Voilà, nous souffrons toutes et tous pour un tas de raisons, parfois nous vivons et devons composer avec la maladie, et ce que j'étais en train de me demander précisément, c'est comment parvenir à un état où ce ne sont plus nos émotions envahissantes, intrusives et invasives qui nous contrôlent, mais plutôt nous-mêmes en personne, qui par notre expérience et notre capacité au lâcher-prise, parvenons à mettre de la distance face au trop-plein d'agitation intérieure et mentale.
J'espère m'être fait clair !
Le lacher prise est par définition dans le "non-agir".
Ce n'est ni rejet ni appropriation.
La foi qui brise la raison et ses peurs
en lâchant prise
Le 23 septembre 2020 à 23:25:27 BALAVO_33 a écrit :
en lâchant prise
Ton commentaire m'est vraiment extrêmement utile ! Si tu savais.
il faut conduire sans toucher le volant comme dans Fight Club
Le 24 septembre 2020 à 14:03:14 AlxNobody108 a écrit :
il faut conduire sans toucher le volant comme dans Fight Club
Même en essayant vaille que vaille et coûte que coûte d'y rattacher une symbolique, je n'y parviens pas.
Le 24 septembre 2020 à 13:41:17 GroundSurprise a écrit :
Le 23 septembre 2020 à 23:25:27 BALAVO_33 a écrit :
en lâchant priseTon commentaire m'est vraiment extrêmement utile ! Si tu savais.
Je sais ne t'en fais pas
Pyrrhon => état d'indifférencition => ataraxie (tranquilité de l'âme) + apathie (impassibilité)
c'est comment parvenir à un état où ce ne sont plus nos émotions envahissantes, intrusives et invasives qui nous contrôlent, mais plutôt nous-mêmes en personne, qui par notre expérience et notre capacité au lâcher-prise, parvenons à mettre de la distance face au trop-plein d'agitation intérieure et mentale.
si l'esprit est agîté, il faut donc lui sousmettre qque chose de neutre . Et quoi de plus neutre à notre disposition imédiate ? notre souffle.
Donc faire une petite concentration sur notre souffle permet de calmer notre esprit . Et y'a pas forcément besoin d'adopter une posture etc...si on est au bureau avec le boss pas loin, on peut faire ça "dans sa tête" sans que personne s'en rende compte ...compter notre expire/inspire.... ne pas forcer la respiration : la prendre comme elle est , elle se rythmera d'elle même...
Faire déjà ce petit excercice au moment où on se sent perturbé/submergé est déjà un grand petit pas : il est + aisé de se laisser aller a se complaire dans des noeuds...après pour maintenir cet état , je sais pas trop : je dirais quand même qu'il faut qu'il y ait une motivation en nous qui nous permette d'entrevoir une "sortie" ...ça peut être par une analyse des phénomènes de comment ils fonctionnent en interraction avec nous, et de comprendre pourquoi il n'y a pas de raison de se prendre la tête, mais ça peut aussi passer par autre chose....
J'espère m'être fait clair !
si ça peut répondre un peu à ta question ...