Le 01 novembre 2024 à 14:42:19 :
Le 31 octobre 2024 à 23:15:51 :
Le 31 octobre 2024 à 23:13:54 :
Pour te répondre Hegel ne prétend pas que l’on puisse connaître son en soi d’une manière directe, la conscience de soi se construit justement à travers un processus dialectique, dans lequel l'individu découvre et transforme sa propre nature par rapport aux autres et à travers les structures de la société.
On ne connaît pas son en soi isolément ou sans filtres, mais plutôt en se confrontant à une série de médiations, c’est-à-dire à des structures sociales, culturelles et historiques, qui façonnent notre être.Je parlais de Schopenhauer Hegel n'intéresse plus personne il a été débunké 100 fois hein
Hegel poutre schopenhauer puissance dix mille
en quoi Schopenhauer n'aurait-il pas aussi, comme Hegel, reconstruit l'idée de la chose en soi selon sa propre perspective subjective ?
Qu'est ce que tu racontes encore toi
Hegel c'est celui qui a réfuté l'inconnaissabilité de la chose en soi
En montrant l'unicité objective entre la chose avec ses propriétés
Les dernières étant le contenu objectif de la première
Il a repris Kant et a dépassé les limites épistémologiques que l'autiste a imposé en intégrant la chose en soi et ses propriétés. La chose en soi est un processus dynamique qui se dévoile au fur et à mesure que l'Esprit progresse dans la compréhension de lui-même.
Avec Hegel la réalité n’est pas divisée en parties disjointes mais une totalité dialectique qui s’approfondit constamment. Il va bien plus loin que le simplet de Schopenhauer qui simplifie la complexité du monde en laquelle il n'entend rien.
Parler d'une prétendue niaiserie hégelienne en prenant pour idole un looser aigri est donc plutôt comique
Le 01 novembre 2024 à 17:35:42 :
la valeur d'un homme est un songe, un mirage
il y a zero gloire, personne te connait, tu ne te connais pas toi-meme, et tu n'es pas là de ton choix.
les femmes ne savent pas vraiment choisir un partenaire, la valeur qu'elle te donne est erronée. elles aiment les menteurs et les enigmes et en particulier ceux qu'elles ne peuvent pas dompter
Les menteurs imposent un point de vue pour exercer un pouvoir, et par le même, ils s'imposent eux-mêmes dans le petit jeu des relations interpersonnelles.
Les femmes ont bon goût.
Le paradoxe étant que ceux qu'elles ne peuvent pas dompter ce sont ceux qu'elles domptent le mieux.
Un manipulateur est facilement manipulable dès lors qu'il croit en sa toute puissance. Ici s'opère un jeu dialectique du conflit entre deux manipulateurs, le manipulateur patent d'un côté, et de l'autre, latent.
Les deux jouissent d'une liberté differenciée. L'homme a une liberté partielle essentiellement concrete, du pouvoir. La femme, elle, a une liberté plus discrète, dissimulée par un fard de loyauté et de soumission, les qualités que l'homme apprécie, et qui lui donne une marge de manœuvre qu'un homme n'aperçoit pas.
Les femmes exercent donc le pouvoir concret par procuration avec l'intermédiaire de leur homme qui croit agir comme bon lui semble.
C'est le triomphe d'une liberté où chacun n'en dispose que d'une part quand les deux se conforment le mieux à ces archétypes car les deux trouvent leur compte.
Le 02 novembre 2024 à 00:06:40 :
Le 01 novembre 2024 à 17:35:42 :
la valeur d'un homme est un songe, un mirage
il y a zero gloire, personne te connait, tu ne te connais pas toi-meme, et tu n'es pas là de ton choix.
les femmes ne savent pas vraiment choisir un partenaire, la valeur qu'elle te donne est erronée. elles aiment les menteurs et les enigmes et en particulier ceux qu'elles ne peuvent pas dompterLes menteurs imposent un point de vue pour exercer un pouvoir, et par le même, ils s'imposent eux-mêmes dans le petit jeu des relations interpersonnelles.
Les femmes ont bon goût.
Le paradoxe étant que ceux qu'elles ne peuvent pas dompter ce sont ceux qu'elles domptent le mieux.
Un manipulateur est facilement manipulable dès lors qu'il croit en sa toute puissance. Ici s'opère un jeu dialectique du conflit entre deux manipulateurs, le manipulateur patent d'un côté, et de l'autre, latent.
Les deux jouissent d'une liberté differenciée. L'homme a une liberté partielle essentiellement concrete, du pouvoir. La femme, elle, a une liberté plus discrète, dissimulée par un fard de loyauté et de soumission, les qualités que l'homme apprécie, et qui lui donne une marge de manœuvre qu'un homme n'aperçoit pas.
Les femmes exercent donc le pouvoir concret par procuration avec l'intermédiaire de leur homme qui croit agir comme bon lui semble.
C'est le triomphe d'une liberté où chacun n'en dispose que d'une part quand les deux se conforment le mieux à ces archétypes car les deux trouvent leur compte.
Bah moi je pense que c'est le plus grand philosophe de tous les temps, mais faut que tu étudies la chose plus en profondeur avant de te prononcer. Ce que tu dis de Schopenhauer est superficiel et ne semble pas reposer sur un examen critique de son œuvre. Et puis je suis pas d'accord quand tu dis que la philosophie est arrivée à son but final avec lui. Il y a plein de clés qui manquaient à Schopenhauer pour formuler sa position avec la rigueur requise. Je songe notamment à la notion de conscience phénoménale, qui est aujourd'hui capitale pour toute métaphysique prenant la conscience au sérieux.