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Savoir & Culture

Philosophie

Sujet : Bouddhisme
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FranckBarron
Niveau 2
28 octobre 2022 à 02:10:34

Tout se résume à cela pour réaliser le nirvana

Quatre nobles vérités

-Tout ce que nous expérimentons est inconstant, la connaissance, le ressenti, les perceptions, les formations mentales, (les apparences immatérielles), la forme (l'apparence matérielle, le corps).

-Tous les êtres vivants subissent l'insatisfaction, la souffrance à cause de cela.

- La croyance que les phénomènes existent de façon isolés et autonomes sont causes de souffrance, ainsi que le désir et l'aversion.

-La quatrième noble vérité est celle du chemin menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est

Le « noble sentier octuple » : vision correcte, pensée correcte, parole correcte, action correcte, moyen d'existence correcte, effort correct, attention correcte et concentration correcte

Est-ce que grâce au sens de la vue, est-t 'il possible de savoir ou se trouve l'image projetée sur ma rétine ? Se situe telle à l'intérieur de moi, auquel cas pourquoi je ne m'en aperçois pas ? Sinon à l'extérieur, sinon pourquoi je ne puis pas la voir ? En vérité elle se situe nulle part, elle n'est que vacuité. De la même manière si je ressens du plaisir au contact d'un objet sur ma peau, le plaisir est-il en moi ? A l'intérieur, pourquoi je ne le situe pas ? Ou à l'extérieur, pourquoi ne puis-je le ressentir ? Les agrégats à travers les cinq sphères sensorielles, plus le mental, sont vides de soi, ils sont interdépendants et intriqués, ils ne prennent naissance et ne prennent fins nulles part, ils sont non nés, et non aucune localité, ils sont non individuels. Perception, ressenti, connaissance, formation mentale, attachement à la forme. Les agrégats sont des concepts. La perception est vide, le ressenti est vide, la connaissance est vide, les formations mentales sont vides, l'attachement à la forme est vide.

A cause d'une baisse de luminosité saisonnière parce que je perçois, je souffre à travers le sens de la vue, je m'identifie à ce que je vois, je souffre parce que je m'identifie a quelque chose d'impermanent, la baisse de luminosité. La connaissance est impermanente, l'attente, l'ignorance, et la souffrance que cela provoque, l'impermanence du su, de ne pas savoir ce qui va arriver, ou de pas connaitre de quoi il s'agit. Mon corps aussi est impermanent, coupable d'avoir créer une attache et de souffrir du mal être de ma forme en créant un soi. L'inconstance aussi par l'agrégat du ressenti, l'attachement à ce qui est plaisant ou déplaisant, quelqu'un qui s'attache à la nourriture en souffre par rapport à quelqu'un qui se contente simplement de manger et ne crée aucun mal être en ne s'identifiant pas à ce qu'il mange. J'aime ou je déteste des choses qui me font souffrir, car je projette mon mal être en l'identifiant à moi même, je crée des formations mentales qui n'ont pas de soi, et vouloir en définir un, est cause de la souffrance, car c'est vouloir créer une permanence qui est une création de l'esprit. La volition même qui implique un je, est une des principales base de la souffrance, crée des concepts qui nous rattache à une identification, alors que tout ce que l'on identifie à soi-même est cause de souffrance, car on s'identifie à quelque choses d'impermanent qui n'a pas de soi, comme souffrir du concept de la faute d'orthographe, au seul faite dans voir une.

S'approprier un je est la plus grande des erreurs, le sage sait qu'il n'existe aucune barrière entre les agrégats, et ne s’approprie pas au caractère transitoire de son ressenti, de ce qu'il perçoit, de la manière dont son inconscient incrimine ou discrimine, de savoir ou de ne pas savoir, de sa propre apparence physique, ne s'attache pas en créant l'illusion du caractère permanent des agrégats, car il sait que c'est cause de souffrance.

Un exemple de souffrance, vous dites à une personne que le message d'un éveillé a disparu, qu'il est presque impossible de comprendre ce qu'il dit aujourd'hui, au fil du temps par dissolution du sens de base de la langue d'origine, et par les déformations successives de l'interprétation de ce qu'il a dit. Vous voyez que la personne vous croit, et à de la souffrance dans son regard de savoir cela, c'est la souffrance créée par un des cinq agrégats, la connaissance. De ne pas savoir nous pouvons éprouver aussi de la souffrance, Il ne sait pas à quelle heure sera le rendez vous, il s'angoisse pour cela. Nous pouvons créer de la souffrance aussi par les formations volitionnelles, ce qui naît de notre inconscient. Nous pensons que, est le meilleur président, chaque fois que l'on dit du mal de lui nous éprouvons de la souffrance, parce que nous sommes attachés à notre jugement, notre inconscient qui juge et nous fait souffrir. De discriminer crée de la souffrance. Une personne s’insupporte de voir des fautes d'orthographes, que ce soi un problème ou pas, qu'il est raison ou tord, il a des écoulements mentaux que son jugement lui procure, il a des vagues de tristesses et ne parvient pas à garder son calme, parce qu'il s'attache à des concepts. Si nous sommes attachés à notre manque d'apparence, ou à notre apparence nous souffrons, seul agrégat physique. Ainsi une personne est coquette, elle se juge tellement en fonction de sa corporalité, forme, qu'elle souffre de cette soumission. Même si nous mangeons quelque chose, par le ressenti nous pouvons éprouver de la souffrance parce que nous sommes attachés à la nourriture, et le fait de ne plus en manger nous éprouvons de la souffrance, ou de trop manger aussi. Une autre personne ne se sent pas bien parce qu'il n'a pas fait sa séance de yoga hebdomadaire. Nos absences de perceptions créent de la souffrance, un excès de perceptions en créent aussi, un aveugle peut souffrir de ne pas voir, parce qu'il s'attache à ce manque. Ainsi nous sommes tous formés de ces cinq agrégats.

