Actualités

En juin 2021, le brigadier Christophe a violenté une femme enceinte de huit mois. Sur la base du témoignage de ses deux collègues, qui ont largement critiqué son action, la justice l’a condamné à quatre mois de prison avec sursis.

Tribunal de Bobigny (93) - « Il faut remettre le contexte. Madame était tendue, j’étais tendu, mes collègues étaient tendus. » Face à ces propos du brigadier Christophe, le juge l’arrête aussitôt : « Vos collègues ont dit qu’ils étaient tendus par votre comportement. » Dans la salle presque vide de la 14e chambre correctionnelle, aux briques cramoisies apparentes, ce policier quadra répond des violences qu’il a infligées le 21 juin 2021 à Maryam, une femme alors enceinte de huit mois, à Rosny-sous-Bois (93).

Si la condition de la victime et les cinq jours d’ITT qu’elle a eus après les faits - avec plusieurs ecchymoses sur le cou ou les bras - heurtent le tribunal, c’est surtout le désaccord des deux collègues du brigadier qui interroge les magistrats. Pas présent à l’audience, le duo a largement critiqué l’action de son chef d’équipage. Jusqu’à ne pas signer le PV d’interpellation qu’il avait rédigé, « pas conforme à la vérité » selon eux. Dans son réquisitoire, le procureur note la situation assez exceptionnelle :

https://www.streetpress.com/sujet/1675691675-policier-condamne-etrangle-femme-enceinte-violence-ile-france-justice-rosny

Les six mois d’interdiction professionnelle, requis par le procureur adjoint Loïc Pageot, n’ont en revanche pas été retenus par la cour. Mais le brigadier Christophe n’exercera plus à Rosny-sous-Bois. Il doit prendre un nouveau poste ce lundi dans une branche logistique de la police en Seine-Saint-Denis. Pour l’instant, loin du terrain.

Traduction ; Il est dans un placard jusqu'à la fin ( ou du moins une grande majorité de la fin ) de sa carrière.

Une condamnation pour des faits dans l'exercice de tes fonctions, pour ça dans le privé ce serait le licenciement. Pourquoi est-ce qu'un type condamné continue à porter l'uniforme, placard ou pas ? C'est le plus mauvais signal possible. Porter l'uniforme ça se mérite, ça devrait se mériter. Comment s'étonner de la perte d'autorité morale de la fonction dans le cas contraire ?

C'est juste un fait divers.
Par contre, il y a eu plusieurs affaires graves de crimes sexuels avec des policiers et des gendarmes récemment.
A mon avis, certains d'entre eux se croient intouchables.

Le 07 février 2023 à 19:06:00 :
Une condamnation pour des faits dans l'exercice de tes fonctions, pour ça dans le privé ce serait le licenciement. Pourquoi est-ce qu'un type condamné continue à porter l'uniforme, placard ou pas ? C'est le plus mauvais signal possible. Porter l'uniforme ça se mérite, ça devrait se mériter. Comment s'étonner de la perte d'autorité morale de la fonction dans le cas contraire ?

Parceque c'est 10x plus simple de licencier dans le privé que dans le public.

quatre mois de prison avec sursis.

Cela dit, la on a juste la sanction pénale ( donc de la justice ). On ne connaît pas encore la sanction administrative finale.

Bravo aux collègues intègres.

Ça me rappelle ce fait divers là. : https://www.bondyblog.fr/societe/police-justice/enceinte-deborah-perd-son-bebe-apres-une-interpellation-policiere/
Espérons que ces femmes obtiennent justice.

En gros il fait pas de ferme et il est muté dans un endroit moins sensible ce qui est une faveur lorsqu'on est un flic à Rosny. Tout est inversé, comme d'hab

Bodycam Bodycam Bodycam

On se croirait aux USA où de l'officier jusqu'au juge ils sont corrumpu et se protégent entre eux.
C'est pareil en France. Il devrait être viré et avec impossibilité de travailler de nouveau dans le service public.

Je vous ai déjà dit ça l'autre fois. Quand tous les citoyens français auront le réflexe de filmer les forces de l'ordre, d'apprendre leurs droits, avec bodycam et dashcam sur chaque officier de police, vous inquiétez pas que des violations de droit on en verrait fleurir des dizaines et des dizaines.

condamné sursis

Cherchez l'erreur.

Tu étrangles un quelqu'un, c'est 5 ans ferme

Donc sans ses collègues non seulement il n'y aurait pas eu sanction mais la victime aurait été condamnée pour un délit imaginaire.
Combien de personnes a-t-il aggressé en 17 ans?

En termes de sanction non seulement il ne prend que du sursis mais il ne perd pas son emploi.
Comme souvent sans le public on déplace le type dangereux, on met le problème sous le tapis.

Mais bien sûr L'IGPN suffit, tout va bien.

Elle serait blanche et s'appellerait Camille cette condamnation n'existerait pas et les collègues (très hautement placés si on était en 1940...) n'auraient jamais rien dit

Le 08 février 2023 à 08:11:17 :
Elle serait blanche et s'appellerait Camille cette condamnation n'existerait pas et les collègues (très hautement placés si on était en 1940...) n'auraient jamais rien dit

C'est cela oui, la justice de gauche s'acharne sur lui en somme.

Vilains collègues qui dénoncent un abus de pouvoir alors qu'ils auraient dû simplement la fermer et suivre les ordres.

Et ça ose évoquer la guerre

Il devrait être viré et eux récompensés pour avoir empêché un supérieur de nuire à une personne innocente.

Elle serait blanche et s'appellerait Camille cette condamnation n'existerait pas et les collègues (très hautement placés si on était en 1940...) n'auraient jamais rien dit

Sapristi, mais il s'arrête jamais celui-là.

Le 08 février 2023 à 08:50:24 :

Elle serait blanche et s'appellerait Camille cette condamnation n'existerait pas et les collègues (très hautement placés si on était en 1940...) n'auraient jamais rien dit

Sapristi, mais il s'arrête jamais celui-là.

Ça le fait chier que l'agresseur soit blanc et sa victime non.
Pas besoin de chercher plus loin.

"Ce 21 juin 2021, alors que les trois agents sont sur une mission de police secours, le brigadier part à la rencontre de Maryam, qui est à une centaine de mètres, en train de se disputer avec un couple de retraités. Très vite, le policier considère que la femme enceinte est « hystérique » et veut lui faire une palpation de sécurité. « Pour quelles raisons ? », demande le juge. « Pour voir si elle n’a pas d’objet dangereux sur elle et imposer l’autorité de la police », répond-il d’un ton martial. Il va même plus loin quand le juge interroge :

« Une femme enceinte de huit mois représentait un danger pour vous et vos collègues ?
Une femme enceinte qui était hystérique, oui. »"

Donc si on suit ce monsieur (qui semble être psychiatre) il a tenté d'étrangler une personne malade.

Je ne sais pas ce qui est le pire chez cette racaille au QI négatif: le diagnostic sorti du fion du Mordor, le mensonge éhonté ou la violence gratuite.

On dirait Cartman, le genre de déchet à gueuler "RESPECTE MON AUTORITAAAAY!" en agitant son tonfa.

Visiblement il ne s'attendait pas à ce que ses subordonnés mouftent...combien de personnes a-t-il agressé avant de les accuser salement?