La loi c'est la loi! Et la loi c'est MOI!!! (Référence! )
Boku wa seiki da !
Référence à Light et L dans Death Note !
( Taduction: je suis la justice ! )
Oui mais moi je demande qui dit ça!
C'est de Stallone.
Mais après, dans quel film...
Ha ha!
Rambo ?
Je suis connecté,et je le reste jusqu'à la suite!
Chapitre 21:
Elle était venue... finalement... Samus... et Franz', aussi. Incroyable...
Wolf sentit le bras de Samus le soulever. Il lutta contre la fatigue dont il sentait les méandres lui alourdir les paupières... une nouvelle secousse; un nouveau spasme de douleur le transperça. Le visage de Samus, anxieuse, semblait se distorde sous ses yeux, à la vue altérée par la souffrance des plaies; de ces deux seules balles fatales qui avaient été les seules à oser l'approcher de si près depuis bien longtemps… depuis Dawn. La douleur était désormais si puissante; omniprésente, qu'il avait l’impression de ne plus la sentir. Comme une éponge arrivée à saturation, trop gonflée pour absorber plus: Wolf souffrait de telle manière que chaque spasme semblait à chaque fois plus banal... La voix de Samus lui parvint, lointaine... lointaine, certes, mais source vitale... la voix l'empêche de sombrer, de tomber définitivement dans l'abîme. Il s'y raccroche, à ce cordon ombilical qui à tout moment risque de se briser, et de le plonger dans l'oubli... Mais là où la voix le tire, la douleur attend... la mort elle, le préserve; le conserve... Puisant dans ses derniers retranchements, le loup ouvre les yeux. Franziska se penche vers lui... quelques chose de froid... mauvais; pâteux. Descend lentement dans sa gorge tel un serpent... la bête plonge dans ses entrailles... et la douleur s'estompe. Peu à peu, le loup recouvre ses esprits. Les limbes de la torpeur s'affinent... les doigts de la mort craquent en relâchant leur emprise. La douleur disparaît, comme aspirée en un réceptacle inconnu... Wolf relève la tête; cligne des yeux. Devant lui, Franziska et Samus échangent un regard satisfait.
"Qu'est-ce que je ...
-Ne bouge pas !"
Franziska posa une main sur l'épaule de son frère, sans pour autant montrer le moindre signe de sympathie.
"Je t'ai fait boire un remède à base de plante que l'on ne trouve que sur Venom. Cela soulage totalement de ta douleur, et indirectement, te rend ta lucidité. Mais les blessures sont toujours bel et bien là, malheureusement... le moindre effort trop brusque, malgré ton illusoire remise en forme, risquerait de t'être fatal.
-Franz'... qu'est-ce que tu fais là ?"
La louve plongea ses yeux dans ceux de son frère.
"Si je fais ça, lança-t-elle, c'est pour que justice soit faite..."
Elle releva le menton:
"Mais certainement pas pour toi !"
L'un dans l'autre, les deux regards violacés semblaient ne pas vouloir se quitter. Un long duel, mental et intimiste, avait débuté. Aucun des deux canidés ne semblait prêt à s'avouer vaincu. Assassiner du regard... leur orgueil; leur fierté en jeu... Samus resta de marbre, observant ce duel psychique et fratricide. Elle savait déjà à quel point le regard froid de Wolf pouvait être violent et insoutenable... mais celui de la sœur avait quelque chose de différent: moins agressif, moins effrayant... mais perçant. Non... transperçant, dérangeant. Semblant capable de mettre à nu la plus dure des âmes, ou de corrompre la plus pure... Les deux opposants baissèrent la tête, d'un même mouvement. Mais ce n'était que partie remise.
"Bon !"
Samus s'était décidée à rompre le silence.
"On y va ?"
Franziska prit la main de son frère, et, aidée par la chasseuse, le remit sur pied.
"Doucement, souffla-t-elle.
-Ca va, grogna le loup, j'ai connu pire...
-Pire, c'est la mort, mon vieux, rétorqua Samus."
Les deux femmes adossèrent le loup au mur.
"Je suis désolé, débuta Wolf, mais il est hors de question que je vienne avec toi !"
Franziska leva les yeux au ciel:
"Tu n'as vraiment pas changé...
-Toi non plus..."
Wolf jeta un regard à la chasseuse, avant de se retourner vers sa sœur:
"Pourquoi tu fais ça...m’aider… Tu t'attends à ce qu'on te paye ?"
Le procureur se pencha vers le loup:
"A vrai dire, je ne sais pas pourquoi je fais ça. Peut-être que je ferais mieux de te laisser là ! Et contrairement à ce que tu as l'air de croire, je ne suis pas comme toi."