Le ressenti peut être plaisant, déplaisant ou neutre, c'est son attachement qui provoque la souffrance, la forme s'attache à la corporalité, la matérialité et les rapports que nous avons à notre corps, les perceptions peuvent être bénéfiques, mauvaises ou indéterminés et s'attachent aux états de consciences que l'on peut expérimenter, la connaissance s'attache à l'idée de savoir ou de ne pas savoir, les formations volitionnelles s'attachent aux concepts qui nous font croire à une dualité.

Tous ces actes contre nature procurent des perturbations mentales, à travers les cinq sens et le mental, une pensée juste, vision, action par une parole et un moyen d'existence juste, en s'établissant dans l'effort, la concentration, l'attention juste, par une parfaite compréhension des cinq agrégats mènent à l'éveil.

Parole juste : Ne pas bavarder sur internet dans la futilité, la mythomanie, l'imposture, comme sur nombre de forum bouddhiste.

Action juste : Ne pas propager de fausse parole ou inexact, au même endroit que précédemment.

Moyen d'existence juste : Qui ne porte pas atteinte aux êtres

Vision juste : Avoir une compréhension juste des phénomènes.

Pensée juste : Être libéré d'avidité, de haine, d'ignorance.

Effort juste : Vaincre ce qui est défavorable et d'entreprendre ce qui est favorable

Concentration Juste : Évité les perturbations mentales pour s'établir dans la voie

Attention juste : Attention à nos phénomènes mentaux à travers nos cinq sens et le mental

Nous percevons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Nous ressentons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Nous connaissons à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Nous nous attachons à la forme à travers, notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Nous expérimentons les formations mentales, à travers notre regard, notre toucher, notre sens olfactif, gustatif, nos oreilles, notre mental.

Il ne faut pas confondre sagesse émise avec sagesse reçue, la sagesse est d'accepter les émotions sans si attacher, pas de les repousser ou de les garder en soi, les émotions ne se contrôlent pas. Méditer sert à regarder passer ses flux mentaux sans si attacher, on peut s'attacher à la forme, à son ressenti, à ses perceptions, à sa pensée, à sa connaissance. S'attacher à sa pensée, c'est s'attacher à des concepts. Une pensée n'est pas de deux, un corps n'est pas de deux, aucun agrégat n'est de deux, la somme des agrégats n'est pas de deux, nous ne sommes pas de deux.

Ce que nous percevons à travers notre regard n'est pas de soi.

Ce que nous percevons à travers notre touché n'est pas de soi.

Ce que nous percevons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.

Ce que nous percevons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.

Ce que nous percevons à travers nos oreilles n'est pas de soi.

Ce que nous percevons à travers notre mental n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers notre regard n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers notre touché n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers nos oreilles n'est pas de soi.

Ce que nous ressentons à travers notre mental n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers notre regard n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers notre touché n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers notre sens olfactif n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers le sens gustatif n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers nos oreilles n'est pas de soi.

Ce que nous connaissons à travers notre mental n'est pas de soi.

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le regard n'est pas de soi

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le touché n'est pas de soi

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le sens olfactif n'est pas de soi

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le sens gustatif n'est pas de soi.

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers les oreilles n'est pas de soi.

Notre attachement à la matérialité (forme) à travers le mental n'est pas de soi.

Nos formations mentales que l'on se crée à travers le regard n'est pas de soi, (nos pensées)

Nos formations mentales que l'on se crée à travers le touché n'est pas de soi, (nos pensées)

Nos formations mentales que l'on se crée à travers le sens olfactif n'est pas de soi, (nos pensées)

Nos formations mentales que l'on se crée à travers le sens gustatif n'est pas de soi, (nos pensées)

Nos formations mentales que l'on se crée à travers les oreilles n'est pas de soi, (nos pensées)

Nos formations mentales que l'on se crée à travers le mental n'est pas de soi, (nos pensées)

Les pensées ne sont ni créées, ni détruites, elles sont vides, elles n'ont pas un départ ou une fin, elles n'ont aucune origine, ni aucune destination, elles sont vides de mien car inconstantes. Nos fermentations mentales sont vides de mien, nos formations mentales, notre mental est vide de mien. Notre corporalité qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre perception qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre ressenti qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstant. Notre connaissance qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstante. Notre mental qui vieillit, sujet aux maladies, est vide de mien, car inconstant. Non sommes impermanents, vides de soi, anatta.

