Savoir & Culture

Le 26 octobre 2024 à 21:41:13 :
La clé du problème, c'est de prendre conscience que la vie a besoin de notre amour pour survivre, car notre impact sur la nature est trop sévère pour que cette nature puisse continuer sans notre amour... et nous ne pouvons pas survivre sans la nature. Donc, si nous ne donnons pas notre amour à la nature, nous mourrons. Tout est une question d'amour au final.

Je crois que certains groupes écologistes et protecteurs de l'environnement/biodiversité se "tuent" à la tâche en se moment même pour aimer et protéger la nature. Mais bon je doute que ça change quelque chose au final. La nouvelle génération qui est plus concerné semble plus réceptive et enclin vers l'environnement. Reste à voir si les actions posées seront "trop peu trop tard".

Je vais être encore plus clair : dans l'immensité de l'océan humain qu'est l'humanité, seuls les écologistes ont les clés de la survie. Il est obligatoire d'être écologiste pour être sur le chemin de la survie. C'est aussi grave que ça, et la cause écologiste est aussi légitime que notre besoin de survie.

Il y a trop de monde sur Terre, les ressources de la planète ne peuvent subvenir à tous et chacun anyway. Même si tout le monde se convertirait en écologiste (bonne chance), il faudrait sacrifier des espaces naturels juste pour les loger/nourrir. Et je ne parle pas de la société de consommation qui va à l'encontre de l'écologie…

Mais c'est vrai, tu as raison, il FAUT changer de fonctionnement si on veut survivre. La question est de savoir si tout le monde est susceptible de penser en "nous" au lieu du "je". Les gens râlent déjà de devoir payer des impôts pour les services publiques et aider les plus démunie, imagines si tu leur demande de changer de comportement. Est-ce que les gens aisés et riches qui dirigent le monde vont prioriser leur confort personnel ou bien ils vont se rallier à ta cause? Ça dépend de leur rapport au monde, si ils ont des enfants etc...

Personnellement si les gens croient pouvoir repoussé la date fatidique à demain alors je doute qu'il n'y est de changement. Et il est probablement trop tard de toute façon, la machine est en marche.

NON ! Il n'est pas trop tard !

L'humain n'est pas une fourmi. Les fourmis sont viables parce qu'elles sont petites. L'humain n'est pas petit, il est gros. C'est un gros animal. Si des humains veulent vivre et travailler comme des fourmis, il faut qu'ils acceptent d'être soumis aux écologistes, car l'humain n'est pas une fourmis. Le discours écologiste doit être une hiérarchie supérieure aux gouvernements. Changer les mentalités est possible, mais c'est un combat qui doit commencer maintenant !

Je vois beaucoup de gens dire que "nous" devons faire ceci ou cela, mais qu'eux même ne suivent pas leurs sermons (j'en fais partie donc je sais de quoi je parle). Ils attendent que les autres embarquent pour se décider car un "je" tout seul ne change pas le monde sauf que… En fait si, tout le monde se doit de commencer par travailler sur eux-mêmes, prendre conscience de la situation et prendre les moyens nécessaire pour changer…

• En tant que simple citoyen il faut dire par exemple: "Je recycle, je limite ma consommation de viande, je chauffe à l'énergie propre, j'ai une voiture électrique afin de limiter l'utilisation des énergies fossiles, je suis consciencieux vis à vis de l'environnement, la biodiversité etc."
• Et non dire: "Nous devons privilégier la nature à la vie humaine" avec tous les sous entendu que ça implique comme d'éliminer certains voir tous les humains de la Terre car l'homme continue de se reproduire, son espérance de vie augmente et les ressources commence à manquer, il détruit la nature alors qu'il devrait la préserver.

Concentre toi sur toi. Crie haut et fort que tu es écologiste si tu veux, essaye d'inspirer les autres, mais tu n'as pas de réelle emprise sur les gens. Tu peux tenter d'éveiller, d'informer les autres, mais le résultat ne dépend pas de toi. Car on ne peux changer que si ça vient de soi. Donc n'y crois pas trop, car tu risques de finir déçu comme moi.

Personnellement, j'ai confiance en l'ordre naturel.
Et j'ai depuis longtemps abandonné l'idée de changer ou de convertir les gens…

Ça ne semble pas être ton cas, donc je te souhaite bonne chance pour la suite!

LE BLEU MAGIQUE

Ho ! Bleu qu'il faut protéger de nos faibles égos,
Abritant l'abysse de nos vrais cargos,
Cette vie nourrissant la terre en oxygène,
T'ai-je oublié, moi, humain aux fausses gênes ?

