D'accord, merci.
Vraiment desoler pour le retard, je vous avait promis samedi. Mais g eu quelques problèmes personnels...
Bon dites moi ce que vous en penser:
CHAPITRE 1 : LES ABYSSES DU PASSÉ
Il faisait tout noir.
Mon cœur battait si fort que j’avais peur qu’il s’arrache de ma poitrine.
J’avais presque l’impression que ce n’était qu’un mauvais rêve. Demain je me réveillerais avec la certitude que je n’étais pas amnésique, que j’avais des supers parents et des amis, comme tout ado normal. Pourtant je savais que c’était faux. Totalement faux. Comment décrire le bruit des armes qui faisaient jaillir des balles de nulle part.
Évidemment.
Ce n’était pas des petites balles de tennis ni des balles de jeu.
C’était des balles qui tuaient ; celles qui jaillissaient des armes.
Et ça faisait mal. Pour moi le mot douleur n’avait plus de sens.
La signification vivait en moi. Car j’avais mal. Mal de ne pas savoir qui je suis, de sortir de nulle part, mal de savoir que ce n’était pas un mauvais rêve, mal d’être attaquée je ne sais pas pourquoi.; mal physiquement aussi.
Le bruit des armes se stoppa.
J’entendis des bruits de pas. Ils venaient vers moi.
J’ouvris un œil ce qui me fit sortir une grimace ainsi que des larmes. Je me mordis les lèvres et j’eus un goût familier d’un liquide chaud se répandant dans ma bouche. Ce n’était plus une sensation de picotement ou d’aiguilles qui traversaient mon corps.
C’était pire.
C’était comme si on avait transpercé mon corps de lames énormes.
Ce que je vis fût seulement deux silhouettes floues. J’avais aussi le tournis. Tout tournais autour de moi.
Puis, j’entendis une autre respiration. Celle du chauffeur. Il était presque mort. Je réalisais que c’était la deuxième fois que je m’évanouissais. Je me souvins des paroles qu’il avait dit lorsque je lui avait demandée pour sa fille.
« Elle attendra un peu »
Lui au moins s’il mourrait il y aura quelqu’un pour poser des fleurs sur sa tombe. Pour penser à lui aussi. Pour regretter sa mort, pour éclater en sanglots aussi.
Pour moi il n’y aura personne.
Sauf le léger bruissements des fleurs tombant de leurs arbres et se posant sur mon corps inerte.
- Prends ces deux choses.
Je rouvris les paupières.
Le chauffeur tendait de sa main son portefeuille et un pistolet. Je ne sais pas pourquoi mais lorsque je sentis le contact de ma main sur sa peau rugueuse je lui dis :
- J’irais voir votre fille.
Le chauffeur hocha la tête.
- Dis lui que je l’aime. De tout mon cœur. Mais pour ça il faut que tu tues ces deux hommes afin de te sauver. Serais tu prêt à les voir mourir ?
L’image de la jeune femme qui pouvait être ma mère me vint à l’image.
Je frissonnait et inspirait faiblement un grand coup.
- Oui
Le chauffeur me sourit tristement.
- Il n’y a peu que ma fille qui doit se protéger. Prends bien soin de ma fille.
Le vielle homme abandonna alors sa lutte acharnée pour sa vie.
Et avant de mourir il murmura :
- Ma course s’arrête ici. Adieu.
Sa tête se renversa en arrière. Il ne respirait plus. Il était mort. Mais d’une mort calme et paisible car les choses qui lui restaient à faire il me les avait données. Et je sentis un poids encore plus lourd sur mes frêles épaules. Il était mort l’esprit paisible aussi léger qu’une plume.
Je me retournais difficilement. Les hommes étaient à deux mètres de moi. Ils s’aperçurent que je les regardais.
- Et toi ! Tu vas venir avec nous car le patron la dit ! Il est de ta famille !
Ma famille ? Un espoir flotta en moins avant de disparaître. Ils mentaient. Mon père n’aurait sûrement pas tué quelqu’un. Mais ils allaient m’emmenés si je ne réagissait pas et j’ignore qu’est ce qu’on allait me faire. Le chauffeur avait raison, il fallait que je le fasse.
Malgré la douleur je me sentais étrangement calme ; sûre de moi. Je levait le bras et tirait. Tout se passa très vite. Les hommes s’écroulèrent. Pendant un moment je me souvins de leurs airs stupéfait lorsque je brandis l’arme.
Et leurs yeux.
Aucune trace de vie dedans. Je frissonnais. Je venais de tuer des gens. Tout d’un coup, un grand froid m’entoura. Je n’arrivais pas à le croire.
