femto Veux-tu dire que tu es impatient ( ) ou que tu n´aimes pas ce style ( ).
tout le
Super cette suite, mais j´aime pas quand y a du suspence
Allez écrit Je vais m´y mettre aussi d´ailleur
non je suis impatient mais j´aime pas attendre
femto Ca c´est logique
Bon tu vas la faire cette suite
mais c´est trop bien ton histoire
mais je ne suis pas une machine à écrire . D´autant que j´ai un peu de mal à rédiger la partie que je rédige en ce moment donc ne soyez pas trop impatients^^.
C´est comme femto, il est pas impatient mais il est pas patient A nan il aime pas attendre
pour le double-post, mais quand tu auras le temps, tu pouras lire ma fic J´aimerais ton avis !
d´avance !
Désolé mais je ne me lancerai pas dans d´autres fic avant d´avoir terminé celle de tati^^ (je ne lis qu´une fic à la fois histoire de ne pas m´embrouiller). Ensuite, j´ai promis que je jetterai un coup d´oeil à la fic de Harry Potter 16 mais ça ne veut pas dire que je vais la lire en entier.
Il va falloir que je choisisse entre plusieurs fics du forum, . Mais pour choisir, je devrai jeter un coup d´oeil à plusieurs fics donc je verrai aussi la tienne .
Vous l´avez demandée, elle a été écrite, relue, et la voilà ! La suite du chapitre 18^^.
Bonne lecture^^.
18
La renaissance de Poudlard (suite)
Constatant son silence, la jeune fille tourna des talons et marcha d’un pas vif et courroucé vers la porte.
- Ginny, attends ! appela Harry.
Elle s’arrêta.
- Je t’ai donné deux possibilités, dit-elle sans se retourner. Si tu ne choisis pas l’une ou l’autre, je partirai.
- Je ne sais pas…
- Très bien ! s´irrita Ginny.
- ATTENDS ! cria-t-il. Tu ne sais même pas ce que j’allais dire !
Il se leva d’un bond et la rattrapa au beau milieu d’un couloir du troisième étage. Il se plaça devant elle.
- Laisse-moi passer, dit poliment mais froidement la jeune rouquine.
- Pas avant que je t’aie répondu, parce que j’étais en train de le faire quand tu es partie. Alors voilà : je ne sais pas ce que j’aurai répondu à l’époque où Voldemort risquait d’apprendre notre relation. Mais maintenant…
- Pourquoi ? s’étonna Ginny. Le risque a disparu ?
- Oui, reconnut Harry. Le risque a disparu parce qu’il sait déjà que je t’aime.
Ginny fut tellement interloquée par cette nouvelle inopinée qu’elle en demeura bouche bée.
- Tu te souviens de ce qu’a dit l’horcruxe ? demanda Harry. Qu’il avait accès à toutes les informations de mon cerveau quand il habitait mon corps ? Il s’est passé la même chose en sens inverse. Son esprit a laissé dans mon cerveau des souvenirs, pas toujours très distincts, mais j’ai pu saisir certains des plus récents. Je sais qu’il a réussi à communiquer à Voldemort par la légilimancie, ou quelque chose dans ce goût là, des informations sur l’Ordre… et sur moi.
- Mais… comment auraient-ils pu communiquer de si loin et traverser les protections du château ? questionna Ginny.
- Ils disposaient chacun d’un morceau de la même âme, dit simplement Harry. Je suppose… que cela les rapprochait, en quelques sortes.
- Oui, c’est vrai… approuva Ginny. Mais alors…
- Oui, il sait que nous sortons ensembles et quoi que je fasse, je ne pourrai jamais le convaincre que ta mort… ne m’affecterait pas.
- Donc…
- Donc j’accepte de sortir avec toi au grand jour, déclara Harry d’un ton plus joyeux. Puisque ça ne changera rien, comme tu dis, autant que l’on soit côte à côte !
Sur ce, après avoir jeté de faibles coups d’oeils autour de lui, il enlaça sa petite amie et l’embrassa. Il venait de retrouver définitivement sa Ginny… du moins jusqu’à ce que Voldemort ne lui fasse du mal, trop de mal.
Mais il ne le laisserait pas faire. Il était déterminé à tuer cette être inhumain quoi qu’il lui en coûte.
Bien sûr, après le bref savon que lui avait passé Mrs Pomfresh pour être sorti d’une manière si précipitée et déraisonnable de l’infirmerie (toutefois elle n’avait pas crié pour l’arrêter dans sa course, et Harry la soupçonnait d’être une sentimentale), il dut parler à McGonagall de ce qu’avait appris Voldemort quand il était possédé. Les mangemorts connaissaient désormais l’emplacement du nouveau Quartier Général de l’Ordre, ainsi que le moyen d’y entrer. Cependant, la directrice de Poudlard le rassura.
