Je m’appelle Steven, je suis célibataire, mon histoire commence de façon très banale, j’ai une collègue de travail, Sophie, une superbe femme brune, la trentaine, 1m75, souvent habillée de façon très sexy mais jamais vulgaire ( jupe, talons haut, bas noirs…..), avec qui je devenu ami. De temps en temps on va discuter devant un café après le travail, on parle de tout et de rien, on refait le monde, on parle de nos vies, de nos envies, de nos fantasmes………et c’est là que mon histoire allai basculer,. Lors d’une conversation parmi tant d’autres je lui ai parlé de mes fantasmes de soumission, de mes désirs de servir une femme……elle a été surprise puis amusée d’apprendre çà, d’autant que dans la société je suis chef d’équipe et que cela contraste donc avec l’image qu’elle avait pus se faire de moi, mais comme on a pris l’habitude de parler de tout sans tabou la conversation à continuée sur d’autres sujets et une demi heure plus tard nous sommes rentrés chacun chez nous.
Le vendredi suivant, après la journée de travail Sophie m’a proposé de passer boire un verre chez elle pour marquer le début de mes congés. On est en février et mes dernières vacances remontaient à l’été, j’allais profiter de ce repos tant attendu…….enfin je croyais me reposer. Tout a été très vite, je suis arrivé chez elle, elle m’a servi un verre, nous avons discuté un peu puis au bout de quelques minutes, j’ai été pris d’un coup de barre, je me suis levé pour prendre congé de Sophie quand je suis tombé à ses pieds, mes jambes incapables de me porter, rapidement je me suis mis à ne presque plus sentir mes muscles……..paniqué j’allais demander l’aide de Sophie quand je l’ai vu rire de ce qui m’arrivais……..je ne comprenais pas, au moment ou j’ai voulu parlé, elle m’a dit ;
- Ne t’inquiète pas, ce n’est que passager, dans quelques heures çà ira mieux, tu n’imagines pas tous les effets différents que l’on peut obtenir avec des drogues, je trouvais celui là plutôt sympa, te mettre à ma merci en te gardant conscient………
- Comment çà ? balbutiais-je
- Tu ne te souvient pas l’autre jour quand tu m’as parlé de tes fantasmes, me dit elle ?
- Non…..enfin……..pas trop………
On discutait de tellement de choses que je n’avais pas prêté plus attention à ce passage que s’il s’était agit de parler du temps qu’il faisait ce jour là.
- Je vais te rafraîchir la mémoire, tu désirais servir une femme, te soumettre à elle………..
- Euh oui………
- Eh bien je vais t’exaucer, enfin ce n’est pas vraiment moi, tu verras tout à l’heure, j’ai une surprise pour toi.
Sur ce, elle m’a mis un bâillon sur la bouche, en me disant :
- Ne t’inquiète pas, je t’ai organisé des vacances comme tu n’en a jamais eu, elle vont être inoubliables, 2 semaines de pur bonheur.
Puis elle s’est servi un autre verre, s’est confortablement assise dans son fauteuil pour le déguster tout en me regardant de façon amusée en regardant sa montre de temps en temps. J’essayais de bouger mais je n’arrivais même pas à soulever un bras, le simple fait de remuer mes doigts me demandait des efforts incroyables, je ne sentais plus mes membres. Ce qui m’arrivais et le peu de choses qu’elle m’avait dites me trottaient dans la tête, et l’inquiétude grandissait en moi petit à petit. Après de longues minutes, j’entendis une voiture s’arrêter devant la maison, puis quelqu’un sonna à la porte. Sophie se leva pour aller ouvrir la porte, elle avait vraiment des jambes magnifique et de ma position j’avais tout le loisir de les voir, je dis bien de les voir car cela ne procurait chez moi aucune sensation, sûrement les effets de la drogue, ajouter à cela le stress qui montait en moi, je n’ai pas vraiment pris le temps et le plaisir de contempler ses pieds et ses jambes magnifiques. La porte s’ouvrit, j’étais le visage contre le sol, je ne voyais pas qui était là. Sophie dit :
- Bonjour les filles, pile à l’heure, le colis est prêt, je vous attendais
Puis une douce voix de féminine qui m’était inconnue répondit :
- Bonsoir Sophie, je suis heureuse de te voir depuis le temps, nous sommes impatientes de voir notre colis
« les filles….. », « nous…..», « notre…..», je sentais la pression monter, combien étaient elles, qui étaient elles, qu’allait il se passer, je ne comprenais rien. J’entendais le cliquetis des talons aiguille sur le sol et rapidement je me suis retrouvé face à trois superbes paires de chaussures noires, talons haut, l’une à brides, l’autre des bottines et les mules de Sophie, puis essayant de lever les yeux, je vis deux superbes jumelles bondes, l’une habillée d’un long magnifique manteau de fourrure blanc et sa sœur d’une non moins magnifique et aussi longue fourrure noire sur laquelle ruisselait leurs chevelures d’or, dans d’autres circonstances j’aurais pus me croire au paradis. Elles étaient à peu près de la même taille que Sophie, les yeux d’un bleu dans lequel j’aurais bien voulu essayer de me noyer si l’une des deux sœurs ne m’avais pas mis sa bottine sur la tête pour me plaquer le visage contre le tapis en disant :
- Eh bien, c’est nous que tu regardes comme çà, en voilà des façons.