Je venais d’ôter la vie.
J’étais une tueuse.
Je voulais me défendre contre cette pensée terrifiante. C’était pour me défendre ! Des larmes descendirent le long de ma joue. Puis j’eus un haut le cœur et je vomis - pas sur moi heureusement - de dégoût de ma propre personne. Il y avait quelque chose qui m’intriguait comme même. Lorsque j’avais brandis l’arme je m’étais sentie maîtresse de moi même et je les avais visés du premier coup. Ce n’était pas de la chance. Avait je donc déjà tu… Non, je ne voulais pas penser à ça. Se concentrer sur autre chose. Vite.
- Heu… Vous aller bien ?
Je levais la tête une jeune fille de mon âge me regardait d’un air terrifiée.
- Aid… aid… Aide… moi.
J’avais la gorge qui me brulait. Je me rendis compte qu’elle m’était familière ; elle ressemblait au chauffeur. Je la vis se tourner vers le corps de son père et se mettre à hurler :
- Père ! Ce… ce n’est pas possible.
Culpabilité.
C’était ce mot qui me vint à l’esprit. C’était cela que je ressentais au plus profond de mon être. Je ne l’avais pas sauvé.
- Je… je vais t’aider murmura la fille.
- Merci. Ce fut le seul mot que je pus prononcer avant de plonger dans les ténèbres…
Deux jours plus tard (mais toujours chapitre 1)
Les balles qui me font mal. Je hurle. Le chauffeur me sourit et meurt. Les deux hommes s’écroulent.
Une voix me murmure alors :
Tu les a tous tués.
Assassin.
- Non !
Je me réveille en sueur dans un lit. Je me détends. Ce n’est qu’un cauchemar, n’y pense pas.
Je balaye la pièce de mon regard. La pièce est assez petite, quelques meubles modestes mais d’une blancheur éclatante. La lumière vacille faiblement par une petite lampe couleur acajou posée sur une commode. Je me rends compte que je suis guérie, et bandée comme une momie en particulier sur mon épaule où la balle m’a touchée. Mais ce sont des bandages rapides et adroits digne d’une infirmière.
C’est alors que je les voie.
Les photos.
Celles du chauffeur tenant la fille qui hurlait par l’épaule.
- Ha. Tu t’es enfin réveillée.
C’est la jeune file. À voir ses cernes et ses cheveux ébouriffés je comprends qu’elle n’a pas dormi.
- Et merci d’avoir apporté le portefeuille.
Une ambiance gênée s’installe.
C’est alors qu’un vielle homme arrive. Ce doit être le frère du chauffeur car il lui ressemble légèrement.
- Dans quelle ville somme nous ? Je reste stupéfaite de mon manque de politesse, c’est sorti tout seule.
- Dans une ville maudite. Me répons l’homme.
- Pardon ? Je fronce les sourcils.
Mais l’homme semble dire la vérité, sa voix et ferme avec une pointe de tristesse.
- Il ya quinze ans quelque chose de terrible est arrivé à cette ville. D’ailleurs nous allons te présente un de ces êtres maudits.
- Oncle! s’exclame la ravissante blonde. Tu ne crois pas que dans son état elle risque de…
- Ca ira dit l’oncle de sa voix ferme et autoritaire. Tu veux savoir ce qui s’est passé, non ?
- Je suis bien curieuse, c’est vrai dis je.
- Bien. Tu peux entrer !
La porte s’ouvre timidement pour laisser entrer un… un
Mes yeux s’écarquillent de stupéfaction.
- C’est impossible.
Mais mes paroles sonnent fausses. Car devint moi se montre quelque chose qu n’a rien d’humain.
Un monstre est en face de moi.
Voila, j'attend vos commentaires!
mince; c'est devant moi et non devint excuser moi!
Pas mal, tu es douée !
Ton scénario est prenant, ton style fluide.
Il y a certes quelques petites fautes de temps en temps, mais elles ne sont pas gênantes. :3
Mais il est rare que je termine un commentaire sans trouver un petit défaut à corriger : ça manque un peu de descriptions, je trouve. Tu joues beaucoup avec les sentiments de l'héroïne (c'est d'ailleurs un excellent choix) mais les décors sont un peu mis de côté, c'est dommage. Par exemple, elle est actuellement dans un hôpital... mais un hôpital de ville maudite ! Pourquoi ne pas décrire la pièce ? Peut-être les murs sont-ils décrépis, les coins regorgent de toiles d'araignée...
Bref ! Sur ce, je suis impatient de lire la sweet.
