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Monster Hunter Freedom

Sujet : ~fic~ [FELYNE]
JorasKattitude2
Niveau 10
07 janvier 2010 à 20:42:14

oui. pourquoi? tu veux mon nom? sur un forum? tu rêves!

NoctaShiny
Niveau 6
08 janvier 2010 à 18:37:56

je sais je suis pas c** non-plus envoi sur MSN

JorasKattitude2
Niveau 10
13 janvier 2010 à 13:52:40

je viens de dépasser les 100 lignes sur word, et ce sans les sauts de lignes, ou les quarts de lignes!
:ok:

NoctaShiny
Niveau 6
17 janvier 2010 à 20:06:34

la suite maintenant!!

JorasKattitude2
Niveau 10
01 février 2010 à 21:11:15

elle arrive, très, vraiment trrrrrrrès prochainement: j'ai bouclé le chapitre, et je suis en train de le faire corriger par lefandelabrume, et je l'enverrai bientôt à elektro...

Mais sinon je pourrais le poster la maintenant.

Rage, hein? :hap:

lefandelabrume
Niveau 6
02 février 2010 à 22:43:35

c'est bon j'ai fini j'te la rendrais demain :ok:

JorasKattitude2
Niveau 10
03 février 2010 à 21:14:03

coucou, tu veux voir ma suite? :hap:

__________________________
----------CHAPITRE VI----------

Cinq jours.
C’est la durée qu’il nous fallu pour arriver jusqu’à la tente de commandement du campement des Partisans, pourtant située à seulement deux kilomètre de l’endroit de l’explosion. Mais l’explication est toute simple: un coma de quatre jours, pendant lesquels nous fûmes emmenés au camp, ajoutés à une convalescence expresse d’un jour –on n’avait pas envie de faire plus– et voilà comment nous fîmes deux kilomètres en cinq jours.
Bizarrement, Chuck avait été le seul à ne pas être affecté par l’explosion. Certes, il avait volé, mais sans plus. Alors pourquoi avons-nous mis tant de temps à rejoindre la base provisoire? La réponse est toute bête: il avait préféré faire une sieste pour se remettre de toutes ces émotions. Tocard, va.

Enfin bon, au moins nous y étions. Et sous bonne garde. Chacun de nous avait droit à sa "nounou" personnelle, Rey, Kian et moi, pourtant plus petits et censés plus faibles que des humains compris, et Selgove était gâté, puisque lui en avait deux. Sa carrure imposante devait probablement y être pour quelque chose. Les Partisans nous avaient sauvés, car Chuck avait plaidé en notre faveur, néanmoins ils doutaient apparemment de nos intentions. Mais venant de la Guilde qui, avec celle des Assassins, était la moins appréciée par la population et la plus recherchée par les autorités, cette méfiance était plutôt légitime. D’autant plus que le Maître de la Guilde, communément appelé le Sagace était présent ici-même.
Nous nous réveillâmes tous à notre rythme, chacun de nos gestes étant épié par les gardes. Celui de Kian fut celui qui eut le moins à faire, puisque mon compagnon mélinx jugea le moment approprié pour faire une bonne grasse matinée, et se réveilla donc très en forme, mais avec quelques méchantes courbatures quatre bonnes heures après tout le monde. Vu qu’on n’était pas autorisés à se lever pendant ce temps, Rey le mit à profit –le temps– pour se rendormir, prolongeant d’autant plus notre attente. Exaspéré, je pris exemple sur mes deux pachas de compagnons et entrepris de me rendormir. S’inspirant de nous trois, Djen se rendormit, puis Selgove suivit. C’est ainsi que nous perdîmes une autre journée, chacun se rendormant en différé du reste du groupe. Le cinquième jour, les gardiens, lassés, mirent une grosse mandale à tout monde, même ceux qui étaient réveillés –dans le doute...– et Chuck entra.

« Pardonnez-nous pour ces méthodes un peu… suspicieuses, mais nous devons êtres certains que vous n’êtes pas des espions
– Et ta sœur, elle est suspicieuse, nia? » Mais ta gueule, Kian...