Hors le fait de ne pas croire que nous sommes indivisibles de notre mental et de nos cinq sens est cause de souffrance, tous ces agrégats sont de natures non individuelles, ne pas les reconnaître comme tels est cause de souffrance, commencer à s'en rendre compte est le chemin vers l'éveil, le fait de croire à leurs absences de permanence cause de leurs absences d'individualités est le premier pas pour comprendre que le je n'existe pas, car il n'existe pas une essence de l'être humain indépendante.

la présence de l'esprit sur la respiration est à développer pour l'arrêt des pensées, la perception de l'inconstance est à développer pour le déracinement de la prétention 'Je suis

Est-ce que grâce au sens de la vue, est-t 'il possible de savoir ou se trouve l'image projetée sur ma rétine ? Se situe-t-elle à l'intérieur de moi, auquel cas pourquoi je ne m'en aperçois pas ? Sinon à l'extérieur, sinon pourquoi je ne puis pas la voir ? En vérité elle se situe nulle part, elle n'est que vacuité. De la même manière si je ressens du plaisir au contact d'un objet sur ma peau, le plaisir est-il en moi ? A l'intérieur, pourquoi je ne le situe pas ? Ou à l'extérieur, pourquoi ne puis je le ressentir ? Vacuité. Quand je prends connaissance de quelque chose, est-ce dans le présent ou déjà dans le passé, ou en me projetant dans le futur, le temps est vacuité. Mes formations mentales, mes pensées, sont-elles hors de moi pourquoi je ne m'en aperçois pas, ou en moi, pourquoi je ne les situe pas, elles sont vacuités. Comme notre attirance à la forme, notre matérialité est vacuité, notre corporalité, vide d'attribution d'un soi, car notre forme, notre corporalité est changeante, comme notre perception, notre ressenti, notre connaissance, nos formations mentales, ils sont vides d'attribution d'un soi, nous sommes vides d'attribution d'un soi, telle est la vacuité de notre être.

Éliminer la prétention je suis, ce n'est pas s’effacer devant les autres, ce n'est pas du tout cela vous savez qui se produit, il s'agit d'une erreur d'interprétation de votre part, assez grave.

On peut isoler les phrases hors de leur contexte et leur faire dire ce que l'on veut, comme si on interprétait faussement le titre de Sartre "l'enfer c'est les autres", voilà qui est une des bases du mensonge, qui c'est étendu jusqu'en en devenir le ridicule du bouddhisme d'aujourd'hui.

Alors les gens qui nous expliquent par des dissertations, que l'absence de désirs, c'est l'absence de vie, que donc que la théorie bouddhiste n'est qu'une démarche austère au but impossible, ils n'ont pas compris au contraire que l'absence de vie, c'est la souffrance. Elle naît de notre attachement à la forme, à la corporalité, matérialité, de l'attachement aux pensées, aux formations mentales, à la connaissance, ressenti, perception, à un moi, à je suis, qui n'existe pas, car nous sommes inconstant, soumis au changement, parce que nous mourrons, vieillissons, chaque jours, que c'est ce moi qui provoque nos désirs, et notre renaissance et notre souffrance perpétuelle.

Ainsi l'ignorance crée les formations mentales, la connaissance des agrégats en utilisant les six sphères sensorielles, s'établit par le contact, la sensation, la soif, l'attachement, qui crée le devenir, naissance, vieillesse et mort.

La fin de l'ignorance, le nibbana, provoque l'arrêt de la pensée et des écoulements mentaux provoqués par les désirs, et donc de la fin de la souffrance, de la soif, de l'attachement, du devenir.

Pour faire cesser le je, ils faut avoir conscience de la souffrance, méditer sert à cela, à l'identifier, à comprendre qu'elle surgit à travers notre sphère sensorielle et notre mental, chaque que nous percevons, nous ressentons, nous connaissons, nous nous attribuons un mental, une volition, nous nous approprions un corps, en faisant essence d'un je alors que nous sommes anatta, impermanent, changeant car vieillissant et mortel, de nos cinq agrégats naissent les désirs et donc l'appropriation, l'absence de je fait cesser la souffrance.

Nota bene : Notre attirance à la forme est notre corporalité, comme on est attiré par une belle jeune fille, d'où vœux de chasteté.

Ceci est la méthode pour réaliser l'éveil, le nibbana, le nirvana, le sans souffrance, le sans mort. C'est largement suffisant.

FranckBarron
Niveau 2
28 octobre 2022 à 16:48:18

Une autre méthode, par la science qu ne connaissait pas Gautama Bouddha.