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Par la rémige du Pygargue !
merci beaucoup petoline! La description j'avoue que je pensais la faire mais j'etais génée de ne pas l'avoir mis saamedi alors que j'avais promis. D'ailleurs pour ce qui vont lire ett pour toi aussi avez vous devinez ce qu'est le "monstre"? Un indice: c le rapport avec animal crossing! Bon ok c un enorme indice!
bref, la prochaine fois je prends en compte ta remarque, donc je decrirais les lieux mais ausi l'hopital! D'ailleurs g commencer la suite et c ce que g fait en premier!
Attention tout de même à faire en sorte que ça ne tombe pas comme un cheveu sur la soupe ! /
Pour le léger retard, ne t'inquiète pas : mieux vaut un bon chapitre qui arrive un peu plus tard que prévu qu'un bâclé qui arrive à temps.
Et merci pour l'indice énorme, au passage. /
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Par la rémige du Pygargue !
Juste un truc fais gaffe aux fautes d'orthographe sinon rien à signalez.
Bonne continuation
Bonsoir.
Ce que j'ai aimer
Un très bon style.
Une bonne histoire
Ce que je n'ai pas aimer.
Quelques fautes par si par là.
Un manque de description.
J'ai drôlement hâte de lire la suite.
merci beaucoup a tous pour vos commentaires, et aussi j'aime bien qu'on me donnd des conseils, ca permet de m'ameliorer.
Excuse pour les fautes d'ortographe!!
De rien c'est normal.
ché cro bien
pareil que chris mais sinon bonne continuation
merci beaucoup Wesker40 et chico30!!
Bon voila la suite et excuse pour le retard donc pour me pardonner g fait un chapitre un peu plus long que d'habitude ce qui m'a prise donc plus de temps mais pour votre plaisir J'espere
Bonne lecture!
Chapitre 2: la ville maudite.
Quand la jeune Opélie entra dans le vielle hôpital elle ne pût s’empêcher de soupirer. Le vielle hôpital lui ferait toujours aussi ressentir de peine.
On aurait très bien put l’appeler « Les ruines de l’hôpital » ou aurait pu servir de décor pour un film d’horreur comme un manoir vu la taille.
Avec ses grands murs noircis par la poussière, cette espèce de grand nuage qui recouvraient de tous part le bâtiment et- était en vérité des longues toiles d’araignées crasseuse et grises - les petits points noir qui recouvrait ce « nuage » étaient vérité des centaines de pauvre petites bêtes qui allaient bientôt être un délicieux quart d’heure pour ses occupante - ce bâtiment n’avait rien d’accueillant. Opélie frissonna :
Elle avait horreur des araignées.
Cette petite bête poilue et noire avec ses petits yeux cruels qui vous fixaient ; mais ce qui lui faisait surtout peur c’était ses pattes ; ses petites choses fines et rigides qui marchaient lentement, et qui semblaient vous dire : tu vois, je suis plus petite que toi mais pourtant je te fais peur hein ? Écoute ce bruit, de mes petites pattes qui ce dirige vers toi.
Bam !
Le bruit bouteille la fit sursauter. Des éclats de verre s ‘étalait devant elle. C’est alors que son regard se posa sur un monceau de verre plus grand que les autres.
Il lui montrait un oiseau blanc, hideux, qui la regardait pourtant avec des yeux humains, ses plumes grisâtres et blanches étaient en désordre, un affreux bec jaune lui servait de bouche.
Lorsqu’elle se souvint que c’était elle.
Elle détourna alors son regard et son ventre se crispa.
Elle avait envie de vomir.
Ou de se tuer.
Pas ça ou, pas encore.
Elle reporta son attention sur l’hôpital.
Autrefois, elle savait que celui - ci baignait dans la lumière, ses murs resplendissant se dressait fièrement sur la petite ville. Maintenant ses murs parfaitement rectangulaires n’étaient plus qu’une masse difforme, tantôt ronde, tantôt carrée. Une ombre couvrait cette masse de frissons et d’horreur. Un petit jardin aux herbes brûlées entourait le bâtiment. Lorsqu’ Opélie ouvra ce qui restait de la porte - un vieux bout de carton rectangulaire - elle ne pût s’empêcher de se mordre les lèvres.
L’hôpital ressemblait à son cœur :
détruit et sombre.
Lorsqu’ on passait la porte, un long couloir désormais gris se plongeait derrière deux bouts de porte.
Opélie choisit celle de droite.
Et elle entra.
Malgré un passé - qui devinais t -elle était aussi horrible que le sien - la jeune fille était belle, avec ses cheveux ondulés jusqu’au niveau de la poitrine ses beaux yeux noisettes et sa peau mate qui lui faisait ressortir la partie sombre de son cœur.
