certains jeux sont difficile
moi par exemple à cause de cette putain de nouvelle mode de vie qui se regenere ou pire encore, l ecran qui devient rouge et qu il suffit d aller se cacher derrière un mur pour que ça redevienne normal
a cause de cela, je fais moins attention qu'avant, parce qu il y avait pas ces systemes de merde et encore moins de sauvegardes auto
et du coup j ai de + en + de mal a ne pas me faire toucher
voyez comment ça joue ?? sans jeu de mot .....
pour en revenir au sujet, etes vous perseverants du coup ?
dans un shoot em up, un die and retry
ca nous demandes de recommencer, jusqu'au par coeur par fois, pour ensuite nous ameliorer, cette montée en puissance, cette fierté, les + jeunes ne doivent pas connaitre
alors moi oui je suis perseverant, ça me derange pas de recommencer un niveau jusqu'a temps que j ai un rang S, 3 etoiles sur 3
mince, a la base j allais pas ecrire un grand texte comme ça
voila voila
Faut vraiment que j'aime beaucoup le jeu, sinon je me contente de ne pas avoir fait le max
Avant oui, maintenant que j'ai femme enfants et boulot carrément pas non, mon temps de jeu s'est réduit donc je passerai pas 2h sur le même boss
ça dépend des jeux, les fromsoftware ou certains rogue lite comme HADES, dead cells, curses of the dead gods, phantom abyss etc, je persévère sans soucis.
j'ai plus de mal avec la grande strategie, 4X, ou gestion.
car bon perdre des campagne de XX heures sur crusader kings ou un total war warhammer...
Je suis persévérant.
oui (enfin, j'essaie de l'être). Dernier en date, le dlc de Stranger of Paradise Final Fantasy origin
Eh bien, désolé Dark-Cherry, perso je n'ai rien contre la régénération automatique et les sauvegardes auto régulières.
Suis-je persévérant ? Un peu, mais j'ai l'impression de l'être de moins en moins au fil des années.
Ouais, la "fameuse" grande satisfaction qu'on est censé ressentir après avoir surpassé une grosse difficulté... pour moi ce n'est qu'une arnaque, je la ressens bien peu. Ou plutôt, je la ressens sous la forme d'un soulagement, celui d'une corvée accomplie. Est-ce que cela signifie pour autant que j'ai aimé remplir ladite corvée ? Non, c'était chiant.
La victoire ça compte, mais la manière de l'obtenir aussi. Si l'on revient sur cette notion de fierté, je peux être beaucoup plus fier de la façon dont j'ai passé un passage sur un jeu, en mode Normal, que de la façon dont j'ai pu réussir à passer ce même passage en Difficile ou Très Difficile.
Parce que souvent, je trouve les hautes difficultés mal fichues, frustrantes, pénibles, je trouve qu'elles accentuent grandement les défaillances et déséquilibres d'un jeu (certains ennemis beaucoup trop résistants, certaines armes ou certains chemins qui deviennent complètement inutiles...), ça creuse l'écart entre ce qui est efficace et ce qui ne l'est pas, au point de rendre plein de façons de jouer peu viables, bref ça diminue la liberté d'action, toujours davantage (là où des difficultés moins élevées peuvent motiver à jouer de manière plus "classe", à tenter des choses plus risquées mais chouettes). Ca pousse trop souvent à exploiter la moindre faille, à jouer comme un salopard, un charognard, qui profite et abuse autant qu'il peut. Pas une manière de gagner particulièrement "honorable", ni fun à jouer, ni belle à voir.
Mais on a gagné en Très Difficile, youpi. Mmmeh. J'ai la même satisfaction qu'en lisant le chiffre sur ma fiche de paye à la fin du mois, ça ne signifie pas que je trouve mon boulot cool et que je me sens très fier.
Si des jeux sont motivants, et leurs hautes difficultés pas trop abusées et énervantes, je peux me montrer assez persévérant, ouais. L'idéal est que la défaite ne soit pas trop punitive non plus, qu'on ne recommence pas trop loin en arrière, et puis qu'on n'ait pas à se taper un long chargement à la con à chaque mort.
Un bon exemple de ça pour moi c'est le dernier Rayman, Legends, j'en ai perdu des vies sur ce jeu, mais quand on crève on redémarre relativement près de là où on a perdu, et quasi-instantanément, zéro temps de chargement.
Et qu'on ne se retrouve pas coincé par un mauvais point de contrôle dans une saloperie de boucle à la con où nos chance de réussite sont si minces qu'il vaut mieux recommencer le niveau depuis le début.