bonjour j´ai écrit une histoir d´un hunter cette histoir est déja pas mal aboutie!
il a une fin fictif! ce qui signifie que cette histoir peut ce terminer la ou bien la continer!
le seul probléme c´est que sa me prend du temp et que je veux pas faire sa que pour moi et j´aimerai vaut avis! est des idéé de suit!
mon histoir est deja asser longue!! do,nc jai besoin de certain hunter asser courageux!!
la je fait un copier coler! d´un format Word et il y a des image des couleur diferente police etc.....
donc si vous voulez le lire ce le vraix format qui est beaucoup plus passionnante a lire!
pour la´avoir il sufit de me le demende sur ce topic et je vous rentre dans ma liste et je vous l´envoi via msn!!
maxetzoe@hotmail.com
les seul soucie! sont:
il y a pas malle de faute!
et que il me faut des avis rapidement!
car que je commence a élaboré la suite si vous jugé que l´on n´en a besoin?
voila je vous laisse lire maintenant!
Max le hunter
Prologue: Cette histoire se déroule dans un village incrusté dans une montagne de granit. Il y avait est peuplé d’une centaine d’habitants, dont une vingtaine d’enfants de moins de 15 ans. Parmi eux, un jeune homme nommé Max
Max était un enfant rêvant d’aventures, il désirait être un chasseur de dragons. Mais il fallait avoir vingt ans, car aucun villageois n’avait le droit de quitter le village avant cet âge-là. Seul les chasseurs (ayant plus de vingt ans) et expérimentés pouvaient sortir du village… à leurs risques et périls !
Donc notre histoire commence…
CHAPITRE 1
Je courais de toute mes force, un dragon rose de 2.5 mètres de haut en rage me poursuivait à toute allure, je n’avais pas d’épée ni d’armure, j’étais en caleçon ! Pourquoi ? Je ne sais pas du tout mais j’avais mieux à faire que de me soucier de mon allure vestimentaire, il était juste derrière moi et me fonça dessus… quand soudain je trébucha sur une bouse d’herbivore. Sous le choc, je me retourna et vis le kut ku se faire dévorer par un chat ! Eh oui, le chat était en train de sucer les os du kut ku, je ne comprenais plus rien, ce n’était pourtant pas possible ! Mais c’était bien le cas ! Et, soudain, le chat me regarda et sortit ses grosses griffes en me disant :
« Max! A table ! » Il me sauta dessus, j’étais réellement paniqué ! Quand soudain il disparue et je me réveilla en sueur ! Effectivement, j’étais étendu sur mon lit, en caleçon, la tête dans les nuages et je réentendis ma mère me dire :
« Max, j’ai dit à table !! »
Je compris alors que c’était un rêve stupide créé a partir de mon imagination ! Je regardai autour de moi et je vis ma belle chambre avec ma collection de petit os d’herbivores que j’avais achetés au marchand nomade qui va de village en village, un bras en os complet pour seulement 25 niuti -les niuti étaient notre monnaie mais je préférais celle d’avant elle était plus pratique !
Je vis par la fenêtre que le soleil venait a peine de se lever dans le gouffre de granit et que des rébasques survolaient notre village. Les rébasques étaient des volatiles charognards qui mangaient les cadavre d’animaux, ou de chasseur. Malheureusement, je ne connaissais rien de ce qui était en dehors du village j’avais seulement vu des dessins que certains chasseurs avaient pu ramener, notamment celui d’un kut ku que j’avais vu la veille et qui, par la suite, m’avait fait faire ce rêve idiot !
Il ressembler a sa :
« Max, à table ! Ne m’oblige pas à venir ! »
Ouh la ! Là, ma mère m’appelle et mon père était encore parti chercher les baies de la rosée du matin dans un plaine appelée forest and hills ; il était un chasseur de niveau moyen. Il existait trois types de niveaux : les novices, appelés couramment « noob » par les villageois, les moyens qui faisaient des chasses de velosapir ou vélocipore -je ne sais plus comment ça s’appelle, il parait que c’est une sorte de petit dinosaure bleu ! Enfin, moi je n’y crois pas trop, cependant mon père en chassait mais il ne voulait rien me dire à leur sujet, car il détestait l’idée de me voir chasseur… pourtant c’était le destin d’un quart des jeunes, sinon c’était forgeron ou vendeur ! Mais moi, je voulais être un chasseur de premier niveau, hélas, aucun chasseur de ce niveau ne venait par ici. Cependant, là, le plus important ce serait d’aller manger, car je ne connais pas de vélocimachin qui puisse supporter les crises de ma mère, nommée Lucia, qui avait la quarantaine et qui m’adorait !
Je me rendis dans la cuisine et je vis la table mise avec une odeur alléchante de galettes de maïs.
Ma mère s’approcha de moi et me donna une grosse galette avec du gravidon, qui est une sorte de légume cuit à l’endive. Après que j’ai fini mon assiette, ma mère me dit :
« Va jouer avec tes amis ! »
« Je n’ai pas d’ami ! », lui répondis-je !