L‘oncle d’ Aurore et elle même l’accompagnait. Aurore lui sourit d’un air courageux.
Les lèvres de la brune s’ouvrirent d’un air stupéfait.
Opélie n’en pouvait plus de ce regard gêné.
Elle laissa ses larmes tant refoulées jaillirent et s’enfuit. Et sa douleur.
- POURQUOI!POURQUOOOOOOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIIIII ?
Oui, sa douleur sortait par ce hurlement, cette souffrance sortait maintenant, elle n’arrivait pas à s’arrêter.
Elle eût soudain honte d’elle. Par ce que la jeune fille avait ce regard qui ne trompait pas, le même que le sien, le même que tous les villageois désormais.
Sauf que la fille ne criait pas, elle faisait face à son destin.
Alors qu’elle elle passait à côté en espérant que cela disparaît pendant qu’elle se battait.
Elle se rua sur le couloir.
Elle courut.
Pour espérer laisser la tristesse dans cette course folle.
Puis il arriva et elle tomba dans ses bras.
Je n’y croyais pas. Le monstre était parti.
Avec quelque chose dans ce regard qui était humain.
Et la blonde avait les yeux écarquiller.
Le viel homme soupira et s’assit sur une petite chaise.
- Qu’elle imbécile, de s’enfuir comme ça… Ha, cette Opélie; toujours la même. Bon, de toute façon il ya Élisabec.
- Oncle ! Ne l’appelle pas comme ça !
- De toute façon - il se tourna vers moi - je pense pas qu’elle réagirait comme Opelie. Vu sa gentillesse… Bah, tu la verras ce soir… Mais j’aimerais de te parler un peu de politique. Si ça te dit bien sûr…
Que peut on dire face à une telle question ?
- J’accepte…
- Bien. Nous sommes donc le 9 décembre 2046. Histoire de te stresser un peu avant que ta fille ne me cries dessus. Donc voilà, quelque chose d’horible c’est passé et …
La petite blonde explosa :
- ONCLE ! CE N’EST PAS LE MOMENT ! CELA ON LUI RACONTERA PLUS TARD TU CROIS QU’ELLE N’EST PAS ASSEZ CHOQUÉE DE VOIR UN OISEAU HUMAIN ? TU VEUX QU’ELLE PÈTE LES PLOMBS OU QUOI ?
Son oncle prit un air innocent :
- Elle a pourtant dit j’accepte
Ils me regardèrent tous les deux.
- Tout vas bien dis je précipitamment.
Mon sourire devint soudain très embarassant et tous les sentiments affreux se défilèrent en moi :
Le chauffeur ; la fille, le monstres , moi, les balles…
-Nonnnnnnnnnnnnnnnnnn ! Mon cri mourût dans ma gorge. La dépression passa alors à l’évanouissement.
Et avant de hurler je me demandais si je n’allais pas battre le record de « la fille avec la vie la plus affreuse et les évanouissements ainsi que les cris non stop ».
- Quelle conne, maintenant je suis ironique… murmurais je
- Il y a quelqu’un ? J’suis arrivée maintenant parce que j’allais pas m’faire chier à attendre ce soir.
Son regard perçant se posa sur moi.
Je me mis soudain à regarder Aurore.
C’était un monstre du même genre - que celle qui était partie - me faisait face. Son plumage d’un violet sombre, laissait apercevoir ces yeux si terrifiants et humains. Son large bec était d’un jaune éclatant.
Mais ce qui m’impressionna fût la ressemblance et en même tant la différence qu’il y avait entre elle l’autre dénommée Opélie.
La « Opélie » avait beau être un monstre, elle avait un regard chargé de souffrances mais derrière on supposait beaucoup de timidité dû à ses… Différences… Alors que l’autre souffrait mais avec un regard hautain.
Mais elle n’avait pas de fierté. J’en étais sûre.
Je savais bien qu’au fond d’elle malgré son arrogance elle aurait voulu faire comme Opélie et s’enfuir.
Je savais aussi qu’elle n’aurait pas le choix.
Elle était responsable d’elle et de sa … Sœur, je pense.
Pourtant, on devinait leurs liens de fraternité.
Les mêmes manies de serrer leurs poings. De se mordre les lèvres pour ne pas pleurer.
Mais celle là était plus dure.
- Comment t’appelles tu ?
Je fus surprise, c’était sorti tout seule encore une fois.
- Hey tu pourrais au moins dire bonjour ! C’est quoi c’te politesse ? ET tu pourrais te présenter toi même avant s’pèce de tarée.
