dsl du double post mais tu peux rajouter ma fic dans les sponsors
Dans Ma ic, non? sans probleme, mais vu que tes actullement le seul a y aller, sa sert a rien.
"Dans Ma ic, non?"
je suis d'accord avec toi même si j'aimerais te contredire pour une fois...
Je suis incontredisable!
XD
dsl du double post mais comme je pars, Jorask va devoir s'activer en attendant le retour de Doc' et de moi pour que ce topic reste en 1ere page on a fait 182 posts à nous seuls...
Oh putain! Tu les a comptay?
Reuh, apres une longue abscense, j'ai pu lire ces fics:
-Je pense que Juju a bien réussi son combat, sans rentrer das la peau d'un Garuga, ou d'un chasseur, pour rester sur le point de vue de la foret
-Quant à celle de Jorask, idem =) pour les trois chasseurs.
-Moi, je ne posterais pas de suite, car, si le combat est inévitable entre les deux civlisations, je sais que je rentrerais dans la peau d'une bête =/
Merci pour etre enfin revenu, on commencay a se sentir un peu seul. Tu a peut-etre remarquay, si tu a lu ma fic, que ma chronique reprend deux des personnages, et raconte plus ou moins "l'origine" de l'histoire.
Le chapitre deux est plus ou moins en route, et sera certainement plus court que le premier.
littledoc, the return XD
??
En fait je suis confronté à un problème pour la chronique: le chapitre deux risque d'être trop long,, et je serais probablement obligé den faire un troisième. Donc, que fais-je?
Tu fais l'amour a ton chat ??
Ok, je vais essayer ça!
Dis-moi WG, c'est la première fois que passe par la, non?
Nop, je venais peu souvent car je suis directement passer par le MHF2, mais il m'arrivait de passer ici avec Snakeenforce ou Muramesa
Et ça te dit de poster une chronique sur notre cher topic qu'on occupe à deux avec juju?
à 3 ! (Doc' )
Bon voici la suite de ma chronique, je la ferais en 3 chapitres, je changes les règles, je fais ce que veux et j'vous emmerde, et de toute façon y a pêrsonne pour contester.
Chai!
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Les Trois viendront,
Main dans la main;
Mais ce qu’ils feront
Scellera leur destin.
De son sommeil prolongé
Gavsorgh sera tiré.
Les Trois sont venus le chercher,
Mais Gavsorgh les a trouvés.
De son sanctuaire
Au cœur de la Terre,
Gavsorgh s’éveillera,
Et de nouveau la mort répandra.
Les Trois à jamais
Seront separés;
L’un voyagera,
Le deuxième ne repartira pas,
Et le troisième changera.
Extrait de la Prophétie de Gavsorgh.
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--------------Chapitre II-----------------
Partie 1
Ils descendirent pendant longtemps. Si longtemps qu’ils en perdirent le fil des jours. Ils s’arrêtaient régulièrement pour manger et dormir, à des heures qu’ils estimaient être fixes. Mais chaque pas les convainquait un peu plus qu’ils touchaient au but. Les moments de découragement étaient fréquents, et l’obscurité ne contribuait pas à la tranquillité du groupe, constamment sur ses gardes dans ce corridor sombre et apparemment sans fin.
Au bout de ce qui devait être des mois, ils arrivèrent dans une immense grotte en forme de dôme aux parois parfaitement lisses et couvertes d’inscriptions et d’illustrations étranges. Ils restèrent un moment à contempler ces graffitis. Tarjin se détacha tout à coup de l’observation des parois pour passer à celle de la salle elle-même. De là où ils étaient, ils ne voyaient ni le plafond, ni le fond de la grotte, tout deux plongés dans l’obscurité qui régnait en maître. Tarjin prit sa torche dans une main, son courage dans l’autre, et s’éloigna de la sécurité relative du mur pour s’enfoncer vers le centre de l’immense caverne. Cinq minutes plus tard, la voix de Djen retentit, laissant un écho fantastique qui dura quatre bonnes minutes: «Tarjin? Qu’est-ce que tu fais? T’es où?»
Une voix lointaine lui répondit : « Oui? Je cherche la tablette. Presque au milieu de la caverne, je pense.
-Et tu as vu la tablette? » s’enquit soudainement Mjogard. Et cet écho qui ne se taisait pas...
« Non, pas encore. Ah, si, attends… Il y a des marches! Je ne vois pas où elles mènent, mais il y a des marches!
- J’arrive! » s’écria Mjogard avec excitation.
Mjogard abandonna Djen à son inspection et rejoignit Tarjin en courant, qui avait déjà commencé à gravir les marches. Mjogard bouscula son compagnon et gravit les marches toujours en courant. Au bout d’un quart d’heure de course folle dans l’escalier, il s’arrêta, essoufflé, sans pour autant apercevoir le bout des escaliers, qui se prolongeaient jusque dans les ténèbres. Un lointain écho lui parvint :
« Mjogard, tu vois quelque chose ?
¬– Non, rien, les escaliers continuent! » hurla-t-il en retour, espérant que ses compagnons entendent. Il n’était pour sa part pas question qu’il les attend.
Il continua à monter les marches pendant encore une vingtaine de minutes, puis l’escalier laissa place à un chemin qui montait doucement en serpentant. Mjogard jeta un regard en bas, mais il ne vit qu’obscurité, en il prit alors conscience que l’escalier qu’il avait emprunté à toute vitesse était particulièrement étroit et qu’il ne possédait pas de rambarde, et il se rendit alors compte de son imprudence. Mais qu’importe! Il avait gravit cet escalier seul et il continuerait seul vers la gloire que lui apporterait l’artefact qu’ils recherchaient, tout les trois.
Enfin, il vit la tablette. L’artefact qui lui procurerait tout ce qu’il voudrait. Il pressa le pas, et finit presque par courir. Il atteint la pierre, et la toucha.
Au bas des marches Djen et Tarjin, ce dernier en tête, virent un immense flash, qui les laissa éblouis plusieurs minutes dans la sombre caverne. Puis un cri, un hurlement décharné, rocailleux, malsain, leur parvint. Les deux compères se regardèrent, puis foncèrent dans l’interminable escalier, saisis tout deux d’un très, très mauvais pressentiment.
Les hurlements se répercutaient dans toute la caverne, et des raclements et chocs d’acier contre la roche se faisaient entendre. Tarjin et Djen coururent du plus vite qu’ils le pouvaient, mais durent quand même faire une pause au bout d’un moment, tandis que les insupportables cris continuaient. Après ce qui leur semblait être des heures, les deux amis parvinrent au bout de l’escalier, et aperçurent, au bout de l’étroit chemin, leur ami qui se tordait de douleur en luisant doucement d’une lueur malsaine. Puis tout s’arrêta d’un coup.
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Un proverbe dit (ou pas) : quand quelqu'un fait quelque chose, il est possible que quelqu'un d'autre fasse autre chose, et reciproquement.
Proverbe de merde, by -Jorask-