Bonjour chez vous,
Pour Aristote, un pénis trop long était signe de stérilité (outre le fait que c'était complétement inesthétique).
Que dois-je donc conclure concernant Aristote ?
Qu'il avait une très grosse voiture.
Le 05 avril 2022 à 23:07:22 :
Qu'il avait une très grosse voiture.
C'est plutôt l'inverse.
Pourquoi tu demandes si tu sais déjà mieux ?
qu'il etait comme tout les hommes ; un sale beauf obsédé par son zizi
Il est imprégné des codes esthétiques de sa civilisation
le raisonnement qui me vient la -comme ca
c'est qu'un penis long fait plus de laps entre le prepuce et le reservoir a foutre
pour aristote, si le penis est si petit , que son prepuce est quasi uni avec le scrotum , alors l'homme est plus proche de son sperme et le delivre plus rapidement que cet autre homme au penis long , qui donne du chemin a faire a son sperme
apres ce critere est bizarre , pourquoi choisir la taille du penis plutot que le volume des couilles
ca me parait facile de faire le lien entre un enfant aux testicules manquantes , un adulte aux petites couilles
et un autre adulte aux grosses couilles emanentes de virilité
L'Aristotélisme était que la phase archaïque des premières découvertes scientifiques de l'époque antique pas étonnant qu'il raconte des bêtises par moment...
Le 05 avril 2022 à 22:55:17 :
Bonjour chez vous,Pour Aristote, un pénis trop long était signe de stérilité (outre le fait que c'était complétement inesthétique).
Que dois-je donc conclure concernant Aristote ?
source ?
g lu k Physique et l'autre bouquin d'Aristote
Le 23 mai 2022 à 21:36:47 :
Le 05 avril 2022 à 22:55:17 :
Bonjour chez vous,Pour Aristote, un pénis trop long était signe de stérilité (outre le fait que c'était complétement inesthétique).
Que dois-je donc conclure concernant Aristote ?
source ?
g lu k Physique et l'autre bouquin d'Aristote
Désolé je n'ai pas la source exacte.
Mais l'information je la tire de Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Taille_du_p%C3%A9nis_chez_l%27homme
Durant l'Antiquité, c'est la petite taille du pénis qui était valorisée, alors que dans la période actuelle c'est plutôt la grande taille qui se trouve être prisée. Pour les Grecs de l’Antiquité, un homme viril devait être doté d’un petit sexe. Ainsi, pour Aristote, un pénis trop long était signe de stérilité. Les travaux notamment de l’historien Thierry Eloi ont montré que durant la Rome antique la grosse taille d'un pénis était considérée comme à la fois une vulgarité au niveau social et une disharmonie au niveau esthétique
T'as vraiment lu la Physique d'Aristote
A la limite, je peux comprendre qu'on puisse lire l'ensemble de livres rassemblé sous le nom de Métaphysique d'Aristote, vu la postérité (en autres choses bien sûr) que ce livre a eu.
Mais pour arriver à lire sa Physique, franchement chapeau.
La Physique est, selon Heidegger, le livre fondamental de la philosophie occidentale. Il ne faut absolument pas le considérer comme un livre de physique au sens moderne, qui serait alors complètement dépassé. La Métaphysique reste, selon moi, plus fondamentale, mais les réflexions sur les causes ou sur le temps sont bel et bien des jalons philosophiques incontournables.
Le 24 mai 2022 à 03:28:58 :
La Physique est, selon Heidegger, le livre fondamental de la philosophie occidentale. Il ne faut absolument pas le considérer comme un livre de physique au sens moderne, qui serait alors complètement dépassé. La Métaphysique reste, selon moi, plus fondamentale, mais les réflexions sur les causes ou sur le temps sont bel et bien des jalons philosophiques incontournables.
Tu as raison, mon jugement était beaucoup trop hâtif et expéditif. La Physique est en effet un livre incontournable de par les bases épistémologiques qu'il instaure et de par les principes théoriques et les concepts qu'il élabore pour cerner les changements naturels.
T'as vraiment lu la Physique d'Aristote
A la limite, je peux comprendre qu'on puisse lire l'ensemble de livres rassemblé sous le nom de Métaphysique d'Aristote, vu la postérité (en autres choses bien sûr) que ce livre a eu.
Mais pour arriver à lire sa Physique, franchement chapeau.
Des éléments de métaphysiques sont présents dans la physique (I, 7 distinction des sens de devenir), I, 6 sur le hasard, I, 7-8 ou par là sur l'infini qui n'existe qu'en puissance, V,1 sur l'indivisibilité du mouvement, etc...