C´est sur ma fic pas à ma fic
pout on superbe acceil !!
Femto Ba, pour parloter
Je croyais que tu m´avais déjà lu ? C´est ce que tu avais dit dans ton premier post !
Ouai j´ai tout lut t´inquiète
Mais j´attend la suite avec impatience
C´est pour parloter en attendant
Super !! Vite, la SUITEEEEEEEEEEEE !! !!
C´était super la suite Bravo pour tout !! !
tout le monde.
Vous êtes des (ah, enfin, ce jour est arrivé ! le jour où je peux vous appeler comme tati ).
^^
Je m´emploie à l´écriture du 18e chapitre.
mdr skyline
Tu l´as lu la fic de tati ou t´es la bas pour parloter aussi?
jim T´as intérais
Femto Ba ouai pourquoi
ba je me demandais vu que tu es ici pour parloter pourquoi pas aussi sur celle de tati
Merci tout le monde^^. Même si vous ne parlez pas de ma fic .
Je pense vous poster une suite aujourd´hui^^, mais je ne vous promets rien, .
une suite
Je pense en avoir suffisamment écrit pour vous poster une suite^^. Je me relis et je vous poste tout ça^^.
tu en met du temps a te relire
C´est que je relis très attentivement (en fait je dois avouer que c´est parce que je glande à moitié et que je traîne avant de prendre certaines décisions...).
Voici le début du 18e chapitre :
18
La renaissance de Poudlard
Lorsqu’il rouvrit les yeux, Harry était allongé dans des draps blancs. Il regarda autour de lui : que des murs blancs. « Je suis mort » se dit-il. « J’ai sans doute été tué par le basilic et je viens d’arriver au Paradis. Je vais revoir Dumbledore et mes parents, et Sirius, et Lupin… Ron et Ginny doivent être là aussi. Je dois sûrement attendre que mon tour vienne avant de les revoir. Il doit y avoir beaucoup de morts à réceptionner. »
Et en effet, une dizaine de minutes plus tard, une femme à l’air pressée s’avançait vers lui. Il reconnut aisément cette femme…
- Vous voilà réveillé, Potter, il était temps ! dit-elle avec un soupir de soulagement. Vous nous avez fait attendre !
- Mrs Pomfresh ? s’étonna Harry. Vous êtes morte, vous aussi ?
- Morte ? répéta l’infirmière, le regard douteux, comme si elle craignait pour la santé mentale de Harry ou tout simplement que ce soit une mauvaise blague. Certainement pas ! Et vous ne l’êtes non plus, mon garçon, vous vous trouvez simplement à l’infirmerie de Poudlard.
- Mais… le basilic…
- Vous lui avez flanqué une belle raclée, d’après ce qu’on raconté vos deux amis. Enfin… votre ami et votre petite amie, rectifia-t-elle un sourire en coin. Comme si toutes les rumeurs de l’an dernier ne suffisaient pas, Miss Weasley aimait bien passer des nuits entières à votre chevet, ou même vous embrasser alors que vous étiez dans le coma…
Harry sentit ses joues chauffer et il accorda un timide sourire à Mrs Pomfresh.
- Je vais chercher les autres, dit-elle. Ils vous expliqueront ces dernières semaines mieux que moi.
- Quoi !? s’horrifia Harry. Je suis resté plusieurs semaines ici ?
- Non, vous êtes arrivés ce matin, un peu avant les professeurs.
- Les professeurs ? répéta Harry, encore plus inquiet.
- Oui, vous avez passé un peu plus de deux semaines à Ste Mangouste et la guérisseuse Derwent a accepté de vous laisser sortir car votre esprit n’avait gardé aucune séquelle et que vous étiez quasiment guéri. Il ne manquait plus que votre réveil. Nous sommes le mercredi 1er octobre 1997 et la rentrée est pour ce soir. Alors, voulez-vous voir vos amis, oui ou non ? Je vous préviens, il est rare que je fasse de telle proposition !
- Bien sûr ! acquiesça vivement Harry, qui n’était que trop heureux de vivre et que ce soit également le cas pour ses amis.
Ron, Hermione, Neville et Ginny déambulèrent quelques instants plus tard dans l’infirmerie. Ron et Ginny étaient parfaitement guéris de leurs blessures. Les os et la chair réparés, il n’avait plu fallu qu’une potion de régénération sanguine pour remettre Ron sur pied ; quant à Ginny, Harry fut horrifié d’apprendre qu’en plus de ses omoplates cassés, sa colonne vertébrale avait subi plusieurs fêlures. Le fait qu’elle n’en ait conservé aucun dommage à long terme démontrait une fois de plus la supériorité de la médecine magique dans le domaine des fractures.
- Les guérisseurs ont dit que tu n’avais pas la moindre blessure quand nous les avons vu, raconta Hermione. Ils ont dit que…
- …que ton coma était dû à des dommages cérébraux, acheva Neville. A ce moment là on a eu très peur, surtout moi, parce que… Enfin, si tu devais tuer Voldemort avec un cerveau comme celui de mes parents…
Il y eut un silence pesant puis…
- La guérisseuse Derwent a fait venir un legilimens pour examiner ton esprit, poursuivit Ginny.