Wolf fronça les sourcils. La louve enchaîna:
"Je ne suis pas un pauvre petit criminel... un sale voleur, qui gagne sa vie sur le dos des autres. Parce que si Mademoiselle Aran ici présente n'avait pas fait des pieds et des mains pour me convaincre, tu serais peut-être mort à l'heure qu'il est... Alors arrête de jouer au plus malin. Met de côté tes préjugés à mon égard, comme je le fais en ce moment - oh que c'est difficile- et accepte donc l'aide qui t'est gracieusement donnée !"
Les épaules du loup se secouèrent. Il semblait rire:
"L'aide... justement, tu m'en as apporté, de l'aide, quand j'en avais besoin ? Pourquoi tu crois que je suis devenu mercenaire ? Tu étais la seule famille qui me restait mais tu étais trop occupé par ta petite gueule... tes petites études.
-Alors, tu m'en veux toujours pour ça ? Tout ça parce que tu n'as jamais eu assez de bon sens pour te débrouiller seul, ou du moins, ne pas t'attirer d'ennuis ?! Tu as toujours été un pilote plus qu'émérite ! Est-ce de ma faute, donc, si tu n'as jamais su quoi en faire ?!"
Le ton montait dangereusement... le fait que Wolf accepte ou non de suivre sa sœur avait été visiblement oublié, et la conversation tournait au pugilat; au règlement de compte.
"Bon, ça suffit maintenant, hurla la chasseuse, vous aller arrêter de..."
"Hum hum..."
Samus, Wolf et Franziska s'immobilisèrent. C'était ce genre de " hum hum"; de petit toussotement impromptu, qui faisait taire tout le monde. Ce genre de petit "hum hum" insupportable. Mais ce petit " hum hum " , à cet instant, était bien plus important. Car ce petit " hum hum" signifiait qu'ils n'étaient plus seuls. Samus fit volte-face. Devant la porte de la cellule se découpait une silhouette grotesque. Le nouveau venu fit un pas en avant. Derrière lui résonnèrent les pas de plusieurs soldats. L'homme était gros, cambré, assez imposant, mais son air pédant et bancal lui donnait en fin de compte une apparence assez comique, renforcée par le large bec et les yeux globuleux plantés sur son visage. Le dindon s'inclina, en gloussant. Wolf montra les dents:
"Vous...
-Oui, mon chère, moi..."
Le procureur eut un mouvement de recul.
"V-vous...
-Oui... oui, moi !"
Samus interrogea ses compagnons du regard, mais aucun ne répondit, les yeux braqués sur le dindon. Le volatile gloussa de bonheur.
"Maître O'Donnell... c'est mal, très mal.
-Est-ce bien à vous de dire ça, Dulblond ?"
Franziska lui envoya un sourire ironique en pleine face (fabrication O'Donnell, sans doute) Le dindon leva un sourcil.
"Qui est-ce ? Intervint Samus
-Nikolas Dulblond, répondit Wolf. L'assistant du général Pepper. Surtout, ne prête pas attention aux apparences... il est redoutable..."
La chasseuse détourna le regard vers le dindon. Il était inconcevable que cet animal soit dangereux... Wolf continua:
"Comme tu le sais peut-être, le général Pepper à été remplacé par Peppy Hare, ancien membre de l'équipe Starfox. Mais il continue à être extrêmement influent...
-Oui, je suis au courant... mais il est dépressif !
-Justement, c'est cet homme que tu as sous les yeux, qui gouverne réellement Lylat, au travers de l'influence de Pepper !"
Le dindon gloussa une énième fois.
"Voyons Monsieur O'Donnell, je n'irais pas jusque là. Euh... Le général Pepper est parfaitement libre de prendre les décisions...euh... je ne suis pas...
-Ben voyons, le coupa Franziska, vous êtes celui qui tire les ficelles... je ne suis pas la seule à le penser. Vous ne perdez aucune occasion pour vous débarrasser des têtes pensantes de la fédération... et mon tour est venu, j'ai l'impression. Mais la question qui subsiste est... qui vous a mis au courant de l'invasion que j'ai organisé pour mon frère ?"
Dulblond prit un air boudeur:
"Oh oh ! Même si je le voulais, je ne le vous dirais pas, Maître, hein. Mais notre, euh... source, s'est avérée très fiable. J'ai bien peur que cette fois, vous ne vous retrouviez sur le banc des accusés, Maître O'Donnell. Et, euh... votre frère n'échappera pas à son funeste destin..."
Une lumière triomphante alluma les yeux de Franziska:
"Vous venez de vous trahir, Dulblond. Wolf n'a pas encore été jugé, or, vous venez de parler de " funeste destin "... tout été donc déjà joué ? Lequel de mes collègue; quel avocat avait vu corrompu pour vous assurez que mon frère soit condamné à mort ?"
Le visage du dindon se tordit de colère. Le procureur, plus éloquent que jamais, enchaîna:
"Mais surtout, pourquoi ? Pourquoi vouliez-vous le faire condamner ?!"