- Je suis amnésique lui rétorquais je.
C’est mots me parurent étrange dans ma bouche.
- Tss… Bravo Aurore tu nous ramène une amnésique et puis quoi encore t’as qu’a ramener une malade mentale et puis on est bon. A moins qu’elle ne soit les deux et franch’ment ça m’étonnerais pas…
Bon, moi c’est Elisabeth, nom pourri au passage je sais, et j’suis maudite et le vieux m’a menacé de me pendre si je t’raconterais pas pourquoi j’suis comme ça vu qu’Opéli est « apparemment » trop faible.
Je souris, au fond si on la pendait ce serait pas une grande perte…
- He bien, s’il te plait raconte moi mais si cela ne te dérange pas j’aimerais qu’on parle toute les deux seules. He, bien sûr si cela ne vous embête pas à vous aussi.
Ils hochèrent la tête, ouvrirent la porte et partirent.
- Bien commença t-elle…
Est ce moi ou j’ai cru entendre la voix d’Elisabeth trembler ?
- …Tout d’abord sache qu’Aurore et l’ vieux sont les seuls à pas être …touchés. C’était une nuit un peu folle où les rêves paraissaient accessibles à tous. On avait fait un défilé et Aurore et son oncle et les villageois sont partis chacun de leurs côté vu qu’on habitait à des endroits opposés de la ville.
Et puis, le drame a commencé. Opélie s’est blessée comme une conne et vu qu’Aurore et l’ vieux sont les seuls infirmiers du village on est parti les chercher. Et comme je pensais qu’Opélie faisait un peu la comédie (ce que j’pense toujours ) je l’ai obligée à mâcher et tout le monde nous a accompagnée.
Puis on a entendu un grand « boum » puis, plus rien, il faisait tout noir…
- Comment ça « plus rien » m’exclamais je.
- Tu ferme ta g… Bon , tu m’écoute et tu poseras les questions plus tard. On s’est tous évanouie et comme je disais il faisait sombre et la paroi était étroite et humide. On était dans un puits. Comment ? Vas savoir. N’empêche qu’on est restée une semaine et qu’après on a fait un drôle de rêve j’te dirais après histoire d’être pas observée bizarrement et puis on s’est retouvés à l’air, nu et chacun était en un animal différent. Il y avait par exemple Ralph le chanteur qui était chien mais avec toujours des yeux, des pensées et une voix humaine. Voilà.
- Qu’étais donc ce rêve ?
- Ho, en fait c’était pas un rêve c’était une déesse avec un corps selvte et fin, une robe noir terrifiante qui trainée sur le sol avec des manches en soie et des cheveux et des yeux noirs comme la nuit et des lèvres pulpeuse comme il faut. Pourtant elle avait beau être canon elle faisait flipper. Y avait une fille à côté d’elle qui ricanait. Et elle nous a dis que nous allions être punis pour avoir touché le totem sacré. Et voilà notre punition.
- Wouaw, cela semble incroyable !
- L’ennui, c’est que ça beau être incroyable tu vas avoir des problèmes.
- Pourquoi ?
La réponse qu ‘elle me dit me glaça d’effroi. Non, ce n’était pas possible. Ce qu’elle venait de dire était… Je fermais les yeux.La scène se défila devint moi. Et je me souvint de son bec arrogant s’ouvrir et dire :
- He bien, vois tu toute personne qui entre dans son village ne peut en sortir et devient comme nous. De plus, vois tu, la fille qui ricanait te ressemblait beaucoup…
C’est alors qu’un gros « boum » explosa et nous parvint jusqu’aux oreilles.
Qui est donc le « il » auquel Opélie se jette dans ses bras. Le boum est il le même celui qui les maudits ? Pourras t’elle sortir de ce village et indemne.
Et surtout, que va t’il lui arriver ???
Vous le saurer en lisant la suite ... ou pas !
ho! mince j'ai conffondu evanouissement avecc effondrement et goublier de dire qu'elle se ressaisit!
excuser moi Quelle imbecile je suis !
Pas grave
Sinon ça a l'air bien
la prologue et le chap 1 sont bien mais la suite j'ai rien compris je trouve que tu t'es emmeler dommage mais c'est que mon avis
Nouveau chapitre ? Je lis dès que j'ai le temps.
Ho, je suis VRAIMENT, vraiment désolée chico 30 que cela te plaise pas, ca me fait honte! Mais, dis moi en quoi je me suis emmêlée c'est que j'aimerais bien savoir! Merci Petoline et Magicalal!