voila les trois derniers paragraphes de la bataille! bonne lecture!!!
J’étais dans ma canonnière, à mon poste, c´est-à-dire à la tourelle de tir avant droite. Je tirais des rayons de composite verts, continus sur les chasseurs droïdes ennemis. Il nous arrivait parfois de perdre un peu d’altitude, histoire de dégager un peu le passage au sol en balayant les droïdes de nos tirs. Un de ces moments arrivait. Nous étions descendu à peine à cinq mètres plus haut que les véhicules de combat terrestres. Nous survolions les lignes ennemies lorsqu’un droïde Araignée ouvrit le feu sur nous. Dans une manœuvre exceptionnelle, le pilote pris de la vitesse et fit faire un demi-tour à notre vaisseau. J’étais maintenant du côté du droïde Araignée. Je commençais à ouvrir le feu sur lui. Je le ratais le premier coup. Au deuxième, je le touchai au canon laser. Pas celui qui tirais des tirs continus, mais l’autre, celui qui tirait des rafales. C’est alors que l’on m’annonça dans mon intercom que l’équipage de ma canonnière allait combattre sur le front. Je me ravissais à l’idée de sortir de cette canonnière lorsque, d’un coup que je ne vis pas venir, le droïde Araignée tira un coup sur ma canonnière. Le tir toucha la tourelle où je me trouvai, traversant l’alliage protecteur pour me toucher au torse. De ce qu’il me restait à vivre, j’entendis le commandent de la canonnière dire au commandent des forces cloniques qu’il y avait un blessé et qu’ils devait l’emmener à l’infirmerie. C’est tout. J’étais mort. Ma dernière pensée fut qu’ils allaient à l’infirmerie. Et puis, plus rien.
Les Séparatistes commençaient à reculer. Je les voyais du cockpit du TS-TT dont j’étais le pilote. Nous étions vingt-sept à l’intérieur : un vigile, quatre canonniers pour les tourelles laser - un canonnier pour les deux tourelles avant gauches et un autre pour les deux tourelles avant droites, un canonnier pour chaque tourelle arrière -, un canonnier pour le canon lourd, deux sections de clones troopers, c’est-à-dire vingt clones troopers et moi, le pilote. Notre rôle dans le TS-TT était d’apporter une couverture à l’infanterie. Si ça tournait mal et que le véhicule se faisait attaqué, les vingt soldats seraient déployés au sol pour le défendre. Ils seraient également déployés si on avait besoin d’eux au combat.
Les droïdes de combat ennemis marchaient à reculons tandis que nos troupes avançaient. Une retraite se préparait, c’était évident. Tandis que leur infanterie se repliait en tirant sur nos soldats, leurs droïdes de combat autres qu’infanterie tel que les droïdes Araignées, les droïdes Fouisseurs formaient un mur de défense pour les couvrir. Les droïdes Fouisseurs formaient leur première ligne, tandis que leurs droïdes Araignées tiraient en nombre juste devant. Les cyclodroïdes, quant à eux, parcouraient nos lignes, tirant des slaves de missiles sur les TS-TT et écrabouillant nos soldats. Nous arrivâmes bientôt au niveau des vaisseaux du Techno-Syndicat. Les forces Séparatistes allaient bientôt se replier dans ces immenses vaisseaux spatiaux. Les CAM tiraient toujours pour en détruire quelques un, mais ils étaient maintenant trop loin. Et ne pouvaient plus se déplacer en raison des nombreux missiles que les cyclodroïdes leur ont lancés. Je commençais à crier victoire mais c’est alors que je vis ce qui pourrait être ma mort : un cyclodroïde avait lancé un missile sur notre TS-TT ! Je hurlais au canonnier du canon principal d’essayer de faire quelque chose et celui-ci me répondit qu’il allait essayer de détruire le missile. « C’est de la pure folie ! » me dis-je alors que le canonnier tentait désespérément de détruire le missile. Il se rapprochait à une vitesse folle ! Il n’était plus qu’a cinquante mètres de nous lorsqu’un éclair violet déchira l’air devant nous. Le canonnier avait réussi à détruire le missile ! Dès que je m’en étais rendu compte, je l’ai tout de suite félicité, acclamé, mais il me rappela que la bataille n’était pas encore terminée. Je répondis affirmativement et retournai à mon poste. Lorsque nous avions terminé de détruire leur mur de défense et leurs cyclodroïde, presque toute l’infanterie ennemie était rentrée. Nous déployâmes, nous et les autres TS-TT, nos soldats encore en attente dans les hexapodes pour les envoyer abattre le reste de droïde de combat. Pendant qu’eux se chargeaient des troupes au sol, nous tirâmes sur les vaisseaux du Techno-Syndicat. Nous réussîmes à en détruire deux avant que toute l’armée Séparatiste se soit échappée de Géonosis, laissant les troupes Républicaines au milieu de carcasses de véhicules terrestre et de droïdes, et de cadavres de clones et armures blanches.
Deux heures après la retraite des Séparatistes, nous étions tous rassemblés près de nos croiseurs. Nous montâmes à l’intérieur, bataillon après bataillon. Les canonnières rentraient par les hangars tandis que les hexapodes rentraient dans les croiseurs entre deux bataillons. Un demi-heure après, le chargement était achevé. Les croiseurs décollèrent, laissant aux Géonosiens un tas de ruine sur leur monde. Après avoir quitté l’atmosphère de plusieurs centaines de kilomètres, les croiseurs passèrent en hyperespace ; destination : Coruscant. Mais cette bataille n’était pas une simple bataille comme les autres. C’était la bataille qui marqua la réapparition du Comte Dooku, la découverte de l’Alliance qui portera bientôt comme nom la CSI, la Confédération du Systèmes Indépendant ; mais surtout, la commencement d’une guerre sans merci et qui mènera à des évènement encore bien plus sombres : la Guerre des Clones…
alors?, lachez vos coms!!!
ok, j´y vais. (ça fait plein de fic a lire en ce moment!)
Continue 
,mais...
! et y´a aussi un bla-bla!!! merci d´etre passé et 
!! !
g adorer cette histoire jespere qe tu en fera dotre