Savoir & Culture

Si prendre le bonheur comme fondement de la morale implique que j'ai le droit de mentir puisque cela à comme fin de le rendre heureux, dans le cas le mensonge (par exemple faire croire à mon père que je suis fort au basketball) le satisfera car il sera fier de moi et moi je serais satisfait qu'il sera fier de moi.

Et je prendre un autre exemple: l'exemple de l'anniversaire

Si j'invite pleins de gens cela les rendra tous heureux donc ce sera le Bien mais si eux ne m'invitent pas cela me rendra malheureux donc ce sera le Mal, c'est à dire qu'une action bénéfique peut avoir un revers maléfique.

Maintenant venons à la critique de la pitié.

Si une action est bonne si je suis dans l'état de pitié. Il y a des actions bonnes selon ma morale qui est n'entre pas dans le registre de la pitié, telle que enfermer un soldat adverse plutôt que de le tuer alors qui a décimé toutes ma troupe et mes amis. Ce serait mal de le tuer selon moi car il a fait cela pour sauver sa peau.

Meme si je n'ai aucune pitié pour lui.

1/20 pour l'effort

J'ai rien compris à la pitié.

Sur le début on dirait la caricature de la morale libérale.

le mal précède le bien, une mère souffre pour accoucher, un piqure pique pour innoculer

Le 13 juillet 2020 à 08:25:10 BALAVO2023 a écrit :
le mal précède le bien, une mère souffre pour accoucher, un piqure pique pour innoculer

Et un Balavo balave pour balaver.

Exact
C'est schtroumpfement vrai ce que tu dis