Voilà j'ay fini
GG Game!
J'espère que ça t'as (re)plu. :3
Ouais, j'ai toujours 10 jours de retard, mais l'intention y est...
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Message de la prévention des jeunes personnes et de l'intégrité des auteurs (PJPIA):Cette fic peut se révéler choquante,âme sensible cardiaque et personne à la santé fragile s'abstenir
L'auteur précise que cette fiction ne reflète en rien la réalité et qu'il rejette toute notion raciste,xénophobe,sexiste ou autre qui pourrait être représenté dans la fiction.L'avis donné dans cette fiction est indépendant de l'auteur et ne reflète pas ses pensées.Toute accusation ou réclamation est donc inutile et illégale.
Les noms des personnages quoique réels sont utilisés ici à titre fictif,l'auteur se garde donc le droit de faire effectuer n'importe quelle action,parole ou pensée au personnage éponyme dans la limite de la décence et de la moralité.
Les pensées exprimées par les personnages sont fictives et ne représentent pas les pensées des dits forumeurs éponyme.
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I_I
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Cycle 3: Origines
Chapitre 9: "Si en te baignant tu as échappé au crocodile, prends garde au léopard sur la berge"
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Janvier de l'an 17: Ile de Brawl.
Le royaume connut quatorze longues années de paix ponctués d'une relative inactivité de tous les camps. Pour autant, Gangbanger achevait année après année de plonger dans le chaos le reste de l'île. La ville de New Mushroom City était devenue une pieuvre géante et le gouvernement une secte obscure. Les impôts flambaient et la population ne parvenait plus à suivre. Les mines de Krystal City se remplissaient de prisonniers à une vitesse hallucinante tandis que les bas fonds de la ville devenaient surpeuplés. A coté de tous ça, les princes régents des Terres de l'ouest Zelda et Marth tentait tant bien que mal de faire prospérer leurs biens. Les ressources naturelles qu'offraient l'île étaient largement suffisantes à leur survie, et même si l'économie internationale qu'était sensé drainé l'île n'existait pas, ils en profitaient tous d'une manière ou d'une autre.
Malgré la paix, Marth n'avait pas oublié son ami Roy. Haku encore moins. Il avait désormais son âge adulte et plus les années passaient, plus il était difficile de le retenir. Marth lui même ne devait qu'à la sagesse de Zelda de ne pas avoir réenclencher la guerre plus tôt.
En autant d'année, l'équilibre des forces avait à peine changé. Seul le retrait des troupes de Metroid conjugué au départ de Samus avait penché en leur faveur. Les Crags restaient eux étrangement inactif, terré dans leur désert. Attendaient ils quelque chose ou étaient ils résignés? Marth n'arrivait pas à en juger.
Penché à une fenêtre de son palais, surplombant une petite cour ombragée et située tout à l'arrière du château, protégée par un quadrillage de tours dressées vers le ciel, il observait pour l'instant avec insouciance sa fille Timothy tenter de désarmer Haku. Il retint un éclat de rire quand le revers maladroit de la jeune fille atteignit son coup et fit perdre son baton au jeune homme. Marth avait très bien vu que Haku avait desserré sa prise volontairement, mais il n'en dit rien. Timothy était tous ce qu'il chérissait, la voir heureuse était sa seule préoccupation. Qu'elle s'entende bien avec le jeune homme le ravissait, même s'il modérait leurs ardeurs de temps à autre, ne voulant pas que ceux-ci s'entendent mieux que bien.
Zelda passa ses bras autour de son cou et suivit son regard en souriant.
-Tout est si beau...
-Derrière toute beauté se cache une couche de souillure...
-Pourquoi tant de pessimisme Marth, reprocha Zelda.
-Apelle pessimisme ce que j'apelle réalisme. As-tu vu le nombre de mendiants qui ne cesse de croitre dans nos rues? Tous des réfugiés du royaume de Gangbanger. Combien de temps pourrons nous fermer les yeux sur les ignominies qu'il commet? A l'abri de nos murs, tous est beau, mais dehors?