- De toutes façons, si Vous-Savez-Qui transplanait dans ce petit bout de tunnel, il ne pourrait pas y tenir plus de quelques secondes sans subir de graves dommages – oui, oui, Harry, même lui, garantit McGonagall devant l’air sceptique de son élève. Car si ce coin du tunnel entre Pré-au-Lard et Poudlard n’est pas protégé par un sortilège anti-transplanage, il l’est bel et bien par des couches et des couches d’enchantements anti-magie noire que les membres de l’Ordre du Phénix et moi-même nous sommes appliqués à mettre en place.
Il était ensuite ressorti du bureau de McGonagall (il se disait qu’il aurait encore plus de mal, quand Poudlard serait à nouveau une école, le soir même, à ne pas l’appeler intérieurement le bureau de Dumbledore que cette pièce circulaire avait été pendant tant d’années).
Avant qu’il ne la laisse pour cette mise au point concernant l’Ordre, Ginny avait avoué à Harry qu’une surprise l’attendait pour le déjeuner. Il se demanda quel pouvait bien être ce fameux « cadeau » quand il entra dans la salle commune pour retrouver sa bien mystérieuse petite amie, ainsi que Ron, Hermione et Neville. Tous les quatre souriaient étrangement.
- Oh, salut, Harry ! dit Ron qui s’efforçait apparemment de ne pas éclater de rire.
- Qu’est-ce qui vous arrive, tous ? se méfia Harry.
- Et bien alors, Harry ? dit une voix derrière lui.
- On ne dit plus bonjour à ses amis ? dit une autre exactement semblable mais qui pour il ne savait quelle raison, lui semblait venir d’une autre personne…
Il connaissait ces voix…
D’un mouvement rapide, il se retourna et vit Fred et George Weasley lui adresser un sourire radieux, de part et d’autre du trou du portrait de la Grosse Dame. Il cligna des yeux dans le but de vérifier la réalité de ces deux visions qui s’avérèrent. A ce moment là, il ne parvint plus à prononcer le moindre mot.
- Et bien alors, dis quelque chose ! rigola Fred.
- Que… bredouilla Harry. Que faites-vous ici… ?
- Nous nous sommes échappés, bien sûr ! répondit George.
- Co… bégaya Harry. Comment…
- Comment est-ce qu’on a fait ? Disons que nous avons plus d’un tour dans notre sac, dit simplement Fred en éclatant d’un rire joyeux.
Ils s’étreignirent alors comme des frères.
- Vous êtes revenus ! s’exclama alors Harry qui commençait à réaliser l’ampleur de la nouvelle. Vous êtes revenus et vous êtes vivants ! Ginny, ça, c’était une sacré surprise, dit-il en serrant également sa petite amie mais brièvement tout de même : trois de ses frères étaient présents.
Ils s’assirent dans l’allégresse et Harry, plus heureux qu’il ne l’avait été depuis de nombreux mois, avait énormément de questions a poser. Les jumeaux se lancèrent alors dans un récit que les autres avaient visiblement déjà entendu, vu qu’ils ne prenaient pas la peine de l’écouter sérieusement. Fred et George racontèrent tout ce qui leur était arrivé depuis le jour où ils avaient été soumis à l’Imperium.
- Le soir où Dumbledore est mort, ils sont entrés dans notre boutique pour voler la poudre d’invisibilité du Pérou et ils nous ont attaqués. Nous nous sommes défendus, évidemment, mais ils étaient une dizaine contre nous alors nous n’avons pas pu faire grand-chose.
- Au début, narra Fred, après nous avoir neutralisés, ils voulaient nous tuer. Mais l’un deux a dit que nous pourrions être utiles vu que nous connaissions personnellement Harry.
- Alors ils nous ont soumis à l’Imperium, dit George, et nous ont ordonnés de ne pas bouger. Au beau milieu de la nuit, ils sont revenus avec Malefoy, et nous ont dit que nous devions servir ce petit merdeux. Il nous a demandé de t’espionner, ainsi que l’Ordre. C’est pour ça que nous avions abandonné notre magasin.
- Et puis l’occasion du mariage est arrivée. Nous avons prévenu Malefoy et t’avons entraîné dans un coin pour t’enlever. Mais nous avons été stupéfixés. Seulement les mangemorts sont arrivés et… enfin tu sais ce qui s’est passé.