- Ne t’inquiète pas, lui dit sa sœur, avec un petit dressage on va apprendre à cette chose à rester à sa place.
- « Cette chose ? » demanda Sophie, qu’entends tu par là Angélique demanda t elle à l’une des deux jumelle
- Eh bien oui, comment veux tu le nommer, même le paillasson sur lequel je me suis essuyé les semelles en arrivant mérite plus d’égard, n’est-ce pas Aurélie ?
- Mais c’est évident lui répondit sa sœur, je lui fait déjà l’honneur de poser ma botte sur sa tête malgré son impertinence, dans 15 jours il me sera reconnaissant pour mon geste, ma bonté me perdra.
- C’est ta nature, tu es comme çà, on ne te changera plus dit Angélique, ce n’est pas comme « paillasson »
- « Paillasson » ? dit Sophie
- Oui je sais que c’est encore trop bien pour cet homme mais çà ira.
- C’est sur dit Sophie, mais on cause on cause, laissez moi vous débarrasser de vos fourrures les filles, vous allez bien prendre un café avant de reprendre la route avec votre… paillasson…..
Ce sur quoi elle se mirent à rire toutes les trois. Aurélie enleva sa botte de ma tête, il était temps, la position était très inconfortable et m’empêchait de respirer. Pendant que Sophie ramenait le café Angélique demanda à sa sœur :
- bon, on déballe notre colis soeurette ?
- Oh oui, oh oui, je veux voir de plus près notre paillasson, allons-y
Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient mais aussitôt elles passèrent à l’acte et là j’ai vite compris, pantalon, chemise, chaussettes, je me suis retrouvé sur le dos en slip en une minute, trop faible pour faire quoi que ce soit, la peur laissa la place à la honte quand je vit Sophie revenir de la cuisine. Elle me regarda et fut prise d’un fou rire en me voyant comme çà, elle dit :
- Eh bien, je ne te croyais pas aussi grassouillet Stev….euh paillasson
Et toutes les 3 sont parties dans un nouveau fou rire, la honte continuait de monter en moi
- Tu arrive juste au bon moment Sophie, il nous reste le meilleur à déballer dit Angélique
qui dans la foulée m’enleva mon slip laissant découvrir un sexe minuscule, je n’étais déjà pas très gâté par la nature mais l’effet de la drogue n’arrangeait rien et toutes les trois sont reparties dans un long fou rire. Je suis en train de vivre la honte de ma vie étais je en train de penser, je ne savais pas ce que me réservais le futur……….
- Eh bien j’en découvre vraiment un peu plus tous les jours sur toi paillasson dit Sophie qui prenait un malin plaisir à m’appeler comme çà
Apres quelques instants Angélique me mis un bandeau sur les yeux, m’attacha les mains dans le dos et me lia les chevilles :
- Bon voilà une bonne chose de faite, on a bien mérité notre petit café dit-elle
- Venez, c’est prêt dit Sophie. Eh bien les filles, çà fait bien longtemps que je n’avais pas ris comme çà, quelle soirée. Quelle est la suite du programme pour votre paillasson ?
- On va l’emmener chez nous où on lui réserve tout un tas de surprise répondit Aurélie, dressage en bon et due forme, tu n’auras qu’a venir, je te garantie de bon moments en perspective.
- Je suis en vacance dans une semaine, je viendrais passer quelques jours chez vous
- Parfait, çà nous laisse le temps de te préparer ton paillasson dit Angélique, tu va adorer le résultat
- « Mon » paillasson ? dit Sophie
- Eh bien oui, on va s’amuser pendant 15 jours, mais après ce serais dommage de gâcher tout le travail, autant que quelqu’un profite d’autant que ton paillasson va revenir marqué à vie de son expérience répondit Angélique
- De toute façon quand tu te seras servi de ton paillasson chez nous tu auras du mal à t’en passer par la suite tu verras dit Aurélie
- C’est à mon tour d’être impatiente alors dit Sophie
- Bien, on n’est pas mal avec toi mais on a pas mal de route à faire alors on va mettre notre paillasson dans le coffre de la voiture et rentrer
- Bien sur les filles, reculez la voiture jusqu´à la porte d’entrée, je vais vous aider
Après avoir été trainé jusqu´à la porte d’entree par Sophie et une des jumelles, elles se sont mise à trois pour me mettre dans le coffre de la voiture sans ménagement, elle faisaient vite pour ne pas être vues et vu mon poids elles s’y sont reprise à plusieurs fois pour me mettre dans le coffre. J’avais froid, j’avais mal partout, je me sentait faible, honteux, humilié……….puis la voiture s’est mise à rouler pendant un très long moment qui m’a semblé une éternité
Vous voyez que ça parle de JUMELLES!