Excédé, Dulblond frappa du pied au sol. A ce signal, tous les gardes pointèrent leurs armes, à travers les barreaux de la cellule, vers les trois compères.
"En fin de compte, éructa-t-il, je ne vais peut-être pas vous faire juger... je vais vous regarder vous faire déchiqueter lentement par des milliers de balles, et me délecter de ce spectacle... tous ces gardes sont payés, et sauront tenir leur langue..."
Il leva la main, d’un geste morne, un sourire dément au visage. Samus sentit son cœur cogner contre sa poitrine. Elle était plus consciente de chaque partie de son corps que jamais. Wolf resta de marbre, les bras croisés, un léger sourire aux lèvres. Après tout, la mort était sans doute une expérience palpitante... Franziska resta debout face au dindon, fière, attendant... s’il fallait que la mort vienne maintenant, qu'elle vienne ! Dans sa poche, elle sentait le petit dictaphone... au cas où, elle l'avait allumé avant de venir... toute la conversation avait été enregistrée... avec ça, elle pourrait renverser Dulblond. Malgré sa mort, si ce dictaphone parvenait au général Peppy, alors, elle, Franziska O'Donnell, aurait renversé Dulblond l'usurpateur...
Le dindon jubilait, son bec se tordant en d'ignobles rictus de satisfaction. Le temps semblait suspendu. Toutes les pierres froides de la prison semblaient répercuter le souffle des futurs défunts. Un début; une fin... La fin était venue, visiblement... après tout, la vie était un chemin peut ordinaire, ou le chemin lui-même importait plus que l'arrivée... Franziska avait choisi ce chemin difficile, pour que l'arrivée n'en soit que meilleure. Samus également... aussi dure soit-elle, la vie avance inexorablement, dotant chaque être d'un but plus ou moins défini. Et avant le commencement, aucune fin n'existe, aucune mort n'est possible. Et la naissance génère ainsi la mort, que nul ne peut éviter en fin de course... Chacun et libre de jeter les dés comme il l'entend, mais jamais ne peut prédire le résultat... et la face tranchante des cubes du destin scelle notre avenir de manière irréversible. Lorsque l'on tente d'user de stratagèmes, de piper les dés, il arrive que la supercherie soit découverte... certains trichent mieux que d'autres... Samus déglutit... l'ultime lancé de dés était venu... Nikolas Dulblond inspira profondément. Franziska ne broncha pas... Samus serra les poings... Wolf ferma les yeux, agité d'un rire silencieux...
Le dindon abaissa brusquement sa main...
Un coup de feu...
Alea jacta est...
First!
Je lirais demain!
J'ai lu en premier ! Ce chapitre était so sex...
Toi, t'as pas eu l'imitation de Wolf qui sort de la douche
J'aurais pas voulu voir ça!
Demain, lecture!
moi j'aurais voulu !
J'ai aimé.
(oui c'est juste pour dire ça )
J'ai lu.
Nul à chier vraiment, c'est du grand n'importe quoi. Cette fiction est vraiment d'un débile.
A vrai dire je regrette d'avoir perdu quelques minutes de ma vie à lire...
Non mais LOL quoi.
...
Fake, mais n'empêche chaud tes réflexions philosophiques sur la vie en début et fin. Tu te prends pour Descartes?
Je regrette néanmoins que tu laisses se dessiner l'horrible cliché scénaristique de l'intouchable qui tire les ficelles pour faire le mal, même si je sais que tu nous réserves de bien meilleures surprises.
Je vois d'ici le contrepied mais bon, c'est toujours désagréable de ressentir ça.
Ah et je sais d'où provient le coup de feu.
Sinon, je crois que t'as un problème avec les "été" et "était", ainsi qu'avec les "et" et les "est". Fait gaffe, ça tue des passages ça, surtout le et au lieu du est dans ta réflexion philosophique à la fin, ça élimine toute la portée de l'enseignement.
Ouais, zut... je fais jamais ce genre de fautes dans mes rédac' et autres... faut que je fasse plus attention lors de la relecture Mais sinon, le grand méchant qui tire les ficelles... c'est pas ce que j'ai eu l'impression de donner à Delblond. De toute façon, c'est pas lui le grand méchant... enfin, il n'y aura pas vraiment de grand méchant.
De plus, je vois que tu commence à prendre le pli ! Même si le fait de l'usurpateur de pouvoir est classique, tu te doutes que ça ne peut être aussi simple. Je déteste les trop gros stéréotypes dans mes textes.
Aller, petit up.
Je n'accepte pas que ma fic' coule sous le flood
OH YEAH!!! Excellent! La fin.......
T'es trop fort!
Continu!
Pffff
Ah OK le gars
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Devenez FireFoxistes!
Fox McCloud veille sur vous. :firefox: