J´étais au lycée à l´époque, et avec mes copains, nous avions pris l´habitude de nous moquer d´une fille de ma classe, entre autre en raison de sa petite taille.
Elle s´appelait Elodie, avait les cheveux longs et chatains et mesurait à peine 1m50, ce qui n´était pas grand chose face à mes 1m80. Elle était devenu notre souffre-douleur, et même si elle ne répondait rien à nos moqueries, on sentait que ça la rendait furieuse. Ces moqueries duraient déjà depuis plusieurs mois quand ça se produisit.
A cette époque, je m´intéressais déjà à la domination soft des filles sur les hommes et au bondage. J´avais donc créé mon site internet perso ( http://membres.lycos.fr/grego120/ ) , sur lequel je décris les pratiques qui m´excitent avec des photos et je donne mon adresse email pour les filles intéressées.
Or, Elodie avait découvert ce site et m´avais demandé par email de lui envoyer une photo de moi, ce que je fis. C´est comme ça, en me reconnaissant sur la photo, qu´elle découvrit mes fantasmes et décida de se venger de moi. De mon coté, j´ignorais bien sur que c´était elle.
Afin de ne pas se faire démasquer, elle ne m´envoya pas de photos d´elle et donna de fausses informations sur elle. Puis, à ma grande joie, elle accepta de me dominer pour seulement 40 euros, alors que j´étais près à payer le double, et me demanda un rendez-vous.
Sa seule condition était que nous ne devions en aucun cas être dérangé, ce à quoi je lui répondit que, de toute façon, mes parents partait en voyage et que je serais seul chez moi pendant trois jours. Mais tout de même inquiet de sa demande, je lui fis remarquer que j´hésitais un peu à me mettre à sa totale merci et sans aucune possibilité d´aide extérieure. Elle me répondit que je devais avoir confiance en elle et qu´après tout, on ne se connaissait pas et qu´elle n´avait pas de raison de me faire du mal, n´est ce pas?
Alors je décidai que j´avais tort de m´inquiéter, et de plus, le risque ne faisait que m´exciter un peu plus. J´acceptai sa proposition et le rendez-vous fut donc fixé le mercredi suivant à 15h, chez moi.
L´attente me parut interminable et ne fit qu´augmenter un peu plus mon excitation, quand le jour arriva finalement. Anxieux depuis mon réveil, je sursautai en entendant la sonnerie retentir vers 14h55. Très troublé de l´entendre plus tôt que prévu et très excité, j´ouvris la porte; et je reconnu Elodie, de ma classe.
" Salut. Je suis un peu en avance, non?" me dit-elle.
" Quoi? C´était toi?!" répondis-je, interloqué.
" Oui, je voulais te faire la surprise. Alors on commence?
" Heu, je sais pas si..."
" Ne me dis pas que je suis venu ici pour rien! Allez, tu vas voir, ça va te plaire!" dit-elle malicieusement.
Je la contemplai rapidement. Effectivement, je la trouvais très sexy : elle avait ses cheveux chatains détachés et portait un débardeur noir qui faisait ressortir sa poitrine. Mais ce qui m´excitait le plus, c´était son survetement gris. Plus d´une fois j´avais fantasmé sur ce même pantalon destiné au cours de sports, dans lesquelles nous étions dans le même groupe. En effet, il moulait efficacement ses fesses et ses cuisses, mettant ainsi leur jolie forme en valeur.
Bien sur, c´était volontaire de sa part car en effet, je lui avais appris, dans les emails que nous avions échangé, ce qui m´excitait le plus chez une dominatrice amateur, au point de vue habillement ou attitude pendant une cession de domination. ( j´adore les filles en survêtement)
Alors, au comble de l´excitation, j´oubliai toute crainte et, ne pensant plus aux conséquences éventuelles, je lui répondis :
" bon d´accord, allons dans ma chambre."
Après avoir découvert mon lit, un lit une place standart, elle me poussa dessus et s´empressa de prendre les cordes sur mon bureau afin de m´attacher le plus vite possible de peur que je ne change d´avis, même si je ne me rends pas compte tout de suite de son empressement à m´immobiliser.
Située debout à ma droite, elle attacha d´abord mon poignet gauche à l´extrémité d´une corde d´environ 1m50, en faisant un double noeud qu´elle serra très fort, et qu´elle renforça d´un troisième; puis elle passa l´autre extrémité de la corde sous le coté gauche de mon lit et alla la chercher à quatre pattes sous le coté droit, et elle la tira, pour finalement ressortir environ 30cm de corde, juste assez pour attacher mon poignet droit avec. Ce qu´elle fit en serrant avec force, tout en s´assurant que mes bras étaient le plus tendus possible, presque perpendiculaires au lit et dirigés vers le sol.
Elle refit exactement la même chose avec mes jambes, qui se retrouvaient écartées comme un V inversé, sans que je puisse les joindre.
Après avoir fini, elle se releva et contempla son ouvrage, les mains sur les hanches et le sourire aux lèvres.
Après plusieurs tentatives d´évasion, je me rendis compte que j´étais totalement immobilisé et donc à la merci de la fille qui me détestait le plus au monde.
" ça fait des mois que je rêve de vivre une situation comme celle là!" me dit-elle, avec un sourire sadique.
A ma grande surprise, elle quitta ma chambre pour aller fermer la porte de ma maison à clef, afin d´être sure qu´on ne soit pas dérangé et elle débrancha également le téléphone en passant devant. En son absence, je commençais à m´inquiéter de ma situation, tout en sentant mon excitation être de plus en plus forte. Elle revint peu après et referma lentement la porte de ma chambre derrière elle, en me regardant d´un air espiègle qui me fit très peur.