Dans la réalité le résultat est toujours vrai, mais non observable, non quantifiable, non existant, non présent, car non permanent.

le principe d'incertitude est créé par la valeur de l'entropie. Le calcul de l'incertain est possible, tout est indéterminable dans le calcul d'un certain qui n'existe pas autant que la permanence, c'est le chaos, il y a toujours quelques choses avant et après, c'est le non-résultat comme la non-permanence. L'univers dans son agrégat a des valeurs impermanentes et déterministes.

Imaginé qu'avec une hache j'essaye de couper un rondin de bois en deux. Si les choses étaient éternalistes je n'arriverai pas à couper le rondin de bois en deux. Si les choses étaient nihilistes les deux rondins de bois disparaîtraient. Les deux rondins de bois sont coupés, ils ne situent ni ici ni là, ils ne se situent à aucun endroit sinon ils seraient éternels (permanents), ils ne sont pas séparés l'un de l'autre sinon ils n'existeraient pas.

L'impermanence est la vacuité simultanément plein et vide, elle est présente en tout non-point de l'univers. Elle est défini par le non-espace entre deux choses et la notion du temps qui est un ensemble vide. Sa présence montre l'écoulement du temps chaque fois que les choses cessent d'exister.

C'est la logique qui introduit l'erreur, dans la réalité le résultat est toujours vrai, mais non observable, non quantifiable, non existant, non présent, car non permanent. Dans un processus logique on attend un début et une fin, hors il n'y en n'a pas, c'est en introduisant ces constantes que l'on crée l'erreur.

Tout est vacuité et sans forme, vide de permanence, sans individualité, car sans temporalité, car impermanent. Le Je, le il, le vous, le nous n'existent pas, en vérité il n'existe que deux états le 1 et le 0 superposés, le présent et l'absent simultanément, le plein et le vide conjointement, car sans temporalité, car insécable et inséparable.

En fin de compte l'univers ne peut pas être permanent car le zéro n'existe pas, pas plus que le vide, s'il était permanent il y aurait rien à la place de quelque chose, hors nous sommes là et impermanent. Avec nos instruments nous l'étudions, grâce aux mathématiques et nos observations nous créons l'illusion de la permanence en un point en essayant de discerner les objets entre eux, mais le point et la droite censé les relier n'existent pas, cette permanence n'existe pas. L'absence n'existe que parce qu'il y a présence, hors aucune de ces notions n'a de réalité physique, parce que les choses sont par nature indéterminables. Elles sont ainsi parce qu'elles sont soumises aux changements, c'est pour la même raison qu'elles sont soumises a des causes et des conséquences, qui ne sont soumis à aucune notion de temps ou de distance. Pour qu'il y est notion de temps ou de distance, il faut qu'il est une notion de présence ou d'absence. S'il y a cause et conséquence cela veut dire qu'il n'existe aucune notion de séparabilité, il n'existe aucun constituant primordial de la réalité et aucune cause première, il n'existent que des causes déclenchantes, et des conséquences déterminables mais avec des résultats soumis aux changements, car il n'existe aucun système stable, la nature est par essence chaotique, mais assemblé en ordre par ces mêmes causes et conséquences, seuls l'existence de causes et de conséquences ont une réalité physique. Les distance et le temps n'ont pas de réalité physique. Ainsi la non-séparabilité induit le non espace entre deux choses car l'endroit indéterminable n'existe pas, pas plus que le temps qui est un ensemble vide.

C'est pour cela que le néant n'existe pas, c'est la notion de non-séparabilité. Ainsi on ne peut donner à la réalité aucune origine, un point ou les choses ont commencé, aucune individualité, c'est ce qu'on appelle une fausse idée, pas plus qu'à nous mêmes, nous n'avons aucune existence individuelle.

Pseudo supprimé
Niveau 5
28 octobre 2022 à 21:02:16

J'ai pas tout lu... mais visiblement tu confonds les 4 vérités avec les 3 marques tu ne connais pas le contexte socio-religieux dans lequel le Buddha a vécu alors tu te méprends sur l'enseignement du non-soi, et je sais pas pourquoi tu parles de metaphysique alors que le Buddha s'y opposait toujours fermement.

Daolong
Niveau 10
28 octobre 2022 à 21:12:26

Le 28 octobre 2022 à 21:02:16 :
J'ai pas tout lu... mais visiblement tu confonds les 4 vérités avec les 3 marques tu ne connais pas le contexte socio-religieux dans lequel le Buddha a vécu alors tu te méprends sur l'enseignement du non-soi, et je sais pas pourquoi tu parles de metaphysique alors que le Buddha s'y opposait toujours fermement.

Le bouddhisme est une spiritualité donc elle est métaphysique avant tout.

Par contre vous ne percevez sûrement pas ce qu'il voulait dire.

Et la métaphysique est pour moi similaire à l ontologie et à la théologie.

En fait c'est plutôt mystique.

La métaphysique pas dans un sens hors de ce qui est mais dans un sens à au delà et dans ce qui est, donc au delà et dans la physique.

J'avais fait un gros topic sur le bouddhisme.

L'enseignement du Bouddha je crois.