- Ensuite, nous sommes restés dans ce manoir…
- Celui des Malefoy ? interrogea aussitôt Harry.
- Non, répondit George. C’était un manoir bizarre où on avait l’impression… qu’il faisait toujours nuit.
- En fait, dit Fred, je crois qu’il faisait vraiment toujours nuit. Ca devait être un tour de Tu-Sais-Qui. On pense que c’était son repère jusqu’à ce qu’il aille à Pré-au-Lard, mais on ne pouvait pas y transplaner ni en retrouver le chemin, donc il n’a pas été très utile aux aurors qu’on le leur révèle, mais on l’a fait quand même.
- Et heureusement ! s’indigna Hermione. Une information aussi capitale ! Au moins ils savent quoi chercher, maintenant !
- Si tu nous avais écoutés, rétorqua George, tu saurais que : de un, on a pas vu ce truc de l’extérieur donc non, ils ne savent pas quoi chercher.
- De deux, ils n’ont pas vraiment besoin de la chercher vu que maintenant, Tu-Sais-Qui doit vivre tranquillement dans sa capitale, rappela Fred. Et ça, c’est vraiment capital.
Ron et Ginny eurent un petit rire.
- Très drôle, répliqua Hermione d’un ton ironique.
Ginny continua à sourire mais Ron n’émit plus aucun son.
- C’était vraiment une maison bizarre, répéta George sans tenir compte de la remarque de la jeune femme. Au sous-sol, il y avait des hublots qui donnaient sur le fond d’une mare ou d’un marécage.
- Mais au rez-de-chaussée, poursuivit Fred, les fenêtres donnaient sur une plaine.
- Vous plaisantez ? s’hébéta Harry.
- Crois-moi, on ne plaisanterait pas là-dessus, même nous, dit George, très sérieux.
- Désolé…
- Ce n’est pas grave, assura Fred. Ensuite, il y avait l’étage où les fenêtres montraient une forêt de chênes. Et puis il y avait la tour où on se voyait au sommet d’une montagne.
- On aurait dit une maison composée, fit remarquer George ; comme si chaque partie se trouvait dans un endroit différent. En tout cas on est restés là-bas. Ensuite on s’est revus même si ce n’est pas un très bon souvenir… Et quand vous vous êtes enfuis de chez lui, Malefoy et nous sommes retournés à Godric’s Hollow le soir même.
- Il vous a suivis et a transplané avec nous en utilisant une technique que lui a apprise par Tu-Sais-Qui pour suivre un transplaneur peu de temps après qu’il ait disparu.
- On vous a encore suivis et on s’est installés dans un appartement qui faisait face à vos chambres d’hôtel. De là, on a pu vous voir transplaner.
- Malefoy est allé dans votre chambre et à pu suivre votre trace… déclara Fred. Il s’est jeté le sortilège de désillusion, a attendu que vous soyiez sortis et…
- Et quoi ? demanda Harry.
Fred jeta un regard oblique à Hermione qui éprouvait une certaine difficulté pour respirer. C’est alors qu’il comprit…
- Ce… C’est Malefoy qui a tué les Granger ? balbutia-t-il.
Les jumeaux hochèrent la tête d’une façon plus qu’explicite.
- Mais… c’est impossible ! Malefoy est incapable de tuer… D’accord, c’est un lâche et un minable petit mangemort ! Mais je l’ai bien vu le soir où il a essayé sur Dumbledore…
- Il est capable de tuer des animaux, j’en suis sûre, dit Hermione d’une voix chevrotante.
Ils se tournèrent tous vers elle. La jeune femme tremblait de tous ses membres et des larmes de rage coulaient de ses yeux.
- Hermione…
- C’est vrai, Ron ! s’exclama-t-elle. Pour lui, ce n’étaient que des animaux. Mes parents étaient des moldus. Alors pour lui, les tuer revenait à tuer des animaux, des êtres sans valeur, sans sentiment… des êtres non humains.
Et soudain, elle bondit et éclata :
- POUR LUI MES PARENTS ETAIENT DES ANIMAUX !! ! IL LES A TUES SANS PROBLEMES, CETTE ORDURE !! IL LES A TUES POUR S’AMUSER, COMME TOUS LES MANGEMORTS !! ! PENDANT QUELQUES SEMAINES, J’AVAIS CRU QU’IL ETAIT UNE VICTIME, QU’ON L’OBLIGEAIT A FAIRE TOUT CA ! MAIS NON ! IL LES A TUES DE SANG FROID ET IL FERAIT PAREIL AVEC MOI, JE LE SAIS, JE L’AI VU DANS SES YEUX CE JOUR-LA !