  • PAF* « Dévolé de vous avoir inferomfu, niahaaa... »

Djen prit la parole: « Mais Raymond vous a pourtant donné le mot de passe ! Il vous a pourtant prouvé qu’il n’était pas un espion !
– Lui, non, mais vous, qu’en savons-nous, si vous n’êtes pas des espions?
– Nous sommes des amis à lui!
– Et c’est là tout le problème. Si vous ne vous étiez pas connus avant de vous rencontrer à Furbos, vous auriez eu besoin de le convaincre de votre sincérité, alors que puisque vous êtes amis, il vous a justement fait confiance. Il a beau s’être absenté longtemps de la guilde, sa réintégration a nécessité une enquête approfondie de ses activités durant cette période. Et étonnamment, qu’avons-nous trouvons trouvé? Rien. Absolument rien qui permette de confirmer ou d’infirmer ses dires comme quoi il aurait intégré un village félyne durant la quasi-totalité de cette période, complètement coupé de toute compagnie humaine. »
Tiens donc… Cette description me rappelait fortement un ami humain que je n’avais pas revu depuis la destruction de notre village et que j’avais longtemps cru mort. Il faudrait que j’aie une petite discussion avec ce cher Raymond quand je le reverrai.

Un Partisan pénétra dans la tente d’un pas vif, et dit à Chuck d’une voix forte dans laquelle pointait l’urgence: « Monsieur! Nous avons arrêté un jeune homme, seul, qui rôdait au nord-est du camp. Nous avons commencé à l’interroger… de façon "soft" : il dit s’appeler Syon, et prétend qu’il n’espionnait rien, mais se contentait de suivre les prisonniers.
– Ah parce qu’on est des prisonniers, maintenant, nia ?!» La remarque me valut une mandale, et je pris ça pour un "oui". Cependant, ce nom, Syon, m’intriguait, car j’étais sûr de l’avoir entendu quelque part, mais ne me rappelais plus où. Puis subitement, cela me revient: je l’avais entendu lors de la Yakion’rha à Furbos, à la cérémonie d’introduction. Syon était un des jeunes chasseurs que j’avais vu là-bas. Mais pourquoi nous avait-il suivit ?
Au vu de la délicatesse excessive dont faisait preuve mon garde attitré, je préférai ne pas poser la question.
« Je suppose que c’est Cloune qui l’interroge? » demanda Chuck au messager.
« Tout à fait, monsieur.
– Pfff, je déteste vraiment ses pratiques, mais il faut reconnaitre que la torture donne d’assez bons résultats en règle générale… » La torture?!!
– Ceci dit, monsieur, le Maitre de Nuit Cloune n’a pas eu besoin de recourir à de telles extrémités, car le dénommé Syon s’est montré plutôt coopératif.
– En même temps, quand on voit sa tête, on n’a pas vraiment envie de lui raconter des craks.
– Certes, monsieur.
– Bon allez me le chercher, je vous prie, j’ai un autre interrogatoire à mener ici. Bon sang, il aura presque mérité une prime, avec tout ceux qu’il va interroger aujourd’hui. ‘Fin bon, j’aimerai quand même bien savoir pourquoi Jor… le Sagace le garde: il terrifie les Partisans plus qu’autre chose, avec ses manies de sadique. »

Bouh, la torture psychologique qui saute aux yeux! Bouh, les paroles qui font peur! M’enfin, faut reconnaitre que c’est efficace. On avait envie vraiment de balancer tout ce qu’on savait, et même ce qu’on n’savait pas, avant même d’avoir rencontré le personnage, qui arriva environ dix minutes plus tard. Je doutais que le messager ait mis autant de temps pour prévenir ce fameux Cloune, je pensais plutôt que ce temps devait nous permettre de réfléchir à ce qui nous attendait, c’est-à-dire une possible et douloureuse séance de torture. Je me faisais les riffes sur les montants de mon lit pour calmer mon stress en attendant cet être à la réputation plus qu’inquiétante. Mon garde n’avait l’air d’apprécier que très modérément cette pratique, mais ne dit rien. Cloune, facilement reconnaissable à son visage… clownesque, maquillé de blanc et vêtu d’habits bariolés, entra enfin dans la tente, suivant une autre personne à l’allure étrange et imposante, encapuchonnée et surtout pourvu d’une paire d’ailes noires parcheminées qui ressortait par les plis de sa cape ; cape qui cachait par ailleurs efficacement le reste de sa personne. Cet étrange personnage aux airs mystérieux avait en définitive une sacrée prestance. Et à voir l’expression des Partisans présents dans la tente, il devait avoir le rang et le pouvoir qui allaient de pair avec ladite prestance. Chuck confirma ma quasi-conviction sur l’identité de ce fameux personnage en adoptant un ton très cérémonieux:
« Messieurs, vous vous trouvez actuellement en présence du Sagace, Maître de la Guilde des Voleurs, chef suprême des Partisans et homme le mieux informé de Gardemine ! »