- Comme quoi, elle a fini par avoir ce qu’elle voulait…
- Euh… oui, confirma Ginny, légèrement décontenancée.
- Ils nous ont dit que tu avais subi un choc à cause de la présence de deux esprits dans un seul cerveau – le tien – mais que tu devrais t’en tirer sans séquelle, narra Ron ; que normalement, quand tu serais réveillé, tu serais normal.
- Et bien, en dehors du fait que je croyais être mort en me réveillant, ils avaient raison, constata Harry. Je me sens parfaitement bien.
- Je suis rassurée, dirent Hermione et Ginny en chœur.
Les deux demoiselles échangèrent un regard puis éclatèrent de rire tandis que Ron levait les yeux aux plafond et que Neville prenait un air amusé. Ah, les filles ! Ginny s’assit sur le lit de Harry, et les trois autres prirent des chaises.
- Mais comment avez-vous fait pour sortir de la chambre ? questionna Harry. Et pourquoi vous avez raconté à Mrs Pomfresh… que j’avais mis une raclée au basilic ?
- C’est ce que tu as fait ! assura Ron. D’abord, tu le bombardes d’éclairs de stupéfixion, ensuite tu lui bousilles les yeux avec un sortilège de conjonctivite, et enfin, tu finis par le stupéfixer complètement ! énuméra-t-il. Crois-moi, quand McGonagall et les autres l’ont achevé, tu leur avais bien mâché le travail ! rigola Ron.
- Mais… vous étiez blessés au point que vous ne pouviez plus bouger, objecta Harry, et moi, je ne me souviens pas avoir été conscient APRES avoir attaquer le basilic.
- Oui… Là, j’ai dû y mettre toutes mes forces pour ramper jusqu’à la baguette la plus proche – celle de Ginny – et envoyer un Patronus – ça m’a pris un bout de temps pour réussir à en faire un qui dure suffisamment longtemps.
- J’ai été intriguée par ce chat tigré et je l’ai suivi, dit Hermione les joues rosies. Le problème, c’est qu’il a disparu au quatrième étage…
- On a dû fouiller tout le quatrième, le troisième, et le deuxième étage avant de voir le tuyau dans les toilettes de Mimi Geignarde, dit Neville. On y est descendus avec McGonagall, Abel et Maugrey et on vous a trouvés puis ramenés en balai.
- Et voilà toute l’histoire, conclut inutilement Ron. Alors, c’est la rentrée, ce soir ! On va de nouveau suivre des cours ! Et on va préparer nos ASPIC, joli programme en perspective ! ironisa-t-il.
- Oui, dit tristement Hermione.
- Qu’est-ce qui t’arrive ? s’étonna son petit ami. Depuis quand la perspective de suivre un cours et de travailler à en devenir insomniaque te rend-elle triste ?
- On ne pourra plus chercher les horcruxes, expliqua-t-elle.
- Hermione ! s’exclama Harry, choqué.
- Quoi ? s’emporta la jeune femme. C’est vrai, on aura sûrement bien trop de travail pour reprendre les recherches avant les vac…
- MAIS TAIS-TOI, BON SANG ! gronda Harry.
Hermione parut offusquée par tant de grossièreté. Mais Ginny, elle, semblait plus perspicace.
- On m’a déjà tout raconté pour les horcruxes, pendant que tu étais à l’hôpital, déclara-t-elle d’un ton calme mais agacé, alors ce n’est pas la peine de te cacher pour en parler.
- Comment !?
- Désolé, dit Hermione d’une petite voix, mais elle avait déjà vu le médaillon, et comme elle connaissait la prophétie et ce que tu tentais de faire… Enfin on s’est mis d’accord sur le fait que… enfin… que ça ne changerait rien qu’elle soit au courant…
- C’est ça ! fit Harry.
- Tu ne croyais tout de même pas que j’allais rester comme une idiote sans chercher à comprendre par quoi j’avais été attaquée ? s’indigna Ginny. Tu sais bien que vous pouvez me faire confiance ! Et tu sais aussi que je ne suis pas plus en danger simplement parce que je sais pour les horcruxes !
- Qu’est-ce que tu en sais ? répliqua Harry avec colère. Maintenant tu fais partie des gens que Voldemort pourra torturer pour savoir ce que je cherche à faire ! Est-ce que vous avez pensé à ça ? demanda-t-il en se tournant vers ses amis.
Hermione fit « non » de la tête.
- Ce que tu n’as pas compris, riposta Ginny, c’est que je suis suffisamment intelligente pour avoir compris que vous cherchiez des objets semblables au journal de Jedusor ! Des objets qui contiennent… ce genre de chose. Hermione, Ron et Neville m’ont juste expliqué ce que c’était vraiment – des horcruxes, des objets contenant des morceaux d’âme créés pour avoir l’immortalité – et pourquoi vous les cherchiez. Et si Ron, mon entêté de frère qui peut être bien plus protecteur que toi en général et qui, dans une certaine mesure, je suis forcée de le reconnaître, l’est plus légitimement et qu’il est d’accord avec moi, alors je ne vois pas pourquoi tu fais toutes ces histoires !