-Doit-on toute notre vie nous préoccuper des autres et pas un peu de nous? Nous avons souffert des années et maintenant que nous sommes heureux, tu voudrais tous rejouer sur une partie de dé?
-On le sait depuis le début Zelda. Amour et pouvoir sont incompatibles. Les responsabilités de l'un ne vont pas avec les désirs de l'autre. Je t'aime Zelda. C'est une chose dont je suis certain. Mais n'aime-je pas aussi mon peuple? Cette question me tourmente sans cesse, et je peux m'empêcher de chercher la marche à suivre.
-Tu veux repartir en guerre? comprit-elle tristement.
-Si je ne règle pas ça définitivement, je n'arriverais jamais à trouver le repos...
-Haku pourrait...
-Il est encore trop jeune. Je ne peux pas lui confier une armée.
-As tu une stratégie alors? Tu ne peux pas espérer vaincre Gangbanger à armes égales.
-Il est temps de réveiller les autres peuples. Il y a quatorze ans, personne ne connaissait Gangbanger si ce n'est toi. Ils ne se doutaient pas des crimes qu'il allait perpétrer. Maintenant, ils savent tous.
Son regard était déterminé, et en plongeant au plus profond de son âme, Zelda comprit qu'elle ne parviendrait pas à le faire changer d'avis. Leur destin se remettait en marche après une parenthèse enchantée.
Dans la cour, les enfants jouaient encore, mais pour combien de temps?
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Un vase se fracassa contre le mur. Les éclats d'argiles volèrent, laissant s'échapper le vin contenue dans l'amphore.
-Comment as tu peux me faire ça ? Fulmina Crazy.
Elle prit entre ses mains une nouvelle cruche et la lança vers son mari, qui l'esquiva en fronçant les sourcils, enfermé dans son silence.
-Il y a 14 ans déjà, tu m'as trahi une première fois, j'ai accepté par amour pour toi et parce que c'était pour le bien du royaume, mais là! Qui voulait tu sauver en sautant cette garce?
Crazy hurla, les yeux rouges de larmes et exorbités par la fureur. Elle regarda autour d'elle pour chercher quelque chose à jeter, mais tout était déjà en morceaux dans la pièce... Meta avança alors vers elle, le visage figé par son éternel masque de pierre. Sous ses pas, les débris craquaient, donnant à son allure un aspect sinistre qui fit reculer Crazy de quelques pas. Il arriva à sa hauteur et la toisa quelques instants dans un silence angoissant et seulement dérangé par les sanglots de la femme. Il avait l'avantage de la taille, la dépassant d'une tête et l'obligeant ainsi à tendre le cou pour pouvoir soutenir son regard.
Tranchante, sa main fendit vers la gorge de son épouse.
-Je suis le roi.
Crazy tenta d'articuler qu'elle aussi, était la reine, mais la respiration bloquée par la poigne de Meta, aucun son ne sortit de sa bouche, et il prit ce silence pour un assentiment.
-Respecte moi comme tel désormais, je ne suis pas seulement un mari. Je suis le roi d'une nation entière, un roi aux pouvoirs illimités qui ne saurait se comporter comme tous les autres. Je suis le roi et toi l'une de mes sujettes, ne l'oublie plus jamais. Sais-tu combien sont mort pour avoir attenter à ma vie? Le lancer de cruche fait partie de la définition qu'un tribunal jugerait en tant que crime de lèse-majesté.
Crazy hocha la tête faiblement, vaincu par la difficulté qu'elle avait à inspirer. Sa tête était en train de devenir rouge et ses poumons commençaient à la bruler sérieusement quand il se décida enfin à relâcher son emprise. Il rajouta tout de même avant de la laisser libre complètement.
-Je te rapellerais également que la justice, c'est moi. Je te condamne donc.
-Condamnée...? répéta bêtement Crazy en tombant à genoux, la gorge meurtrie.