L’intéressé se pencha vers lui et lui murmura quelque chose. Cloune, se rappelant à notre bon souvenir, s’avança au centre de la tente, qu’il balaya d’un regard un peu fou, et demanda avec un air gourmand en se frottant les mains, d’une voix grinçante d’où suintait l’avidité: « Je commence par lequel ? » Finalement, il faisait vraiment peur, cet hurluberlu peinturluré adorateur de la torture.
« Par aucun » rétorqua l’encapuchonné, d’une voix étonnamment jeune. « Je les préfère en état de parler et en bonne santé qu’à moitié mort, les membres et l’esprit brisés. Ils peuvent m’être utiles, et ils le seront plus avant qu’après être passé entre tes mains, mon cher Maître de Nuit. » L’enthousiasme de cet effrayant personnage retomba subitement, et il partit bouder dans son coin comme un enfant. Cette réaction aurait pu être amusante, si la menace de la torture n’avait pas lourdement pesé sur nos têtes; dans cette situation, sa réaction puérile, qui contrastait énormément avec la folie sadique dont il avait fait preuve, ne faisait que rendre le personnage plus imprévisible, et donc bien plus dangereux. Restait à espérer que le Sagace tenait bien son molosse en laisse, car si ce dernier venait à outrepasser les ordres de son maître, nous le paierions cher. Très cher…
Un sifflement régulier et assez faible vint briser le fil de mes lugubres pensées. Tout le monde cherchait d’où ce son inopiné pouvait bien provenir. Je cherchais également, et mon regard tomba sur… Kian. Bon sang. Ce con s’était rendormit en dépit du stress énorme qui planait sur la tente.

Son sommeil fut de courte durée, puisqu’il fut réveillé par le bruit tonitruant d’une explosion toute proche qui fit trembler le sol. En un instant, la totalité du campement fut en ébullition. Les bruits de l’agitation extérieure nous parvenaient assez clairement, et en moins de cinq minutes, au moins six ou sept Partisans pénétrèrent dans la tente pour faire leur rapport sur l’état des pertes, la nature des attaques, et autre, le tout au son des explosions qui se multipliaient un peu partout ¬dans le camp. Le Sagace gardait un sang-froid assez exemplaire, distribuant calmement mais efficacement ses ordres aux différents messagers qui allaient et venaient, ainsi qu’à ses deux lieutenants, Chuck No’Risse et Cloune Keflaz. Ils s’absentaient puis revenaient de façon irrégulière, le plus souvent en courant, avec toujours en fond sonore le bruit angoissant des explosions. Finalement, au bout d’une durée qui me parut interminable, le Sagace envoya chercher ses deux lieutenants, et tint avec eux un rapide conseil. A la fin de cet entretien express, Chuck affichait un air résigné, et Cloune ressemblait à un enfant qu’on aurait privé de dessert. A tout les messagers qui arrivaient désormais, le Sagace donnait cet unique et mystérieuse consigne:
« Il est temps de fumer l’hirondelle.» Fumer l’hirondelle, non mais quelle idée… Pauvre bête! Ou alors c’était un message codé, et cela n’impliquait nullement les oiseaux migrateurs, hypothèse déjà plus plausible. Mes brillantes réflexions furent confirmées par l’air hésitant, puis résigné, des messagers qui repartaient en courant porter ce que je supposais être une triste nouvelle. Mes camarades et moi-même fûmes rapidement mis sur pieds, habillés et équipés pour le voyage, et on nous fit sortir de la tente.

Le spectacle qui s’offrait à nous n’était pas franchement folichon. Un immense brasier alimenté par des tentes, des arbres et des corps d’humains et d’animaux, brûlait partout où se portait le regard. Des gens couraient dans tous les sens pour tenter d’éteindre les flammes, mais la plupart s’était enfuit, s’enfuyait ou allait s’enfuir. Chuck échangea quelque mots avec le Maitre d’une guilde en décomposition, puis partit de son côté d’un pas rapide. Quelques instants plus tard, Cloune fit de même, puis s’en fut également. La chaleur devenait rapidement insupportable, mon pelage commençait à sentir le roussi et les explosions continuaient toujours, harcelant les dernières forces de la Guilde. Le Sagace, la capuche toujours rabattue sur sa tête, se mit en route et nous fit signe de le suivre; nous obtempérâmes sans poser de questions, trop presser que nous étions de fuir cet enfer brûlant. Notre groupe, alors composé de Selgove, Djen, Rey, Kian, le Sagace et moi –six personnes, donc–, fut bientôt rejoint par un septième membre. A cause de la lumière des flammes, je ne pus tout d’abord distinguer ses traits, mais ma surprise fut de taille lorsque je le reconnus. « Oh ben merde alors, nia! » minaudai-je, sous le choc « L’Affranchi, nia! » La liste des questions à poser venait de s’allonger.
Il nous nous rejoignit au pas de course et salua son Maitre toujours encapuchonné. Nous nous mîmes ensuite en route, d’un pas rapide pour les humains, que nous autres félynes suivions avec peine sur nos petites pattes, en trottinant à une allure rapidement fatigante. Du coin de l’œil, j’apercevais quelques Partisans qui étaient restés pour couvrir la retraite de leur Maitre, nous ouvrant un chemin relativement sûr. Lorsque nous eûmes atteint le couvert des bois, l’Affranchi se permit un regard en arrière, ce qui ne m’étonna pas vraiment, en admettant qu’il avait été un Partisan. Le Sagace s’accorda lui aussi ce que je supposais être un regard –ben oui, "supposais"; c’est pas facile à dire quand une capuche masque le visage…–, ce que je trouvais parfaitement normal, puisqu’étant à la tête de la Guilde, il avait subit l’attaque de plein fouet. C’est son moral qui avait du en prendre un coup.

Nous reprîmes donc notre chemin, le Sagace en tête de file, la lumière des flammes éclairant notre route, et leur chaleur s’estompant peu à peu, en gardant à l’esprit que, si son chef était encore vivant, la puissante Guilde des Voleurs, elle, n’était plus.

____________________
J'attends, comme toujours, vos commentaires avec impatience! :ok:

lefandelabrume
Niveau 6
04 février 2010 à 17:49:24

sympa comme toujours

naunau456
Niveau 10
04 février 2010 à 21:56:29

Pas mal du tout :ok:

NakVerrion
Niveau 10
04 février 2010 à 22:19:22

J'comprends plus rien... J'devrais relire le reste. :o))

Dede_Velociprey
Niveau 8
05 février 2010 à 10:03:11

peut-être, oui :hum:

lefandelabrume
Niveau 6
05 février 2010 à 10:47:44

tu vois je t'avais dit qu'il fallait aérer sinon c'était pas très compréhensible.

JorasKattitude2
Niveau 10
05 février 2010 à 13:26:35

ça n'a rien à voir, c'est au niveau de l'histoire qu'il ne comprend pas, sinon il aurait pas dit qu'il allait relire le reste. :ok:

lefandelabrume
Niveau 6
05 février 2010 à 15:49:39

mouais p'têtre mais c'est vrai que j'avais eu le même problème quand je l'ai corrigée

JorasKattitude2
Niveau 10
05 février 2010 à 22:13:14

j'ai comme l'impression que mon nouveau chapitre deplace les foules :hum:

NoctaShiny
Niveau 6
05 février 2010 à 22:38:22

ouai il est bien mais la je suis pas apparu je suis réapparu

JorasKattitude2
Niveau 10
05 février 2010 à 22:41:14

en clair ça veux dire quoi?

NoctaShiny
Niveau 6
05 février 2010 à 22:55:33

déja expliquer sur MSN

lefandelabrume
Niveau 6
02 mars 2010 à 12:30:59

up :up:

Jorask
Niveau 10
02 mars 2010 à 13:43:33

merci mon petit d'ouvrir la voie, pour le PROCHAIN CHAPITRE QUI ARRIVE BIENTOT AVANT LA FIN DES VACS POUR LA ZONE SAAAAAAYYYYYYYYYYY!!! :fou:

Sujet : ~fic~ [FELYNE]
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