FranckBarron
Niveau 2
29 octobre 2022 à 01:01:56

La voie du bodhisattva

Philosophie

Votre philosophie, on la reconnaît, par le charme, la rhétorique, même le génie et le talent, et cela ne rapporte que du vent, quand cela ne va pas à l'encontre de la vérité, et vous vous complaisez dans cette fange. La vérité ne se trouve pas par les mots et les concepts mais par l'expérimentation, la leur est sans valeur. La qualité de la personne est en jeu, pas le talent et le génie. Les philosophes qui définissent la qualité de la personne par le talent et le génie, se trompent.
Nous n'existons pas en tant qu'individu, c'est une réalité du dharma, cela ne veut pas dire que l'individu n'existe pas, il est responsable par ses actes, et par sa fausse croyance au soi qui fait souffrir, c'est ce que prouve les agrégats, et que nous n'existons pas en tant que réalité individuelle, il n'y aurait pas d'un côté ce qui ne serait pas du domaine de l'absolu et l'absolu, c'est une division purement fictive et qui n'a pas de réalité, car tout est lié et interdépendant, c'est le karma, rien n'existe indépendamment l'un de l'autre, nous n'avons pas de réalité individuelle, c'est l'anatta. La croyance aux mots et aux concepts fait mal penser et empêche de réaliser le dharma.
Ceux qui croient aux concepts du communisme et du libéralisme peuvent subir de graves conséquences, comme n'avoir rien, ce qui croit aux concept de l'être et du non être, éternaliste, le monde est permanent, notre être est permanent, il ne subit aucun changement, la réalité de notre impermanence est notre mort, ou nihiliste, la réalité c'est la destruction, notre fin c'est notre mort, les conséquences ne sont pas les mêmes mais bien plus grave. Un Bodhisattva peut croire qu'il n'existera qu'une existence, mais ne croira à aucun de ces concepts, parce qu' il ne s'attache pas à défendre des concepts en inventant ou philosophant. Bref il a la sagesse du Bodhisattva, ce que ne possède pas le philosophe.
Si vous vous mettez des formations mentales dans la tête et que vous y croyez, vous remettez en cause votre jugement, celui de ne pas y croire, seul la démonstration que vous pouvez faire et qui est irréfutable, parce que c'est une chose que vous avez compris, démontré, devrait être accepté, c'est la sagesse, c'est la sagesse du bodhisattva, celle de ne pas croire au reste, c'est aussi la sagesse, c'est même la principale, de ne pas croire aux concepts. Les Brahamanes philosophes créent des concepts réducteurs pour détruire la réalité du dharma, qui s'appuie sur l'illusion des concepts qui fait croire au mirage, au chimère d'une réalité humaine indépendante de toutes causes et conséquences, ainsi ils essayent d'inventer une réalité humaine hors de l'application de nos actes, dans notre ressenti, notre perception, notre corporalité, notre connaissance, nos formations mentales, nos agrégats. Mais cette réalité hors de nos actes est fausse, Il n'y aurait pas par exemple, d'un coté l'immanence et la transcendance, tout cela sont des concepts réducteurs qui invente une réalité imaginaire, fausse parce quand elle s'oppose à la vérité du dharma et invente une chimère d'une réalité humaine qui puisse être réduit à des concepts, car l'expérience des agrégats ne peut être dualisé, ni ramené à une entité individuelle. Croire en cela, c'est croire en des chimères. Pas plus qu'il existerait d'un côté le noumène et de l'autre le phénomène. Ils défendent des illusions mentales, inventent des concepts, des doctrines, qui n'ont d'autre réalité que les cornes d'un chameau qui sont une illusion qui ne démontrent rien sauf qu'ils en sont.

Abstraction conceptuelle illusoire

Michéa affirme que le fait d'être, érudits, poètes, écrivains, philosophes, intellectuels, ce que l'on étudie à l'école, cela a un rapport avec la morale, alors qu'il n'y a pas de lien. Ainsi, il établit même une hiérarchie et prétend nous l'imposer à nos esprits inférieurs, car sous cultivés, car ne comprenant pas un mot important dans un devoir de philo au Bac. Pour la personne qui oublie toujours la signification des mots imbéciles et stupides, de l'idiotie chimérique conceptuelle, comme noumène, c'est un bonheur de l'esprit, vous êtes le dîners de con. Ainsi avec des sujets dont on se torche le cul moralement, car pour n'avoir pour toute sagesse que celle d'un bidet conceptuel d'abstractions chimériques. Mais la morale ne dépend pas d'argumentaires, de rhétoriques, de bons mots, de belles phrases ou constructions, c'est notre rapport avec nos actes produits par les cinq sens et le mental. C'est l'expérimentation de la réalité des agrégats qui nous permet de le comprendre, c'est ce qui produit la souffrance, et les moyens que je vous donne de vous en débarrasser. Hors de s'attacher à des idées et des concepts qui sont que des illusions, car il nous éloigne de la morale en créant des conceptions qui sont des chimères qui n'existent pas dans la réalité de nos actes, crée des abstractions mentales conceptuelles illusoires.
Noumène en est un, vous employez des concepts qui n'ont pas de réalité, comme altérité, et vous faites de la rhétorique dessus, il n'a rien d'extérieur à soi, l'autre est nous même. Alors que la réalité de l'identité de tous les êtres est une vérité, exprime une réalité, son antonyme, ce n'est pas le cas. Car discuter de cela par la rhétorique est une chimère qui nous éloigne de la vérité, et nous empêche de la découvrir. Que quelqu'un ne comprenne ce que je dis à propos du concept d'altérité, quelque part il n'a pas la foi et il n'est pas logique, il ne comprend que nos actes, notre karma, dépendent de la sphère sensorielle et mental et qu'essayer d'inventer autres choses en employant des mots et concepts comme noumène et altérité, sont sources de chimères et de fausses vues dans lesquels s'enferment les philosophes.

