Savoir & Culture

Bonjour,

Voila j'ai une question, cette phrase "je pense donc je suis" veut tout est rien dire, si je comprends bien si je pense je prouve que j'existe très bien cependant, comment prouver à une personne que je pense , c'est là où est le piège, la personne devant moi me dira la même chose qu'il est capable de penser donc qu'il existe.
je pense moi mais comment prouver que les autres pensent également ? Et inversement si je fait partie des autres et qu'une personne se pose la question comment puis je prouver à cette personne que je pense donc que j'existe. je suis conscient de mon existence mais donc j'existe mais les autres comment prouver qu'ils existent. Comment prouver qu'ils sont conscient ? c'est vachement individualiste cette phrase. Ou bien peut être que c'est moi qui ai mal interprété cette phrase de Descartes ou bien je me complique la vie.

je pense que tu as très bien compris.
L'autre est un mystère, un pari!

J'ai déja rencontré des gens sur lesquels j'ai émis de sérieux doute sur la pensée.
Et quand tu vois la population, c'est pas forcément évident non plus.

J'avais émis une époque la théorie que l'on était pas tous humain, ou qu'humain n'était pas suffisant.

Du style: il y a les sapiens, et les doubles sapiens, qui coexistent et se ressemblent.

Maintenant j'ai laissé tombé, je ne me pose plus la question. J'interagis et si l'autre est digne d'interet, je poursuis l'interaction.
La dernière fois j'ai parlé pendant 1h a Cleverbot.

Je savais pertinemment que je parlais a un programme, mais j'y trouvais un interet, comme face a un jeu vidéo.

La nature de l'autre est pour l'instant toujours hors de ma portée, et pour l'instant je n'ai pas l'impression qu'elle soit importante au point que j'ai à trancher.

c'est là où est le piège

Quel piège ?

La conscience de l'autre arrive ultérieurement dans le développement de Descartes. Il n'a jamais prétendu la justifier avec cette seule phrase.