-Tu as la chance d'être populaire, je ne peux te condamner à mort. Ce ne sera que quarante coups de fouets, la seule chose que mérite une épouse rebelle.
-Meta, non! hurla t-elle à nouveau, terrifiée. Tu ne peux pas me faire ça, je t'aime...
Mais sa déclaration resta sans réponse, résonnant en écho sans trouver les oreilles de son destinataire. Il ne lui lança même pas un regard supplémentaire, sortant avec précipitation, la laissant seule et horrifiée. Et dès qu'il eut franchi les portes de la grande chambre où il venait de se disputer avec sa femme, des gardes se placèrent devant la porte, faisant barrage de leurs lances à la malheureuse.
Plus courroucé qu'il ne le laissait paraître, Meta décida de délaisser son devoir de roi pour la soirée. Quelqu'un d'autre l'attendait.
Dans la nuit la plus noire, Meta se faufila dans la chambre d'une des courtisanes, cette courtisane qui avait déclenché l'ire de son épouse, cette courtisane qui portait désormais son fils. Certes, il en avait déjà un, Solid, qu'il avait eu en secret avec Samus, mais celui-ci serait un fils entièrement Crag et il l'aurait avec lui... Cela changeait tout, pas au niveau politique, mais au niveau sentimental.
Si seulement Crazy avait été capable de lui donner un fils...Il n'aurait pas été obligé d'en arriver à de telles extrémités
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La pièce était plongé dans le noir le plus total. Rien ne transparaissait ni ne donnait l'impression qu'il se trouvait quelque chose. Et pourtant, Gangbanger tenait son conseil. Il ne supportait plus depuis longtemps la lumière et vivait désormais dans une obscurité éternelle. Les ténèbres accroissaient son pouvoir et il en jouait avec délice. La vision des hommes n'était pas adapté à ceux-ci et tous ses conseillers tremblaient de peur en le rejoignant dans ce néant le plus total. Mais lui voyait parfaitement, le dieu des ténèbres avait changé son âme mais aussi son corps. Les ténèbres coulaient dans ses veines, imprégnant son être. Une exposition prolongée au soleil et nul doute que sa peau commencerait à bruler. Il n'était plus le même, et il en était heureux.
Mais ce bonheur s'accompagnait du malheur des autres, de tous les autres. Il haïssait le genre humain et toutes les espèces vivantes en général. Bien sur, de telles pensées lui étaient insufflés par le dieu des ténèbres mais il ne faisait plus la différence entre le dieu et lui même. D'ailleurs, pour lui, il était le dieu.
Perché sur son trône, il avait une vue d'ensemble de la salle où ses conseillers se tenaient debout, totalement désorientés.
-Faites votre rapport, claqua sa voix dans les ténèbres.
Il observa l'onde de peur qui se propagea chez les conseillers, qui se regardèrent tous apeurés, ou qui pensèrent se regarder, ne sachant même pas où se trouvaient leurs camarades. L'un d'eux fit tout de même un pas en avant, s'assurant d'abord du bout du pied que le vide ne l'attendait pas sous ses semelles. Gang le vit inspirer difficilement et se lançait d'une voix tremblante et hésitante.
-Rapport économique majesté... La situation est catastrophique...comme vous le désiriez. Nous avons encore augmenté les impôts et nous n'hésitons pas à exécuter ceux ne pouvant pas payer, il est fait selon votre volonté ainsi. Et...les gens y sont réceptifs et payent volontiers, craignant trop pour leur vie. Nous amassons jour après jour plus d'argent. Et comme vous nous l'aviez demandé, celui-ci est réinvesti dans l'armée principalement et dans la construction d'une flotte géante, ainsi que dans le domaine de la recherche pour...vous savez quoi.
Il articula difficilement sur ces derniers mots et recula rapidement. Le roi hocha de la tête, satisfait, même si personne ne pouvait le voir.
-Suivant.
Un nouveau conseiller s'avança, dans des dispositions encore pires que le précédent. Gang pouvait entendre ses dents claquaient.