-Celui qui se considère que par les autres, qui ne voit que les autres, n'aime pas son image.
Jaloux
Titans
Déterminé à mener les choses à bien.
Laure Adler, Elisabeth Guigou, Vikash Dhorasso, Thierry Ardisson, Ségolène Royale, Brigitte Bardot, Michel Fugain, Benoit Hamon, Anaïs Bouton, Emmanuel Macron.
Formation mentale
Shiva
Maitreya
Vois l'autre

-Celui qui se considère que par lui même, autre image de lui même, mauvaise image de soi.
Narcissique
Humains
Conscience de l'identité de tous les êtres.
Les Bogdanovs, Fabrice Midal, Jean Claude Bourret, Didier Deschamps, Michel Platini, Fog, BHL, Nicolas Sarkozy, Christine Angot, Jean Marie Le Pen
Ressentie
Vois l'identité de l'autre

-Celui qui se considère autrement que par lui même, voit que lui même, image de soi destructrice.
Orgueil
Esprits avides
Amour de tous les êtres
Laurent Ruquier, Jean Pierre Petit, Nicolas Hulot, Nicolas Dupond Moretti, Patrick Balkany, Jimmy Hendrix, Charles Consigny, Nadine Morano
Perception
Vishnou
Siddhartha
Vois les autres

-Celui qui se considère que lui même, différence image de lui même, fausse image de soi.
Colère, haine.
Démons
Acceptation tranquille du bon comme du mauvais
Etienne Klein, Jean Pierre Chevènement, Jean Luc Mélenchon, Eric Zemmour, Zinedine Zidane, Olivier Delamarche, Alain Finkielkraut
Corporalité
Vois le pareil de l'autre

-Celui qui se considère plus que lui même, surestimation de son image, adore l'image de soi.
Ignorance
Dieux
Connaissance du Dharma
Laurent Joffrin, Jean Daniel, Donald Trump, Jean François Copé, Laurent Fabius, Eric Naulleau, Bernard Tapie, Carla Bruni, Philippe Béchade, Jean Claude Michéa
Connaissance
Brahma
Vois l'autre pareil que lui même

FranckBarron
Niveau 2
01 janvier 2023 à 00:04:51

Non je (nibbana)

Alors vos dissertations, thèse, antithèse, synthèse, pourquoi un plan en deux ou trois parties, pas quatre ou plus ? Pourquoi opposer les choses ? Il existerait une synthèse ? Pourquoi faire des parties séparés ? Tous cela est purement artificiel, cette exercice inventé ne représente rien, personne n'écrit ou ne lit des livres de dissertations, par-contre ils nous ennuie avec.

Voir le point de vue de l'autre, par exemple il est nécessaire d'être égoïste pour vivre, alors que la vérité émotionnelle dit le contraire, et dire qu'il faut le comprendre et le partager est absurde, et en faire une synthèse encore plus. Ce n'est pas un pré-découpage, une opposition fictive qui apportera une vérité dans un exercice qui par définition invente des pré-jugements dans sa conception même, si le point de vue de l'autre est le suicide, tu n'inventes pas des arguments pour cela.

Ainsi le philosophe qui croit au concept se fait avoir par l'illusion des mots en leur donnant une réalité, alors qu'ils n'en ont aucune. La réalité est au-delà des mots. Le sens et la vérité ne sont pas individuels, alors qu'ils sont interprétés par des esprits individuels, les mots sont sujets au discrimination, alors que le sens et la vérité ne le sont pas. Ce qui n'empêche pas les mots d'exprimer la vérité, sinon il n'existerait pas d'enseignements, tant qu'il ne dévie pas du sens qu'ils expriment.

Par conséquent, ce n'est pas en essayant de définir le bonheur par l'approche rhétorique d'une dissertation, que vous saurez si cela existe, ni en définissant le langage que vous ne vous ne serez pas prisonnier de concept, c'est du bavardage intellectuel, distrayant pour l'esprit que l'on peut imaginer que certains y prennent plaisirs comme face au charme, à la logique, ou même au génie des mots et des phrases. Pendant que le philosophe s'occupe des préoccupations du corps et du plaisirs des sens, ou ne va pas au delà des affaires qui se passe dans le monde, il ne s'occupe pas de la préoccupation des sages.

