L’ancienne chancelière a présenté son autobiographie au Deutsches Theater. Elle a livré des anecdotes sur sa vie au pas de course depuis la chute du Mur.
La salle du Deutsches Theater est comble pour la première des Mémoires d'Angela Merkel. Plus une place de libre dans les loges et sur les balcons. Une minute après l'ouverture de la vente en ligne, tous les billets étaient partis. Il y a ses anciens porte-parole, tous les journalistes politiques en vue du pays, le milieu de l'édition, quelques librairies invitées et, au milieu du public, le visage caché par un masque, Joachim Sauer, le mari de l'ex-chancelière, qui salue les amis proches et tente de se fondre dans la masse incognito. C'est Anne Will, l'animatrice du talk-show culte de la télévision allemande, qui présente la soirée.
Les applaudissements crépitent quand Angela Merkel entre en scène. Elle est fidèle à elle-même. Calme, posée, vêtue d'un blazer blanc, à l'aise dans ses chaussures plates à semelles de crêpe. Sur la table basse, devant elle, Freiheit (liberté)*, l'autobiographie de 700 pages qu'elle a écrite au cours des deux dernières années dans le plus grand secret. « Un vrai petit bijou », dit-elle en caressant la couverture bleue.
https://www.lepoint.fr/monde/angela-merkel-fait-salle-comble-a-berlin-pour-presenter-ses-memoires-27-11-2024-2576489_24.php
« La RDA, c’était aussi les fêtes… »
Oui, et la RDA, c'était aussi le mur pour éviter que les est-allemands s'enfuient du paradis communiste pour aller dans l'enfer de l'ouest capitaliste, c'était aussi la Stasi, la crise économique qui a mené à la chute du système, les tickets de rationnement, les pénuries de biens de consommation, et le retard technologie par rapport à la RFA et aux autres pays du Bloc de L'Ouest.
Les est-allemands se jettaient littéralement sur les supermarchés de L'Ouest après la chute du Mur.
Mais on faisait la fête de temps en temps, donc ça va, entre deux maux de ventre par la peur d'être capturé par la police politique.
Merkel qui aime le communisme et l'immigration, horrible femme.
Cet article transpire un parti pris flagrant et un ton flatteur qui frôle l’adulation envers la mère Merkel .
La présentation de son autobiographie est décrite de manière presque mythologique, avec une salle comble peuplée d’un public trié sur le volet et des applaudissements à tout rompre, comme si chaque mot de Merkel relevait d’un enseignement divin . L'auteur de l'article semble si subjuguée qu'elle passe sous silence les critiques légitimes et les zones d'ombre de son mandat, comme la gestion controversée de la crise migratoire ou du sabotage de leurs centrales nucléaires
L’insistance sur la "modestie" de son processus d’écriture ou la solitude de son appartement donne une impression de storytelling hollywoodien
Bref , cet article est une ode dithyrambique à l’ancienne chancelière, rien de plus
elle a ruiné le peuple allemand avec sa décision criminelle consistant à laisser 1 millions de syriens s'installer en allemagne. mais ce genre de traître n'est nullement inquiété.