Les principales différences ?
Il n'y a pas beaucoup de québécois qui sont allés faire des études supérieures en France.
La différence c'est que tu peux trouver du boulot avec autre chose que droit et médecine au Québec
Alors qu'en France à moins de faire 8 ans et devenir professeur de sociologie pour 3k/mois l'enseignement universitaire est pas du tout valorisé en France
En France il est réputé que la recherche manque de moyen, comme le salaire apparemment pas assez élevé des chercheurs.
L'enseignement est de très bonne qualité.
Certains chercheurs ne publient pas assez à mon goût et se contentent de faire des cours.
Certaines formations sont trop théoriques, pas assez pratique et manque d'ouverture sur le monde du travail mais cela tend à être corrigé.
Pour ma part la mienne était technique, scientifique, calqué sur le modèle IUP qui était l'équivalent des écoles d'ingénieur en université avec de nombreuses heures de cours, des stages et ateliers (études contractuelles), ainsi que pas mal d'intervenants extérieurs pour faire part de leurs expériences et compléter les cours théoriques.
Il y avait quelques étudiants étrangers pour des promotions restreintes (14-26).
Ainsi, ce type de formation avec l'alternance ou encore avec le doctorat sont des formations qui selon moi sont des modèles d'insertion dans le monde du travail.
Mais dernière tout ça... il y a en France un laxisme ambiant sur pas mal de chose.
Certains secteurs sont saturés et les diplômés choisissent de se réorienter dans leur carrière.
N'étant jamais allé au Québec, je vous laisse le soin de comparer.
Le 03 mai 2024 à 21:46:31 :
En France il est réputé que la recherche manque de moyen, comme le salaire apparemment pas assez élevé des chercheurs.L'enseignement est de très bonne qualité.
Certains chercheurs ne publient pas assez à mon goût et se contentent de faire des cours.
Certaines formations sont trop théoriques, pas assez pratique et manque d'ouverture sur le monde du travail mais cela tend à être corrigé.
Pour ma part la mienne était technique, scientifique, calqué sur le modèle IUP qui était l'équivalent des écoles d'ingénieur en université avec de nombreuses heures de cours, des stages et ateliers (études contractuelles), ainsi que pas mal d'intervenants extérieurs pour faire part de leurs expériences et compléter les cours théoriques.
Il y avait quelques étudiants étrangers pour des promotions restreintes (14-26).
Ainsi, ce type de formation avec l'alternance ou encore avec le doctorat sont des formations qui selon moi sont des modèles d'insertion dans le monde du travail.Mais dernière tout ça... il y a en France un laxisme ambiant sur pas mal de chose.
Certains secteurs sont saturés et les diplômés choisissent de se réorienter dans leur carrière.N'étant jamais allé au Québec, je vous laisse le soin de comparer.
Tellement vrai.