Ainsi votre philosophie se sert d'une même phrase pour dire des choses différentes basé sur l'abstraction conceptuel comme logique d’appuie de vérité, comme si le raisonnement était la base de la réalité qui si trouvait, car elle-même échappant à toute détermination, car les mots ne peuvent exprimés la vérité de la connaissance, du ressenti, de la perception, des constructions mentales, de l'attirance à la forme. Au moyen de la sphère sensorielle, la vue, l’ouïe, l'odorat, le goût, le touché, le mental, ce que vous percevez, ressentez, connaissez, votre attirance à la matérialité, au corps, à la forme, vos constructions mentales, ne peuvent être vus comme une individualité, car c'est inconstant, car cela ne prend naissance nulle part, ni ne finit nulle part, c'est une illusion, vide de soi, vacuité.

C'est pour cela que les sots qui se complaisent dans les mots n'ont pas compris que les mots sont une création de l'esprit, et n'existent pas par eux-mêmes et ne peuvent décrire la réalité qui est sans individualité, ainsi il y a non perception, non ressenti, non connaissance, non attirance à la forme, non constructions mentales, non individualité de nous-même.

FranckBarron
Niveau 2
01 janvier 2023 à 01:29:23

Imaginez que j'aille exposer le dharma dans une salle, 90% riraient comme des idiots, si c'est le Dalai lama, bien entendu (une secte fait de moines corrompus sans aucune réalisation). Vous comprenez cela dérange, leur certitude, ce qu'ils pensent, cela les met mal à l'aise, et comme ils sont lâches. Parce que sur le fond, cela ne va jamais bien loin.

FranckBarron
Niveau 2
01 janvier 2023 à 01:48:53

L'ignorance est la cause de la souffrance, l'ignorance est de croire à l'existence d'un moi, hors cela est contraire à la vérité que tout les phénomènes sont interdépendants. La douleur, la lamentation, le chagrin, tristesse, désespoir, naissent de cette appropriation à un soi, hors tout est vides d'existence propre, c'est la vacuité. Cette appropriation à un soi est ce qui provoque un égo qui est cause de souffrance, l'attachement à un devenir, à une jouissance qui sont que des facteurs transitoires car tout est impermanent, est donc vide d'existence propre. Cette ignorance est cause de formation mentales qui naissent avec la conscience des cinq sens et du mental, ils créent des phénomènes physiques et mentaux, qui créent un désirs un attachement, un devenir. Hors tout est vacuité, le soi n'existe pas, prétendre le contraire c'est créer un attachement un désir qui créaient de la souffrance à un moment ou un autre. Cette appropriation à un soi crée un devenir, naissance, vieillesse mort et renaissance. L'être éveillé n'a plus de flux de penser crée par un ego, par l'ignorance qui croit à l'existence d'un soi. Il n'a plus de devenir donc de renaissance. Il est dans le nibbana, il est comme une pièce chauffé à blanc qui refroidit instantanément par ce qu'il n'a plus de désirs crées par un moi.

Vinaigrepuant
Niveau 6
01 janvier 2023 à 14:27:29

Nous sommes en réalité la même personne. Notre réalité est probablement un rêve. Chaque actions que le rêveur fait, nous affectes nous les personnages de rêve.

En réalité il a le total contrôle sur nous car nous sommes lui. Nous ne sommes pas 8 milliards mais 1

RamBat
Niveau 1
01 janvier 2023 à 20:46:29

C'est difficile de vous répondre vu le nombre de points que vous abordez.
Je vais donc me limiter pour le moment à un point précis.
Vous dites :
L'ignorance est la cause de la souffrance, l'ignorance est de croire à l'existence d'un moi, hors cela est contraire à la vérité que tout les phénomènes sont interdépendants. La douleur, la lamentation, le chagrin, tristesse, désespoir, naissent de cette appropriation à un soi, hors tout est vides d'existence propre, c'est la vacuité. Cette appropriation à un soi est ce qui provoque un égo qui est cause de souffrance, l'attachement à un devenir, à une jouissance qui sont que des facteurs transitoires car tout est impermanent, est donc vide d'existence propre.

L'ignorance n'est pas la cause première de la souffrance.
Il me semble plus juste de dire que c'est le changement qui est la cause de la souffrance.
Et vous le dites mieux un peu plus loin en parlant de "l'égo attaché à".
Effectivement, même attaché à une voie impliquant un changement graduel, il n'y aurait pas de changement et donc pas de souffrance alors qu'il y a un apparent changement (c'est en gros la dérivée d'un courbe, qui serait constante) et c'est à contrario un changement dans ce changement permanent (par exemple la lente pente vers la vieillesse qui aurait des a-coup, la crise la quarantaine etc) qui serait ressenti comme un changement.

On retrouve d'ailleurs aussi ce concept dans la liturgie chrétienne avec les "douleurs de l'enfantement".

