pierres partent, les caisses volées dérapent C'est le bordel au lycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs Le dos à un ?il car les eaux sont truffées d'écueils Recueille le blé, on joue aux dés dans un sombre cercueil C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo Un tchoc de popo, faire les fils et un bon rodéo La vie est dure, si on veut du rêve Ils mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef Tu me diras "ça va, c'est pas trop" Mais pour du tcherno, un hamidou quand on a rien, c'est chaud Je sais de quoi je parle, moi, le batard J'ai dû fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar Le spot bout ce soir qui est le King D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parking Mais qui peut comprendre la mène pleine Qu'un type à bout frappe sec poussé par la haine Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin

-Veylox
Niveau 32
25 février 2024 à 18:33:40

C'est de la merde

Tanil
Niveau 41
24 mars 2024 à 16:10:25

Je crois qu'ils recrutent pour les JO. Tu as toutes tes chances :rire:

stanislas-drone
Niveau 1
23 mai 2024 à 10:15:15

C'est pas un très grand chef d'oeuvre intellect ...

MightyMatou
Niveau 62
27 mai 2024 à 15:43:11

Je déteste le rap, mais là, j'ai trouvé ça marrant à lire.

h564kh
Niveau 3
20 septembre 2024 à 12:18:54

Les rappeurs écrivent vraiment leurs textes ? Je pensais qu'ils improvisaient d'abord des freestyles puis qu'ils faisaient des arrangements sur cette base

-Veylox
Niveau 32
22 septembre 2024 à 00:17:38

Le 20 septembre 2024 à 12:18:54 :
Les rappeurs écrivent vraiment leurs textes ? Je pensais qu'ils improvisaient d'abord des freestyles puis qu'ils faisaient des arrangements sur cette base

Le délire freestyle dans le rap c'est un complot, c'est l'équivalent du catch pour les sports de combats. Ils écrivent un texte au préalable et font semblant de l'improviser le jour J avant de se sucax entre eux, ça paraît crédible parce que même préparé à l'avance le texte est aussi nul que s'il avait été improvisé mais ça vient juste de leur incapacité à écrire, ça se voit tout de suite quand un mec récite de mémoire

Chocobo_3
Niveau 19
22 septembre 2024 à 17:02:18

Tu confond Freestyle et impro à mon avis.

Un "Freestyle" à la base c'est de poser un texte (donc effectivement, écris, préparé, souvent un ancien texte à toi) sur une autre instru que celle de base.

Après ya impro et impro. T'as toute les "fausse impro" ou en effet c'est préparé à l'avance (ou au moins en partie, et oui souvent ca saute aux yeux) et t'as des gars qui sont juste capable de partir en impro complet et d'avoir un truc plus ou moins propre. C'est clairement pas la norme mais ca existe.

D'ou le génie de ce qu'on appelle des "flip" dans des trucs comme le RC (des concours de proses préparée contre un adversaire donné) ou t'as des gars qui vont rebondir sur des trucs et partir en total impro. (Yoshi était très fort la dessus par exemple pour ceux qui connaissent)

KiritoSodome
Niveau 3
23 septembre 2024 à 19:33:30

Ça manque vraiment de poésie le rap :(

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Sujet : jeune rappeur aidez moi s'il vous plaît
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