Harry savait qu’elle faisait allusion au jour où Malefoy l’avait d’abord soumise à l’Imperium puis au Doloris pendant quelques secondes. Lui et les Weasley furent passablement secoués par cette rage soudaine de leur amie d’origine moldue. Jamais Hermione n’avait parut autant en colère, tant éprouvée, si révoltée, et ce n’était pas si étonnant que cela, en fin de compte. Après tout, elle avait perdu ses parents pour découvrir qu’ils avaient été tués sans raison par un minable, et Harry avait une expérience suffisamment douloureuse en ce qui concernait la perte d’êtres chers pour comprendre sa réaction.
Il y eut un très lourd silence, puis la jeune femme se rassit, les yeux fixés sur ses genoux. Au bout d’une bonne minute de mutisme, les jumeaux décidèrent de reprendre leur récit tandis que Ron ceinturait chaleureusement les épaules de sa petite amie.
- Nous sommes partis ensuite pour Pré-au-Lard et là-bas, on ne faisait pas grand-chose, à part apporter son repas à ce petit salaud. C’est là-bas qu’on a commencé à se réveiller, déclara George.
- Cet idiot a négligé le pouvoir qu’il avait sur nous, raconta Fred. Il ne renouvelait pas l’Imperium et ça nous a permis de redevenir nous-même très vite.
- C’était il y a un peu plus de deux semaines, on a recouvert totalement le contrôle de nous-même.
- On faisait semblant d’être toujours des zombis pour ne pas éveiller les soupçons, et on réfléchissait ensemble à un moyen de s’échapper quand on a eu une idée.
- Pendant qu’il dormait (on en était sûr parce qu’on avait jeté en informulé le sort nécessaire), on a décidé d’attendre la pleine lune. C’était le lendemain soir.
- A ce moment là, il y aurait une foule de loups-garous dans la grand-rue, personne ne nous verrait parmi toutes ces créatures déchaînées.
- On a privé Malefoy qui ne se doutait de rien de sa baguette, on l’a menacé et il nous a docilement obéi en nous sortant du village, raconta George.
- Alors il est à Azkaban ? demanda Harry, ébahi.
- Parfaitement, certifia Fred. Et il ne sortira pas de si tôt, crois-moi.
- Bizarrement, dit George, il a tout de suite avoué qu’il avait torturé Ron après le mariage et qu’il avait tué les parents d’Hermione.
- Il n’y a rien de bizarre à ça, assura Harry. Il doit craindre la colère de Voldemort quand il apprendra qu’un de ses mangemorts a négligemment laissé échapper une véritable mine d’informations…
- C’est vrai, je n’avais pas pensé à ça.
- En tout cas, il a été condamné à la détention à vie à Azkaban ! annonça joyeusement Fred.
A peine eurent-ils achevé le récit de leurs péripéties qu’une note de service leur indiqua que le déjeuner était prêt.
Laissez des coms, .
jim, peux-tu me l´envoyer par mail avant que je ne parte? Je veux l´emporter en vacance
Ca y est tati, je te l´ai postée là où tu me l´as demandé^^.
Mais quand tu seras en vacances, vas-tu venir sur le forum
Super la suite Jim Continu
Super cette suite Jimpoter ..
Jim, help! Je n´ai rien reçu, sur aucune adresse
as-tu vérifier dans tes courriers indésirables ?
femto Méchant ! Oublier Fred et George, non mais !
En tout cas tout le monde !
tati J´ai reposté ma fic en pièce jointe à un e-mail que je t´ai envoyé à l´adresse que tu m´as demandé. Est-ce que tu as reçu quelque chose, cette fois ?
Bonjour je viens de passer une bonne partie de ma nuit a lire ta fic qui est excellente. Impossible de m´endormir avant d´avoir tout fini (un peu comme quand je lit les vrais HP ;) )
Continue comme ca j´espere que tu va mettre la suite tres rapidement, il n´y a rien qui m´enerve plus que d´attendre :P
Bonne continuation,
shadows01
oh un nouveau bienvenue
Jim a quand la suite??
mais j´écris un peu au ralenti en ce moment.
En fait, je vais m´y remettre activement à l´instant mais est-ce que quelquu´n pourrait me dire comment publier ma fic sur mon skyblog que je viens de créer ? Parce que j´ai essayé un copier/coller mais une fois que je fais copier sur ma fic, quand je clique droit sur la page de l´article que j´essaye de publier, il n´y a pas copier ! Et quand je clique sur l´icône "coller", ça ne fait rien non plus !