Pour rendre tout ceci plus clair : L'égo est justement cette permanence attachée à l'être. Un défaut de la matière si on veut, puisque l'être libéré de l'égo peut permettre de cesser de souffrir en se permettant d'être libre (changeant).

RamBat
Niveau 1
01 janvier 2023 à 21:00:08

Le 01 janvier 2023 à 14:27:29 :
Nous sommes en réalité la même personne. Notre réalité est probablement un rêve. Chaque actions que le rêveur fait, nous affectes nous les personnages de rêve.

En réalité il a le total contrôle sur nous car nous sommes lui. Nous ne sommes pas 8 milliards mais 1

J'aime bien aussi ce point de vue.
Il est possible que tous les êtres humains ne soient qu'un, qu'on pourrait appeler Adam "le premier".
C'est un point de vue intéressant si on suppose que l'esprit (d'Adam le premier donc) peut s'exprimer sur Terre (au niveau du monde matériel) en investissant la matière ("la terre", sans majuscule).
C'est la considération opposée à celle proposée par les constructivistes, qui disent que l'esprit serait produite par le cerveau, comme la bile par le foie.
Ici, c'est l'esprit qui s'incarne partiellement (une partie d'Adam, qui serait, lui, plus grand qu'un individu terrestre) dans un corps compatible à son expression.

Ici, l'esprit existe avant le corps, et c'est le corps qui limite son expression au lieu que ce soit le corps qui fasse exister l'esprit.

FranckBarron
Niveau 2
03 janvier 2023 à 00:49:33

Mes enseignements complets : https://dharmabarron.blogspot.com/

FranckBarron
Niveau 2
05 mars 2023 à 04:22:55

Il faut que vous fassiez disparaître la prétention 'je suis', la perception de l'inconstance sert à faire disparaître celle ci, celui qui perçoit l'inconstance, le perception du non soi s'installe, celui qui perçoit le non soi, le déracinement de la prétention 'je suis', c-a-d atteint l'extinction du monde visible.

xxxtentadeus
Niveau 8
05 mars 2023 à 16:50:04

hmm

BzzzzBz
Niveau 7
05 mars 2023 à 19:40:25

Imaginez, des milliards de golems manipulés depuis le début de cette secte par ces conneries dignes d'un conte pour enfants. Qui ont façonné les institutions de leur société en prennant pour socle les préceptes de leur gourou

Histophi
Niveau 7
05 mars 2023 à 22:48:07

celui qui l"encule je le feed

FranckBarron
Niveau 2
26 mars 2023 à 07:09:28

Les ignorants inventent de fausses discriminations, s'enfoncent dans de fausses vues, de fausses imaginations en distinguant des marques individuelles, imagine une substance du soi, une âme doté d'une existence propre, alors qu'il ne s'agit que de ce qui est vue par l'esprit lui-même. Ils discriminent entre le bien et mal, porte un jugement, s'attache à ce qui est agréable, à leur ignorance, qui produit colère, avidité, folie, en voulant distinguer des marques individuelles. Le philosophe, suivant l'exemple de l'ignorant, crée des mots et des concepts, par la rhétorique et la logique s'imagine que les mots tirent leur existence de tout sujet qu'ils expriment, lesquels sujets sont considèrés comme ayant une existence propre. Les philosophes font une discrimation de sens, en cherchant des marques individuelles et s'enferment dans la folie à cause de cela, ils discriminent erronéement ce qui est produit par l'esprit lui-même.

FranckBarron
Niveau 2
07 avril 2023 à 22:52:26

Transmission

La vrai transmission de maître à disciple est de comprendre par ses propres moyens ce qu'on vous tente de vous proposer, pas d'entendre la logorrhée de quelqu'un assis sur son fauteuil, pas d'essayer de comprendre le sens d'un texte, c'est indispensable parce que seul la personne concerné est capable d'agir pour elle-même. C'est une transmission orale pour que ce ne soit pas lettre mais l'esprit de la loi, pour que ce ne soit pas le mot mais le sens, pas celui de quelqu'un d'autres mais le vôtre, ce que vous avez compris, en ayant vérifié par vous-même. Les langues et les cultures évolueraient, la compréhension de l'être humain resterait toujours la même tant que vous pouviez être encore capable de faire votre avis.

Chiyochan
Niveau 50
24 mars 2024 à 10:22:47

Pour transmettre et enseigner, il faut être accessible, clair, concis.

Vos premiers messages, trop longs, sont comme exprimé plus haut illisibles pour la plupart des gens, bien qu'intéressants, constructifs et pertinents :hap:

Le 05 mars 2023 à 22:48:07 :
celui qui l"encule je le feed

Ce topic manquant de femme, voici le témoignage très concret de Valérie Guéneau Yâsho https://www.kanshoji.org/teisho-conferences/temoignage-de-yasho-valerie-gueneau-sur-la-vie-monastique/ ou https://youtu.be/BhCh48TbvtQ pour une des ses transmissions orales :ok:

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Sujet : Bouddhisme
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