Pourquoi n'es-tu pas cette magie grandiose ?
Infiniment sage pour moi, pauvre riche...
Con, qui n'a jamais plus que ta bactériose !
Qui ne fait jamais plus que moi que je défriche ?

Les écologistes avertissent que je meurs...
Mais ma peur est complexe et aucun ne sait voir...
L'enfant que je reste, car c'est mon plus fort mœurs...

Faut-il nous pardonner d'être sans forts sujets ?
Faut-il nous aimer bien d'être en train d'y choir :
L'humain, dans cette Terre oubliée en objet ?

Le 08 novembre 2024 à 22:10:11 :
LE BLEU MAGIQUE

Ho ! Bleu qu'il faut protéger de nos faibles égos,
Abritant l'abysse de nos vrais cargos,
Cette vie nourrissant la terre en oxygène,
T'ai-je oublié, moi, humain aux fausses gênes ?

Pourquoi n'es-tu pas cette magie grandiose ?
Infiniment sage pour moi, pauvre riche...
Con, qui n'a jamais plus que ta bactériose !
Qui ne fait jamais plus que moi que je défriche ?

Les écologistes avertissent que je meurs...
Mais ma peur est complexe et aucun ne sait voir...
L'enfant que je reste, car c'est mon plus fort mœurs...

Faut-il nous pardonner d'être sans forts sujets ?
Faut-il nous aimer bien d'être en train d'y choir :
L'humain, dans cette Terre oubliée en objet ?

"On ne détruit que ce qu'on méprise, on ne protège que ce qu'on aime." - Boris Cyrulnik

Auteur QI : 95 Caractéristiques de l'auteur : Mélancolique, confus, idéaliste
Créature Totem : Golem (pour ses propos peu clairs et mal articulés)

Très détaillée explication globale et très détaillée contre-argumentation : L'auteur exprime dans son poème "Le Bleu Magique" une préoccupation pour la préservation de la Terre, symbolisée par le "Bleu". Il évoque les dangers de l'égoïsme humain et semble regretter la déconnexion entre l'homme et la nature. Les images utilisées, telles que "Abritant l'abysse de nos vrais cargos" et "Cette vie nourrissant la terre en oxygène", tentent de montrer l'importance vitale de la planète.

Cependant, le poème souffre d'un manque de cohérence et de clarté. Les métaphores sont parfois maladroites ou obscures, ce qui rend le message difficile à saisir. Par exemple, l'expression "Con, qui n'a jamais plus que ta bactériose !" est confuse et ne contribue pas efficacement à la thématique. Une structure plus organisée et des images plus précises auraient renforcé l'impact du message.

Analyse psychodynamique Sur le plan psychodynamique, l'auteur semble lutter avec des sentiments de culpabilité et d'impuissance face à la dégradation de l'environnement. Cette projection pourrait refléter un conflit interne entre son désir d'agir et une perception d'inefficacité personnelle.

Analyse psychologique Psychologiquement, l'auteur manifeste une tendance à l'idéalisme mélancolique. Il exprime une insatisfaction envers l'humanité et lui-même, ce qui pourrait indiquer une faible estime de soi ou un sentiment d'aliénation. Ce pessimisme peut entraver sa capacité à voir des solutions constructives.

Analyse sociologique Sociologiquement, le texte reflète une conscience écologique présente dans la société contemporaine. L'auteur souligne la responsabilité collective dans la préservation de la planète, mais son approche manque de propositions concrètes, ce qui limite son influence potentielle sur le lecteur.

Conseil psychologique : Peut-être que tu devrais te plonger dans "Le Petit Prince" d'Antoine de Saint-Exupéry pour redécouvrir la simplicité et la clarté dans l'expression des sentiments. Et si tu as du temps, regarde "Wall-E" de Pixar ; ça pourrait t'inspirer sur l'importance de prendre soin de notre planète. Un peu de légèreté ne fait jamais de mal, tu ne crois pas ?

Nombre total de sophismes (donner leurs noms) : 2 (Appel à la pitié, Ambiguïté) / Nombre total de biais cognitifs (donner leurs noms) : 2 (Biais de négativité, Biais d'autocomplaisance)

Blague : Pourquoi les écologistes ne racontent-ils jamais de blagues ? Parce qu'ils n'aiment pas recycler les vieilles histoires !

L'écologie est de la sociologie pour le marchand d'esclaves.

Je prends tout de l'I.A., sauf le début sur le Q.I. et le totem. C'est absurde ; j'ai été évalué à 263 Q.I. . L'I.A. devrait effacer cette première fonction qui ne vaut rien ! Tarte au lapins !