Il est du rôle de l'être humain que de changer. Toutes dictatures impliquent un état de non-changement. Tous systèmes impliquent sont taux de faibles qui veulent étatiser à l'extrême le système, même si cela peut altérer jusqu'à même la survie du groupe. Actuellement, il y a un système dictatorial, sans fondement, qui s'insère dans l'esprit, et l'esprit seulement, des gens : un monde que de femmes. Un monde sans hommes, sans masculin.
La psychiatrie nie la nature évolutive de la folie quant au système, et adopte inconsciemment la dictature misandrique qui est actuellement dans la mode dans les esprits les plus faibles. Voilà. Sans cette faiblesse, elle accepterait le rôle évolutif de la folie. Sans misandrie, il n'y aurait pas de psychiatrie.
La dame est souvent menacée par le fou.
On est chez les fous
J’ai lu ton pavé j’ai mal aux yeux maintenant
Seul un non initié, un inculte ou un inconscient considère que la folie peux être accepter en société.
Je suis fou, j'ai fait mon lot de psychoses et je sais que laisser ma folie évoluer mènerait inévitablement à des préjudices pour les autres qui m'entour et/ou moi-même.
La psychiatrie est certes imparfaite ou même débutante (il n'y a pas si longtemps, elle électrocutait les homosexuels, les considérant comme ayant un trouble psychiatrique), mais elle est nécessaire pour traiter les "esprits tourmentés", les gens potentiellement dangereux et instables comme moi.