Savoir & Culture

Bonjour je crée ce sujet afin de permettre aux personnes intéressées de poster leurs écrits philosophiques personnels et en même temps de créer des discussions autour de l'acte de rédaction philosophique.

Je commence humblement avec quelque chose situé entre le stoïcisme et le nihilisme.

Inutile de prendre en compte l'avis de personnes contradictoires dans leur mode de fonctionnement global, il en résultera des réactions hystériques totalement déplacées auxquelles il n'y aura rien à répondre car il vaut mieux laisser ces personnes dans leur ignorance que d'essayer d'élever leur psyche.

Inutile d'essayer de calmer quelqu'un de belliqueux même lorsque cette personne est de bonne humeur, les erzats de bipolarité latente de ces individus ne mènent que trop souvent à envenimer un problème créé de toute pièce à des fins obscures.

Inutile de croire au miracle dans une situation désespérée, il est strictement vain de fonder des espoirs envers l'apparition de la moindre once de sympathie et d'aide extérieure aussi petite et gratuite soit-elle.

Inutile de te préoccuper de cet amour factice reçu de la part d'hypocrites en puissance inconscients de leur nature et trop ignorants que pour avoir ne serait-ce qu'un brin de lucidité, seule la déception remplira ton cœur quand tu réalisera le gouffre profond qui te sépare d'eux et toi.

Inutile de vouloir tisser des liens avec des gens avec qui tu n'as rien en commun, il en résultera toujours des relations fades où l'un voudrait dominer l'autre pour donner un sens à la relation.

Inutile.

Tout ceci est inutile.

Je comprends pas tout (j'ai un Qi de 87)

J'écrit d'avantage des pensées résumer, mais voici quelques idées que j'ai déja partagée et qui je trouve, sont les pilliers majeurs des quelques textes que j'ai pu assemblé.

<<Si la vérité est belle, il ne faut pas salir en la cherchant, tandis que si elle est taché de sang, peut etre ne devrions nous jamais la connaitre.>>

Ça découle d'une reflexion plus vaste, sur la réalité et ses importance, la sagesse aussi.

Une qui est vieille maintenant, mais à donné lieu à mes meilleurs idées, j'en ai plusieurs version.

<<Penser que le vrai savoir se trouve au sommet, c'est penser, si je ne me trompe pas, le situer et prétendre le connaître avant même de l'avoir vu. Ainsi, je préfère penser qu'il est partout, tout en admettant la possibilité de mon incapacité à le localiser. S'il n'est pas partout, il sera au moins possible pour moi, qui n'y ai pas accès, de me dire qu'il est quelque part où je n'ai pas idée, me laissant la probabilité de le voir involontairement au détour d'un virage. Le savoir, s'il se sent joueur et souhaite tordre mon esprit, peut-être me demandera-t-il de lui expliquer ce que je considère comme un lieu, si je parviens à répondre à ce que je crois être le sommet.>>

L'idée est de cernée un savoir, une vérité, sans jamais la forcé ou l'offensé, cela se couple avec des texte ou je compare la relation de l'adepte, du disciple, à une relation d'attirance envers sont objet, le domaine. Ici, j'ai ajouté une nouvelle ligne à mon abre, je disais que les mots étaient, symboles, concepts, et idées, et que chacun d'entre eux est interchangeable, mais j'avais oublié les lieux et les domaines.
D'ailleurs, ma dernière reflexion que je ne partage pas encore, est une compréhension bien plus vaste et profonde de cela.

Petite phrase touchante sortie d'un texte entre une immortel et un réincarné, simplement car il est plaisant d'envisagée de jolie choses.

<<Tu as voulu mourir pour m'oublier, je n'ai jamais cesser de vivre pour te revoir>>

Voila, je porte ma reflexion vers des horizons agréables, mais égallement pratique et je l'espère enchanteresque car une pensée étendues partagée se doit selon moi d'apporté au monde et aux suivants plus qu'elle ne leurs prend.