A vrai dire je ne savais plus, aller vers ici par là-bas, et je ne sais où ; ailleurs, où quelque chose l’emportera, quelque pas vers quelque part, ou combien de temps encore près d’ici, ça non plus, je ne sais pas. Une masse absurde dans l’espace. La haut et même en bas. Trop peu de temps avant la fin ; la division du drôle. Un silence inconnu, c’est une porte, fermée de l’autre coté. Ca c’est bizarre. Mais depuis quand ? Depuis où ? Oui ou non ou chips ? Pas ici en toute raison. A l’abris dans le ciel, une tomate magique et l’accent aigu oublié de toute maniere. Un métier paranormal, une nature politique, accusée d’oubli. La peur, elle aussi se dérègle, certes plus près du jardin, notamment si couleur bleu ciel ou orange nuage s’échangent en moral absconse. Une mystérieuse complexité, preuve d’un plausible parallèle à plafond ténébreux tristement tombée de l’aquarium.
C´est pas faux .
N´est-ce pas ?
J´adore ton poème!
Tu as quand même dû te casser la tête pour faire ça ... Attends, j´essaye d´en faire un pareil .
TIME PARADOX
J´aime beaucoup le début :
A vrai dire je ne savais plus, aller vers ici par là-bas, et je ne sais où ; ailleurs, où quelque chose l’emportera, quelque pas vers quelque part, ou combien de temps encore près d’ici, ça non plus, je ne sais pas.
Elektroboy445 Posté le 31 décembre 2007 à 16:16:49
TIME PARADOX
Et alors ? A quoi bon, tant de mal ? L’expérience de la folie. Du désespoir contre la haine ? Un idéal trop caché. Montrer à l’envers, pensez, la mise en forme, fondue de l’autre coté. Avec et pour tout trois près de quatre, un insécable compteur, mimé, pensais certain. A vrai dire, il serait ainsi plus raisonnable, d’approcher de ce sens-là, là où la direction s’envole. Malgré plus d’un autre, je ne saurais faire sans atterrir à l’endroit, relatif, ou plus démoniaque qu’après avoir essayé. Il en va cent dires, même deux cents de temps en temps. C’est comme une rareté quotidienne, aller vers là-bas ou nul part. Nul par ailleurs que particulièrement manqué. Un tir plus à l’ouest aurait suffit. Je ne pense plus dire, passer la fenêtre vers l’aventure.
Le bonjour ou le aurevoir ? Que sais-je de la nuit des temps si ce n´est que les près sont roses dans la vision des lynx... Pourquoi dois-je donner alors que l´arbre n´a pas encore poussé? Les fruits du plaisir sont dans l´appétit que l´on donne sur terre pour plonger. Comprendre ou ne pas comprendre, je me demande bien ce que c´est. Et si les disques de lumières pouvaient émettre l´amour des choses tordues ? Qui sait si la feuille à peine tombés ne changera pas les choses. Un balai. Le tableau représente les rideaux qui se pavanent dans l´au delà, qui se redressent quand tu vas. Où ? Pourquoi ? J´ignore... Et si les parallélogrammes pouvaient pousser ? Le renversement des choses serait chamboulé presque dans l´infini miséricorde d´une force mangeant des pommes.
Topic à bloquer.
Mais c´est marrant .
J´aurais plutot vu une force mangeuse de pomme.
Mais c´est trés bien !
Merci .
Une meurtre ou un suicide ? Ce ronflement me faisais craquer. De temps en temps, on ne devine plus rien. Je peut vous poser une question ? Non. Le porte-feuille à ses problèmes. Autant pour moi. Il respire toujours ? Oh, un touriste vers la postérité. Bien mauvaise thèse. La robe rouge ? Quoi d’autre ? Paraît qu’il la battais. Mais donc ? Un défilé de plage, poom, poom. Perdu, tremblant tel un papillon, la peur au but du stylo, musique pour le chaud, la norme, l’équilibre, bien autrement. Il va bien ? Mais d’abord ; est-il recevable ? Excuse-moi un week-end ? C’est un juste. Juste un bougie, parler avec une serviette et danser avec une armoire. Je peut avoir à boire ? Du clavier au champ, il ya une échelle vers les fourmis, pff, c’est comme bébé qui fait des maths. Non ne lui donne rien. Le lait ? Non au bébé. L’autre, il respire par le nez. Rafraîchissante innovation. Toi aussi tu l’a deviné ? C’est comme la peinture à oreilles, l’écriture des yeux, jeter des mots. Attention je fait des cercles. Si. Et la fête en l’honneur du gâteau. Voilà que ça met tout le monde d’accord. Fichtre, et d’abord personne n’est comme tout le monde. Mais qu’avez vous demandé ? On dirait qu’ici les mots sont mélangés. Mais qu’importe tant qu’il ne m’attrape pas déguisé en pingouins. Qu’est-ce qui ce passe ? Bonjour. C’est vrai, j’aurais du voir ça de suite, mais savez-vous, croire c’est plus qu’un métier.
Vos poèmes sont trop droles!
Les pattes sont clownesque ? Qui sait, peut être le plus profond de toutes les choses lumineuse marchante. Ou peut être marchande. Les bananes sont elles de droites ? Ou à gauche ? Je ne sais pas ? Ou encore dans le droit chemin des choses symétriques. Pourquoi et pourquoi, ce sont la mer en train. Les avions volent dans un immense océan de stylo. Ecrire des choses pour la profondité paraplégique immense d´un critérium à moitié enfoncé. Je ne sais pas mais le clavier va bien sans son thermomètre à production intense. L´aperçu des choses où l´on va sont sûr dans la famille des cous. Ou des clous. Je ne sais plus si les choses jaunes se font petites et naviguent avec véhémence dans le petit. Que veut-ce dire. L´ombre est contraire à la modestie. Les travailleurs illuminent la mante religieuse du paradis.
J´ai dû me tromper de forum, je cherchais celui de SSBB et je tombes sur des pohèmeuh...
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Mais ce sont de ma-gni-fi-que poèmes .
Le nombre de fois, les visites ? vous êtes au courant ? Certes j’ai connu moche à l’étonnement, le pays des morts, et mieux s’exprimer, je m’en vais.. C’est une forme de procès. Grâce, n’en demandez pas tant. Dehors, les étoiles et la lumière, encore le monde des rêves, c’est un fait divers, illuminé à peine et l’arme en vrac, un cercle de feu, l’esprit qui rend impropre.
Quelle erreur ? trois rabbins de la beauté, j’allais mourir pour la seconde fois.. discute encore pour un câlin, un appétit et la patience, l’heure des sportifs avaient sonné. Même pour les hommes, simulé un vol, les sceptiques vous le dirons : vous êtes ici, jamais les anges n’ont menties. Soyez frissonnant à ce point.. L’exploration c’était le paradis. Le second ou le troisième. Les yeux, les efforts. Manipule et évite les trucages. Une première ronde le feu de son coté, il s’installa sur l’estrade, la pudeur hypocrite, après le second mur, un rire dévastateur.
Bon j´arrête moi, j´en ai marre . Mais toi continue, ça m´éclate de rire à chaque fois .