" je t´ai pas trop manqué, j´espère?"
Elle enleva ses chaussures et sortit alors une caméra du sac à dos qu´elle avait amené et la positiona sur mon bureau, en la dirigeant vers moi.
" Heu, Elodie, je préfère pas." dis-je, horrifié mais impuissant.
" Je l´ai emprunté à une amie" me répondit-elle, " ça peut filmer pendant une demi-heure, elle m´a dit."
" Non, arrete!" Ordonnai-je, commençant à découvrir avec horreur son plan de vengeance, mais bien trop tard.
" Je suis certaine que ça va intéresser pas mal de monde" dit-elle en déclenchant le mécanisme de marche, provoquant l´apparition de la lumière rouge d´enregistrement.
Alors, elle se tourna vers moi, fit mine de se recoiffer avec coquetterie et s´avança vers moi. Je ne pu m´empecher de jeter un regard sur son survetement gris et moulant, à cause duquel j´étais maintenant piégé, trahi par mon fantasme pour cet habit sexy.
Elle se mit d´abord à genoux à coté de moi, puis lentement, elle m´enjambea en me regardant droit dans les yeux, pour finalement se retrouver à califourchon sur mon ventre, callant ses fesses confortablement.
" Tu fais pas le fier, hein?!" me dit-elle, " tu as eu tort de me faire confiance, maintenant tu est à ma merci! regarde, je peux te faire ce que je veux."
Sur ces mots, elle commença à me tapoter les joues sans que je puisse faire quoi que ce soit.
Bien que je me sentais paniquer, j´étais plus excité que jamais de sentir son poids pesant sur mon ventre.
" allez, je veux bien continuer, mais éteint cette caméra!"lui dis-je, saisissant cette dernière chance de ne pas subir sa vengeance.
Pour seule réponse, elle m´assena une forte claque qui me surpris totalement.
" Tu n´es pas en position de me donner des ordres." répondit-elle ensuite.
" Dis-moi, t´es fort en apnée?" ajouta t´elle, après une courte pause.
" Quoi? Hé, attend!"
Elle mit alors sa main gauche sur ma bouche, m´empechant ainsi de parler et de respirer par la bouche, puis avec sa main droite, elle serra mon nez entre son pouce et son index.
" tu te rends compte que moi, une fille de très petite taille, je peux tuer un grand gaillard comme toi seulement avec deux doigts?" se moqua t´elle, en me regardant suffoquer lentement.
Totalement immobilisé; je n´eus pas d´autres solutions que d´attendre en espérant qu´elle relacherait l´emprise. Elle me regarda, en haussant les sourcils et la bouche ouverte comme si elle accomplissait un travail de précision.
Au bord de l´asphyxie, je devins tout rouge, ce qui lui valu de m´adresser un sourire de satisfaction, alors que je sentis ses fesses gigoter sur mon ventre.
Elle se trémoussait sur moi et se pencha en avant afin de renforcer son emprise fatale, alors que, affolé, je tentai de bouger dans tous les sens, malgré les cordages et le poids de son corps.
Elle relacha finalement son emprise, et j´inspirai de très grande goulée d´air. Pendant que j´essayais de me remettre en respirant bruyamment, elle me caressa les cheveux en éclatant de rire.
" T´es pas très endurant! Heureusement que je suis là pour t´entrainer!" dit-elle, amusée de voir l´affolement dans mes yeux provoqué par une telle remarque.
Sur mon ventre, elle sentait les mouvements de mes poumons et elle se rendit compte quand j´eu fini de récupérer mon souffle.
Horrifié, je la vis remettre sa main gauche sur ma bouche. Mais cette fois, elle décida de pincer mon nez entre son pouce et son petit doigt, ce qu´elle fit immédiatemment en souriant de toute ses dents.
" Je m´amuse comme une folle!" dit-elle, alors que j´étais de nouveau en train d´étouffer entre ses mains.
Je tentais de tirer de toutes mes forces sur les liens qui m´immobilisaient mais ils étaient solides et ne cédaient pas.
" Inutile d´essayer, tu ne peux pas t´échapper! C´est humainement impossible!" remarqua t´elle, ravie de constater mes vaines tentatives.
De nouveau, je devins tout rouge, alors qu´elle jeta un rapide coup d´oeil vers la bosse sur mon entrejambe, derrière elle.
" Oh, mais tu m´as l´air d´aimer ça, dis moi!" Rigola t´elle , "Et bien tant mieux, moi aussi ça m´excite de te sentir impuissant sous moi."
Alors que mon visage commençait à passer du rouge au bleu, je tentai de l´éjecter de mon ventre, mais je ne parvint qu´à la soulever de quelques centimètres. Elle s´empressa de mettre tout son poids sur mon ventre et je me retrouvais de nouveau coller au lit, à regarder son grand sourire tout en priant pour qu´elle ne décide pas de m´étouffer définitivement. Elle devait lire dans mes pensées car elle me dit :
" Allons, ne panique pas! Tu n´as pas confiance en moi?" Puis elle éclata d´un grand rire, tout en relachant l´emprise de ses mains, qu´elle posa sur ses hanches, à mon grand soulagement.
Pendant que je tentai péniblement de reprendre mon souffle, elle se fit un chignon avec beaucoup de soin.