-Rapport...militaire. Au sud-est, les Crags se tiennent tranquille comme toujours. Ils sont toujours persuadé que votre fils appartient à leur race et qu'il leur suffira de le revendiquer une fois celui-ci sur le trône... Nous n'avons rien à craindre de ce coté. Ils survivent tant bien que mal avec ce qu'ils ont à disposition, s'infiltrant de moins en moins souvent au cœur du royaume, là où les richesses sont plus abondantes, mais ils semblent s'en contenter et nous ne devrions pas nous plaindre. Au sud-ouest, Marth et Zelda se terrent toujours, leur royaume prospère de manière insolente mais ils ne semblent ne pas avoir de visée belliqueuse. Bien entendu, il suffit d'un ordre de vous pour régler leur compte.
Gang fut tenté un instant de donner cet ordre, mais il voulait être certain de sa victoire et devait attendre de posséder une large supériorité. Une supériorité qu'il savait comment atteindre. Un sourire hideux déforma son visage à cette simple pensée.
-Rapport scientifique.
-Les dernières informations annoncent que tout sera bientôt prêt majesté, déclara un autre ministre. Puis-je parler librement du projet ici?
-Parle. S'il est bientôt achevé, il est temps que tous soient au courant.
-Bien majesté... La partie théorique de la recherche s'est achevé et nous avons maintenant un prototype et un protocole précis pour arriver à ce que vous nous avez demandé. La machine est déjà en cours de création et il ne restera plus qu'à faire des tests pratiques pour qu'elle soit opérationnelle. Vous pourrez alors...mettre vos plans à exécutions.
-Parfait. L'île de Brawl deviendra le centre de l'univers, le centre du plus grand Empire du monde! Et notre première cible pour étendre notre royaume sera ces fameuses Terre Médiévales dont notre cher ami Marth est originaire.
-Vous...vous voulez traverser l'océan, s'estomaqua un conseiller.
Le roi se leva dans l'obscurité pour faire porter sa voix et déclara d'une voix tonitruante.
-Oui! Comme vous le savez tous, Brawl est au centre de l'océan. Pourtant, une multitude de continents existent par delà les mers, Hyrule, Kanto, le Royaume Champignon et j'en passe! Mais cet océan a toujours été infranchissable par quiconque n'était pas originaire du continent en question. Nous n'avons encore jamais réussi à envoyer un pokemon à Hyrule, et croyez moi que je le regrette. Pourquoi est il infranchissable? C'est un phénomène physique complexe en réalité. Nos chercheurs ont démontré que l'océan n'était pas une simple étendue d'eau. Il s'agit d'un vaste réseau d'ondes s'entremêlant et formant des barrières invisibles nous empêchant de passer. En d'autres termes, nous sommes nous mêmes des vecteurs d'ondes, des ondes qui possèdent une fréquence bien définie. Chaque continent a sa propre fréquence et c'est cette différence qui nous empêche de passer d'un continent à l'autre. Néanmoins, la machine que j'ai demandé est justement capable de modifier ces fréquences, en changeant nos caractéristiques physiques, nous pourrons envahir l'univers entier!
De grands applaudissements accueillirent son discours et les conseillers oublièrent momentanément leur peur. Ils avaient beau être terrorisés par leur souverain, ils lui vouaient une fascination morbide, le considérant comme le dieu qu'il pensait être.
Celui-ci admira comme à son habitude l'effet qu'il produisait sur les simples mortels et se rassit, repassant aux choses sérieuses.
-Rapport suivant.
-Rapport sur Solid majesté, votre fils, fit un nouvel homme. Il se porte bien et grandit de belle manière, il sera fort et puissant, il est déjà capable de vaincre à mains nues ses camarades armés et on dit qu'il courre plus vite que ses professeurs. Solid rencontre le roi crag Meta tous les mois comme vous le souhaitiez, dans le plus grand secret. Ainsi Meta ignore que vous êtes derrière cette machination, il pense que vous ignorez le lien qui les unit, enfin le faux lien. Quant à Solid, il joue parfaitement son rôle, faisant semblant de considérer cet homme comme son père. Son précepteur qui assiste à chacune de leur rencontre y veille, vous n'avez pas de soucis à vous faire de ce coté là.
