Savoir & Culture

Le 03 avril 2021 à 15:47:51 :
Le pouvoir supplante le devoir, ça s'appelle la réalité

Celons moi nous devons exactement ce qu'on peut, et se que l'on fait.
On <<doit>> tout, y compris notre volonté.
En faite on croit vouloir ou pouvoir, mais rien que cette pensé est un obligation, je suis pas persuadé qu'on le choisisse.

Mais bon je suis pas totalement tranché sur la question non plus. (Et du coup j'agit comme si j'était responsable "et puissant" en étant pourtant presque sur de ne pas l'étre.)

je ne pense pas non plus qu'une société humaine déterminée à éradiquer la souffrance puisse atteindre son objectif sans s'égarer dans des travers profondément viciés

Intérêt de up un topic peu intéressant qui date de 2021 pour y apporter une réponse encore moins intéressante ?

Mais quelle mouche vous pique ?

Tu n'as pas su démontrer convenablement en quoi la souffrance est un mal par essence.
Ce n'est pas ce que dit Nietzsche par exemple. Je ne le suce pas, je ne fais que la remarque concernant le caractère discutable de ton affirmation. En Psychologie ça se discute également puisque la confrontation avec des difficultés ou des crises à différents stades de la vie est cruciale pour le développement psychosocial des individus. Ne dit-on pas, après tout, "c'est de nos erreurs que l'on apprend" ? l'erreur pourrait être interchangeable avec la souffrance

Le 25 octobre 2023 à 17:26:40 :
Tu n'as pas su démontrer convenablement en quoi la souffrance est un mal par essence.
Ce n'est pas ce que dit Nietzsche par exemple. Je ne le suce pas, je ne fais que la remarque concernant le caractère discutable de ton affirmation. En Psychologie ça se discute également puisque la confrontation avec des difficultés ou des crises à différents stades de la vie est cruciale pour le développement psychosocial des individus. Ne dit-on pas, après tout, "c'est de nos erreurs que l'on apprend" ? l'erreur pourrait être interchangeable avec la souffrance

La souffrance n'endurcie pas les corps et les cœurs, elle les blesse, les réduit et les soumet.

la souffrance psychologique ne fait que détruire les talents et la capacité d'accéder au bonheur des individus. Elle est donc malsaine pour l'espèce car la faisant tendre faire le cynisme et pessimisme

Je ne fonctionne pas sur des philosophismes mon ami.

Y a-t-il des preuves empiriques ou des études qui soutiennent l'idée que toute forme de souffrance psychologique détruit inévitablement les talents et la capacité au bonheur des individus, sans exception ? Est-il possible que des personnes aient utilisé leur souffrance comme un moyen de se transformer ou de se développer, même si cette souffrance a initialement causé de la douleur ou du trauma? Pourrais tu expliquer comment le cynisme et le pessimisme, qui sont présentés comme des conséquences de la souffrance, sont intrinsèquement nocifs pour l'espèce humaine? Y a-t-il des contextes dans lesquels le cynisme et le pessimisme pourraient avoir une valeur adaptative ou constructive?

Le 25 octobre 2023 à 17:47:21 :
Je ne fonctionne pas sur des philosophismes mon ami.

Y a-t-il des preuves empiriques ou des études qui soutiennent l'idée que toute forme de souffrance psychologique détruit inévitablement les talents et la capacité au bonheur des individus, sans exception ? Est-il possible que des personnes aient utilisé leur souffrance comme un moyen de se transformer ou de se développer, même si cette souffrance a initialement causé de la douleur ou du trauma? Pourrais tu expliquer comment le cynisme et le pessimisme, qui sont présentés comme des conséquences de la souffrance, sont intrinsèquement nocifs pour l'espèce humaine? Y a-t-il des contextes dans lesquels le cynisme et le pessimisme pourraient avoir une valeur adaptative ou constructive?

La vidéo mettais moult source dans la description. Il donnait l'exemple d'élèves qui abandonné lorsque qu'ils étaient confronté à leurs erreurs. Si on leurs faisait comprendre qu'il étaient passé à côté de leur travail, ceux-ci n'essayaient pas de continuer mais abandonné, comme si il avait été blessé dans leur amour propre.

Les traumatismes subi dans l'enfance augmentent le risque de maladie mentale et d'échec professionnelle, économique et social à l'âge adulte
https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2713038

La pauvreté dans l'enfance augmente le risque d'être pauvre à l'âge adulte et diminue les chances d'être marié ou en cohabitation et d'avoir des enfants vers l'âge de 30 ans : https://link.springer.com/article/10.1007/s00148-017-0674-8

L'adversité n'accroit pas la vitalité, elle détruit, c'est un fait empirique.

D'accord, mais comment ces fameuses études traitent-elles des variables de contrôle, comme le soutien social, l'accès à des soins de santé mentale de qualité, ou d'autres facteurs qui pourraient influencer les résultats à long terme des personnes ayant subi des adversités? Est-ce que toutes les formes d'adversité ont le même impact négatif ou pourrait-il y avoir des types d'adversité qui conduisent à différentes formes de résilience ou de développement ? Tes études citées offrent-elles un suivi sur le long terme qui permettrait de mesurer si les individus ont la capacité de surmonter ces adversités avec le temps, éventuellement avec le bon soutien, ou les bonnes ressources ?

Le 25 octobre 2023 à 18:33:14 :
D'accord, mais comment ces fameuses études traitent-elles des variables de contrôle, comme le soutien social, l'accès à des soins de santé mentale de qualité, ou d'autres facteurs qui pourraient influencer les résultats à long terme des personnes ayant subi des adversités? Est-ce que toutes les formes d'adversité ont le même impact négatif ou pourrait-il y avoir des types d'adversité qui conduisent à différentes formes de résilience ou de développement ? Tes études citées offrent-elles un suivi sur le long terme qui permettrait de mesurer si les individus ont la capacité de surmonter ces adversités avec le temps, éventuellement avec le bon soutien, ou les bonnes ressources ?

l'augmentation du bien etre corrige les problèmes causé par la souffrance (progres de la médecine, augmentation de l'espérance de vie, PIB/habitants, IDH, )

Le fait de vivre dans une société avec des individus prosocial aussi.

Ne jamais répondre à ce genre de questions.
La question demande clarification.
Si vous tenez vraiment à répondre, la bonne réponse est "oui et non".

Pourquoi ?
Parce que si vous dites oui, il s'en servira contre vous pour vous imposer une loi qui vous fera dire "mais moi j'ai dit ça pour cette raison, pas pour cette autre raison"
Et si vous dites non, il s'en servira aussi contre vous aussi.

Ne répondez jamais aux questions de ce genre sans être sûr et certain que vous a avez compris que vous y êtes favorable pour ça, et contre pour ça.

Ne vous justifiez pas. Soit vous ignorez l'enquête, soit vous dites "oui et non mais ça demande des heures et des jours de réflexion et là j'ai pas le temps."

Le système serait bien différent si la majorité avait répondu ainsi à des questions qui leur paraissait simple à comprendre, donc soit-disant sans danger.

Doit-on abolir la souffrance ?

Non, ça serait complètement idiot.

Dans des traditions comme le bouddhisme, la cessation de la souffrance est vue comme un pas vers l'éveil spirituel ou l'illumination. L'éveil est souvent décrit comme un état de liberté par rapport à la souffrance et à l'ignorance, conduisant à une compréhension profonde de la réalité