Dans les trois dernières batailles dans lesquelles l'armée anglaise est engagée dans la guerre dites "de cent ans", c'est à dire à Patay, Formigny et Castillon, en 1429, 1450 et 1453, ce sont quelques milliers de soldats anglais qui sont alignés. Les anglais sont 4000 à Patay et perdent 2000 soldats. Ils sont 6000 à Formigny et perdent 3774 tués ou blessés ainsi que 1500 prisonniers. Enfin, ils sont 8000 à Castillon et perdent 4000 soldats.
Effectivement, ce n'est pas le nombre qui fait la différence dans le gain d'une bataille. Les français ont enfin commencé à révolutionner leur art de combat dans les batailles de Patay, Formigny et Castillon. Ils emploient enfin de la tactique et ça donne de bons résultats face à des anglais qui n'ont pas l'habitude de se faire manœuvrer. Les français utilisent leur nouvelle artillerie des frères Bureaux, mais ce n'est pas tout. Les français réussissent à faire manœuvrer leur cavalerie lourde de sortes qu'elle réussit à attaquer les flancs des positions anglaises, ce qui termine les batailles en déroutes anglaises et en lourdes pertes.
Dans les trois dernières batailles dans lesquelles l'armée anglaise est engagée dans la guerre dites "de cent ans", c'est à dire à Patay, Formigny et Castillon, en 1429, 1450 et 1453, ce sont quelques milliers de soldats anglais qui sont alignés. Les anglais sont 4000 à Patay et perdent 2000 soldats. Ils sont 6000 à Formigny et perdent 3774 tués ou blessés ainsi que 1500 prisonniers. Enfin, ils sont 8000 à Castillon et perdent 4000 soldats.
Effectivement, ce n'est pas le nombre qui fait la différence dans le gain d'une bataille. Les français ont enfin commencé à révolutionner leur art de combat dans les batailles de Patay, Formigny et Castillon. Ils emploient enfin de la tactique et ça donne de bons résultats face à des anglais qui n'ont pas l'habitude de se faire manœuvrer. Les français utilisent leur nouvelle artillerie des frères Bureaux, mais ce n'est pas tout. Les français réussissent à faire manœuvrer leur cavalerie lourde de sortes qu'elle réussit à attaquer les flancs des positions anglaises, ce qui termine les batailles en déroutes anglaises et en lourdes pertes.