Intérieurement, Harry devait admettre que sa petite amie marquait un point. Mais extérieurement, il se contenta de jeter un regard irrité à la jeune rousse. Ron, lui, paraissait en pleine réflexion.
- Quand tu as parlé de moi, dit-il, c’était un compliment ou…
- Ecoute, Ron, s’exaspéra Ginny, prends-le comme tu veux, d’accord ? Est-ce que vous pourriez nous laisser seuls ? demanda-t-elle aux autres.
Sans un mot et en échangeant des regards éloquents, Ron, Hermione et Neville sortirent de l’infirmerie de Poudlard.
- Qu’est-ce que tu veux ? demanda sèchement Harry.
- Que tu arrêtes.
- Arrêtez quoi ?
- De me surprotéger ! s’exclama Ginny. J’en ai assez que tu ne veuilles pas me parler de ce que tu fais ! J’en ai assez que tu m’écartes à chaque fois que vous parlez de vos affaires concernant Voldemort ! Je veux t’aider !
- Je ne veux pas que tu viennes avec moi ! dit Harry d’un ton catégorique.
- Il faudra bien, pourtant ! Quand je serai majeure, quand j’aurai terminé mes études ici, je me battrai aussi contre les mangemorts, et tant qu’à faire, je préfèrerai le faire avec toi à mes côtés parce que si je meurs, je ne veux pas que ce soit sans te revoir, sans avoir pu vivre avec toi !
Harry ne répondit rien. Il ne savait que trop bien qu’il ne pourrait pas empêcher sa fougueuse Ginny de se battre avec les aurors et l’Ordre, plus tard. Et il était vrai qu’il serait mieux, et même plus sûr, qu’elle le fasse à ses côtés. Cependant…
- En tout cas il est hors de question que tu viennes avec moi avant que tu ne sortes de Poudlard, dans deux ans !
- Ca je veux bien. Mais je te l’ai déjà dit : arrête de me surprotéger. Ca ne sert à rien de me cacher ce que tu fais ! Arrête d’essayer de rompre avec tous tes amis, tous ceux qui peuvent t’aider ou te soutenir !
- Que…
- Hermione m’a raconté comment tu avais failli refuser son aide et celle de Ron juste après l’enterrement de Dumbledore, expliqua Ginny. Mais tu m’as dit toi-même au début du mois dernier que sans eux, tu n’y arriverais pas ! Je suis navrée que ça ne soit pas pareil pour moi…
- Ecoute, je…
- Ah non, c’est vrai, je suis la jolie princesse qui doit sagement attendre dans son château que son prince charmant ait tué le méchant sorcier ! ironisa la jeune fille. Tout ça pour mon bien, évidemment ! Tu sais, si pour toi, je me résume à ça, cet horcruxe n’avait peut-être pas tort en me traitant de…
- LA FERME, GINNY ! rugit Harry.
La cadette des Weasley se figea sur place. Non, il ne pouvait pas laisser faire cela, il ne pouvait pas la laisser faire cela…
- Je suis désolé, s’excusa Harry après un bref silence. Je ne peux pas te laisser te dévaloriser comme ça. Et… il ne faut surtout pas que tu penses que je te considère de cette façon ; c’est totalement faux.
- Oui, tu aimes la Ginny enjouée, sa personnalité, son caractère bien trempé, celle qui te ressemble… Mais à cause de toi j’ai failli perdre tout ça, déclara-t-elle. Quand il m’a insultée, je suis partie en pleurant au lieu de te mettre – de lui mettre – une gifle ou de lui jeter un sort, et ça ne me ressemble pas du tout. Mais je me suis ressaisie pendant que tu étais à Ste Mangouste et j’ai décidé de mettre les points sur les i quand tu te réveillerais. Maintenant, je vais te poser un ultimatum : soit tu acceptes de sortir avec moi au grand jour dès maintenant, soit je te quitte définitivement.
Harry ne s’attendait pas à ça. Il ne pensait pas devoir faire un tel choix un jour, un choix si difficile il y a encore quelques semaines, mais…
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Bonne lecture^^.
parfait exellent extra continue vite stp
Super la suite mais j´ai hâte le soir où tout le monde auront les yeux braqués sur eux lol..
Comme d´hab. Super ! LA SUITE !!
Je lisis la fic de tati^^. Là je vais me doucher et je poursuivrai la rédaction du 18e chapitre mais vu que je regarde la télé ce soir (Maître du Zodiaque oblige, s´il-vous-plaît ne vous moquez pas de moi).
^^
Oups, .
...vu que je regarde la télé ce soir, je ne pourrai pas beaucoup écrire^^.
JIm moi au contraire j´attends que sa se finisse maitre du zodiak pour voir grey´s anatomy
Super suite mais j´aime pas quand tu laisse avec du suspens avec 3 petits points