-Parfait. Fin des rapports.
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Ses lèvres se posèrent sur celle de la jeune fille. Les yeux fermés, ils se goutèrent l'un l'autre avec délice. Ils rompirent le baiser après un long moment, le jeune garçon caressant sa joue avec douceur.
-On ne devrait pas faire ça comme ça, murmura Timothy.
-Je ne peux me résoudre à ne rien faire, fit Haku en l'enlaçant tendrement.
Il jeta un œil derrière lui, vérifiant que personne n'arrivait et repris sa contemplation de la jeune fille. Elle était si belle...Croisement parfait de sa mère et de son père, la beauté des traits de Zelda allié au charme naturel et altier de Marth avait fait une vraie merveille qu'Haku ne pouvait qu'aimer.
-Tu sais bien que tes parents ne te laisseraient pas. Trop jeune selon eux, je pense qu'ils ont tort.
-Ils m'aiment...L'amour est aveugle, on veut le bonheur pour ses enfants et on ne se rend pas compte qu'on les blesse, je les comprends même si je ne suis pas d'accord... Je t'aime Haku, mais je ne sais pas...
-Rien ne devrait être plus important que l'amour.
Haku tenta d'embrasser une nouvelle fois Timothy mais elle se déroba à son étreinte, des larmes au coin des yeux.
-J'ai entendu quelque chose aussi... La guerre est sur le point d'éclater à nouveau...Mon père te prendra avec lui et moi je resterais ici, je ne veux pas te perdre et attendre des années dans la peur chaque jour qu'une épée ne te tue. Je ne veux pas m'attacher à toi...
Le silence se prolongea un instant, Haku accusant le coup.
-Timothy...
Elle secoua la tête désespérée et finit par céder, laissant ses larmes couler et se blottissant contre sa poitrine.
-Partons. Oui, partons avant que la guerre n'arrive, allons vers l'est là où la guerre ne se propagera pas, les armées avancent en ligne droite et...
Sa voix chevrotait alors qu'elle cherchait l'inspiration, essayant de se montrer persuasive alors qu'elle même n'était pas convaincu.
-Et New Muschroom City et nos terres sont à l'ouest, l'est ne sera pas touché...Dis moi que j'ai raison.
Haku se mordit la lèvre, caressant les cheveux de la jeune fille et attendit un instant avant de répondre.
-Les Crags sont à l'est...
-Par delà les Crags alors! sanglota t-elle. Tu connais le continent, tu me l'as dit, tu l'as visité de fond en comble, tu sauras où se cacher. Et puis...Tu m'as parlé d'une mission à accomplir, allons-y, allons l'accomplir, ensemble nous y arriverons. S'il te plaît...
Le regard sombre et pourtant si lumineux de la jeune fille se plongea dans les siens et acheva de le faire craquer, bien plus que n'importe laquelle de ses paroles. L'amour lui faisait perdre toute raison, il le savait, mais à quoi bon résister...
Un seul soucis se posait. Il avait grandi depuis ses années d'errances sur le continent, et il n'avait pas cessé de chercher l'élu des ténèbres et il avait compris qu'il ne pouvait s'agir que d'une seule personne. Et pour trouver cette personne, ce ne serait pas vers l'est qu'il devrait aller, mais bien au nord, en plein centre des futurs combats, vers Gangbanger.
Laissé bidé une fic comme celle-ci En même temps je passe tout les 3ans Bref Alex j'ai adoré c'est toujours du super boulot ;)
Que veux-tu, les plus grands génies sont incompris...
Merci en tout cas.
PS: Les autres sont des racls, ils me commentent en privé et laissent bider ici...
Ah tien, le retour du roman d'Alex, ça fais un bail qu'on l'a pas vus