Comme promis par les fans, l’arc Shibuya est une leçon absolue de péripétie et d’ambition.
Cependant, j’ai plusieurs questions.
1) Comment mei mei et ui ui se retrouve dans un autre pays à la fin de l’arc ? C’est un sort de Ui Ui qui téléporte les deux ?
2) Pourquoi mechamaru n’a pas prévenu absolument TOUS les exorcistes de l’attaque sur shibuya mais seulement les exorcistes de Tokyo ? Car il dit bien à Kasumi Miwa qu’il à volontairement fait en sorte que les élèves de Kyoto soient en mission loin de Shibuya pour les protéger. Ce n’était pas plus malin que l’entièreté des exorcistes du pays sont prévenu afin de détruire la menace facilement ? (Avec les 3 grands clans par exemples)
3) Dans l’acte final de l’Arc, je ne comprends pas comment tout cela se termine. En effet, Kenjaku est encerclé par de nombreux exorciste et libère des millions de fléaux ? Mais dans le chapitre suivant, il y a un saut dans le temps, un nouvel arc qui commence et la situation n’est pas claire. J’ai bien compris que Kenjaku à profiter de la libération des fléaux pour se sauver, mais qu’on fait tous les exorcistes ? Ils sont rentrés tranquillement chez eux malgré les fléaux ?
Yuki Tsukumo confirme qu’elle à aider les élèves à rentrer, ok, mais elle à laisser Yuji et Choso ?
4) Concernant la situation, je m’interroge sur les conséquences du drame de Shibuya.
Au départ, je pensais vraiment que nous allions suivre un arc ou Yuji est traqué par les exorcistes dans un Tokyo « post-apocalypse », où le japon est en crise total, avec l’intervention militaire humaine mais également l’intervention des autres nations. Que le secret des fléaux serait fatalement révélé et finalement, l’auteur part sur un « hunger games » très intéressant mais très étonnant et déroutant.
C’est peut-être le seul reproche que je ferais, le manque de chapitre de transition. J’aurais apprécié en apprendre plus sur la société des exorcistes, les liens avec le gouvernement, les clans (surtout le clan zenin qui est décimé rapidement par maki) et les conséquences de l’arc Shibuya.