Effectivement, je n’aimais pas les enfants d’ici. Nous venions de nous installer en ces lieux et n’avions jamais été bien vus dans les parages ! Malgré tout cela, je décidai quand même de sortir en direction du ruisseau. L’air était doux et frais. Lorsque que l’on regardait devant soi, on apercevait la boulangerie et, à trois mètre de là, on ne pouvait que remarquer la présence de la forge qui faisait un vacarme à faire trembler la montagne.
Tout d’un coup, je me fis bousculer violemment contre le sol par un malade en armure de bas niveau couverte de sang voila a quoi il ressembler :
Il courait en direction de ma demeure, il tapa de toutes ses forces
contre la porte en bois de notre grotte.
Je me relevai et vis ma mère qui ouvrit avec précaution la porte et,
soudain, l’homme prononça tout essoufflé :
« Madame Lucia Aorte ? »
Ma mère inquiète répondit :
« Oui, c’est pour quoi ? »
« Votre Mari est… est… »
Quand soudain alors ma mère hurla de terreur :
« Est quoi ? Répondez ! »
« Votre mari est ….euh…comment dire je suis navré mais euh…..il ne la pas vue ….c’est arriver tellement vite comment vous dire cela… votre mari est…mort! »
Un lourd silence se fit entendre, quand il fut interrompu par ma colère envers cet homme qui apportait cette terrible nouvelle.
Je bondis sur mes jambes et à toute allure fonçai vers cet homme en hurlant :
« NNNNNooooooonnnn ! Mensonge ! Vous mentez ! Traître, assassin ! »
Et je martela de mes poing son armure qui sentait à peine le choc. Mais c’était par désespoir que j’agissais ainsi !
Et lui répondit sagement sous les petits coups que je lui infligeais :
« Crois-moi, je suis navré pour toi et ta mère ! »
Après m’être calmé je me rabaissai au niveau de ma mère qui s’était écroulée au sol de désespoir et je la pris dans mes bras en lui jurant :
« Mère, écoute moi, je te promets que le monstre qui a osé faire une chose pareille le payera de sa chair et de ses dents et j’en ferai une tombe pour mon père déchu au combat ! »
Sur ces mots, ma mère réagit de son dernier souffle avant de s’évanouir :
« Non, Max ne fait pas sa ! Tu es la dernière chose que je possède, je t’en prie n’y vas paaa….ss…. » Sur ces mots elle s’endormit
Je me relevai d’un geste à détruire un herbivore, je regardai l’homme responsable de cette nouvelle et je lui demandai :
« Par quoi mon père a-t-il été tué ? »
Et il me répondit d’un ton moqueur :
« Ecoute ta mère et de toute façon tu n’as pas vingt ans ! »
« Par… quoi… a-t-il… été… tué ?» Lui répétai-je d’un ton assassin.
« Voyant ma colère l’homme me répondit :
« Hé bien après qu’il ait cueilli des baies il s’est fait attaquer par un rathalos ! »
Etonné de sa réponse, je lui demandai :
« Un quoi ? »
« Un rathalos ! C’est un énorme dragon effrayant ! Cracheur de feu ! »
« Alors soit, je vais détruire ce dragon ! »
Je laissai une lettre à ma mère qui disait :
Chère maman,
après avoir appris la mort de mon tendre père, je me dois d’aller le venger, même si je n’ai pas vingt ans, je suis obligé. Le chef du village risque de m’en empêcher mais je dois le faire et toi tu dois le comprendre !
Je vais donc commencer mon périple de vie de chasseur, malgré mon jeune age.
Je t’aime de tout mon cœur et je te reviens vite !
Ps : je t’ai pris cinq galettes, deux rations, trois bouteilles d’eau de source et un kit de soin, je te rembourserai et j’ai pris de l’argent pour m’aider dans ma quête.
Bisous, ton fils Max
Sur ces mots, je pris mon sac avec deux, trois vêtements et un couteau de cuisine -vu que l’armurier a fermé sa forge aux moins de vingt ans. Donc, seul ce couteau pouvait me protéger partiellement. Je sortis de ma maison et je vis devant moi un groupe de villageois attirés par le scandale que j’étais en train de provoquer. Soudain, cette foule laissa place à un homme. Cet homme était le chef du village, il me regarda avec mon sac sur le dos et mon couteau de cuisine de trente centimètre de long glissé sous ma ceinture. Le chef en voyant cela me dit :
« Hmmm…Max, je comprends ton désespoir mais je suis désolé, tu n’as pas vingt ans et en tant que ton chef, je t’interdis de sortir du village pour préserver ta santé ! »
« Personne ne m’interdira de venger la vie de mon père ! »Et je ne sais quelle folie me traversa pour me permettre de pousser le chef dans la foule afin de me frayer un chemin vers la porte de sortie ! Le chef hurla après moi en me disant que j’allais mourir et que personne ne me rendrait mon père ! Par chance pour lui, je me suis retenu de le frapper.
Arrivé devant la grosse porte en bois je m’arrêtai, je poussai un long soupir et je repris confiance en moi. Enfin, je sortis du village.
Me voilà parti à ma perte…